22/06/2007
UN PRECURSEUR MECONNU HEGESIPPE SIMON
Les ténèbres s'évanouissent
quand le soleil se lève
Hégesippe SIMON
C'est pour le centenaire de sa naissance que fut érigé ce monument à la gloire de ce grand homme
Nous devons à la sagacité et à l'obstination du libraire éditeur-imprimeur Paul Birault la redécouverte de ce grand homme à qui la République doit tant. Le lieu de naissance est controversé, né en 1814, les registres paroissiaux ayant été détruit lors de la fuite des restes des armées napoléoniennes, plusieurs villes se disputent l'honneur d'être le berceau du grand homme. C'est certainement un village de l'extème sud du Morvan surla départementale 92 que cette cité rattachée à Laroche-Millay que comptant environ 180 habitants ce hameau principalement agricole s'appelle Poil.
Paul Birault qui tenait une librairie sur les vestiges d'un ancien couvent de la rue de Douai, à l'emplacement approximatif de l'actuel numéro 67, habitait rue Durantin. Il décida d'organiser le centenaire de ce précurseur de la République, parmi les principaux créateurs du parti radical.
.......................a suivre.............
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O-KEWE MY : RE-RE-SUITE....
12:10 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
NOTE POUR LES MEMBRES DE L'ASSOCIATION AUTOUR DU PERE TANGUY
02:45 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
21/06/2007
UN "BATEAU-LAVOIR" AVANT L'HEURE, RUE DE ROCHECHOUART AU 42 BIS
PAR BERNARD VASSOR
03:45 Publié dans LES PRECURSEURS | Tags : BATEAU LAVOIR, CHARLES JACQUE, NARCISSE DIAZ, JEAN-FRANCOIS MILLET, ECOLE DE BARBIZON | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
20/06/2007
O KEWE MY, dernière minute.....
13:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
ALFRED DELVAU LE CHANTRE DES DESSOUS DE PARIS
PAR BERNARD VASSOR
"J'écris d'abord pour éclairer ma lanterne. Dans le cas présent pour me raconter cet Alfred Delvau qui m'a longtemps intrigué. Ses liens privilégiés avec mon compatriote Félicien Rops m'intéressaient. Les biographes de ce dernier étant silencieux à cet égard, j'ai creusé pour découvrir que Delvau est en fait le véritable découvreur de Rops à Paris! Ce n'est pas son moindre mérite." (...)...................................
"Il a eu une vie très simple, lisse comme la paume de la main en dehors de sa jeunesse révolutionnaire en 1848 qu'il a fort tue et dont il n'était pas plus fier que ça. Il avait le coeur à gauche mais sans grande conviction, contrairement à Poulet-Malassis. C'était plutôt un esthète et surtout un déçu. En tout cas, il n'était pas un créateur, tout au plus un petit chroniqueur, un besogneux qui a cherché sa vie durant de quoi se sustenter. Sans le vouloir, il a réalisé quelques petits chefs-d'oeuvre, du moins à mes yeux."
Il est mort à Paris, rue Houdon, ( alfred Delvau, pas René Fayt) le 3 mai 1867
02:45 Publié dans La bohème littéraire | Lien permanent | Commentaires (3) | | | | Digg
19/06/2007
AUX MEMBRES DE L'ASSOCIATION, NOTRE AMI RICARDO MOSNER NOUS CONVIE A....
16:40 Publié dans Evènement | Tags : RICARDO MOSNER, JEAN-BERNARD POUY, GERARD MORDILLAT, PATRICE MINET, HERVE LE TELLIERSERGE JONCOUR, PATRICE DELBOURG, PATRICK BESNIER | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/06/2007
De notre correspondante Isabelle Dover de la Libre Belgique mais Juste
Un article émouvant de notre envoyée spéciale
Isabelle Dover :
Je m’adresse à vous ce soir, car je crois qu’il est juste et sain de choisir ce moment pour le faire: la France, notre nation, a franchi le cap de ses grandes échéances, et je ne crains donc plus de troubler la vie politique de notre pays par la révélation fracassante que je m’apprête à vous faire ici.
Certains l’auront peut-être pressenti depuis un certain temps déjà et la rumeur aussi a fait son oeuvre. Je confirme donc: je suis désormais séparée de mon doudou, et je ne souhaite plus que vous l’appeliez mon doudou. Au terme de quarante-sept ans de complicité, au cours desquels il a fidèlement porté l’odeur de mes premiers vomis, le souvenir ému de mes premiers babils, la trace d’un parcours ô combien semé d’embûches mais toujours passionnant, mon doudou ce félon a voulu goûter aux plaisirs pervers de la machine à laver et se joindre aux débauches des prélavages, lessivages, essorages et autres repassages. C’est son choix et je le respecte. Et puisque tel est son choix, je lui souhaite beaucoup de bonheur dans sa nouvelle vie sentimentale de lambeau usé et vieilli.
(*Note) Je veux donc que la France sache que c’est désormais sans lui que je suce mon pouce la nuit. Je ne suis pas en colère. Je n’ai pas mes nerfs. Je suis une femme libre.
Isabelle
18/06/2007 00:45 ©AFP
(*Note): Je publierai très prochainement à ce propos un ouvrage-révélation choc sous le titre “Les coulisses d’une névrose”, aux Editions Miches-à-l’eau, 22,90 euros.
13:15 Publié dans ça n'arrive pas qu'aux autres !!! | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LES ARTISTES A L'ASSAUT DU MONT LESBOS
PAR BERNARD VASSOR
Chaste un peu moins que Pénélope ,
Il n'est rien e nous ne fassions
Pour fuir l'ennui qui nous galope.
Plumes en l'air, nez en avant,
06:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
17/06/2007
LA PLUS ANCIENNE MAISON DE PARIS, parait-il....
Par Bernard Vassor
16:51 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/06/2007
QUELQUES DOMICILES ET LIEUX PARISIENS FREQUENTES PAR GERARD DE NERVAL EXISTANTS OU DISPARUS
APPEL POUR L'ORGANISATION DU BICENTENAIRE DE LA NAISSANCE
DE GERARD LABRUNIE
PAR BERNARD VASSOR
en voici tout de même quelques uns : Il est né au 96 rue Saint-Martin, puis il part pour Mortefontaine où il passe son enfance. Il revient vivre avec son père au 72 rue Saint-Martin. 1820, il est externeau lycée Charlemagne. 1826, il séjourne chez sa tante à Saint-Germain-en Laye où il achève la traduction de Faust. 1826 à 1828 il est apprenti dans une imprimerie et travaille chez un notaire. 1830, assiste à la première d'Hernani.1831, fait un premier séjour à Sainte-Pélagie pour tapage nocturne.1831, il fait la connaissance de Gérard Papion du Château avec qui il établi une correspondance. 1832, il fait partie du "Petit Cénacle" de Jehan Duseigneur, d'abord au cabaret de la mère Saguet près du Moulin de Beurre, puis au Petit Moulin Rouge avenue de la Grande armée.. Il fait un nouveau séjour à Sainte-Pélagie au moment du complot de la rue des Prouvaires. 1832, Gérard est étudiant en médecine, pendant la terrible épidémie de choléra morbus, il fait des visites de malade avec son père. C'est sans doute en 1833 que Gérard aperçoit Jenny Colon pour la première fois. Mort du grand-père de Nerval qui hérite de trente mille francs. Il fait alors des voyages dans le midi de la France et en Italie. En 1834 il habite chez son ami Célestin Nanteuil 15 rue de Vaugirard, La même année il va vivre 6 rue du Paon. Avec Alexandre Dumas, il fonde "Le Monde Dramatique"L'année suivante, il demeure au début de l'année avec Camille Rogier au 5 rue des Beaux-Arts, puis, c'est le fameux emménagement au 3 impasse du Doyenné avec Houssaye, Esquiros, Ourliac etc... Mme de Feuchère achète la maison d'Antoine Boucher, "Le Bal des Truands". En 1836, Le Monde Dramatique sombre, emportant avec lui le reste de l'héritage. il va habiter chez Gautier rue Saint-Germain, puis à la barrière de Passy. Le 11 septembre 1836 le transfert des corps de sa mère madame Labrunie née Laurent du cimetière Montmartre au Clos Nerval à Mortefontaine. 1837, c'est au 91 (?) rue Coquenard *qu'il vit avant de déménager à la fin de l'année au 23 rue Caumartin, à l'Hôtel Caumartin.En 1839 Gérard en proie à des difficultés financières accepte une mission en Autriche pour le gouvernement de Louis-Philippe. Il passe par Genève, Lausanne, Berne, Augsbourg, Salzbourg puis Vienne où à l'ambassade, il fait la connaissance de Marie Pleyel. Il fait le trajet inverse en partie à pied, faute de moyens ! Gérard déclare son amour à Jenny....1838 Jenny se marie avec le flutiste Louis-Marie-Gabriel Leplus. 1838, il rejoint Dumas à Francfort et visite l'Allemagne, se documente sur Kotzebue et Carl Sand
1840 il va au 14 rue de Navarin dans la maison avec un grang parc qu'occupe Gautier d'avril 1840 à janvier 1841. (Balzac signale un logement au 2 rue de Navarin dans une maison haute et étroite)
1841, rue de Miromesnil a lieu sa première crise de folie, il est conduit chez Mme de Saint-Marcel 6 rue de Picpus d'où il ressort pour presque aussitôt faire un séjour chez le docteur Esprit Blanche, place du Château d'Eau à Montmartre.
Nous n'avons pas d'adresse pour l'année 1842, mais il semble qu'il soit resté à Paris 10 rue Saint-Hyacinthe-Saint-Michel ?
1843, il fait un long voyage en orient, il passe Noël à Nimes dans la falille de son ami Rogier.
1844 Voyage en Hollande avec Ardène Houssaye, il habite 6 rue Pigalle, puis au 2 rue des Rosiers à Montmartre.
1845. Vit chez Rogier 39 rue de la Victoire (ou bien 36 ?) Voyage en Algérie
1846, 16 rue de Douai.
1847, 39 rue de La rochefoucault
1848, il fonde avec Esquiros, Marc Fournier et Alexandre Weil "Le club des Augustins", avec Heine, il revoit les traductions de l'écrivain allemand. Il reçoit des soins du docteur Ley 45 allée des Veuves (avenue Matignon), puis du docteur Aussandon 48 rue Notre-Dame-de-Lorette.
Il habite 4 rue Saint-Thomas-du-Louvre jusq'à la fin décembre 1851.
1851 il va habiter au 9 rue Montyon, (curieuse coïncidence, ce sera quelques années plus tard le cabinet du docteur Gachet, auteur d'une thèse sur la Mélancholie....) A la fin de l'année, il demeure 20 rue de Lille.
1852, il s'installe 66 rue des Martyrs, puis à l'hôtel de Normandie rue du Chantre, rue Neuve-des-Bons-Enfants, chez Gautier 14 rue de Navarin, chez Staler 24 rue Bréda et à la maison municipale de santé du docteur Dubois pour érysipèle 110 rue du faubourg Saint-Denis (aujourd'hui le 200) il termine cette année au 9 rue du Mail.
1853 nouveau séjour pour"fièvre" à la maison Dubois; vient habiter 2 rue du faubourg Montmartre. Il est conduit d'urgence à l'hospice de la Charité puis à la clinique du docteur Blanche, sorti en mai, y retour,e en octobre. Il va vivre chez sa tante Labrunie 54 rue Rambuteau puis à Saint-Germain-en-Laye.
Son dernier domicile parisien connu est le 13 rue Neuve-des-BonsEnfants. Son ami Charles Asselineau fut le dernier à le rencontrer vivant rue du Bouloi, au Café de l'Epoque à l'angle du passage Véro-Dodat.
D'après les textes établis par Albert Beguin et Jean Richer, Oeuvres, Gerard deNerval bibliothèque de la pléïade Paris 1966
(*A VERIFIER)
11:45 Publié dans Les écrivains (1) 永井荷風 | Lien permanent | Commentaires (4) | | | | Digg
O-KEW MY George Sand et l'exposition Catlin
PAR BERNARD VASSOR
00:15 | Tags : O-KEWE MY, CATLIN, VATTEMARE, GEORGE SAND, BAUDELAIRE, VICTOR HUGO | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
15/06/2007
O-KEWE MY RE-SUITE....Oke--je, ours femelle qui marche sur le dos des autres ?
PAR BERNARD VASSOR
Les dernières informations en notre possession nous permettent de retrouver sans doute la véritable identité de notre jeune squaw. D'après le répertoire des oeuvres de George Catlin, ce serait sous le nom de
Oke--je, ours femelle qui marche sur le dos des autres
que ce nom figure au catalogue ( traduction incertaine).
Voici l'adresse en version non traduite du site consacré à la culture des Ioways
Notre association a l'intention d'organiser une cérémonie traditionnelle amérindienne avec ceux qui voudraient bien se joindre à nous. Secte ou association ésotérique s'abstenir....
S'il venait à l'idée saugrenue de l'adjointe à la culture ou de son chargé de mission à la mairie du XVIIIéme, de se manifester, qu'ils sachent qu'ils ne seront pas les bienvenus
13:15 Publié dans Evènement | Tags : O-KEWE MY, CATLIN, VATTEMARE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
PARUTION D'UN OUVRAGE SUR LE MUSEE DE MONTMARTRE PAR YVONNE SINGER LECOCQ
PAR BERNARD VASSOR
11:25 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LES INDIENS IOWAYS
PAR BERNARD VASSOR
La jeune indienne morte à Paris en 1845, appartenait à la tribu des ioways
Quelques titres de tableaux de George Catlin ; Peintures_de_Catlin_des_ioways.pdf
Collection indienne de George Catlin, toujours sur le superbe site cité plus haut :
Collection_indienne_de_Catlin.pdf
Squaws peintes :
Squaw
10. Ruton-ye--mA, se pavanant le pigeon, l'épouse du nuage blanc
11. Ruton--je, pigeon sur l'aile
12. Oke--je, ours femelle qui marche sur le dos des autres
13. Koon-za-ya-je, navigation femelle d'aigle de guerre
14. Ta-PA-ta-je, Sophia, sagesse, la fille du nuage blanc
15. Corsaire, un papoose.
12. Oke--je, ours femelle qui marche sur le dos des autres, est sans doute celle qui fut inhumée au cimetière Montmartre.
08:55 Publié dans CIMETIERE MONTMARTRE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/06/2007
O-KEWE MY SUITE....
Par Bernard VASSOR
16:40 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
13/06/2007
EGLISE SAINT-HONORE PARIS DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
13:35 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
L'IMPASSE SAINT-SAUVEUR, PARIS DISPARU ( EN 1913)
08:55 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LA RUE DES DEUX PORTES, SUITE, PARIS DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
Au moyen-age, elle portait le joli nom de rue Gratte-cul, puis rue Tire-Vit, (les historiens ont toujours écrit rue Tire V..) rue Tire-Boudin, enfin rue Marie Stuart. A la fin du XVIIéme, elle fut prolongée jusqu'à la rue Thévenot et prit le nom de rue Des-Deux-Portes-Saint-sauveur. En 1913, l'opération de voirie destinée à élargir la rue Dussoubs, fit disparaître les maisons du 1, 3, 5, 7 et 9. Cette partie entre les rues Grenetta et Tiquetonne, ne comptait en 1292, qu'un seul habitant soumis à la taille.
Cette dernière maison avait été habitée par Marie-Anne de Cupis, danseuse plus connue sous le nom de "La Camargo" (1710-1770) qui eut dit-on mille et un amants. La demoiselle Paganini, première danseuse de Lisbonne, la maison de madame de Bragelonne, le marquis d'Osmond qui avait deux maisons, l'une à l'angle de l'actuelle rue Marie Stuart, et l'autre qui abrita la demeure de la très connue "Petite comtesse" Gourdan. C'est sans doute la proximité de l'hôtel de Bourgogne qui attira toutes les danseuses qui vinrent habiter cette rue pourtant mal fréquentée, véritable coupe-gorge la nuit. C'est pour cette raison que les portes qui bordaient cette rue étaient fermées la nuit.
08:18 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
12/06/2007
LA BUTTE MONTMARTRE EN 1860
16:11 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
O.KEWE MY, FEMME SAUVAGE "PISSE D'OURS, CROISEE PETIT LOUP" AU CIMETIERE MONTMARTRE
PAR BERNARD VASSOR,
A la conservation du cimetière on l'inscrivit sous le nom de : Pisse d'Ours, l
C'est à la suite d'une question et d'un article que m'avait envoyé Arlette Choury, secrétaire des Amis de George Sand, que j'avais demandé au limier des cimetières Michel Olivès, de retrouver des traces de la sépulture de la jeune indienne. J'ai pu obtenir grâce à la gentillesse et le sérieux d'une dame à la conservation des photocopies d'actes. C'est le 28 février 1851 qu'une concession fut accordée à Nicholas Alexandre Marie Vattemare, demeurant 58 rue de Clichy. Nous ignorons encore à quelle date elle prit fin. Un recueil des dessins de Delacroix a été acheté il y a deux ans environ par le musée du Louvre. La suite figure sur l'album de "la quatrième expédition au cimetière Montmartre"
08:55 Publié dans CIMETIERE MONTMARTRE | Tags : sand, baudelaire, hugo, delacroix, vattemare, catlin, arlette choury | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
L'ENIGME DE LA SEPULTURE DE PRIVAT D'ANGLEMONT AU CIMETIERE MONTMARTRE ENFIN RESOLUE, OU PRESQUE !!!
PAR BERNARD VASSOR
06:55 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : BAUDELAIRE, MURGER, ALFRED DELVAU, SAINTE ROSE, GUADELOUPE, BALZAC, OULET MALASSIS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg