11/06/2007
JEAN-JACQUES HENNER UNE EXPOSITION AU MUSEE DE LA VIE ROMANTIQUE
PAR BERNARD VASSOR
13:11 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
PRISON DE FEMMES SAINT-LAZARE SUITE...
10:10 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
ANCIENNE FACADE DE L'EGLISE SAINT-LAURENT
09:05 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
THEATRE DE L'AMBIGU COMIQUE 2 BOULEVARD SAINT-MARTIN
05:55 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : FREDERIC LEMAITRE, ROBERT MACAIRE, HITTORFF | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
PLACE DES VICTOIRES, Partie disparue
05:25 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
RUE DE LA TIXANDERIE MAISON DE SCARON, PARIS DEMOLI
PAR BERNARD VASSOR
05:00 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : TURENNE, NINON DE L'ENCLOS, SCARON, SEVIGNE, MIGNARD | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
10/06/2007
LE SUPPLICE DE LA LESCOMBAT, EMPOISONNEUSE
PAR BERNARD VASSOR
Cette punition était en général réservée aux maquerelles, que l'on faisait monter sur un âne à rebours et traverser la ville en 1755 jusqu'en place de Grève, sous les huées des braves gens, toujours très friands de ces spectacles d'humiliation,(et cela, à toutes les époques). Madame Lescombat avait fait assassiner son mari par son amant l'architecte Mongeot. Celui-ci fut condamné à être rompu vif. Le tombereau qui le conduisit sur le lieu du supplice à la Croix Rouge, mit une heure et demie à passer le pont Saint Michel, la rue Saint-André-des-Arcs, la rue de Bussy, et la rue du Four-Saint-Germain. L'exécuteur des hautes oeuvres s'étant foulé le bras, c'est son assistant "La Blancheur " qui fut chargé d'étendre sur la roue le condamné. Par malheur, ce qui fit murmurer la foule, les cordes qui devaient lier ses mains et ses pieds étaient trop courtes. Il fallut donc aller à Saint-Germain-des-Prés pour en chercher d'autres. L'office terminé, le cadavre déchiqeté resta sur place pendant deux jours. C'est une violente chute de neige qui abrégea lre spectacle offert à la multitude. Sur la place, il y avait un cabaret à l'enseigne de LA Croix-Rouge qui fit tant de bonnes affaires, qu'à bout de réserve de vin il donna une boisson si frelatée que la police lui en dressa un procès. Le hasard fit que lors de sa reconduite en prison la Lescombat traversant la place de la Croix-Rouge, vit le Corps de Mongeot, elle s'écria : "Ils lui ont mis la tête à ses pieds !"
Deux mois plus tard, Blanche Lescombat par arrêt du parlement après avoir subi la question ordinaire et extraordinaire fut conduite en place de grève comme une maquerelle, et pendue haut et court.
La MORT DE LESCOMBAT, Trag. en 3 Ac. imprimée au commencement du mois d'Octob. 1755. Toute la France a été informée des aventures de la Lescombat, convaincue d'avoir participé à l'assassinat de son mari, & dont le supplice a fait l'objet de la curiosité & des entretiens de tout Paris.
18:30 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
RUE DE LA BUCHERIE, RUE DE l'HOTEL COLBERT, un petit bonheur postume pour Nicholas Edmée Restif de la Bretonne !
PAR BERNARD VASSOR
Un petit bonheur posthume pour notre ami, à Balzac et moi, "le Spectateur nocturne" qui a vécu ses dernière minutes près de ce lupanar au 16 actuel de la rue de la Bucherie. La curieuse maison "au gros numéro"* que nous voyons sur cette photo, a certainement ouvert ses portes dans cette très ancienne maison, vers la moitié du XIX ème siècle au temps de Balzac.
*Je rappelle que les maisons close sur ordre de la préfecture de Police, devaient être marquées de gros numéros, pour les distinguer des maisons bourgeoises.
16:45 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : RETIF DE LA BRETONNE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
UNE BROCHURE D'ALAIN POUILLART CONCERNAT ACHILLE LAVIARDE
Le prix de vente de sa brochure est de 6€ majorés de 2.80 pour les frais d'envoi
16:05 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : VERLAINE, RIMBAUD, LAVIARDE, JACQUELINE DUVAUDIER | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
08/06/2007
UN SPECTACLE DE NOS AMIS D'ATELIER PORTE-SOLEIL
13:10 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
TROISIEME CONGRES DE LA SOCIETE D'ETUDES ROMANTIQUES ET DIX-NEUVIEMISTE
13:00 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
SUR LES PAS DE CASANOVA, SUITE : LOUISON MURPHY, dite "SIRETTE"
PAR BERNARD VASSOR
Il existe plusieurs versions de l'histoire de la jeune maîtresse de Louis XV, la première est celle de Casanova
08:45 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
07/06/2007
GUSTAVE COQUIOT
PAR BERNARD VASSOR
23:30 Publié dans DE VAN GOGH A PICASSO | Tags : PICASSO, VAN GOGH, SEURAT, RODIN, HUYSMANS, RENOIR, UTRILLO | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/06/2007
JEAN LORRAIN, LA MAISON PHILIBERT
NOELLE BENHAMOU
LA MAISON PHILIBERT
Une édition éditée et préfacée par Noëlle Benhamou
23:09 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
OCTAVE MIRBEAU ET LE PERE TANGUY
PAR BERNARD VASSOR
ExtErait PDF; MIRBEAU_Des_Artistes_extrait_père_Tanguy_Flamarion_1899.p...
L’Écho de Paris, 31 mars 1891 :
Dans une foule de tableaux mêlés les uns aux autres, l’œil d’un seul clin, sûrement reconnaît ceux de Vincent Van Gogh, disparu trop tôt(…) Van Gogh garde toujours ses admirables qualités de peintre et une noblesse qui émeut, et une grandeur tragique qui épouvante ».
Peu après, il demande au père Tanguy d’aller toucher de sa part chez l’éditeur Charpentier 600 francs et de lui livrer les Iris et Les Tournesols (lettre extraits cités par Francis Jourdain).
Pour éviter qu’Alice, sa pingre de femme, ne lui en fasse grief, Octave Mirbeau demande à Tanguy de lui envoyer une lettre expliquant que ces toiles lui sont offertes en remerciement des articles qu’il a fait et de la « bonne campagne qu’il a toujours menée en faveur du peintre de talent incompris et malheureux ».
A suivre
23:00 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
04/06/2007
PAUL SERUSIER LA NABI A LA BARBE RUTILANTE
PAR BERNARD VASSOR
10:15 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
03/06/2007
EXPOSITION ADOLPHE GUMERY
21:10 Publié dans LES PEINTRES INCLASSABLES | Tags : GEORGES IZAMBARD, ADOLPHE GUMERY, VIVIANE MOREL, RIMBAUD, CARNAVALET, ORSAY, MAISON DE BALZAC | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
LES DEUX MAGOTS
Par Bernard Vassor
C’est en 1813, que voit s’ouvrir un magasin de nouveautés portant le nom des « Deux Magots» à la suite du succès d’une pièce de théâtre intitulée : « Les Deux Magots de Chine ». Cinquante ans plus tard, la mercerie déménage* et s’installe rue Taranne, face à l’église Saint-Germain. Après le percement du boulevard Saint-Germain,il y avait dans la maison à cet emplacement, au quatrième étage, un philosophe qui vécut là avec sa femme et sa fille de 1754 à 1784. C’était Denis Diderot. En 1891, s’ouvrit le café des Deux Magots, fréquenté d’abord par les rédacteurs du Mercure de France, puis, ce sont ceux de la NRF, ensuite, un jeune éditeur Bernard Grasset en fait son quartier général.
La vie littéraire s’installe là autour de Gide, Proust, Jacques Rivière. Puis les suuréalistes, Desnos, Crevel, Eluard. Pendant cinquante ans, ce sera le centre intellectuel parisien. Après la guerre, Sartre, qui a une chambre de bonne au cinquième étage (qu’il laisse à son secrétaire Jean Cau) Simone de Beauvoir et toute une troupe de maîtres à penser. Antoine Blondin reçoit le prix des Deux Magots pour » «l ’Europe Buissonnière »
Avec un tableau licencieux qui servait d'enseigne à la mercerie, une jeune fille chinoise avec ses cheveux relevés par un peigne, entouré de deux hommes aux intentions pas très honnêtes...
18:40 Publié dans CAFES ET RESTAURANTS | Tags : ROBERT DESNOS, RENE CREVEL, PAUL ELUARD.ANDRE BRETON, Antoine Blondin, Diderot | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LES FOLIES-ROBERT, UN AUTRE BAL DE BARRIERE
PAR BERNARD VASSOR
10:30 Publié dans BALS ET GUINGUETTES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
02/06/2007
LE BAL DE LA REINE BLANCHE, AVEC NINI-LA-BELLE-EN-CUISSES
PAR BERNARD VASSOR
23:55 Publié dans BALS ET GUINGUETTES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
CONSTANTIN GUYS "LE PEINTRE DE LA VIE MODERNE"
PAR BERNARD VASSOR
PORTRAIT PAR MANET
Il décide d'éditer une version française du journal de Londres, Charles Bataille demande à son ami Nadar d'y collaborer également. Après avoir passé deux mois à Londres où Nadar a rencontré Guys avec qui il nouera une amitié jusqu'à la mort de Contantin. Puis Guysl voyage dans toute l'Europe, autour de la méditerranées, il couvre la guerre de Crimée, va en Turquie, retourne à Londres puis repart pour l'Italie. A son retour d'Italie en 1871, il s'est installé au 80 rue de Provence, dans une chambre, sous des combles dont il ne sortait que la nuit. Dans les années soixante, il a participé aux réunions du café Guerbois et a marqué fortement le groupe par son caractère d'une indépendance forcenée. Il provoque l'admiration de Manet, de Monet de Gavarni des frères Goncourt, de Champfleury, de Villiers de l'Isle-Adam, de Degas, Cézanne, et de bien d'autres. Cependant, Guys vit très pauvrement. Il dépose au musée Carnavalet un lot de dessins pour qu'un musée conserve une partie de son oeuvre qui concerne l'histoire de Paris. Le musée n'en donnera qu'une bouchée de pain malgré l'intervention d'Henri Ceard pour obtenir une somme raisonnable. Oublié, dédaigné, Constantin Guys ne sera reconnu comme les impressionnistes que des dizaines d'années après sa mort.
Le 14 juillet 1885**, en sortant de chez Nadar, il est renversé par un fiacre rue du Havre dan le neuvième arrondissement. Souffrant de plusieurs fractures aux jambes, il est conduit rue du faubourg Saint-Denis. Il y resta sept ans, jusqu'à sa mort en 1892. Oublié de tous, seul, Felix Tournachon dit : Nadar lui rendit visite et s'occupa de lui jusqu'à la fin.
*L'histoire de la maison municipale de santé Dubois, figure dans un article du bulletin de la société historique :
*Nadar raconte que c'était le mardi-gras, mais il fait une confusion, (d'autres historiens d'art aussi en parlant de jour de carnaval) la date d'entrée 200 rue du faubourg Saint-Denis, dans le 10° arrondissement est bien le 14 juillet 1885.
02:15 Publié dans LES PRECURSEURS | Tags : CONSTANTIN GUYS, NADAR, GONCOURT, MANET, MONET, GAVARNI, MAISON DUBOIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
01/06/2007
RIMBAUD, PAUL FORT, PAUL RANSON, PAUL SERUSIER et la representation theâtrale du "Bateau ivre"
23:10 Publié dans ETUDES LITTERAIRES | Tags : LOUIS FORESTIER, RIMBAUD, SERUSIER, RANSON, VUILLARD | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg