28/07/2007
FENEON, LOUIS, FELIX, JULES, ALEXANDRE, ELIE, ECRIVAIN, CRITIQUE D'ART
PAR BERNARD VASSOR
10:10 Publié dans LES PRECURSEURS | Tags : Malato, Steinlein, Pouget, Signac, Luce, Oscar Méténier, Zo d'Axa Jean Moréas | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
27/07/2007
A PROPOS DE LA CORRESPONDANCE VAN GOGH
PAR BERNARD VASSOR
15:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
24/07/2007
BAUDELAIRE, MANET, MADAME PAUL MEURICE,LES FRERES CHARLES ET FRANCOIS HUGO,ROGEARD
PAR BERNARD VASSOR
22:40 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : BAUDELAIRE, MANET, MADAME PAUL MEURICE, LES FRERES CHARLES ET FRANCOIS HUGO, ROGEARD | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
CASANOVA GIACOMO GIROLAMO,CHEVALIER DE SEINGALT LA TRISTE FIN D'UN GRAND SEDUCTEUR
PAR BERNARD VASSOR
A SUIVRE..........
13:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
MARIE SHELLEY WOLSTONNEKRAFT
PAR BERNARD VASSOR
12:50 Publié dans HISTOIRE DES FEMMES | Tags : FRANKENSTEIN, GODWIN, WOLLESTONEKRAFT | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
23/07/2007
ANTONIN ARTAUD, "A JAMAIS LA JEUNESSE RECONNAITRA POUR BIEN CET ORIFLAMME CALCINE"
PAR BERNARD VASSOR
"Je vois venir à moi à l'heure où j'écris ces lignes, le visage rougi sanglant du peintre venir à moi dans une muraille de tournesols éventrés, dans un formidable embrasement d'escarbilles d'hyacinthe opaque et d'herbages de lapis-lazuli.(...)Preuve que Van Gogh a pensé ses toiles comme un peintre, certes, et uniquement comme un peintre, mais qui serait par le fait même un formidable musicien" Antonin Artaud, Vincent van Gogh le suicidé de la sociéte.
C'est l'image du visage torturé d'Artaud que l'on garde en mémoire, il faudrait le comparer au portrait du beau jeune homme par Man Ray plus de vingt ans avant ! Cette photo de 1947, réalisée un an avant sa mort a été prise à la fameuse "conférence du Vieux Colombier". Son visage ravagé par les mauvais traitements, les tortures, les électro-chocs par dizaines qui le rendaient abruti pendant des semaines, les douches au jet d'eau froide etc.. des médecins sadiques des asiles psychiatriques. Encore, lui avait survécu à la famine et au froid dont sont morts des dizaines de miliers de malades psychiatriques en plus des morts habituelles pendant la seconde guerre mondiale (dont Camille Claudel et Séraphine de Senlis en 1943) Il avait écrit un superbe essai sur Van Gogh : "le Suicidé de la Société "écrit en deux après-midi, "pratiquant une sorte d'écriture orale (...) une des expériences de langage les plus inoubliables de la littérature française. (Thévenin)" éditions K, Paris 1947. C'est Alain Gheerbrandt ( des éditions K) qui lui proposa d'écrire un texte sur Van Gogh à l'occasion d'une exposition à l'Orangerie en janvier 1947. L'ouvrage parut en septembre 1947 avec un tirage important. L'éditeur explique :"j'eus à coeur de lui apporter tout le soutien qui m'était possible et donc de faire ce que je pouvais^pour élargir son audience" .C'est également Gheerbrandt qui alla le chercher à la sortie de l'asile de Rodez en mai 1946 où il subit après trois ans d'internement et délectrochocpour le moindre prétexte, était devenu un vieillard édenté, et sans cheveux.
Antoine Marie Joseph Artaud, est né à Marseille le 4 septembre 1896, est mort à Ivry-sur Seine le 4 mars 1948
22:30 Publié dans Les originaux, les excentriques, les fous litterra | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
CYPRIAN NORWID, LE CHARLES BAUDELAIRE POLONAIS
PAR BERNARD VASSOR
20:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
L'HOMME QUI A COUPE PLUS DE 400 TETES, ANATOLE DEIBLER
PAR BERNARD VASSOR
11:10 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
ALBERT GEORGES AURIER CRITIQUE D'ART
PAR BERNARD VASSOR
Il est né à Chateauroux en 1865, mort à Paris en 1892. Il fut critique d'art pour : "Le décadent", La Plume", "Le Moderniste", "Le Mercure de France" et "La Revue indépendante"Poète et peintre à ses heures, il fut en 1887 au cours d'un voyage profondément impressionné par les décorations peintes dans une auberge. A Saint-Briac dans l'auberge Lemassou, il rencontre l'auteur de ces fresques Emile Bernard. Une amitié se noue tout de suite. Emile va présenter le journaliste à ses amis. Il rezncontre Théo Van Gogh dans la galerie du boulevard Montmartre où il voit en exposition à l'entresol des oeuvres de Gauguin (c'était un des rares "modernes" que les patrons de Théo acceptaient de voir exposer dans leur galerie) Il propose de publier des articles dans un journal où il est le rédacteur en chef sur l'exposition Volponi pendant l'exposition Universelle. C'est lui qui aurait selon Emile Bernard trouvé le titre "Groupe impressionniste et synthétiste", pour d'autres témoins, c'est Gauguin qui en est l'auteur. Après avoir au cours d'une visite chez le père Tanguy, vu des toiles de Vincent, il publie dans le "Mercure de France" un article élogieux (le premier) sur le peintre hollandais. Il le qualifie de symboliste et croyant bien faire, il ajoute :" Ce qui particularise son oeuvre, c'est l'excès, en la force, l'ecès en la nervosité,, la violence en l'expression(...)Un exalté, ennemi des sobriété bourgeoises (...)une sorte de géant ivre, plus apte à renverser des montagnes, qu'à manier des bibelots d'étagères"
Paru en janvier 1890, cet article perturbe Vincent qui va prier son frère de demander avec insistance à Aurier de ne plus écrie d'articles sur sa peinture. Mais pour le remercier tout de même il lui fait donner une étude de Cyprès qui fut exposée au salon des Indépendants de 1890. La première rencontre d'Aurier et de Vincent eut liueu chez Théo cité Pigalle quelques jours avant le suicide de Vincent à Auver-sur-Oise. Dans deux lettres à Emile Bernard, il donne des nouvelles du monde de l'art parisien. La première datée du 30 juin 1890 : "Van Gogh (Théo) a fait une exposition Raffaelli (..) je n'ai pas vu Gauguin depuis deux siècles". Dans la deuxième lettre est relative à la mort de Vincent : "Théodore Van Gogh m'écrit et me parle de l'exposition des oeuvres de son frère qu'il a l'intention d'organiser chez Durand-Ruel" Nous savons qu'après bien des tergiversations, celui-ci refusa. C'est donc cité Pigalle dans un appartement loué pour l'occasion qu'eut lieu la première exposition mondiale Vincent Van Gogh. Agé de vingt sept ans, Aurier meurt de la fièvre typhoïde. Gauguin toujours aussi égocentrique se désola : "Aurier est mort,. Nous avons décidément de la déveine. Van Gogh (Théo, pas Vincent !), puis Aurier, le seul critique qui nous soit favorable et qui un jour aurait été utile"
10:00 Publié dans Les amis de Vincent | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
21/07/2007
CAMILLE JEAN-BAPTISTE COROT
PAR BERNARD VASSOR
11:35 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
20/07/2007
CHARLES FRANCOIS DAUBIGNY
PAR BERNARD VASSOR
La donation effectuée, en 1987, par Anne et Daniel Raskin Daubigny est composée de peintures, de dessins, de gravures et de souvenirs. Elle s'estenrichie depuis la création du musée, de nouvelles œuvres, non seulementde Charles-François, de ses élèves, de ses suiveurs, mais aussi d’huilesde son fils Karl..
Vous connaitrez ainsi l'histoire extraordinaire de la décoration de cette maison
Cela vous donnera également l'occasion de visiter l'auberge Ravoux située à deux pas. TEL 01 30 36 60 60
Et d'y déjeuner à la table de Vincent, dont je vous rappelle que c'est le cent dix septième anniversaire de sa mort.
Vincent aétait fasciné par l'oeuvre de Daubigny, qu'il citait souvent dans sa correspondance à son frère Théo.
*Sa maison avait été construite d'après les plans fournis par Oudinot, (élève de Corot) Celui-ci est chargé des études artistiques des soeurs Morizot, il leur loue une maison au Chou, entre Auvers et Pontoise et leur présente Daubigny. Les relations avec les soeurs se distendront après que celle-ci devienne l'intime de Manet qui la soustraira à l'influence de Oudinot. Parmi les invités et les intimes de Daubigny: Berthe Morisot, Jules Dupré, Cézanne, Corot bien sûr, Gachet, Pissarro qui est son voisin et à tous les jeunes peintres de la région. Il s'est fait construire un bateau-atelier qu'il appelera "le Botin"
15:00 Publié dans LES PRECURSEURS | Tags : erthe Morisot, Jules Dupré, Cézanne, Corot, Gachet, Pissarro | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
HONORE DAUMIER
PAR BERNARD VASSOR
Peintre lithographe,Il est le fils d'un vitrier marseillais, né le 20 février 1808, mort à Valmondois le 11 février 1879. Venu à Paris, il fut apprenti-libraire et fréquenta l'Académie Suisse et l'atelier d'Alexandre Lenoir. Ses premières lithographies sont de 1822. Il fréquente l'Académie Suisse. En 1832, il fut condamné à six mois de prison pour une caricature de Louis-Philippe. peintre et sculpteur, il fréquente Barbizon où il est très lié à Corot, Millet, Rousseau et Daubigny. En 1872, alors qu'il est presque aveugle et dans la plus grande misère, Corot achète pour lui une maison à Valmendois où il vécut jusqu'à sa mort. Il fut inhumé au Père-Lachaise où l'état lui acheta une concession perpétuelle pour 12 francs.
Ateliers : 9 quai d'Anjou, 40 boulevard de Clichy.
12:30 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
GEORGES MICHEL "LE RUYSDAEL DE MONTMARTRE" PEINTRE DE BARBIZON
** Afred Sensier, Etude parue en 1873 d'après les confidences communiquées par sa troisième femme qu'il avait épousée en 1828 et qui l'accompagnait dans ses tournées des guinguettes de la butte, et en banlieue nord où il allait peindre"sur le motif". A l'époque, il avait un ateleier rue Bréda (après 1830)
*** Musée d'Orsay, carnet de dessins, Aux environs de Montmartre, Moulins avant l'orage à Montmartre.
11:25 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
19/07/2007
NARCISSE, VIRGILE, DIAZ DE LA PENA
PAR BERNARD VASSOR
17:50 Publié dans LES PRECURSEURS | Tags : corot, rousseau, ganne, jacque, barye, renoir, daumier | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Pendant le deuxieme sejour de Vincent a paris.
13:30 Publié dans VINCENT VAN GOGH A PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/07/2007
LE QUADRILLE DE LA CHAISE LOUIS XIII. BRUANT TOULOUSE-LAUTREC
PAR BERNARD VASSOR
Ah ! mesdames qu'on est à l'aise
Quand on est assis sur la chaise
Louis XIII
Elle est à Rodolp', cependant
Pour s'asseoir d'ssus, faut aller chez Bruant
Au cabaret du Mirli
Au cabaret du Mirli
Du Mirli ton taine et ton ton
Du Mirliton
QUAND ON DIT QUE TOUT FINIT PAR DES CHANSONS :
Rodolphe Salis, avait oublié au cours de son déménagement du boulevard Rochechouart pour la rue de Laval, une chaise empaillée de style vaguement Louis XIII ordinaire. Le très pingre Rodolphe s'empressa d'aller la réclamer à son successeur Aristide Bruant. Celui-ci lui claqua la porte au nez. Obstiné, Salis envoya un de ses garçons, le père Bock, récuperer son "fauteuil Louis XIII". Devant sa clientèle ébahie, Bruant saisit la chaise, monta sur une table, et accrocha ladite chaise au plafond. L'histoire fit le tour de Montmartre, et juste à côté, Grille d'Egout et la Goulue obtiennent un franc succès à l'Elysée Montmartre en exectant "Le quadrille de la chaise Louis XIII". La chaise devint bientôt le symbole du Mirliton, et comme nous le voyons sur le tableau, tous les soirs, on réclamait la chanson ! Bruant monté sur une table l'interpêtait en battant la mesure avec sa canne.
18:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : Rodolphe Salis, Aristide Bruant, Toulouse-Lautrec | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LE CAFE VOLPONI, EXPOSITION SYNTHETISTE
PAR BERNARD VASSOR
10:25 Publié dans Les amis de Vincent | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
17/07/2007
NOELLE BENHAMOU, cahier de recherche des instituts néerlandais de langue et de littérature française
Noëlle BENHAMOU : Maupassant dans le monde aujourd’hui
Adrian RITCHIE : Maupassant en 1881 : entre le conte et la chronique
Marc SMEETS : Huysmans, Maupassant et Schopenhauer : note sur la métaphysique de l’amour
Kelly BASILIO : Trilles et frétillements. L’écriture « impressionniste » du désir dans Une partie de campagne de Maupassant
Hans FÄRNLÖF : De la motivation du fantastique
Concepción PALACIOS : Maupassant et Clarín, face à face
Karl ZIEGER : Arthur Schnitzler – un « Maupassant autrichien » : le rôle de Maupassant pour l’insertation d’un auteur étranger dans le champ littéraire français
Galyna DRANENKO : L’histoire de l’héritage maupassantien en Ukraine
Alexandra VIORICA DULAU : La réception de Maupassant en Roumanie
Arselène Ben FARHAT : La réception de Maupassant dans les pays arabes : étude des stratégies paratextuelles dans les récits traduits
René GODENNE : Le monde de la nouvelle française du XXe face à Maupassant
Leisha ASHDOWN-LECOINTRE : Maupassant à l’écran : The Golden Braid (1990) de Paul Cox, adaptation filmique de La Chevelure
Noëlle BENHAMOU : Il Diavolo (2005) d’Andrea Lodovichetti : du conte noir à la fable métaphysique
Documents, présentés par Noëlle Benhamou (4 lettres inédites de Guy de Moupassant)
18:50 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
JABLOCHKOFF OU JABLOCHKOV ?
PAR BERNARD VASSOR
Cette invention fut à l'origine de l'éclairage à arc. En 1878, on utilisa les "bougies" pour éclairer l'avenue de l'Opéra. Puis, c'est l'hippodrome, des théâtres, des grands magasins.
L'ingénieur repartit pour la Russie est mort oublié, dans un état de grande pauvreté. Aujourd'hui son nom resté méconnu, ne figure même pas dans les "Larousse que j'ai consulté.....
Ci-dessus, chandelier à dérivation pour utilisation continue
18:30 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
PAUL ELIE RANSON, LE NABI DU "TEMPLE"
Par bernard vassor
17:00 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/07/2007
LA RUE FEYDEAU
PAR BERNARD VASSOR
17:40 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
CHEZ "LA BRISSAULT", A L'ANGLE DE LA RUE SAINT-MARC
PAR BERNARD VASSOR
09:05 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg