26/09/2007
LE CAFE MICHELLANGELLO, LE "GUERBOIS" italien
PAR BERNARD VASSOR
22:55 Publié dans Les Cénacles | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
GIOVANI BOLDINI LE MACCHIAOLI DE LA PLACE PIGALLE
PAR BERNARD VASSOR
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ZANDOMENEGHI, LE VENITIEN LE PLUS PARISIEN
PAR BERNARD VASSOR
Né en 1841, mort à Paris en 1927. Il fit parti en Italie de groupes révolutionnaireS voulant se débarrasser de l'occupation autrichienne. Fils d'un sculpteur italien, il commença sa carrière de peintre sous l'influence du groupe des macchiaoli.Venu très tôt à Paris, il écrit à un ami :"Je ne sais pas vombien de temps je resterai dans cette grande ville, car je pars sans idée préconcue". Il va passer plus de quarante ans dans notre capitale !!! il est un habitué du "café de la Nouvelle Athènes"où il devint l'ami des impressionniste et l'amant de Suzanne Valladon. Il fait de fréquents aller-et-retour entre Paris et Venise. "L'école" connait de nombreuses fortres personnhalités : Guiseppa Abbatti, qui venant de Naples, s'intègre tout de suite dans le mouvement quand il arrive à Florence, il s'engage dans les troupes de Garibalci en 1866, et meurt, victime de la morsure d-un chien enragé. Cristiano Banti le plus agé, se lie dès son arrivée à Florence, aux macchioli, compte tenu de sa grande connaissance de l'antiquité, il est nommé membre de la commission de réorganisation du musée des Office
A SUIVRE......
07:30 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
25/09/2007
ARMAND GUILLAUMIN
PAR BERNARD VASSOR
09:25 Publié dans Les amis de Vincent | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
24/09/2007
AMAN-JEAN EDMOND
PAR BERNARD VASSOR
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23/09/2007
LOUIS ANQUETIN , INVENTEUR DU CLOISONNISME AVEC EMILE BERNARD
par BERNARD VASSOR
Louis Anquetin 1861-1932. converti au divisionnisme. avec Toulouse-Lautrec et Émile Bernard Anquetin et Bernard. Ils découvrent dans l'art japonais une nouvelle esthétique dans la recherche de couleurs et de la simplicité. Deux toiles vont marquer la naissance de la nouvelle peinture qu'ils vont appeler le cloisonnisme : Le Bateau au soleil couchant et Les Chiffonnières du Pont de Clichy . La Société des Artistes indépendants fondée en 1884 vit la participation deus ou trois ans plus tard de Signac, Seurat,Maximilien Luce, Guillaumin. Toulouse-Lautrec et Vincent Van Gogh.
Anquetin, fera partie de groupes anarchistes qui gravitaient autour de Zo d'Axa, de Jean Grave, et d'Octave Mirbeau. Il participa à plusieurs revues, dont : La Feuille, et l'En Dehors.
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FELIX VALLOTTON, LE NABI CLAIRVOYANT
12:15 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
19/09/2007
LA PEAU DE CHAGRIN EDITIONS DE L'ORIGINAL
NICOLE MOZET DU GIRB, ME SIGNALE :
Dans la collection Balzac des éditions de l’originale http://www.debalzac.com, Andrew Oliver poursuit son travail, texte après texte dans un ordre chronologique : c’est aujourd’hui La Peau de chagrin, ce sera prochainement les Romans et contes philosophiques (après Le Dernier Chouan, Physiologie du mariage, Scènes de la vie privée). Je rappelle le principe de cette collection : le texte de l’édition originale dans le livre et les documents (très nombreux — variantes, bibliographie, etc.) sous la forme d’un cdrom joint). Voir les conditions d’achat sur le site et faites souscrire les bibliothèques de vos universités et autres institutions.
23:52 Publié dans ETUDES LITTERAIRES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
ALEXIS MERODACK JEANEAU LE SYNTHETISTE
23:20 Publié dans LES PEINTRES INCLASSABLES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
HENRI-GABRIEL IBELS LE NABI "JOURNALISTE"
PAR BERNARD VASSOR
23:05 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
L'ILE DE LA JATTE : CHARLES ANGRAND
PAR BERNARD VASSOR
15:05 Publié dans Les amis de Vincent | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/09/2007
JONGKIND A PARIS : "LE VERLAINE DE LA PEINTURE"
PAR BERNARD VASSOR
17:40 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
UNE VOISINE DE GUYONNET-MERVILLE TRES INCONVENANTE, N'EST-CE PAS MONSIEUR DE BALZAC !!!
PAR BERNARD VASSOR
Groupe International de Recherches Balzaciennes, Groupe ARTFL (Université de Chicago), Maison de Balzac (Paris). Balzac. La Comédie humaine. Edition critique en ligne [En ligne]. [Consultation du 3 juillet 2004]. Disponible sur internet : http://www.paris.fr/musees/balzac/furne/presentation.htm
La rue Coquillière
Elle bordait le mur d'enceinte de Philippe Auguste et devait son nom à une famille des XIIème et XIIIépme siècle, un acte de vente de 1292 indique que Pierre Coquillier a vendu à Gui de Dampierre une maison dans cette rue qui était alors "esdifiée"Robert et Adam Coquillier y avaient des maisons voisines. Un fermier-général y eut un hôtel à deux portes donnant sur les rue Coquillière et rue du Platre. Il confia l'éducation de son fils à un precepteur nommé Jean-Jacques Rousseau . A l'angle de la rue du Bouloi, un hôtel nommé Casse-noisettes abritait un apothicaire marchand de couleurs donc. Le nom de Casse-noisette était la corruption du nom d'un propriétaiire : Gigot de Crissenoi, nommé par déeision Brise-noix, Casse-noix, puis Casse-noisette. Parmi les héritiers, on compte Mme Angélique-Nicole Langlois, seconde épouse de Talma. Tout près de l'hôtel Bullion, donnant aussi rue Coq-Héron reconverti en salle des ventes en 1780. A l'enseigne de l'Epée-de-Bois, deux filles galantes la Dumoulin et la Virville faisaient les quatre-cents pas de la rue du Jour à la rue du Bouloi et arpentaient de long en large la rue Coquillière.
16:05 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
PROMENADE HISTORICO-LITTERAIRE
Notre association AUTOUR DU PERE TANGUY
ORGANISE :
UNE PROMENADE SUR LES PAS DE LA REINE MARGOT
SAMEDI 29 SEPTEMBRE 2007 A 14 HEURES,
DEVANT LE CAFÉ « LE FUMOIR » ,PLACE SAINT-GERMAIN L’AUXERROIS
Le nombre de places étant limité, il est indispensable de réserver votre participation
à : marber@noos.fr
Visite entièrement gratuite par notre amie Chantal Chemla.
12:55 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
RUE DE LA LUNE : AH ! C'EST DU PROPRE MONSIEUR DE BALZAC !!!
PAR BERNARD VASSOR
Groupe International de Recherches Balzaciennes, Groupe ARTFL (Université de Chicago), Maison de Balzac (Paris). Balzac. La Comédie humaine. Edition critique en ligne [En ligne]. [Consultation du 3 juillet 2004]. Disponible sur internet : http://www.paris.fr/musees/balzac/furne/presentation.htm Il faut vous dire que l'endroit a une longue tradition de galanterie depuis des temps immémoriaux. La partie située près de la rue Poissonnière prèsdes anciens remparts de la ville, s'appelait "Le Champs-aux-femmes, à l'époque de Louis XIV. La rue fut ouverte en 1630 A l'angle de la rue de la Lune deux maisons tricentenaires faisaient commerce dans une spécialité fort recherchée et jouxtait la Compagnie colonelle des Gardes-françaises. Une autre maison fut fondée en 1820, elle succédait au commerce d'un galant qui vendait ses charmes aux dames fortunées. Il se faisait appeler Henri de Renneville et dit-on ne dédaignait pas les faveurs de leurs maris. Ensuite, c'est une rebouteuse qui ne craignait pas de se transformer en hétaïre, une fois la guérison de ses patients était assurée. Vers 1690, on trouve au milieu de cette rue un monsieur Claude du Plaisir qui fut obligé de déménager car les marcheurs de nuit prenait au mot la maison de ce fort honnête homme ! La plupart de ces maisons avaient une double entrée, donnant de l'autre côté sur le boulevard.
12:00 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : BALZAC | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES : RENE FAYT
La deuxieme bonne nouvelle de la semaine
A PROPOS DE RENE FAYT :
"Bibliophile par amour du livre,
et bibliomane déclaré, sans mystère,
épanoui, fort de la conviction
que l'amour véritable ne va pas sans excès"
Paul Delsemme
Je viens de recevoir gracieusement de la Réserve Précieuse de la biblothèque de l'Université Libre de Bruxelles, deux ouvrages qui me manquaient cruellement dans mes recherches sur deux personnages hors du commun dont je vous ai déjà parlé abondamment sans trop dire de bêtises je l'espère. Je serai impardonnable aujourd'hui si je commettais la moindre erreur concernant Alfred Delvau et Poulet-Malassis. Je dois ce grand bonheur à un savant érudit, Prix Léopold Rosy en 1994, René FAYT, conservateur honoraire de cette énorme bibliothèque qui a recueilli les publications clandestines des éditeurs établis (et parfois réfugiés) en Belgique au dix-neuvième siècle.
Merci encore mille fois
Bernard Vassor
Je signale au passage à nos amis dixneuvièmistes qu'une exposition Félicien Rops a failli avoir lieu à Montmartre, mais en raison de la frilosité (ou bien de la méconnaissance de l'importance de cet artiste) d'un ou d'une responsable de musée, ce projet a été abandonné au profit d'un autre peintre plus à la mode dont je ne veux même pas parler.
03:30 Publié dans Histoire littéraire | Tags : RENE FAYT, FELICIEN ROPS, POULET-MALASSIS, ALFRED DELVAU | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
LE NOM DE LA ROSE : ARTHUR RIMBAUD
02:58 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
17/09/2007
CAILLEBOTTE , SUITE
PAR BERNARD VASSOR
CLAUDE MONET : LE PETIT-GENNEVILLIERS
Le père de Gustave Caillebotte, normand d’origine a épousé Céleste Daufresne, née à Lisieux. Martial Caillebotte, sous Louis-Philippe, puis sous Napoléon III, dirige une entreprise qui fabrique de la literie et du matériel pour l’armée. Tout comme son confrère le marchand de fournitures de toiles de tentes puis d'habillement militaire et enfin la fabrication de chaussures Alexis Godillot, ils vont amasser une immense fortune grâce aux nombreuses guerres du second empire "L'Empire c'est la paix" était le slogan des adeptes de "Napoléon le Petit."
Gustave est né le 19 août 1848, au 160 rue du faubourg Saint-Denis, dans le cinquième arrondissement. Son père acheta une grande propriété à Hyères, tout comme Alexis Godillot. Tous les deux sont bonapartistes, commerce oblige…
Gustave a eu deux frères dont l'un futprêtre et l'autre, Martial musicien et photographe. En 1866 Caillebotte père achète à la ville de Paris un lotissement à l’angle de la rue de Miromesnil. Pendant le siège de Paris, Gustave Caillebotte est Garde national dans la dixième légion, démobilisé au mois de mars 1871, nous ne savons pas ou il se trouve pendant la Commune, mais, il ne figure pas dans la liste (d’ailleurs fausse) publiée par le "Journal Officiel"des membres de la Fédération des Artistes de la Commune, dirigée par Courbet. Il fréquente ensuite les ateliers des peintres académiques Bonnat, Cabanel,, Léon Gérome* (qui sera parmi les plus acharnés avec Alfred Stevens dans les attaques contre les impressionnistes) En 1874, l’immeuble de la rue de Miromensil est surélevé pour construire un atelier pour Gustave. Il ne participe pas à la première exposition chez Nadar, mais à la deuxième chez Durand-Ruel.. Il participa ensuite à toutes les autres expositions impressionnistes, sauf la dernière à la Maison dorée en raison d’un désaccord profond avec un des participants. Ce que l'on ne dit pas assez, c'est que le frère de Gustave, en plus d'être musicien, était un photographe chevronné, ci qui a beaucoup influencé "la vision photographique des toiles de Caillebotte" comme le diqait un critique de l'époque.Les frères Caillebotte achètent une propriété à Gennevilliers au bord de la Seine, face à Argenteuil. En 1882 il présente dans l’ancienne salle Valentino 17 toiles, en compagnie de Gauguin, Renoir, Monet, Sisley (tous familiers de la boutique du père Tanguy) En 1885, Caillebotte devient le parrain de Pierre Renoir, le grand-père de notre « marraine » l’actrice Sophie Renoir. Gustave achète de nombreuses propriétés et immeubles à Gennevilliers dont il devient conseiller municipal, tout comme Godillot qui fut un temps maire de Sain-Ouen. Le quartier dit « Le Petit Gennevilliers » se trouvait entre le pont d’Argenteuil et le pont de Colombes, actuellement emplacement du port de Gennevilliers. L’arrivée du chemin de fer dans les années 1850, va faire de ce lieu très chic le rendez-vous des canotiers. Des guinguettes vont s’installer et permettre des chantiers de construction de bateaux faisant petit à petit de cet endroit un quartier industriel, qu'il est resté aujourd'hui encore.
*Léon Gérome était également le gendre d'Adolphe Goupil, "le patron" des frères Van Gogh. Il a eu pour modèle dans son atelier du 65 boulevard de Clichy, "La Ségatori" qui ouvrit plus tard un cabaret j en face de l'atelier de Gérome : Le Tambourin
13:00 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/09/2007
A PROPOS DU LEGS CAILLEBOTTE
Baltasar Gracian, Maximes, Paris, Rollin fils 1730
23:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
09/09/2007
Un souvenir d’enfance de Vincent Van Gogh à Ramsgate
19:20 Publié dans Vincent Van Gogh | Tags : ALAIN AMIEL, RAMSGATE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/09/2007
ALEXANDRE DUMAS, LA COLONNE VENDÔME ET LE LATIN....
16:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : jean darnel, joseph méry, alexandre dumas, thomas jegler, colonne vendome | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
04/09/2007
VINCENT VAN GOGH, UN AUTOPORTRAIT SANS COMPLAISANCE
PAR BERNARD VASSOR
13:38 Publié dans Vincent Van Gogh | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg