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26/09/2007

LE CAFE MICHELLANGELLO, LE "GUERBOIS" italien

PAR BERNARD VASSOR

 

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C'est à Florence en 1854 qu'un peintre influent, Télémaco Signorini incite ses camarades à occuper le café Michellengello, Via Larga, aujourdh'hui via Cavour. Ce café devint le lieu de toutes les recherches, les révolutions, tout comme le café de la Nouvelle Athènes à Paris. Le jeune de Nittis y fait ses premières armes, les macchioli y retrouvent un terrain de repli. Adriano Cécioni de l'école naturaliste de Résina, dite aussi "la République de Portici", il écrit une série d'articles qui vont faire la renommée de macchiaoli auquels il se joint en 1867, tout en se faisant l'historien du groupe. Il se rend à Paris, en 1870, mais le diège de Paris et la Commune vont le disssuader de revenir en France et marquer son incomprehension totale de la vie française.

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GIOVANI BOLDINI LE MACCHIAOLI DE LA PLACE PIGALLE

PAR BERNARD VASSOR

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né à ferrate en 1842, mort à Paris le 11 janvier 1931. Après son arrivée à Florence en 1862, il fréquente le Café Michelangello fréquenté par les Macchiaoli et se lie d'amitié particulièrement avec Banti. Il vient une première fois à Paris, en 1867, revoit Degas qui avait été son voisin à Florence. Il est subjugué à Paris  par Courbet et Manet avec qui il entre en concurence, s'attachant à exécuter les mêmes sujets. Il se rend ensuite à Londres, et reviendra à Paris en 1871. Il s'installe alors au 11 place Pigalle, à côté de Puvis de Chavanne et est ainsi aux premières loges des réunions du café de la Nouvelle Athènes, qui vont poursuivre la révolution impressionniste. Ses amis sont Jean-Louis Forain, et Helleu. Ses contacts avec le marchand Goupil le lancent dans le grand monde ou il fait des portraits flatteurs de sa riche clientèle. Il obtint un succès mondain à la fin du dix neuvième, début vingtième. Son grand talent fait oublier ses faiblesses mercantiles.

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ZANDOMENEGHI, LE VENITIEN LE PLUS PARISIEN

PAR BERNARD VASSOR

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Né en 1841, mort à Paris en 1927. Il fit parti en Italie de groupes révolutionnaireS voulant se débarrasser de l'occupation autrichienne. Fils d'un sculpteur italien, il commença sa carrière de peintre sous l'influence du groupe  des macchiaoli.Venu très tôt à Paris, il écrit à un ami :"Je ne sais pas vombien de temps je resterai dans cette grande ville,  car a67dc9509f57fdf19ff3ee3c37e5ad11.jpgje pars sans idée préconcue". Il va passer plus de quarante ans dans notre capitale !!! il est un habitué du "café de la Nouvelle Athènes"où il devint l'ami des impressionniste et l'amant de Suzanne Valladon. Il fait de fréquents aller-et-retour entre Paris et Venise. "L'école" connait de nombreuses fortres personnhalités : Guiseppa Abbatti, qui venant de Naples, s'intègre tout de suite dans le mouvement quand il arrive à Florence, il s'engage dans les troupes de Garibalci en 1866, et meurt, victime de la morsure d-un chien enragé. Cristiano Banti le plus agé, se lie dès son arrivée à Florence, aux macchioli, compte tenu de sa grande connaissance de l'antiquité, il est nommé membre de la commission de réorganisation du musée des Office

A SUIVRE......

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25/09/2007

ARMAND GUILLAUMIN

PAR BERNARD VASSOR

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PORTRAIT DE JEUNE FILLE
Inscrit  lui aussi à l'école municipale de dessin de la rue des Petits Carreaux, mais vingt ans avant Seurat.
Vincent qui se rendit plusieurs fois dans l'atelier de Guillaumin, fut échangé ou acheté par Théo en 1889.
La  pose, le fond rapproché très coloré, les mains jointes, tout ceci ressemble fort au portrait du père Tanguy...
Il eut pour amis le pâtissier Murer, le docteur Gachet, Cézanne, Pissarro, et il conseilla Van Gogh et Signac. Il professe les mêmes opinions politiques que Pissarro et le père Tanguy (il est resté à Paris au moment de la Commune)  l
Grâce à Tanguy, il rencontre Gauguin qui est alors assez riche, étant courtier en bourse, pour se constituer une collection. Il est également soutenu par le père Martin qui le fait rencontrer des collectionneurs, tels le comte Doria.
Il fréquente assidûment le café de la Nouvelle Athènes pour rencontrer ses amis Zandomeneghi, Vignon, Goeneute
A SUIVRE.......

24/09/2007

AMAN-JEAN EDMOND

PAR BERNARD VASSOR

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Edmond Aman-Jean 1860-1935
Il fut un ami de Seurat avec qui il prit des cours de dessin à l'école municipale Lequin du dixième arrondissement où le docteur Gachet donnait des leçons gratuitement. Il occupe avec un des amis un atelier rue de l'Arbalète et avec Seurat il va aider Puvis de Chavannes "mettre au carreau" des études pour "Le bois d'Amour".
En 1892, il participe au "Salon Rose+Croix chez Le Barc de Boutteville. Féru de littérature il fréquente à la Nouvelle Athènes Mallarmé, Villiers de l'Ile Adam et Alfred Valette. 

23/09/2007

LOUIS ANQUETIN , INVENTEUR DU CLOISONNISME AVEC EMILE BERNARD

par BERNARD VASSOR

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Le café avenue de Clichy

Louis Anquetin 1861-1932. converti au divisionnisme. avec Toulouse-Lautrec et Émile Bernard Anquetin et Bernard. Ils découvrent dans  l'art japonais une nouvelle esthétique dans la recherche de couleurs et de la simplicité. Deux toiles vont marquer la naissance de la nouvelle peinture qu'ils vont appeler le cloisonnisme : Le Bateau au soleil couchant et Les Chiffonnières du Pont de Clichy . La Société des Artistes indépendants fondée en 1884 vit la participation deus ou trois ans plus tard de Signac, Seurat,Maximilien Luce, Guillaumin. Toulouse-Lautrec et Vincent Van Gogh.

Anquetin, fera partie de groupes anarchistes qui gravitaient autour de Zo d'Axa, de Jean Grave, et d'Octave Mirbeau. Il participa à plusieurs revues, dont : La Feuille, et l'En Dehors.

FELIX VALLOTTON, LE NABI CLAIRVOYANT

PAR BERNARD VASSOR

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Le promenoir des Folies-Bergères
A SUIVRE.............

 

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19/09/2007

LA PEAU DE CHAGRIN EDITIONS DE L'ORIGINAL

NICOLE MOZET DU GIRB, ME SIGNALE : 

Dans la collection Balzac des éditions de l’originale http://www.debalzac.com, Andrew Oliver poursuit son travail, texte après texte dans un ordre chronologique : c’est aujourd’hui La Peau de chagrin, ce sera prochainement les Romans et contes philosophiques (après Le Dernier Chouan, Physiologie du mariage, Scènes de la vie privée). Je rappelle le principe de cette collection : le texte de l’édition originale dans le livre et les documents (très nombreux — variantes, bibliographie, etc.) sous la forme d’un cdrom joint). Voir les conditions d’achat sur le site et faites souscrire les bibliothèques de vos universités et autres institutions.

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ALEXIS MERODACK JEANEAU LE SYNTHETISTE

PAR BERNARD VASSOR

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A la fois admirateur des nabis, de Toulouse-Lautrec, il reprit à son compte le terme de synthétiste inventé par Gauguin lors de l'exposition universelle de 1889 au café Volponi. Théorie qu'il developpa dans différentes revues à partir de 1914.

 

HENRI-GABRIEL IBELS LE NABI "JOURNALISTE"

PAR BERNARD VASSOR

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Ibels a vingt ans quand il rencontra Bonnard Serusier, Lugné Poe, Denis et Ranson.
 Il est l'un des cinq membres fondateurs du groupe des nabis. Familier de "l'Os à Moelle" il fréquenta les milieux anarchistes comme Valloton et Fénéon et fit de nombreuses affiches et estampes offertes aux acheteurs de revues d'extème gauche. Il fit également de nombreux programmes de théâtre et de cabarets. Il expérimenta différentes techniques lithographiques. Amateur de cirque comme son ami Toulouse-Lautrec, il fréquenta les ouvriers et les artistes forains avec qui il se lia d'amitié. Un peu comme Picasso un petit peu plus tard.

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L'ILE DE LA JATTE : CHARLES ANGRAND

PAR BERNARD VASSOR

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Né en Normandie, à Criquetot-en-Caux
Après sa rencontre avec Seurat qu'il accompagnait dans ses déplacements à Asnières et Courbevoie, Charles Angrand( 1854-1926) va porter à la perfection la technique de division des touches et  du mélange optique.
Ami de Aman-Jean, Camille Pissarro, Armand Séguin, d'Adolphe Albert, Paul Adam, Gustave Kahn, Félix Fénéon, ils se réunissaient chez Signac boulevard de Clichy. Il fut un des principaux peintre du groupe néo-impressionniste. Sa première exposition parisienne date de décembre 1884 au salon des Artistes indépendants 45 boulevard des Batignolles. Je l'ai classé abusivement dans "les amis de Vincent" pour la simple raison que il avait refusé d'échanger une de ses toiles contre une de Vincent van Gogh !!!
C'est Charles Angrand lui-même qui raconte à Coquiot que Vincent avait vu sa toile "Les poules dans la basse-cour" en dépôt chez le père Tanguy, et qu'il (Vincent) avait été attiré par "sa lourdeur de pâte". Ils  eurent une discussion dans le "café du Théâtre", boulevard des Batignolles, qui n'aboutit pas. Angrand, les néo-impressionnistes Paris 1970

18/09/2007

JONGKIND A PARIS : "LE VERLAINE DE LA PEINTURE"

PAR BERNARD VASSOR

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MONTMARTRE EN 1860
Les rues cerclées en ovales, correspondent en haut la rue de l'Empereur est l'actuelle rue Lepic, et la rue Bréda est la rue Henry Monnier.
Johan Barthold Jonkind 1819-1891 né à Latrop aux Pays-Bas. Il est arrivé à Paris en 1846 où il a fréquenté l'atelier d'Isabey. Il disposait d'une pension royale versée par son pays. Il habitait alors au 1 place Pigalle, où Narcisse Diaz de la pena une fois devenu riche grâce à sa peinture se fera construire un magnique hôtel. En plein coeur du quartier Bréda fréquenté par les lorettes, il la proie des jeunes de "la Belle sexes" comme il l'écrit à srs amis. Sa vie de débauche, les consommations importantes d'alcools forts et l'abus des vins de Bordeaux vont le conduire à une douce folie. Mais sa gentillesse et sa bonté, fit qu'il fut toujours entouré d'amis qui le soutinrent sans relache. Ajoutez à cela un talent de peintre incomparable qui lui valut l'admiration de ses collègues. En 1852, il fait une demande au comte Neuwierkerke (l'amant de la princesse Mathilde) afin d'obtenir une pension qui ne lui sera pas accordée. En 1855, il retourne dans son pays natal où il envoyait à son marchand de tableaux préféré Pierre-Firmin Martin, dit le Père Martin, établi rue de Mogador, puis rue Laffitte et enfin rue Saint-Georges au 29. Pour le tirer  de la misère, et de payer ses dettesdes amis comme Isabey, Corot et Felix Cals organisèrent une vente à son profit. Une fois ses dettes effacée, Jongkind revient à Paris et rencontre une veuve Mme Joséphine Fesser qui l'a pris en charge comme un enfant. Il fait de fréquents voyages dans toute la France avec madame Fesser. La guerre de 1870 le surprend à Nevers. Il revient à Paris le 26 mars 1871, le jour des premières éléctions de la Commune de Paris. Dans une lettre à un ami, il se plaint de'être empêché de passer place Vendôme et rue de la Paix en raison des barricades et des Gardes nationaux. Il habite alors rue de Chevreuse, mais veut tout de même retourner dans son quartier préféré : le quartier Bréda. Edmond de Goncourt lui rendit visite le 4 mai 1871 : "Dans des quartiers perdus (rue de Chevreuse, près de Montparnasse) J'ai été un des premiers à apprécier le peintre*. Figurez-vous un grand diable de blond aux yeux bleus, du bleu de la faïence de Delpht, à la bouche tombante, peignant en gilet de tricot et coiffé d'un chapeau de marin hollandais. Il nous fait voir des esquisses des rues de Paris, du quartier Mouffetard, des abords de Saint-Médard, où l'apothéose des couleurs grises et barboteuses du plâtre de Paris (...) il nous montre cela bonifacement en patoisant en hollando-français. (..)Pendant ce temps, tourne autour de lui avec les  caresses et les paroles qu'ont les mères pour les enfantsune femme qui l'a sauvé de la faim, de la folie, une courte femme aux cheveux argentés, aux moustaches drues, un ange de dévouement, qui a l'air d'une matrule de maison de tolérance. (...)Jongkind a parlé, il s'est animé au sujet de la politique de la Commune. Tout à coup, son langage se brouille et se hollandise ses paroles deviennent bizares, incohérentes. Il y est question d'agents de LouisXVI, de choses horribles dont le peintre aurait été témoin."
à apprécier le peintre*. Figurez-vous un grand diable de blond aux yeux bleus, du bleu de la faïence de Delpht, à la bouche tombante, peignant en gilet de tricot et coiffé d'un chapeau de marin hollandais. Il nous fait voir des esquisses des rues de Paris, du quartier Mouffetard, des abords de Saint-Médard, où l'apothéose des couleurs grises et barboteuses du plâtre de Paris (...) il nous montre cela bonifacement en patoisant en hollando-français. (..)Pendant ce temps, tourne autour de lui avec les  caresses et les paroles qu'ont les mères pour les enfantsune femme qui l'a sauvé de la faim, de la folie, une courte femme aux cheveux argentés, aux moustaches drues, un ange de dévouement, qui a l'air d'une matrule de maison de tolérance. (...)Jongkind a parlé, il s'est animé au sujet de la politique de la Commune. Tout à coup, son langage se brouille et se hollandise ses paroles deviennent bizares, incohérentes. Il y est question d'agents de LouisXVI, de choses horribles dont le peintre aurait été témoin."
Après la fin de la Commmune, le 12 juillet 1871 Jongkind écrit à un de ses amis :"Ils ont passé de bien mauvais moments depuis leur retour à Paris. Toutes les fenêtres et carreaux ont été brisés lors de l'explosion de la poudrière du Luxembourg (le 24 mai, les versaillais ont bombardé la capitale qu'ils avaient assiégé, tirant des obus incendiaires,, qui ajoutés aux incendies allumés par les insurgés ont fait certains quartiers de Paris un véritable brasier) Jongkind poursuit dans son sabir :"lorsque la poudrière a sauté, votre mère et moi et d'autres locataires étions decendu dans le colldor par derrière la bouti de Rochette le charbonnier, tandis qu'on ne pouvait pas sortir dans la rue force des fusillades des obus et des boules de canon, la maison de notre boulangère au coin de la rue Vavin et Notre-Dame-des-Champs n'existe plus. Voilà revenu de la grande frayeur et la grande ville a reprise ses mouvements habituels de ces millide voitures et circulation. Une dame de sa connaissance loue des vilocipèdes au jardin du Luxembourg (...) Espérons que nous aurons la paix après de pareilles desastres"
Quand la poudrière du Luxembourg a explosé, sur son chevalet, Jongkind avait une toile  : Canal intérieur de la ville de Dordrecht. Sur le chassis de cette toile, il a noté : "Mercredi 24 mai 1871, aggratinée de vitre ou tout esst casser dans apprtement 5 rue de Chevreuse troisième étage par explosion de la poudrière jardin du Luxembourg à Paris 2 heures après-midi"
Ce que ne sait pas le peintre, c'est que pendnt ce temps les troupes versaillaises fusillent des milliers de parisiens sans autre forme de procès. Pour la légalité, une cour prévôtale a été installée dans une anexe du palais du Luxembourg, où les condamnations à mort sont expédiées en quelques minutes. Les suppliciés sont conduits contre un muret qui cerne le bassin du Luxembourg. Le flâneur qui aujourd'hui peut remarquer des traces de balles contre deux des murs derrière les chaises où l'on peut lire si l'on veut dess poèmes de Rimbaud.....
 suivre...
*A l'écouter, Edmond a été le premierà tout découvrir !
Jongkind Biographie illustrée, François Auffret, Maisonneuve et Larose 2004
Goncourt Journal, Robert Lafont 1994
a suivre...
*A l'écouter, Edmond a été le premierà tout découvrir !
Jongkind Biographie illustrée, François Auffret, Maisonneuve et Larose 2004
Goncourt Journal, Robert Lafont 1994

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UNE VOISINE DE GUYONNET-MERVILLE TRES INCONVENANTE, N'EST-CE PAS MONSIEUR DE BALZAC !!!

PAR BERNARD VASSOR

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Bibliothèque nationale de France, département des estampes.
Cette demoiselle Macon ! C'en est trop ! Vos fréquentations chez maître Guyonnet-Merville étaient mon cher Honoré vraiment inconvenantes. C'est dans cette rue que le jeune Balzac après des études de droit a travaillé comme gratte-papier, dans l'espoir de sa famille de le voir succéder un jour à ce patron qui servira pourtant de modèle dans les romans de Balzac qui lui a dédié : "Un épisode sous la terreur"
UN EPISODE SOUS LA TERREUR A MONSIEUR GUYONNET-MERVILLE, Ne faut-il pas, cher et ancien patron, expliquer aux gens curieux de tout connaître, où j'ai pu savoir assez de procédure pour conduire les affaires de mon petit monde, et consacrer ici la mémoire de l'homme aimable et spirituel

Groupe International de Recherches Balzaciennes, Groupe ARTFL (Université de Chicago), Maison de Balzac (Paris). Balzac. La Comédie humaine. Edition critique en ligne [En ligne]. [Consultation du 3 juillet 2004]. Disponible sur internet : http://www.paris.fr/musees/balzac/furne/presentation.htm

La rue Coquillière

Elle bordait le mur d'enceinte de Philippe Auguste et devait son nom à une famille des XIIème et XIIIépme siècle, un acte de vente de 1292 indique que Pierre Coquillier a vendu à Gui de Dampierre une maison dans cette rue  qui était alors "esdifiée"Robert et Adam Coquillier y avaient des maisons voisines. Un fermier-général y eut un hôtel à deux portes donnant sur les rue Coquillière et rue du Platre. Il confia l'éducation de son fils à un precepteur nommé Jean-Jacques Rousseau . A  l'angle de la rue du Bouloi,  un hôtel nommé Casse-noisettes abritait un apothicaire marchand de couleurs donc. Le nom de Casse-noisette était la corruption du nom d'un propriétaiire : Gigot de Crissenoi, nommé par déeision Brise-noix, Casse-noix, puis Casse-noisette. Parmi les héritiers, on compte Mme Angélique-Nicole Langlois, seconde épouse de Talma. Tout près de l'hôtel Bullion, donnant aussi rue Coq-Héron reconverti en salle des ventes en 1780. A l'enseigne de l'Epée-de-Bois, deux filles galantes la Dumoulin et la Virville faisaient les quatre-cents pas de la rue du Jour à la rue du Bouloi et arpentaient de long en large la rue Coquillière.

PROMENADE HISTORICO-LITTERAIRE

Notre association AUTOUR DU PERE TANGUY 

ORGANISE :

UNE PROMENADE SUR LES PAS DE LA REINE MARGOT
SAMEDI 29 SEPTEMBRE 2007 A 14 HEURES,

 DEVANT LE CAFÉ « LE FUMOIR » ,PLACE SAINT-GERMAIN L’AUXERROIS
Le nombre de places étant limité, il est indispensable de réserver votre participation

à : marber@noos.fr
Visite entièrement gratuite par notre amie Chantal Chemla.

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RUE DE LA LUNE : AH ! C'EST DU PROPRE MONSIEUR DE BALZAC !!!

PAR BERNARD VASSOR

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Cette carte de visite publicitaire, indique clairement la profession de la praticienne de cette rue qui a une longue tradition de "tolérance"

ILLUSIONS PERDUES PAR LE GIRB

Groupe International de Recherches Balzaciennes, Groupe ARTFL (Université de Chicago), Maison de Balzac (Paris). Balzac. La Comédie humaine. Edition critique en ligne [En ligne]. [Consultation du 3 juillet 2004]. Disponible sur internet : http://www.paris.fr/musees/balzac/furne/presentation.htm   Il faut vous dire que l'endroit a une longue tradition de galanterie depuis des temps immémoriaux. La partie située près de la rue Poissonnière prèsdes anciens remparts de la ville, s'appelait "Le Champs-aux-femmes, à l'époque de Louis XIV. La rue fut ouverte en 1630 A l'angle de la rue de la Lune deux maisons  tricentenaires faisaient commerce dans une spécialité fort recherchée et jouxtait la Compagnie colonelle des Gardes-françaises. Une autre maison fut fondée en 1820, elle succédait au commerce d'un galant qui vendait ses charmes aux dames fortunées. Il se faisait appeler Henri de Renneville et dit-on ne dédaignait pas les faveurs de leurs maris. Ensuite, c'est une rebouteuse qui ne craignait pas de se transformer en hétaïre, une fois la guérison de ses patients était assurée. Vers 1690, on trouve au milieu de cette rue un monsieur Claude du Plaisir qui fut obligé de déménager car les marcheurs de nuit prenait au mot la maison de ce fort honnête homme ! La plupart de ces maisons avaient une double entrée, donnant de l'autre côté sur le boulevard.

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UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES : RENE FAYT

La deuxieme bonne nouvelle de la semaine

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AUGUSTE POULET-MALASSIS, DIT "COCO MAL-PERCHÉ"


A PROPOS DE RENE FAYT : 

"Bibliophile par amour du livre,

et bibliomane déclaré, sans mystère,

épanoui, fort de la conviction

que l'amour véritable ne va pas sans excès"

Paul Delsemme

Je viens de recevoir gracieusement de la Réserve Précieuse de la biblothèque de l'Université Libre de Bruxelles, deux ouvrages qui me manquaient cruellement dans mes recherches sur deux personnages hors du commun dont je vous ai déjà parlé abondamment sans trop dire de bêtises je l'espère. Je serai impardonnable aujourd'hui si je commettais la moindre erreur concernant Alfred Delvau et Poulet-Malassis. Je dois ce grand bonheur à un savant érudit, Prix Léopold Rosy en 1994, René FAYT, conservateur honoraire de cette énorme bibliothèque qui a recueilli les publications clandestines des éditeurs établis (et parfois réfugiés) en Belgique au dix-neuvième siècle.

Merci encore mille fois

Bernard Vassor

Je signale au passage à nos amis dixneuvièmistes qu'une exposition Félicien Rops a failli avoir lieu à Montmartre, mais en raison de la frilosité (ou bien de la méconnaissance de l'importance de cet artiste) d'un ou d'une responsable de musée, ce projet a été abandonné au profit d'un autre peintre plus à la mode dont je ne veux même pas parler.

LE NOM DE LA ROSE : ARTHUR RIMBAUD

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Enfin deux bonnes nouvelles en ce début de semaine, la première est la naissance de cette rose dédiée à Arthur Rimbaud, grâce à la tenacité des "Amis de Rimbaud". J'ai encore dans l'oreille les conversations avec Jacqueline Duvaudier, l'ancienne secrétaire générale, me dire sa passion pour les roses. De sa voix à l'accent faubourien, elle me quittait au téléphone en me disant : "y a mon chat qui s'est encore barré dans l'jardin, et pis y faut qu'j'aille encore m'occuper d'mes rosiers
Tel 04 78 40 04 20 5La rose n'est pas encore présente sur le site, mais si vous vous manifestez bruyamment, j'espère que cela viendra très vite....
Je vous reserve la deuxième bonne nouvelle pour un prochain article qui me donne des raisons de ne pas desespérer de l'espèce humaine (humour)

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17/09/2007

CAILLEBOTTE , SUITE

 PAR BERNARD VASSOR

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CLAUDE MONET : LE PETIT-GENNEVILLIERS

Le père de Gustave Caillebotte, normand d’origine a épousé Céleste Daufresne, née à Lisieux. Martial Caillebotte, sous Louis-Philippe, puis sous Napoléon III, dirige une entreprise qui fabrique de la literie et du matériel pour l’armée. Tout comme son confrère le marchand de fournitures de toiles de tentes puis d'habillement militaire et enfin la fabrication de chaussures Alexis Godillot, ils vont amasser une immense fortune grâce aux nombreuses guerres du second empire "L'Empire c'est la paix" était le slogan des adeptes de "Napoléon le Petit." 

Gustave est né le 19 août 1848, au 160 rue du faubourg Saint-Denis, dans le cinquième arrondissement.  Son père acheta une grande propriété à Hyères, tout comme Alexis Godillot. Tous les deux sont bonapartistes, commerce oblige…

Gustave a eu deux frères dont l'un futprêtre et l'autre, Martial musicien et photographe. En 1866 Caillebotte père achète à la ville de Paris un lotissement à l’angle de la rue de Miromesnil. Pendant le siège de Paris, Gustave Caillebotte est Garde national dans la dixième légion, démobilisé au mois de mars 1871, nous ne savons pas ou il se trouve pendant la Commune, mais, il ne figure pas dans la liste (d’ailleurs fausse) publiée par le "Journal Officiel"des membres de la Fédération des Artistes de la Commune, dirigée par Courbet. Il fréquente ensuite les ateliers des peintres académiques Bonnat, Cabanel,, Léon Gérome* (qui sera parmi les plus acharnés avec Alfred Stevens dans les attaques contre les impressionnistes)  En 1874, l’immeuble de la rue de Miromensil est surélevé pour construire un atelier pour Gustave. Il ne participe pas à la première exposition chez Nadar, mais à la deuxième chez Durand-Ruel.. Il participa ensuite à toutes les autres expositions impressionnistes, sauf la dernière à la Maison dorée en raison d’un désaccord profond avec un des participants. Ce que l'on ne dit pas assez, c'est que le frère de Gustave, en plus d'être musicien, était un photographe chevronné, ci qui a beaucoup influencé "la vision photographique des toiles de Caillebotte" comme le diqait un critique de l'époque.Les frères Caillebotte achètent une propriété à Gennevilliers au bord de la Seine, face à Argenteuil. En 1882 il présente dans l’ancienne salle Valentino 17 toiles, en compagnie de Gauguin, Renoir, Monet, Sisley (tous familiers de la boutique du père Tanguy)  En 1885, Caillebotte devient le parrain de Pierre Renoir, le grand-père de notre « marraine » l’actrice Sophie Renoir.  Gustave achète de nombreuses propriétés et immeubles à Gennevilliers dont il devient conseiller municipal, tout comme Godillot qui fut un temps maire de Sain-Ouen. Le quartier dit « Le Petit Gennevilliers » se trouvait entre le pont  d’Argenteuil et le pont de Colombes, actuellement emplacement du port de Gennevilliers. L’arrivée du chemin de fer dans les années 1850, va faire de ce lieu très chic le rendez-vous des canotiers. Des guinguettes vont s’installer et permettre des chantiers de construction de bateaux faisant petit à petit de cet endroit un quartier industriel, qu'il est resté aujourd'hui encore. 

*Léon Gérome était également le gendre d'Adolphe Goupil, "le patron" des frères Van Gogh. Il a eu pour modèle dans son atelier du 65 boulevard de Clichy, "La Ségatori" qui ouvrit plus tard un cabaret j en face de l'atelier de Gérome : Le Tambourin

16/09/2007

A PROPOS DU LEGS CAILLEBOTTE

PAR BERNARD VASSOR
 « Compter sur la reconnaissance d'âmes viles, c'est se frustrer des assiduités qu'attire l'espérance : l'objet de l'espérance est toujours présent, et celui de la reconnaissance se perd bientôt de vue ; ainsi l'on gagne bien davantage avec l'une qu'avec l'autre. À peine s'est-on désaltéré qu'on tourne le dos à la fontaine : à peine a-t-on pressé l'orange qu'on la jette. Dès que la dépendance ne subsiste plus, la relation et avec elle la considération cesse. C'est un principe dans l'usage très important, d'entretenir, et de ne remplir jamais le besoin que l'on a de nous ; et cela, même à l'égard du souverain : ce principe néanmoins ne doit pas aller jusqu'à nous taire pour laisser faire une fausse démarche ; et à rendre le mal d'autrui incurable pour notre propre avantage »

 

Baltasar GracianMaximes, Paris, Rollin fils 1730

 

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L'utilisation abusive des articles de ce blog :
 Notre association n'a plus aucun lien avec "l'Atelier Porte Soleil"
 
"Autour du Père Tanguy" avait demandé à nos amis d'Histoire et Vies du dixième arrondissement, d'organiser la célébration d'un enfant né dans l'arrondissement : Gustave Caillebotte. Une première partie s'est déroulée il y a quelques temps. La deuxième partie inscrite dans "les journées Européennes du patrimoine" a pu être mise sur pieds grâce à l'action de Jeannine Christophe. Ce que les spectateurs n'ont pas eu le loisir de connaître les raisons  qui ont poussé "Autour du Père Tanguy" à se mobiliser activement pour cette initiative.
Je vais vous en donner quelques raisons :
Le père Tanguy est mort en même temps que Gustave Caillebotte en février 1894, mais contrairement à celui-ci, dans la plus grande misère il fut inhumé dans "la tranchée des pauvres" numéro douze du cimetière de Saint-Ouen.
C'est dans sa boutique que tous les peintres évoqués dans la lecture spectacle, à l'exception de Degas qui était très fortuné, tous les peintres donc sont passés ou ont été exposés dans la boutique de la rue Clauzel qui a soutenu les artistes de "la nouvelle école". Cézanne n'ayant trouvé aucune galerie dans Paris, c'est le père Tanguy qui avec patience et assiduité proposait aux collectionneurs cet artiste hors du commun. Le premier acheteur de Cézanne avait été conduit par Pissarro, c'était Victor Choquet le premier grand amateur des impressionnistes, sa collection fit tache d'huile, et de nombreux autres amateurs le suivirent. Nous savons par un récit de Sacha Guitry que la vitrine de la rue Clauzel exposait un jour Monet, le lendemain, Sisley, puis, Renoir, Jongking et ensuite tous les peintres de l'école de Pont-Aven. C'est le breton Jobbé-Duval qui avait conseillé dans la boutique du père Tanguy "ce petit-trou où la vie n'est pas chère".  Émile Bernard a déclaré, :"c'est dans la boutique du père Tanguy qu'est née l'école de Pont-Aven."
Tout cela ne pouvait pas être textuellement dans le cadre de ce spectacle être évoqué, mais un petit rappel n'aurait pas été superflu, sutout en raison de nos engagements. Deuxièmement Pascal Gautrin à la lecture d'un de mes articles m'avait demandé de l'utiliser, il concernait Cézanne Cabaner, et le célèbre tableau en frontispice de cet article. Au cours du spectacle ma stupeur et ma colère a été grande quand j'ai entendu l'histoire de mon article attribué à un certain Perruchot qui avait raconté avec des nuances la même histoire,
L'article en question écrit le 1 juillet 2007 intitulé : "Les baigneurs de Cézanne, une histoire abracadabrantesque"
Des fautes d'orthographe des erreurs manifestes d'attribution de tableaux et des erreurs historiques liées à la volonté manifeste de se démarquer de mon article n'ont pas contribué à avoir de remords et de nous associer à cette manifestation. Nous n'avons comme seul regret que l'ingratitude d'un ancien ami, mais de nos jours, l'inélégance est  la chose la mieux partagée.......
L'auteur de cette mystouflade épastarouflante n'a pas jugé utile de répondre à mes demandes d'explications. 

09/09/2007

Un souvenir d’enfance de Vincent Van Gogh à Ramsgate

VINCENT à RAMSGATE

Vous trouverez à cette adresse un nouvel article consacré à Vincent Van Gogh par Alain Amiel

 

 

19:20 Publié dans Vincent Van Gogh | Tags : ALAIN AMIEL, RAMSGATE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

05/09/2007

ALEXANDRE DUMAS, LA COLONNE VENDÔME ET LE LATIN....

PAR BERNARD VASSOR
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La colonne Vendôme au temps de Louis-Philippe 
Un article du catalogue de la collection de notre ami Jean Darnel, nous indique que Joseph Méry* applaudit Alexandre Dumas de railler l'inscription en latin macaronique de la colonne Vendôme, raconte avec humour la mésaventure survenue à Thomas Jegler, savant philologue de Munich, qui fut frappé d'apoplexie devant la colonne à la lzcture de l'inscription...
Notre ami Alexandre dans un texte intitulé "Causerie" démonte avec son habituelle faconde les inepties inscrites au bas de cette édifice :
ALEXANDRE DUMAS, Causerie, à propos de la colonne Vendôme et du latin.pdf
Du site des "AMIS D'ALEXANDRE DUMAS
*Méry, écrivain marseillais 1797-1866, écrivit en collaboration avec Gerard de Nerval des adaptations de pièces de théâtre. C'est un autre Méry, prénommé Louis, marseillais lui aussi dont nous reparlerons dans un prochain article pour le rôle involontaire qu'il a joué pour faire naître le personnage le plus représenté de la littérature française,
mais, c'est une autre histoire......

04/09/2007

VINCENT VAN GOGH, UN AUTOPORTRAIT SANS COMPLAISANCE

PAR BERNARD VASSOR

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Autoportrait devant chevalet (juin-juillet 1887)
Nous avons la chance d'avoir un commentaire de Vincent sur cette toile. Dans une lettre à sa petite soeur préférée Willemine, il lui dit :
"Puisque j'en suis tellement à te parler de moi, je vais essayer de coir un peu si je ne pourrais pas te mettre mon propre portrait par écrit. Je pose d'abord en fait que, selon moi, un portrait de sopi peut fournir matière à plusieurs portraits de conceptions très différentes. Voici une conception du mien qui est le résultat d'un portrait que j'ai fait de moi dans la glace, et qui est aux mains de Théo : Un visage gris-rose, et des yeux verts, des cheveux couleur de cendre, un front ridé et, autour de la bouche, raide comme en bois, une barbe très rouge, un peu en pagaye, et triste; mais les lèvres sont pleines; un sarreau bleu de toile grossière, et une palette avec du jaune citron, du vermillon, du vert Véronèse, du bleu de cobalt, enfin toutes les couleurs sur la palette, exepté l'orangé de la barbe, rien que des couleurs pures. La tête est sur un fond de mur blanc gris. Il n'est pas facile de se peindre soi-même, et vois-tu, on cherche une ressemblance plus profonde que celle d'une photographie. Pour l'instant je suis tout différent, n'ayant plus ni cheveux ni barbe, l'un et l'autre constament coupés ras (...) Je suis toujours couvert de poussière, chargé comme un porc-épic, hérissé de bâtons, chevalet, toile et autre fourniment.(...)
Si l'orthographe est respecté, la ponctuation est totalement absente sur les lettres originales, ce qui peut modifier quelque peu le sens de certaines phrases de la correspondance. Un prochaine édition devrait rétablir la reproduction exacte des lettres et écrits de Vincent.

 

13:38 Publié dans Vincent Van Gogh | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg! Digg