17/10/2007
LIRE EN FETE, PROGRAMME COMPLET DU MUSEE DE L'HISTOIRE DE FRANCE
PENDANT TROIS JOURS, LES AMOUREUX D'HISTOIRE VONT POUVOIR ASSISTER
A DE MULTIPLES MANIFESTATIONS DANS UN LIEU HISTORIQUE
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COMMUNE DE PARIS, LIRE EN FETE, CONFERENCES AU MUSEE DE L'HISTOIRE DE FRANCE
SI LE COEUR VOUS EN DIT :
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16/10/2007
CURTIUS LE MUSÉE DE CIRE DU BOULEVARD DU TEMPLE AU XVIII° SIECLE
PAR BERNARD VASSOR
Suite de l'article "Musée Grévin"
C'est à côté du Théâtre Sans-Prétention, boulevard du Temple que le médecin allemand Curtz (dit Curtius) en 1782, avait installé son cabinet de cire. Il était auparavant au Palais Royal. Cet artiste modelait des sujets grandeur nature. Il y avait deux salles, la première était consacrée aux personnages célèbres, la seconde : "La caverne des grands voleurs" représentait des brigands de toutes sortes. Il vendait également des figurines érotiques "sous le manteau". Il apprit à Marie Grosholtz, sa bonne, venue le rejoindre à Paris l'art de modeler. Celle-ci, après la mort de Curtius prit sa succession et se maria à un nommé Tussaud. En 1802, Marie se rend à Londres pour y présenter sa collection de figurines. Elle ne quittera plus cette ville et ouvrira à Baker Street le musée qui existe tet qui porte son nom.
Il y avait pendant la révolution française d'autres cabinets de marbre et de cire. L'un "boulevard Martin" à l'emplacement de l'ancien Opéra. Et d'autres cabinets de ce genres existaient dans Paris, mais étaient des succursalles de ces deux-là.
18:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
GEORGES DE FEURE (GEORGES JOSEPH VAN SLUYTERS)
PAR BERNARD VASSOR
16:40 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
MERCIER DE COMPIEGNE PARIS EN 1798
PAR BERNARD VASSOR
AVEC UNE NOMENCLATURE DES RUES DE PARIS
A LA FIN DU XVIII° SIECLE
14:30 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
MERCIER DE COMPIEGNE : ÉLOGE DU SEIN DES FEMMES (ouvrage curieux)
PAR BERNARD VASSOR
CLAUDE-FRANCOIS MERCIER DE COMPIEGNE
C'est en 1720 que parut à Amsterdam un volume intitulé Les Tétons, formant la troisième partie d'un ouvrage dont les deux autres de la série étaient : Le Nez, et Les Yeux. Le frontispice indiquait : "Ouvrages curieux, galants et badins, par une dame de qualité : J.P.N.du C." Une note de l'éditeur hollandais indiquait que l'auteur avait l'intention de passer au crible toutes les parties du corps humain. L'ouvrage présenté ci-dessus était l'oeuvre d'un auteur de la fin du XVIIIème siècle (1763-1800), secrétaire du chevalier de Jancourt, pendant la révolution il écrivit un grand nombre d'ouvrages érotico- satirique : Le bréviaire des jolies femmes,- Le triomphe de l'amour conjugal,et il ouvrit une librairie. Il publia en outre un manuel du voyageur à Paris fort intéressant.
a suivre..................................
01:35 Publié dans L'amour des livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
HENRY MORET UN PEINTRE "RÉVOLUTIONNAIRE PAISIBLE"
PAR BERNARD VASSOR
(1856-1913) Élève de Jean-Léon Gérôme à l'école des beaux-Arts. A Pont-Aven, il est lié à Laval, Jourdan, Chamaillard, Émile Bernard et Gauguin. Il ne participa pas cependant à l'exposition au Café Volponi en 1889. Sa manière se modifie et il adopte les principes synthétistes. Vincent Van Gogh le classait dans le nombre des artistes pouvant venir à Arles dans son "phalanstère"..C'est Émile Bernard qui le qualifie de "révolutionnaire paisible et sincère, fort sérieux, assidu et silencieux". Sa palette est très caractéristique par l'association des couleurs éclatantes : orange, vert, rose et jaune. Il fréquente le Pouldu et Belle-Ile-en-mer. Il est sous contrat avec Durand-Ruel en 1900 qui l'incite à voyager en Hollande pour diversifier son oeuvre. Son style se rapproche de celui de son Maxime Maufra, et l'on parle à l'époque d'une similitude avec le style de Claude Monet.
00:40 Publié dans LES IMPRESSIONNISTES ET LES SYBOLISTES | Tags : Laval, Jourdan, Chamaillard, Émile Bernard, Gauguin | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
15/10/2007
LOUIS-ALEXANDRE GOSSET DE GUINES, DIT ANDRÉ GILL
PAR BERNARD VASSOR
10:15 Publié dans Les originaux, les excentriques, les fous litterra | Tags : Renoir, Cézanne, Cabaner, Villiers de l'Ile Adam, Gustave Courbet, Félix Régamey, Albert Glatigny | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
MARIE GODEBSKA DITE MISIA
PAR BERNARD VASSOR
UNE ÉGERIE DU GROUPE NABI, UNE DES "PLUS BELLES FEMMES DE PARIS"
03:45 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : Mallarmé, Valéry, Coco Chanel, Cocteau, Paul Morand, Debussy, Radiguet | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/10/2007
L’ELDORADO LE CAFÉ-CONCERT DU BOULEVARD DE STRASBOURG.
PAR BERNARD VASSOR et DOMINIQUE DELORD
LE CAFÉ-CONCERT
A peine inauguré, le boulevard de Strasbourg vit s’installer un café-concert dès 1858. Le succès ne fut pas tout de suite au rendez-vous. Trois directeurs y firent successivement faillite. Des règles strictes régissaient les salles publiques sous Napoléon III , des duos comiques devaient alterner avec des chansons niaises et patriotardes. L’usage voulait que la police obligeait que l’avant-scène fut formé « en corbeille », un groupe de figurantes en grande toilette et jouant de l’éventails. Les chanteurs et chanteuses devaient être en habit noirs et il était interdit aux chanteurs de danser, de mimer, ou d’apporter en scène des accessoires, parapluies, cannes ou faux cols excentriques sous peine d’amende ! Mademoiselle Judic qui chantait "Comme ça pousse", succéda à mademoiselle Cornélie de la Comédie -Française qui vint déclamer "Le songe d'Athalie"
Puis, ce fut Thérésa qui fit les beaux jours du café-concert. avec des chansons idiotes : "C'est dans l'nez que ça m'chatouille ", "La femme à barbe" et : "Rien n'est sacré pour un sapeur" qui firent tordre de rire la France entière !!!! Jules Leter avec sa voix de baryton chantait « l’Amitié des hirondelles ». Blanche d’Antigny reine de la bicherie, s’exhibait sur scènes avec des toilettes et des bijoux tapageurs. La chanteuse « La Bordas » et la chanteuse Amiati rivalisèrent de chants patriotiques. Pendant la Commune, la Bordas se fit révolutionnaire en chantant "La Canaille" et "la Marseillaise", mais revint bien vite après la Commune au chants revanchards bien vus par le nouveau pouvoir en place.
Marcel Legay y fit ses débuts de chansonnier dans les années 1880. Comme Maurice Donnay, il tourna mal et eut une fin misérable : il obtint d'abord les palmes, puis termina ses jours en habit vert.
Journaliste et révolté, emprisonné sous le Second Empire, combattant de la Commune, exilé à Londres, proche d’Eléanor, la fille cadette de Karl Marx.
Après l’amnistie, il poursuit son combat pour les idées du socialisme. Engagé contre le Boulangisme, il consacra, les dernières années de sa vie, à la réédition de son Histoire de la Commune de 1871.
René Bidouze, Lissagaray, la plume et l’épée, édition ouvrières Paris 1991
Gérault Richard, Alfred Léon de son nom véritable, était journaliste et homme politique, chansonnier. Il créa un journal "Le Chambard" où il s'en prit violemment à un homme politique Casimir Périer, qui une fois nommé président de la République démissionna aussitôt qu'il apprit l'éléction de Gérault Richard dans le XIIIème arrondissement. Gérault Richard fut élu de la Guadeloupe de 1902 à 1911.
23:25 Publié dans BALS ET GUINGUETTES | Tags : DOMINIQUE DELORD | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18-20 RUE RAYNOUARD PARIS DISPARU
19:35 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
MAXIME MAUFRA, DU POULDU AU BATEAU-LAVOIR
Par Bernard VassorPAR BERNARD VASSOR
17:50 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
12/10/2007
JAN VERKADE LE NABI OBELISCAL
PAR BERNARD VASSOR
10:39 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
11/10/2007
JEAN-LEON GEROME, un "Pompier" pyromane !
PAR BERNARD VASSOR
09:40 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
08/10/2007
HENRI RIVIERE DU GROUPE DU CHAT NOIR
PAR BERNARD VASSOR
19:00 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
HISTOIRE DU CAVEAU (suite), LES PREMIERS FONDATEURS
PAR BERNARD VASSOR
suite de l'article du 8 décembre 2005 sur le site "Maisons d'écrivains"
PIRON, COLLÉ, ET GALLET
D'après Boilly
11:30 Publié dans Les Cénacles | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
07/10/2007
AUGUSTE DE CHATILLON
PAR BERNARD VASSOR
20:05 Publié dans Le Cénacle de la rue du Doyenné | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
MARCEL LEGAY LE BARDE AU "BOUC NOIR" DE MONTMARTRE
PAR BERNARD VASSOR
15:45 Publié dans A l'ombre des moulins et des guinguettes | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
JULES JOUY LE ROI DES CHANSONNIERS
PAR BERNARD VASSOR
13:00 Publié dans Montmartre au temps du Père Tanguy | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
JEAN BAPTISTE CLEMENT
La guinguette du Moulin-Joly
Sur « l’Isle des Druides », appelée également l’île Marante à Colombes.
Nous devons aujourd’hui à l’inévitable abbé Lebeuf, pornographe malgré lui, l’histoire de ces petites îles situées entre Asnières et Argenteuil.
L’existence des druides est attestée par l’historien Léon Quénéhen qui signale : « Ne perdons pas de vue que les druidesses n’habitaient pas avec les druides, mais dans des îlots voisins, d’où elles venaient à des époques fixes, et la nuit, leur rendre visite, pour y retourner avant le jour. »
Un épisode de la vie de l'auteur du Temps des Cerises
Par Bernard Vassor
Le village de l'île des Druides est mentionné pour la première fois au XII° siècle comme appartenant à l’abbaye de Saint-Denis, on y cultivait la gaude, une variété de réséda, utilisée pour la teinture en jaune [1].
L’usage s’était établi, de faire chaque année une procession par les vignes où l’on portait le saint sacrement pour les préserver des vers...
Cet usage a été remplacé par l’exorcisme, ce qui est nettement plus approprié ! Le peintre Claude-Henry Watelet, conseiller du roi, receveur général des finances, poète à ses heures, aménagea son domaine sur l’île Marante, surnommée aussi « l’île enchantée »
Il avait fait graver sur les arbres des lieux, des sentences rimées sentimentales ou philosophiques. C’est également là que Louise Compoint, propriétaire du Moulin-Joly, reçu un compliment en vers de son neveu le jeune Jean Baptiste, à l’occasion de son mariage avec un nommé Poullain autour des années 1855. C’était la première tentative rimée d’un certain « Jean Baptiste Clément » qui habita plus tard le village de Colombes, en ménage avec une compagne qui avait deux enfants [2]. Décrété bien national à la révolution, le moulin fut démoli en 1811, et reconstruit en 1830. C’est à cette époque qu’il sera, selon l’usage, transformé en guinguette. Ce droit « coutumier » consistait en une autorisation pour les meuniers de pouvoir exploiter quelques arpents de vigne autour des moulins, de pouvoir servir des galettes confectionnées uniquement avec la farine du moulin et de boire le vin de la vigne du meunier, si toutefois on peut appeler vin une affreuse piquette additionnée d'eau....Après quelques années, Louise Poullain se sépara de son mari et vint habiter à Montmartre rue Houdon
11:25 Publié dans BALS ET GUINGUETTES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
06/10/2007
MAURICE MAC-NAB : le bonhomme en bois
PAR BERNARD VASSOR
Tout en lui était en bois disait-on : l'allure, le geste, la voix. Il était venu au Chat Noir réciter Baudelaire et Edgard Poe , n'ayant pour tout répertoire que des chansons-réclames pour une fabrique d'appareils de chauffage et des médicaments. Prié de les dire, il provoqua une telle hilarité quand il entonna la chanson de la pommade Galipeau, qu'il se lança dans la composition de pièces fantaisistes et sociales. Il est mort à vingt huit ans à l'hôpital Lariboisière en 1889.
Né à Vierzon, ancien employé des postes, il soutint les grèves des mineurs de son pays natal :
Les citoyens, dans un élan sublime,Étaient venus guidés par la raison.
A la porte, on donnait vingt-cinq centimes
Pour soutenir les grèves de Vierzon.
Bref, à part quat' municipaux qui chlingue(nt)
Et trois sergots déguisés en pékins,
J'ai jamais vu de plus chouette métingue,
Que le métingu' du métropolitain !
Y avait Basly, le mineur indomptable,
Camélinat, l'orgueil du pays...
Ils sont grimpés tous deux sur une table,
Pour mettre la question sur le tapis.
Mais, tout à coup, on entend du bastringue;
C'est un mouchard qui veut fair' le malin !
Il est venu pour troubler le métingue,
Le grand métingu' du métropolitain!
Moi j' tomb' dessus, et pendant qu'il proteste,
D'un grand coup d' poing, j'y renfonc' son chapeau.
Il déguerpit sans demander son reste,
En faisant signe aux quat' municipaux.
A la faveur de c'que j' étais brind'zingue
On m'a conduit jusqu'au poste voisin...
Et c'est comm'ça qu'a fini le métingue,
Le grand métingue du métropolitain!
MORALE
Peuple français, la Bastille est détruite,
Et y a z'encor des cachots pour tes fils !...
Souviens-toi des géants de quarante-huite
Qu'étaient plus grands qu' ceuss' d'au jour d'aujourd'hui.
Car c'est toujours l'pauvre ouvrier qui trinque,
Mêm' qu'on le fourre au violon pour un rien...
C'était tout d' même un bien chouette métingue,
Que le métingu' du métropolitain!
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EDOUARD MUNCH A PARIS
18:29 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg