31/10/2007
AUGUSTE SALZMANN
PAR BERNARD VASSOR
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ALFRED RENAUDIN
PAR BERNARD VASSOR
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30/10/2007
IGNACE PHILIPPE SEMMELWEIS (1818-1865)
PAR BERNARD VASSOR
23:40 Publié dans HISTORICO-LITTERAIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
GARCILASO DE LA VEGA : "Histoire de la conquête de la Floride" : Floridienne venant implorer le roy Hermaphrodites, destinez a servir les malades et a enterrer les morts
PAR BERNARD VASSOR
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27/10/2007
LES CABARETS GUINGUETTES AUBERGES ET ESTAMINETS A MONTMARTRE AVANT L'ANEXION (1860)
PAR BERNARD VASSOR
Depuis le XVIIème siècle, la butte était couverte de moulins à vent. Le petit peuple se réunissait sous des tonnelles entourées de chèvrefeuille et d'aubépine. On comptait en 1786 douze moulins, mais il n'en restait que dix en 1795, et depuis, le nombre n'a cessé de décroître. Il y avait le moulin de "La Lancette" qui appartenait aux abbesses, "le Blute fin" et le Moulin de la Galette de la famille Debray. Il y avait également "le Moulin vieux", Moulin neuf, Moulin Rollin, le moulin de la vieille Tour, de la Grande Tour, du Palais, du Radet et de la Béquille. Ce dernier devait son nom à une grosse perche que l'on utilisait pour faire tourner le faîtage en fonction de la direction du vent. Certains moulins servaient surtout à moudre des matières destinées à la fabrication de la porcelaine. C'est Pierre Deruelle qui fonda la fabrique "de porcelaine de Clignancourt" en 1771 (officiellement déclarée en 1781) sous la protection du comte de Provence devenu par la suite le roi Louis XVIII. La marque de la fabrique était un moulin.
Certains moulins furent donc les premiers lieux ayant le privilège un peu partout en France, de vendre du vin, des galettes chaudes fabriquées uniquement avec la farine provenant du moulin. Autour de quelques tables, on pouvait écouter de la musique et pourquoi ne pas danser....
Pierre-Charles Debray fut tué par les armées russe en 1814 (et cloué, ou pendu, selon les uns ou les autres, sur les ailes de son moulin, resté là pendant trois jours, prétendent certains historiens) propriétaire de plusieurs moulins est inhumé au cimetière du Calvaire** où l'on peut lire l'épitaphe suivante :
"Pierre-Charles Debray
Meunier propriétaire à Montmartre
Décédé le 30 mars 1814
Tué par l'ennemi sur la butte de son moulin."
Des cabarets s'installèrent donc en dehors de la barrière et le quartier fut bientôt le rendez-vous des peintres, journalistes écrivains et chansonniers, et bien sur des "petites femmes" légères ou pas, venant donner une note gracieuse dans ce milieu de "la bohème «artistique et littéraire. Nous pouvons citer quelques bals, guinguettes ou cabarets, sans toutefois établir une liste complète : commençons par la Boule Blanche du boulevard Rochechouart qui prit le nom de la danseuse vedette et gérante qui fit la gloire de l'établissement, on allait donc danser à "La Belle-en-cuisses". Restons sur ce boulevard pour aller au "Bal Robert"au numéro 58 actuel, "le bal de l'Ermitage" se trouvait à l'angle de la rue des Martyrs. Plus haut, il y avait "Le Château rouge"," Le Grand Turc", Le bal des marronniers, le Boeuf-noir,, le Bal du Bossu, la Tour Malakoff, le Bal Roger ou Tivoli Montmartre, le Bal du Château des Brouillards, le Petit Moulin-Rouge, la Feuillée de Montmartre, le Bal des Lilas, le Bal du Poirier sans-pareil ( l’angle actuel des rues Berthe et Ravignan), et l'Echelle de Jacob, rue Bénédicte (avenue Gabrielle) que nous apercevons à gauche dans la photographie ci-dessous. Cette rue Bénédicte, ou plutôt le chemin Bénédicte existait depuis des temps immémoriaux, on trouve sur des plans datant de 1450, un chemin du Pressouer (pour pressoir) Bénédicte qui comme son nom l'indique conduisait à un pressoir qui semble-t-il se trouvait à l'emplacement de "L'Échelle de Jacob » d’après le même plan reconstitué par André Maillard, historien du vieux Montmartre*. Au premier plan, la place Saint-Pierre.
Au-delà de cette barrière, le vin était moins cher, (il ne fallait pas payer l'octroi) nous apercevons à gauche, la première maison qui fait l'angle de la rue de l'Empereur (Lepic) où se tenait "le café Coquet"à l'angle de la rue Amélie et du boulevard Pigalle*** (actuellement boulevard de Clichy et rue Puget). La clientèle de Coquet (en 1850) était composée comme au café Jean-Goujon, au"Coquet" "d'une vingtaine de "ces messieurs" pommadés, astiqués, brossés, reluisants, tout battants. A quelle catégorie sociale appartiennent-ils ? Ils ne sont ni peintres ni sculpteurs, ni journalistes, ni ouvriers, ni rentiers..."**** neuf Le Bal de la Reine Blanche, se tenait à gauche de cette barrière, et allait jusqu'au cimetière Montmartre. Le bal Perot se trouvait à la Chapelle, le bal Robert, impasse du Cadran, aujourd’hui 58 boulevard Rochechouart était une vaste baraque en plâtre et en bois, qui allait presque jusqu'à la rue des Acacias (rue des Abbesses). Le bal des marronniers cité plus haut était au niveau du 78 rue des Martyrs (aujourd’hui place André Gill) fut créé par un certain Isidore Tolbec, qui fut aussi le patron du Boeuf-Noir situé en face au 79 rue des Martyrs. A côté de "la-Belle-en-Cuisse, le bal de l'Ermitage se trouvait approximativement au 6 et 8 de l'actuel boulevard de Clichy, à l'époque boulevard des Martyrs construit sur un talus, le sol était en terre battue.
La Boule Blanche avait été installée en 1822 par une femme légère, appelée Belle-en-cuisse C'était sous des tonnelles et sur de la terre battue que les danseurs se tenaient à côté d'une baraque où rôtissaient en permanence des moutons que l'on débitait en tranches pour six sols la portion. Après le décès de la patronne, c'est le sieur Bécuzet qui racheta le cabaret, et fit d'importants travaux d'embellissement. Une salle de bal à couvert, des tables plus confortables, et il ajouta à la boule blanche des miroirs et un quinquet, ce qui faisait que l'on pouvait voire la lumière de très loin à la manière d'un phare. Une fillette fuguait souvent pour venir observer et copier les pas des danseuses, c'était celle qui allait devenir "la Rigolboche". La boule banche, ne le resta pas longtemps. La poussière et la crasse l'avaient transformée dans la plus belle couleur noire qui soit. Les clients l'appelèrent donc "La Boule noire". Le succès fut au rendez-vous, et un monsieur Leclerc offrit à Bécuzet de lui racheter la Boule noire pour une somme importante. Becuzet accepta et alla fonder à Ménilmontant le célèbre Bal Favié. Leclerc vendit le cabaret en 1849 aux frères Corlieu qui restèrent jusqu'en 1872. Charcoussot prit la relève, et la Boule noire passée de mode disparut en 1882. C'est en 1894 que la Cigale fut construite sur les ruines de la Boule noire.
Le Bal du Grand-Turc fut fondé en 1806 par un allemand Joseph Teiche, qui avait accolé un hôtel à son établissement qui partit en 1848, remplacé par son cousin Pégard, qui le revendit aussitôt à un autre cousin monsieur Hugot. On pouvait y rencontrer Alexandre Dumas, Alexandre Pothey, Pétrus Borel, Monselet, Alfred Delvau,Nerval. Ce fut le terrain d'élection des germanophiles jusqu'à la guerre de 1870. Le Grand-Turc se trouvait dans une partie du boulevard Rochechouart aujourd'hui qui fut remplacé par une partie du boulevard Barbès. La liste est loin d'être complète, nous évoquerons le bal du Château Rouge dans un prochain article.
*André Maillard, Les origines du vieux Paris, éditions de Minuit 1959
**André Roussard, dictionnaire des lieux à Montmartre éditions Roussard Paris
**bis André Roussard qui m’a corrigé quelques erreurs ou imprécisions, qu'il en soit remercié.
***Roman d'Alexandre Dumas : Le dévouement des pauvres, Roman très peu connu daté de 1868 : Dumas Café Coquet Chapitre III.pdf
**** Alfred Delvau, Les plaisirs de Paris. 1857.
Archives personnelles
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26/10/2007
LE CONSERVATOIRE DE MONTMARTRE, L'ÉLEPHANT BLEU, GAMINETTE, LE CABARET DE LA VEINE, 108 boulevard rochechouart
PAR BERNARD VASSOR
17:25 Publié dans AUBERGES ET CABARETS. | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
GUSTAVE FLAUBERT ET LOUISE COLET
PAR BERNARD VASSOR
Tes petites pantoufles sont là pendant que je t'écris ; je les ai sous les yeux, je les regarde. Je viens de ranger, tout seul et bien enfermé, tout ce que tu m'as donné ; tes deux lettres sont dans le sachet brodé ; je vais les relire quand j'aurai cacheté la mienne. Je n'ai pas voulu prendre pour t'écrire mon papier à lettres ; il est bordé de noir ; que rien de triste ne vienne de moi vers toi ! Je voudrais ne te causer que de la joie et t'entourer d'une félicité calme et continue pour te payer un peu de tout ce que tu m'as donné à pleines mains dans la générosité de ton amour. J'ai peur d'être froid, sec, égoïste, et Dieu sait pourtant ce qui, à cette heure, se passe en moi. Quel souvenir ! et quel désir ! Ah ! nos deux bonnes promenades en calèche ! Qu'elles étaient belles, la seconde surtout avec ses éclairs ! Je me rappelle la couleur des arbres éclairés par les lanternes, et le balancement des ressorts ; nous étions seuls, heureux. Je contemplais ta tête dans la nuit ; je la voyais malgré les ténèbres ; tes yeux t'éclairaient toute la figure. Il me semble que j'écris mal ; tu vas lire ça froidement ; je ne dis rien de ce que je veux dire. C'est que mes phrases se heurtent comme des soupirs ; pour les comprendre il faut combler ce qui sépare l'une de l'autre ; tu le feras, n'est-ce pas ? Rêveras-tu à chaque lettre, à chaque signe de l'écriture ? Comme moi, en regardant tes petites pantoufles brunes, je songe aux mouvements de ton pied quand il les emplissait et qu'elles en étaient chaudes... le mouchoir est dedans..
.
A suivre................................................
13:00 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
25/10/2007
DUBUT DE LAFOREST "LE SCANDALEUX SUICIDÉ DE L'AVENUE TRUDAINE"
PAR BERNARD VASSOR
Titre(s) : Les derniers scandales de Paris [Texte imprimé] : grand roman dramatique inédit / Dubut de Laforest
Publication : Paris : Fayard frères, [ca 1890-1900]
Description matérielle : 37 vol. : ill. ; in-12
1. La vierge du trottoir ; 2. Les souteneurs en habit noir ; 3. La grande horizontale ; 4. Le dernier gigolo ; 5. Madame don Juan ; 6. Le caissier du tripot ; 7. Le docteur Mort-aux-gosses ; 8. Le tartufe paillard ; 9. Les victimes de la débauche ; 10. Ces dames au salon et à la mer ; 11. Les écuries d'Augias ; 12. Agathe-la-Goule ; 13. Esthètes et cambrioleurs ; 14. Un bandit amoureux ; 15. La brocante ; 16. Per'mich ; 17. Maîtresses et amants ; 18. Faiseurs et cocos ; 19. Haute galanterie ; 20. Le lanceur de femmes ; 21. Les petites rastas ; 22. Farabinas ; 23. La bonne à tout faire ; 24. La demoiselle de magasin ; 25. Robes et manteaux ; 26. Peau de balle et balai de crin ; 27. Le coiffeur pour dames ; 28. Travail et volupté ; 29. Le nouveau commis voyageur ; 30. L'homme de joie ; 31. La marmite d'or ; 32. Mlle de Marbeuf ; 33. Morphine ; 34. Cloé de Haut-Brion ; 35. La môme-Réséda ; 36. La bombe ; 37. La rédemption.
22:55 Publié dans Les originaux, les excentriques, les fous litterra | Lien permanent | Commentaires (3) | | | | Digg
24/10/2007
CHARLES PAUL RENOUARD, UN MODELE ARTISTIQUE POUR VINCENT VAN GOGH
PAR BERNARD VASSOR
18:00 Publié dans LES PEINTRES INCLASSABLES | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
MARIUS ROSSILLON DIT O'GALOP (nunc est bibendum!!..)
PAR BERNARD VASSOR
Et maintenant, il faut le boire
14:40 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (5) | | | | Digg
JULES-ALEXANDRE GRÜN A L'AFFICHE
PAR BERNARD VASSOR
12:20 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
23/10/2007
LA MAISON DE LA COMTESSE DE LA BOISSIERE AU PONT DE CLICHY
700èmes ARTICLEs DE CE BLOG
LA MAISON DU PONT DE CLICHY A ASNIERES
17:00 Publié dans Les amis de Vincent | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
ALFRED DE MUSSET ET AIMÉE D'ALTON
PAR BERNARD VASSOR
Belle muse païenne au sourire adoré,
Viens, laisse-moi presser de ma lèvre idolâtre
Vois-tu cTon front qui resplendit sous un pampre doré.
e vert sentier qui mène à la colline ?
Là, je t'embrasserai sous le clair firmament,
Et de la tiède nuit la lueur argentine
Sur tes contours divins flottera mollement
C'était Melle Aimée-Irène d'Alton.
Elle avait alors vingt-cinq ans, un an à peu près de moins que Musset. A cet âge et ainsi faite, elle était très entourée et très courtisée. Il était immanquable que Musset lui fît la cour ».
00:40 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
22/10/2007
AU CABARET DES QUAT'Z'ARTS
PAR BERNARD VASSOR
16:50 Publié dans AUBERGES ET CABARETS. | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
UNE INFORMATION DE L'INSTITUT VAN GOGH D'AUVERS-SUR-OISE
JE PARTAGE LE REVE DE VINCENT VAN GOGH
Quelques semaines avant sa mort, Vincent van Gogh confiait l'un de ses plus vifs désirs à son frère Théo : "Un jour ou un autre, je crois que je trouverai moyen de faire une exposition à moi dans un café", écrivit-il depuis sa chambre de l'Auberge Ravoux.
Bien qu'il soit passé à la postérité comme l'un des plus grands artistes du monde, jamais il ne lui a été donné de concrétiser cette modeste ambition.
Depuis vingt ans, l'Institut Van Gogh s'est donné pour mission de réaliser le Rêve de Vincent van Gogh : exposer l'une de ses toiles dans son dernier café. L'Institut organise une souscription pour tenter d’acheter les Champs (F761) qui sera vendu à l’encan chez Sotheby’s.
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19/10/2007
LA MAISON FOURNAISE
PAR BERNARD VASSOR
Exposition | |
Du 28 avril jusqu'au 4 novembre 2007 "Aux rames canotiers, prenez vos avirons". Exposition préparée en collaboration avec l'association Séquana et avec le soutien du musée national de la marine. |
10:35 Publié dans AUBERGES ET CABARETS. | Tags : alphonse fournaise, maupassant, renoir, chatou | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
PIERRE ERNEST PRINS
PAR BERNARD VASSOR
09:45 Publié dans LES PEINTRES INCLASSABLES | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
18/10/2007
EXPOSITION DE PHOTOGRAPHIES : "LES INSOUMISES"
DERNIERS JOURS !!
Un regard sous les dessous du Second Empire
Portraits photographiques des grandes courtisanes accompagnées de leurs fiches
etablies par la police des moeurs.
Samedi 20 et Dimanche 21 octobre : 14h-19h
Galerie Lumiere des Roses
12-14 rue Jean Jacques Rousseau 93100 Montreuil - Fr
Tel 01 48 70 02 02 - contact@lumieredesroses.com
Métros : Ligne 1 Berault, Ligne 9 Robespierre, RER A Vincennes
(les photographies ne sont pas à vendre)
http://www.actuphoto.com/photographie_5821
19:05 | Tags : Galerie Lumiere des Roses, COURTISANES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
EUGENE CARRIERE,UNE CONFERENCE DE LA SOCIETE DES AMIS
EUGENE CARRIERE ET L'AFAIRE DREYFUS
ADRESSE DU SITE EUGENE CARRIERE
DESSERTE
- RER A ( Noisy-Champs) ou RER E ( Chelles-Gournay)
Bus : 213 (arrêt : Eglise de Gournay)
- Autoroute A4 sortie Noisy-Champs direction Chelles Contact par tél: 01-43-05-37-34
15:50 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
RACHEL (Élisa FélIX, dite) 1821-1858.
PAR BERNARD VASSOR
24 mars 1820 selon Eugène Mirecourt ? Sa soeur, Lia Félix suppose qu'elle serait née un an plus tard, sur la foi de déclarations tardives d'autorités municipales la faisant naître à Mumph en Suisse, dans le canton d'argovie le 24 mars 1821. Son père se prénommait Jacob, sa mère Esther Haya, tous deux nés en France. Elle a eu un frère et quatre soeurs qui ont tous été comédiens. Elle est la fille d’un colporteur juif alsacien pauvre. Elle reçut le nom d’Élisabeth Rachel Félix. Elle ne figura sur aucun registre d’état-civil ni civil ni religieux Elle fut la première grande vedette "américaine". Élève d'Alexandre Choron, elle débute au Théâtre du Gynase en 1837. Elle prit des cours de Samson Ses tournées en France en Europe et en Amérique où elle connut un immense succès ont fait de Rachel la première et la plus illustre tragédienne de son temps. Son cortège funèbre fut suivi par 100 000 personnes. Ses ennemis (ies) la décrivirent comme une femme jalouse, cupide et immorale. Elle fut toujours proche des pouvoirs en place, du fils de Louis-Philippe, Walewski dont elle eut un fils.d'après certains historiens. En 1848, elle célèbre la République en chantant "La Marseillaise", puis après le coup d'état du 2 décembre, elle déclama les vers d'Arsène Hossaye : "L'Empire cet la paix" !!!
13:35 Publié dans HISTOIRE DES FEMMES | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
KENICHI KOJIMA
PAR BERNARD VASSOR
11:20 Publié dans Les peintres | Tags : Valloton, Raffaelli, Modigliani, Gauguin, Degas, Monet, Cézanne | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
17/10/2007
UN SITE SUR LA REGION DE FONTAINEBLEAU FREQUENTÉ PAR LES PEINTRES, LES ARTISTES ET LES ECRIVAINS DU XIXème SIECLE
Un superbe site de Jean-Alexandre VIGNER consacré aux images anciennes de la région de Fontainebleau
1)BELLIFONTANA
2)BRITANICA ESTAMPANA
ET, EN CONSTRUCTION :
3)GALLIA ESTAMPANA SUR LES VUES DES REGIONS FRANCAUSES
23:25 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg