20/07/2011
Précurseur de la Démocratie oublié des livres d'Histoire : Hégésippe Simon.
PPar Bernard Vassor
R S
Les ténèbres s'évanouissent q
uand le soleil se lève
Hégesippe SIMON
Nous devons à la sagacité et à l'obstination du libraire éditeur-imprimeur Paul Birault la redécouverte de ce grand homme à qui la République doit tant. Le lieu de naissance est controversé, né en 1814, les registres paroissiaux ayant été détruit lors de la fuite des restes des armées napoléoniennes, plusieurs villes se disputèrent l'honneur d'être le berceau de ce grand homme. C'est certainement un village de l'extème sud du Morvan sur la départementale 92 que cette cité rattachée à Laroche-Millay que comptant environ 180 habitants ce hameau principalement agricole s'appelle Poil.
Paul Birault qui tenait une librairie sur les vestiges d'un ancien couvent de la rue de Douai, à l'emplacement approximatif de l'actuel numéro 67, habitait rue Durantin. Il décida d'organiser le centenaire de ce précurseur de la République, parmi les principaux créateurs du parti radical. Paul Birault adressa en 1913 une circulaire demandait la création d'un comité aux députés radicaux pour les prier de participer à l'élévation d'un monument à la gloire du Grand homme.
Ce n'est que le jour de l'inauguration que les braves sénateurs découvrirent le canular, quand dans son discours le libraire annonça que : Hégésippe Simon était né et mort à Poil !
.......................... SI
The darkness vanish
when the sun rises
Hegesippus SIMON
We need the wisdom and the obstinacy of the printer-publisher bookseller Paul Birault the rediscovery of this great man who is both the Republic. The birthplace is disputed, born in 1814, the parish registers had been destroyed during the flight of the remains of Napoleon's armies, cities vie for the honor of being the birthplace of the great man. This is certainly a village in the south of the Morvan exteme Surla 92 county that the city attached to Laroche-Millay with about 180 residents that this mainly agricultural village called Hair.
Paul Birault who kept a bookstore on the remains of an ancient convent of the Rue de Douai, in the approximate location of the current number 67, lived Durantin Street. He decided to organize the centennial of the precursor of the Republic, one of the main creators of the Radical Party.
Traducteur Google
To follow ............. .......................
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10/07/2011
Bouboule
Par Bernard Vassor
Sur ce menu, illustré par Toulouse-Lautrec, la petite souris voisine avec le chien Bouboule.
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2009/02/...
16:50 | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
09/07/2011
Histoire anecdotique : désormais, pour 1f 50 cent, vous ne mourrerez* plus d'une blessure par balle !!!
Par Bernard Vassor
Etat d'habillement de la 3° compagnie de marche du 185° bataillon de la Garde nationale (DE MONTMARTRE)
11:02 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
08/07/2011
Paris disparu, rue Ogniard, puis Trousse-vache devenue la rue de la Reynie
Par Bernard Vassor
17:12 | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
La mort de Stendhal et la place du Carrousel
Cette vue fut sans doute réalisée du sommet de l'Arc de Triomphe de la place du Carrousel.
Nous y voyons une intense activité autour d'un bureau des voyageurs "de la correspondance des omnibus" Des voitures attendant des silouhettes de passagers prenant des omnibus.
Nous distinguons nettement l'entrée de l'hôtel à droite sur l'image. Sur la gauche, un estaminet
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/l_estamine.../
borde un autre bureau des omnibus. A l'arrière, un restaurateur de tableau affiche son activité au premier étage.
10:54 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
07/07/2011
Alphonse Giroux, marchand de tableaux, précurseur de la photographie, et dépositaire exclusif (avec Susse) du daguerréotype.
Par Bernard Vassor
"Le Louvre n'est plus qu'une succursalle
de Giroux et de Susse"
Boite "Giroux Daguerre" en acajou de Cuba.
Dès 1839, Daguerre et lee fils Nièpce accordèrent à Giroux et Susse frères, l'exclusivité et la fabrication et de la vente de la chambre portant la signature de Daguerre.
Alphonse Giroux est le portrait craché du marchand de tableaux dépeint par Murger dans "Les Buveurs d'Eau" dont le héros est Francis Bernier
Il était établi 7 rue du Coq Saint Honoré, jusqu'à la destruction de sa boutique pour le percement de la rue de Rivoli. C'était un des 4 grands marchands entre 1830 et 1850. On l'appelait "Le marchand des princes" Dans son magasin se vendait tout ce qui était luxueux. En 1839, apès l'incendie du Diorama,il créa une école pour jeunes filles désirant apprendre l'aquarelle !
On peut lire dans "l'Artiste" (1854) un article d'E.Henriet :
"Depuis 10 ans, Giroux n'a fait que de rares acquisitions. Cependant, son étalage rue Coq Saint Honoré ne manquait ni de solennité, de richesse. Il faut du moins lui rendre cette justice, que les ouvrages qui faisaient le fond de ses exhibitions étaient toujours, mérite à part, dignes...(aujourd'hui M.Giroux est sans asile,, de par la rue de Rivoli. Mais d'ici à quelques jours son brillant étalage va de nouveau resplendir, rajeuni et transformé au boulevard des Capucines, sur l'emplacement de l'hôtel du Ministère des affaires étrangères, où le souvenir de Durand-Ruel et le désir de lutter avec M.Deforge ne manqueront pas de le piquer d'émulation et le porteront sans doute à faire de raisonnables concessions au goût actuel." Nous remarquons qu'à l'époque les deux autres "grands" étaient Durand Ruel* et Deforge du boulevard Montmartre. Dans l'Artiste de 1835, sous le titre Du Commerce d'objets d'art" :
"Ainsi les étalages de Giroux de Susse** et de Durand-Ruel ne sont à bien dire que des expositions établies dans l'intérêt des artistes, où leurs ouvrages ne risquent jamais d'être placées à dessin dans un mauvais jour (...) il y aurait mauvaise grâce à resister à l'esprit de son temps. Tout est aujourd'hui matière à commerce (...) Durand-Ruel dans ses mémoires indique :
"La vente des tableaux aquarelles et dessins ne rapportait que fort peu en raison du prix ridicule atteints par les oeuvres les plus belles. Ainsi ces trois maisons (Giroux, Binant, Susse) et celle de mon père pouvaient-elles faire face à leurs frais que grâce à la vente de tableaux et dessins très en usage à l'époque."
*La maison Durand -Ruel était à l'époque 103 rue Neuve des Petits Champs, née de l'union de Jean-Fortuné Marie Durand, employé principal et de la papeterie Ruel dont il épousa la fille en 1825.
**Susse était place de la Bourse.
mise à jour le 07/07/2011
16:39 | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
Henri Moret, un peintre de "l'Ecole de Pont-Aven"
Par Bernard Vassor
Le silence est une opinion,
on ne peut jamais être neutre.
Henri Moret.
L'influence de Gauguin se fit sentir, et l'on soupçonne même que plusieurs toiles signées par Gauguin seraient dûes au pinceau d'Henri Moret.
Sous contrat avec Durand Ruel, il traversa la Bretagne, du Finistère au Morbihan, prenant racine à Belle-Ile où il subit nettement l'influence du trop injustement méconnu Maxime Maufra.
15:27 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
06/07/2011
Un amoureux de "la Veuve": le docteur Louis
PAR BERNARD VASSOR
It is the Dr. Antoine Louis, surgeon, permanent secretary of the Academy of Medicine, who invented this machine to cut people in half, with the help of a piano maker named Schmidt. The first experiments were transition from the old place-Comedy of sheep.
He published one of a multitude of theories of medicine and surgery in 1749: " Letters on the certainty of death ", and written numerous articles for the anatomist Encyclopedia of Diderot and d'Alembert .He had the presence of mind and good taste to die in 1792, the year we experimented with his camera on the spot ...., the Dr. Guillotin , who was elected member of the National Assembly, was not the advertising. He very nearly his machine was called " The Louison . "
The first man-trunk was a bandit convicted of robbery on the highway: Nicolas-Jacques Pelletier . His conviction was datedJanuary 24, 1792 : the sentence was executed on April 25 of that year on the Place du Carrousel , by Charles Henri Sanson,
........
The log Prudhomme give lessons in "Revolutions de Paris"published that day the story of cutting the steel blade, with premonitory to Malherbe:
" And the guard who watches over the gates of the Louvre
Not defended by the kings . " (of death)
Traduction Google
15:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Musée de Montmartre 12 rue Cortot, bientôt, inauguration d'une plaque commémorative de 14 artistes ayant vécu dans ses murs.
PAR BERNARD VASSOR
La liste impressionnante des familiers du 12 rue Cortot n'est pas close. Le musée va redémarer en fanfare, avec le nouveau et dynamique "repreneur" Kléber Rossillon qui prévoit en relation avec la "Société du Vieux Montmartre"d'augmenter considérablement la surface d'exposition en adjoignant les numéros 8, 10 et 14 de la rue Cortot, de sortir des réserves un grand nombre de documents ayant un rapport avec la vie montmartroise.
Pour faire oublier les billevesées et autres fariboles du journal Le Parisien, rappelons que c'est grâce aux milliers de montmartrois et à la pétition signée par des amoureux de Montmartre, et non à la mairie et la Ville de Paris qui viennent aujourd'hui retirer les marrons du feu, que le musée a été sauvé du démantèlement voulu par le maire de Paris qui voulait disperser les collections au Forum des Images et à Carnavalet et vendre "au privé" les locaux.
*L'article un peu simplet du Parisien.fr :
http://www.leparisien.fr/paris-75/le-musee-de-montmartre-...
Notre association qui n'a pas la mémoire courte, n'a pas été la dernière à rassembler des personnalités du monde artistique et universitaire pour contrer ce funeste projet.
Notons ausi la contribution importante de l'infatigable Daniel Rolland dans ces négociations tumutueuses.
14:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/07/2011
DES MINSTREL'S A PARIS EN 1850, SALLE DES PORCHERONS, 29 rue Cadet
PAR BERNARD VASSOR
Spectacle en 1850, 29 rue Cadet, avant le percement de la rue La Fayette.
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17:26 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
04/07/2011
Découverte de la photographie par Louis-Jacques Mandé Daguerre ? Anniversaire le 5 juillet de la mort de Nicéphore Nièpce.
PAR BERNARD VASSOR
C'est Charles-Louis Chevalier (1804 - 1859) qui créa une chambre pliante à mise au point à crémaillère. Cette invention fut suivie, en 1841, par le premier appareil en cuivre muni d'un objectif de focale F:3/6 qui donnait des daguerréotypes circulaires de 94 mm de diamètre alors que l'autrichien Pierre-Guillaume Voïgtländer (1812 - 1878) fabriquait un objectif avec un double système de lentilles.
18:32 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
03/07/2011
ALFRED DELVAU, historiographe des plaisirs de Paris au dix-neuvième siècle..
(Le fumier d’Ennius)
10:15 | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
02/07/2011
Mullard, le marchand de couleurs attitré de Renoir, 8 rue Pigalle.
PAR BERNARD VASSOR
C'est un marchand dont nous ne connaissons que le nom. Son prénom ne figure pas dans les "Bottin" des archives de Paris. Renoir ne le cite que par son patronyme.
Curieusement, Edouard, le broyeur de la rue Clauzel au 6 est dans le même cas,(mais je vais quand même vous donner en exclusivité et confidentiellement son prénom : Gautier). C'est à cette adresse que Mullard devait en principe remplacer le patron d'un petit ouvrier, venu de Bretagne, qui était un ancien charcutier, plâtrier, employé des Chemins de fer du Nord, mais nous aurons l'occasion d'en reparler. C'est donc au 6 rue Clauzel que Mulard s'installa en 1868. Il n'y resta que quelques mois, pour aller ensuite au 8 rue Pigalle. L'ouvrier d'Edouard fut licencié et alla s'installer comme concierge au 10 rue Cortot. Il était connu sous le surnom de "Père Tanguy".
Mais, c'est une autre histoire...
a suivre............
17:44 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
JEAN-LEON GEROME, un "Pompier" pyromane !
PAR BERNARD VASSOR
Photographie Dornac : "Nos contemporains chez eux"
Il eut également comme élève le russe Léon Bakst, et cela ne s'invente pas : Alexandre et Henri Rapin !!!
*Gérald M. Ackerman ACR éditions Courbevoie 1997.
15:01 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Antoine Chintreuil, "Marcel, dans les Scènes de la Vie de Bohème" précurseur de l'impressionnisme.
10:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
01/07/2011
Maximilien Luce, un "barbare, mais robuste et hardi peintre": un ami du "Père peinard" et ...du père Tanguy.
Par Bernard Vassor
Maximilien naquit en 1858 (mort en 1941)
Elève à l'Académie Suisse puis de Carolus Durand, il fit son service militaire à Guingamp
où il rencontra Frédéric Givort, ouvrier cordonnier dans le 13e arrondissement qui l'entraîna avec un autre ouvrier tabletier Eugène Baillet, dans le groupe anarchiste du 14e. Présenté à Jean Grave, il se senti proche des peintres anarchistes tels Signac, Camille Pissarro,, le critique Félix Fénéon, le poète Emile Verharen. Il fut avec Signac et Fénéon chargé, de régler la succession artistique de Seurat.
Entouré par le bienveillant Pissarro qui tenta de le distraire après le départ de sa compagne Ophélie Bresdin, en l'emmmenant à Londres. Signac prit le relai en l'accueillant à Saint-Tropez.
Après l'attentat qui coûta la vie au président Sadi Carnot, il fut arrêté avec Fénéon et conduit à Mazas en attendant le fameux "procès des trente à Rennes".LE_PROCES_JEAN_GRAVE_ET_LE_PROCES_DES_TRENTE_EXTRAITS.pdf
Une souscription fut organisée pour subvenir aux besoins de sa compagne et de son fils nouveau-né Frédéric qui mourut peu après.
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.A suivre............
17:23 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
La rue Pirouette, anciennement Pète-au-nez, puis Pétonnet !
Cette rue porta au moyen-âge le nom de Thourouanne, du nom d'un archidiacre de Paris, Adam, évêque de Thérouanne ou Tyroie, d'un fief du même nom au territoire des Champeaux au XII° siècle.
Ce prélat avait cédé une part de son fief au roi Philippe Auguste, le reste fut cédé à Pierre des Essarts par un des héritiers de l'évèque. Puis le nom fut remplacé par Pète-au-Nez, comme au moyen-âge, on hésitait pas à appeler un chat un chat, transformé plus chastement en Pétonnet, Petonnet-en-Tyroie, Pirouet et enfin en 1501 rue Pirouette. Ce nom venait du mouvement rotatif du pilori que l'on faisait subir aux suppliciés exposés alternativement de chaque côté des Halles où se trouvait au débouché de la rue Pirouette, donnant sur le carreau de la Halle le marché aux poissons.
Ce mouvement giratoire des supliciés fut appelé populairement "faire la girouette".
Cette rue prolongeait celle de la Petite Truanderie.
17:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Le Kunisada Utagawa Toyokuni III
Par Bernard Vassor
"On voit plus avec des yeux japonais,
on ressent la couleur autrement"
Vincent van Gogh
Dans le chapitre "La dame Murasaki", un des plus importants personnages du roman composé de 54 livres.
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Le kunisada Utagawa Toyokuni(1765-1825), fut un des illustrateurs du "Dit de Gengi"(Gengi monogatari XIe siècle), premier roman mondial, à utiliser les ressorts de la psychologie, qui se présentait comme un récit historique, émaillé de plus de 800 poèmes. Il est atribué à une femme : Murasaki Shikibu, une dame noble de la cour de Kyoto du clan de Fujiwara, la plus puissante des familles japonaises pendant la période de Heian (794-1185).
Dit aussi Toyokuni III, il fut un des maîtres de la xylographie japonaise, dépassant en son temps Hiroshige et Hokusaï en notoriété pour ce qui concernait l'Ukiyo-é.
Il existe une luxueuse édition de la traduction de René Siéfert :
Le Dit du Genji , Illustré par la peinture traditionnelle japonaise - coffret 3 volumes
"Publié en septembre 2007, dans la collection Les grands textes de la littérature illustrés par les plus grands peintres, Le Dit du Genji renaît cet automne dans La petite collection, à l’occasion de la célébration de son millénaire. Cette nouvelle présentation réunit sous coffret et dans un format réduit trois volumes, chacun habillé d’une couverture souple et d’une jaquette à rabats.
Le Dit du Genji, texte fondateur de l’imaginaire japonais, relate la vie du prince Genji le « Radieux », dans l’ambiance de la cour impériale de Heian, l’actuelle Kyôto. Au fil de ces amours, le Genji explore l’univers féminin afin et en apprécie les qualités tant morales qu’esthétiques. Le Genji façonnera ainsi la « femme idéale » en élevant une jeune fille avec laquelle il formera un couple que seule la mort séparera. Composé au début du XIe siècle dans l’atmosphère raffinée de la cour impériale, Le Dit du Genji avait été très prisé au sein de la noblesse, puis par un public élargi. Au cours des siècles suivants, le roman inspira poètes, peintres, écrivains et dramaturges et est aujourd’hui considéré comme le premier roman psychologique au monde.
Reprenant la remarquable traduction de René Sieffert, cette édition exceptionnelle est illustrée de 520 peintures et 450 détails d’œuvres du XIIe au XVIIe siècle, provenant de rouleaux, albums, paravents, kakemonos et éventails d’une beauté et d’une finesse inégalables. Ces œuvres, dont une grande partie est totalement inédite en Occident, proviennent des musées, monastères et collections privées situés au Japon, aux Etats-Unis et en Europe.
Auteur :
Estelle Leggeri-Bauer, maître de conférence à l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), spécialiste de la peinture narrative japonaise, a guidé les choix iconographiques et a écrit 500 commentaires qui accompagnent chaque illustration, éclairant ainsi les rapports entre le texte et l’image, la symbolique, la religion, les mentalités de l’époque. Auteur de l’introduction consacrée à la peinture narrative japonaise, ses recherches très approfondies, tant au niveau de l’iconographie que des commentaires, confèrent à cet ouvrage une dimension culturelle et artistique tout à fait inédite."
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30/06/2011
Alfred Boucher et La Ruche
BERNARD VASSOR
Collection Dornac "Nos contemporains chez eux"
Cette photographie inédite fut vendue le 29 juin 2011 par l'étude Piasa, sous les auspices de L'experte Fannie Bourgeois.
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AMEDEO MODIGLIANI
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27/06/2011
EDMOND JEAN, dit AMAN-JEAN : surnommé "Le peintres des femmes" (surtout des rousses)
PAR BERNARD VASSOR
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Un peintre tombé dans l'oubli : Eugène Delacroix qui eut une période montmartroise...
Par BERNARD VASSOR
Henri Eugène Delacroix est né près de Cambrai, en 1845 à Solesme, son père qui était établi dans le commerce de l'industrie, destinait son fils à la même carrière. Placé dans une pension à Cambrai, il fut éduqué par un professeur qui lui fit goûter toutes les subtilités des pièces de Molière, de Dante, du Tasse et de Shakespear qu'il traduisit aussitôt en dessins et en couleurs. Sa sensibilité le portait aussi vers la musique. Il étudia le violon avec le grand professeur Zingry qui l'initia à la philosophie musicale en lui faisant interpréter des oeuvres magistrales pour le violon. Mais, c'est à la peinture que le jeune Delacroix voulait se consacrer. Il entra à l'école communale de dessin de Cambrai. Il trouva là bientôt ses limites et voulut aller à Paris, terre promise des artistes en herbe. Son père ne l'entendit pas de cette oreille, mais Eugène réussit à convaincre sa mère qui le laissa partir pour Paris. Il fut l'élève de Cabanel et exposa au Salon à partir de 1873. La mairie du dixième arrondissement lui passa commande en 1905 d'une toile qui y est toujours accrochée. Montmartrois, il avait son atelier 22 rue de Douai.
Il épousa une de ses élèves, Pauline Garnier, soeur du peintre aquarelliste Jules Garnier.
Il est mort en 1930
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25/06/2011
JULES-ALEXANDRE GRÜN S' L'AFFICHE. Peintre et affichiste au coeur de la bohème montmartroise.
PAR BERNARD VASSOR
Un auto-portrait :
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