23/01/2009
La création d'une nouvelle religion dans l'Union américaine, suite
Par Bernard Vassor
22:00 Publié dans HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Un nom devenu un double anthroponyme, désigant à la fois un genre et un lieu : Le Grand Guignol. Oscar Méténier, la bohème à Montmartre, deuxième partie
Par Bernard Vassor
Un Théâtre comique d'épouvante !
09:48 Publié dans HISTORICO-LITTERAIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Ces dames du Palais-Royal par Aquilin-des-Escopettes
Par Bernard Vassor
00:20 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
22/01/2009
La "maison galante"dans Montmartre du plus illustre des historiens de Paris : Sébastien Mercier
Par Bernard Vassor
10:57 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
21/01/2009
Cyrano de Bergerac, un pilleur de livres lunaires.....
Par Bernard Vassor
Rendons à César, ce qui revient à Pierre Borel....
14:15 Publié dans Histoire littéraire | Tags : pierre borel, cyrano de bergerac, françois godwin | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
20/01/2009
Un précurseur Guy Marchant, premier éditeur parisien "d'illustrés" (a Magistro Guidone Mercatore)......
Par Bernard Vassor
16:55 Publié dans L'amour des livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
"Pronostication des cons sauluaiges avec la manière de les apprivoiser"
Par Bernard Vassor
12:06 Publié dans L'amour des livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
19/01/2009
Les "claqueurs" du théâtre aux XVIII° et XIX° siècle : "Les Chevaliers du Lustre" deuxième partie
17:19 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Les chefs de claque du théâtre aux XVIII° et XIX° siècle : "Les Chevaliers du Lustre"
Par Bernard Vassor
Les auteurs qui avaient recours à Leblond^pour se faire applaudir étaient très nombreux. Les acteurs et actrices avides de succès, parmi les plus grands distribuaient aussi des billets à Leblond. Par exemple Talma, Desprez, Emilie Levert, Mlle Georges, Mlle Duchesnois (...)"
Les plus grands noms du Théâtre-Français et du Théâtre Feydeau figurent également sur une autre liste. Leblond recevait en outre des bijoux, de l'argent et même des pensions. Les compositeurs de musique étaient moins généreux, mais, passaient à la caisse quand même. Leblond a fait l'aveu à la police que Mlle Georges lui avait fait cadeau d'une épingle en diamant et quelques louis, il à ajouté quelques détails intimes et dégoûtants de parties fines à trois en compagnie du sieur Mariani (?). Il a avoué qu'en reconnaissance des bontés de Mlle Georges avoir, à sa sollicitation dirigé trois caballes contre Mlle Duchesnois aux représentations d'Athalie.
Fin de la première partie.
10:40 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : talma, desprez, emilie levert, mlle georges, mlle duchesnois | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
18/01/2009
Le Théâtre Historique d'Alexandre Dumas
Par Bernard Vassor
17:56 Publié dans Histoire littéraire | Tags : chantal chemla, barbara cooper, claude schopp, jean-pierre galvan, fernando guerreiro, théodore katsikaros, odile krakovitch | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
17/01/2009
Défense du patrimoine : ça y est !!!! Le saccage du pâté de maison de la rue des Bourdonnais jusqu'à la rue Bertin Poirée a commencé.....
Par Bernard Vassor
suite de l'article du 9 janvier 2009 : http://www.paperblog.fr/1465473/quai-des-orfevres-et-le-2...
11:43 Publié dans histoire d'une démolition | Tags : laurent tonti, la commission du vieux paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/01/2009
Les premiers spectacles nus au théâtre
Par Bernard Vassor
17:18 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Un projet de numérotage des rues de Paris par Pierre Ambroise Choderlos de Laclos,
Par Bernard Vassor
10:01 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
15/01/2009
La maison de la rue Blanche du docteur Félix Allard
Par Bernard Vassor
La visite de toutes les salles d’appareillage de cet établissement de remise en forme, était une véritable curiosité au début du vingtième siècle, elle le serait aujourd’hui encore.
Pour lutter contre les effets du vieillissement, des troubles du système nerveux, de l’obésité, de l’arthritisme de la locomotion et de toutes les affections de la sédentarité, des appareils utilisant toute la gamme des procédés physique et mécaniques.
Le « docteur »Allard était un ancien préparateur de physique à la faculté, c’est à dire un professeur de gymnastique ! Ce métier, depuis que Napoléon III avait été un fervent adepte de musculation, avait connu une grande vogue, et nourrissait grassement ses prosélytes.
Certaines salles étaient adaptées aux bains locaux d’air sec et surchauffé, la douche d’air sec et chaud, douche d’air et d’eau de Vichy !
Le service d’électrothérapie comprenait des appareils à courant galvanique faradique, ondulatoire et sinusoïdaux. L’électricité statique, les courants de haute fréquence de d’Arsonval.
Les courants de haute fréquence disait la réclame, "augmentent la combustion organique, de plus ils augmentent l’activité de la circulation de la peau et diminuent la sensation de froid si pénible à beaucoup d’arthritiques".
les inhalations d’ozone, l’électro-aimant, les bains locaux et généraux de chaleur radiante lumineuse, appelés appareils Dowsing, enfin les rayons X , dont les effets bienfaisants sont bien connus à forte dose !.
Pour les agents mécaniques, il y avait deux salles de culture physique, française et suédoise, de la mécanothérapie avec massage vibratoire électrique.
Pour les femmes, un salon était réservé pour le traitement des affections gynécologiques par l’électrothérapie et des bains de lumière.
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Quelques noms de comédiens "sortis" de cette école d'art dramatique : Michel Aumont, Guy Bedos, Bernadette Bernard, Dominique BesnehardBernard Blier, Evelyne Bouix, Isabelle Carré, Roger Coggio, Fanny Cottençon, Clothide Courau, Jérôme Deschamps, Georges Descrières, François Florent, Catherine Frot, Nicole Garcia, Annie Girardot, Isabelle Huppert, Francis Huster, Irène Jacob, Marlène Jobert, Jean-Pierre Marielle, François Morel, Jean Poiret, Daniel Prévost, Emmanuelle Riva, Jean Rochefort, , Michel Serrault, Jacques Weber, Mouloudji, Rufus.
Mise à jour le 15 janvier 2008
16:24 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : michel aumont, guy bedos, bernadette bernard, dominique besnehardbernard blier, evelyne bouix, isabelle carré, roger coggio | Lien permanent | Commentaires (3) | | | | Digg
Un prince Grimaldi de Monaco, "figurant" dans un théâtre du Boulevard du Crime
Par Bernard Vassor
12:38 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : théophile gautier, florestan ier, grimaldi | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/01/2009
Le livre polisson d'un policier pervers, chef de la sûreté
Par Bernard Vassor
22:56 Publié dans HISTORICO-LITTERAIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
La dernière compagne, et les derniers domiciles d'Henri Murger
Par Bernard Vassor
11:34 Publié dans Histoire littéraire | Tags : 16 rue neuve-des-martyrs, manuel, murger, anaïs latrasse | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
13/01/2009
Le repos obligatoire du dimanche
Par Bernard Vassor
15:53 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Les petits théâtres du boulevard du Temple, cinquième partie
Par Bernard Vassor
10:39 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
12/01/2009
Les petits théâtres du boulevard du Temple, quatrième partie
Par Bernard Vassor
Les théâtres du boulevard, avant la révolution.
17:35 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LE SIGNE ET LA CONSIGNE, parution fin janvier, un essai sous la direction de Philippe Hamon, professeur émérite à l'université Paris III Sorbonne Nouvelle
LE SIGNE ET LA CONSIGNE
Essai sur la genèse de l'oeuvre en régime naturaliste, Zola
Sous la direction de Philippe Hamon, professeur émérite à l'université Paris III Sorbonne Nouvelle
Un volume, illustré de 37 planches, Editions Droz, Genève
Parution : fin janvier 2009.
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Le propos de cet essai collectif est de décrire les protocoles de la création zolienne, à travers l'examen des dossiers préparatoires manuscrits des romans de Zola, déposés pour la plupart à la BNF (Paris)
Par rapport aux nombreux travaux de génétique littéraire déjà publiés, et qui portent tous sur des aspects ponctuels de la création (telle partie de tel dossier préparatoire, telle préparation de tel chapitre, tel personnage, telle figure descriptive, tel type de document, tel détail), le présent essai - c'est là son originalité- se veut général et synthétique : ce sont tous les dossiers préparatoires d'un écrivain qui sont analysés (Rougon-Macquart, Trois villes, Evangiles), et c'est l'ensemble des protocoles créatifs d'un écrivain qui sont étudiés, cela à leur stade pré-rédactionnel le plus originel, c'est à dire au stade où l'écrivain prend des notes sur le terrain ou dans des livres, interroge des informateurs, ébauche des scénarios, fait des fiches, dessine des croquis et des plans des lieux où va se dérouler l'action du livre à venir. Avec une double ambition : étudier les processus mêmes de cette création prérédactionnelle en acte chez un écrivain, et étudier le métadiscours d'un écrivain qui (c'est là une particularité des dossiers préparatoires de Zola par rapport à ceux d'autres écrivains ) rédige ses dossiers préparatoires, les accompagne d'un commentaire, et évalue à chaque instant ce qu'il est en train de faire. Le corpus étudié est donc un corpus textuellement hétérogène (des listes de noms, des listes de choses, des notes de terrain, des notes de lecture, des dessins, des lettres d'informateurs, des arbres généalogiques, des photographies, des coupures de presse) et les processus génératifs étudiés sont complexes : une consigne est souvent, chez Zola, non seulement le programme d'un possible romanesque, le résumé d'un texte virtuel, mais aussi le symptôme d'un vouloir-dire et d'un vouloir faire, mais aussi le signe différentiel par lequel l'écrivain polémique implicitement avec la critique de son temps, et se positionne donc, par des notations autobiographiques, par des repoussoirs et des modèles explicites, par des évaluations d'ordre esthétique et par des actes programmatiques qui ont aussi le statut de réponses, dans un champ littéraire contemporain de son acte d'écriture. Les contributeurs de cet essai ont choisi de réunir leurs observations en classant les groupes d'opérations de genèse à l'aide des grilles de l'ancienne rhétorique, sans faire bien sûr des actes de la création étudiée la simple application mécanique des consignes et des présupposés de la rhétorique. D'où le sommaire de l'essai :
Introduction : Les couches de l'oeuvre (Ph.Hamon)
Inventio (A.Pagès)
Dispositio (O.Lumbroso)
Elocutio (Ph.Hamon)
Memoria (Ch.Pierre-Gnassounou)
Actio (Ph.Hamon)
Conclusion : Le modèle et la liberté (Henri Mitterand)
Annexes (Lexique du métalangage de Zola, fragments retranscrits d'Ebauches et de dossiers préparatoires)
10:39 Publié dans ETUDES LITTERAIRES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Les petits théâtres du boulevard du Temple; troisième partie
Par Bernard Vassor
Au Théâtre du Lycée dramatique qui devint plus tard le Théâtre des Patagoniens
Mlle Rose et Mlle Malaga.
père qui faisait à la porte du théâtre l'énumération pompeuse des merveilles offertes au public, qu'on nomme le boniment et qui invitait le chaland à venir jouir du spectacle à l'intérieur. Le boniment était un art à part entière, il avait ses règles, son répertoire, ses provocations et ses audaces. On ne peut parler de Malaga sans évoquer le nom du "père Rousseau" qui faisait le pitre entre deux entrechats de la danseuse. Il était le plus âgé des pîtres de Paris, gros, court sur pattes, un visage souriant et spirituel, il possédait un répertoire de parades infini qu'il débitait avec bonhomie devant un autoire toujours plus nombreux. Devenu trop vieux pour continuer son métier, il habitait dans un grenier rue du faubourg du Temple, et vendait des petits gateaux avec son boniment habituel. Devenu infirme, il finit ses jours dans un hospice. Françoise-Catherine avait épousé un petit acteur de province. Econome, elle avait réussi à mettre un petit pécule de côté pour ses vieux jours. Mais hélas, son mari, joueur dissipa toutes ses économies.
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