11/07/2008
LES PREMIERS MARCHANDS DE COULEURS RECENSES
PAR BERNARD VASSOR
09:30 Publié dans Le marchand de couleurs タンギー爺さん を巡って | Tags : MARCHANDS DE COULEURS, coiffier, DELARUE, ENDERS, GABORE, GRANDIN, GARNIER | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
10/07/2008
Les Hôtels de ventes au dix neuvième siècle
PAR BERNARD VASSOR
17:45 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
SUR GERARD DE NERVAL, à propos de sa mort
Par bernard vassor
08:56 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
09/07/2008
UNE LETTRE DE MAUPASSANT A SON AMI "LA TOQUE"
PAR BERNARD VASSOR
21:40 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LE CENACLE DE LA RUE FROCHOT CHEZ "LA PRESIDENTE" Apollonie sabatier
PAR BERNARD VASSOR
09:50 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : Baudelaire, Théo Gautier, Maxime du Camp, Virginie Huet, Honorine Huet, Auguste Préault, Jules Turgan | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
08/07/2008
LA DUCHESSE D'UZES, NEE Marie-Adrienne-Anne-Victurnienne-Clémentine de ROCHECHOUART-MORTEMART
PAR BERNARD VASSOR
16:20 Publié dans HISTOIRE DES FEMMES | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
LE DOCTEUR LOUIS VERON UN MEDECIN, JOURNALISTE, DIRECTEUR UN TEMPS DE L'OPERA DE PARIS
PAR BERNARD VASSOR
(1798-1867) Son père était papetier rue du Bac. Il fit des étudesà la Faculté de Médecine de Paris et fréquenta la bohème du quartier latin. Il abandonna tout de suite cette profession, pour se consacrer au journalisme. En 1829, il créa une revue littéraire : "La Revue de Paris"où il eut comme rédacteurs : Lamartine, Alfred de Vigny, Scribe et un jeune poète au talent prometteur, Victor Hugo. Louis Philippe, dès son arrivée au pouvoir, voulant réduire sa liste civile, donna en commandite l'Opéra de Paris au banquier Alexandre Agudo de Las Marismas del Guadalquivir qui nomma Louis Véron à la direction de ce Théâtre. Il entreprit alors de monter des spectacles prestigieux, il alla à Londre pour engager Fanny Esler, il fit aussi jouer "La Sylphide" qui reste encore aujourd'hui, le symbole du ballet romantique, avec pour premier rôle Marie Taglioni, la plus célèbre dansueuse de son temps.
A SUIVRE.....
15:35 Publié dans HISTOIRE | Tags : Lamartine, Alfred de Vigny, Scribe, Alexandre Aguado de Las Marismas del Guadalquivir, Marie Taglioni | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
PIERRE VERON JOURNALISTE LITTERATEUR
PAR BERNARD VASSOR
15:20 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
07/07/2008
Pour l'anniversaire de la mort de Guy de Maupassant, une visite au cimetière Montparnasse
09:55 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/07/2008
UN COMMERCE DE PROXIMITE AU 14 RUE MONTHYON, AUJOURD'HUI DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
Rappelons pour mémoire, que le prix Monthyon est décerné chaque année depuis 1832 pour récompenser des personnes vertueuses
16:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
04/07/2008
INEDIT : RUE CLAUZEL, UNE ERREUR SUR L'ADRESSE DE GUY DE MAUPASSANT
PAR BERNARD VASSOR
Avis aux montreurs d'ours et pilleurs en tous genres, cette information est totalement inédite et ne saurait faire l'objet d'une quelconque utilisation, comme il est de coutume chez certains adeptes du copié-collé..... Cela faisait trois ans que je pataugeais, à la suite de doutes déjà émis par Paul Léautaud en 1931 et consignés dans un article que j'avais publié sur un autre site.
Mise à jour le 4 juillet 2008
Jusqu'à aujourd'hui, les preuves manquaient parce que les recherches aux archives de Paris portaient sur le numéro 19. Le 17 avait été délaissé, mais une lecture attentive du calepin du cadastre m'a permis de constater une erreur, une faute d'orthographe de l'employé aux écritures Maupassant était inconnu au moment de l'enregistrement lui a fait écrire MONTPASANTpour Maupassant. Les dates correspondent bien, de 1877 date (fiscale) d'entrée, jusqu'en 1882. Il résidait au deuxième étage et demi, côté rue Clausel (sic) et quatrième étage par rapport à la rue Laferrière. Dans deux jours, c'est l'anniversaire de la mort de Guy de Maupassant.
Madame Odette Christienne à l'Hôtel de Ville, à qui j'ai donné la primeur de ces informations et qui est très pointilleuse pour tout ce qui concerne la vérité historique m'a conseillé de faire modifier et déplacer la plaque par les services compétents de la Mairie de Paris, ce que je vais demander, dossier historique à l'appui.
Il y a longtemps que je pensais que l'adresse indiquée 19 rue Clauzel sur une plaque commémorative était fausse. Aujourd'hui, la preuve est faite, ce n'est pas au 19, mais bien au 17 que vécut l'auteur de Bel Ami. Dans une lettre de Harry Alis son ami, reproduite dans le Mercure de France, un article d'Auriant rectifia l'erreur qui avait été commise plusieurs années auparavant. Le titre de l'article du Mercure est : 17 rue Clauzel, à propos de la pose d'une plaque.
Au numéro 19, c'est le "Fumiste Hydropathe" Achile Mélandriqui eut un appartement et un atelier photographique au cinquième étage. Pour ce qui concerne Maupassant, le calepin du cadastre est muet à ce sujet. Mais, c'est une indication qui m'a mise la puce à l'oreille : dans une lettre à un ami où Maupassant signalait que l'on sonnait souvent à sa porte, les visiteurs se trompaient d'étage, croyant avoir accès au lupanar qui était installé dans son immeuble . Or, ce lieu de débauche se trouvait au numéro 17. De sa fenêtre, il voyait au deuxième étage du numéro 14 une "fenestrière", qui exerçait là sa noble profession depuis une dizaine d'années. Peut-être que la nouvelle "Le Signe" lui a-t-elle été inspirée par cette travailleuse surveillée par la police.
Auriant a écrit en 1931 : "Le jour où on déplacera la plaque-stèle du numéro 19 au numéro 17 de la rue Clauzel, qu'en même temps on scelle un morceau de marbre sur la façade du 24 de la rue Vauquelin. Celui qui vécut là est digne d'un tel hommage." Nous sommes en 2008, la plaque est toujours au numéro 19, et rien n'a été entrepris pour la mémoire d'Harry Alis. Le 24 rue Vauquelin est maintenant l'emplacement
.Il y a peu de chances pour que l'on déplace la plaque, peut-être "Les Amis de Maupassant" avec le concours de "la Société des Gens de Lettres" qui répareraient ainsi l'injustice d'avoir refusé l'entrée d'Alis parmi ses membres*, pourraient-ils intervenir ?
Trouver par souscription le financement des travaux. Je peux me charger des démarches auprès de la préfecture de la Seine si nécessaire.
*C'est Fortuné du Boisgobey auteur de romans populaires qui s'opposa farouchement à cette élection.
21:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
02/07/2008
CAMILLE CLAUDEL, L'AGE MUR, ET L'IMPLORANTE......
PAR BERNARD VASSOR
09:35 Publié dans Evènement | Tags : Louis Tissier, Camille Claudel | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
29/06/2008
LES BRASSERIES DE FEMMES, OU BRASSERIES A FEMMES? SUITE......
PAR BERNARD VASSOR
SUITE DE L'ARTICLE du 29 mai 2008.
A la liste des "brasseries de femmes", s'ajoutent quelques autres :
Le Café Médicis où les serveuses étaient costumées en Transtévérines. La clientèle était composée de collégiens et d'étudiants de Polytechnique dits des "Pipos", et de Saint-Cyriens.
Au Café Le Sénat, qui se trouvait juste à côté du Médicisc'étaient des Andalouses qui officiaient.
Le Café des Ecossaises, boulevard Saint-Michel, un café ordinaire, mais si vous êtes un initié, vous descendez un escalier qui conduit à la cave, et là, c'est un café-concert qui vous attend, et bien sûr, ce sont des femmes costumées en Ecossaises qui font le service et bien plus. L'orcheste est composé uniquement d'un pianiste, et ce sont les consommateurs qui poussent la chansonnette. Le répertoire est composé d'airs d'Opéra et de chants patriotiques qui préparaient "la revanche".
La Salamandre, anciennement "La Taverne des Ecoles" place Saint-Michel, tenu par le père Laurent dit "Le Bock enchanté". Pas de costume particulier dans cette maison, mais le service est assuré par de nombreuses femmes de forte corpulence dont "Marie Carotte" et Marie Préssée qui fait l'admiration de la clientèle, car elle boit ses quarante bocks dans la soirée. C'est le rendez-vous des infirmiers militaires !
La Taverne Alsacienne,située rue Saint-Severin, tenue par une Strasbourgeoise qui ne savait que deux mot en arrivant à Paris : choucroute et parapluie....On dit que ce café était fréquenté par Raoul Rigault, le farouche procureur de la Comùmune de Paris.
Le Bas-Rhin, toujours boulevard Saint-Michel, le café des records ! En 1868, Nini la Démocrate, affronta Hélène la Sévère dans un duel redoutable. C'est Hélène la Sévère qui gagna en ingurgitant cinquante cinq bocks dans la soirée, Nini la Démocrate avait flanché au cinquante troisième.
A SUIVRE...........
11:50 Publié dans AUBERGES ET CABARETS. | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LE CHALET, AVENUE DE CLICHY
PAR BERNARD VASSOR
Cet article est extrait d'un livre de Georges Grison : Paris Horrible et Paris original, paru en 1882 chez Dentu éditeur. A part une petite erreur, ce n'était pas boulevard, mais avenue de Clichy que se trouvait le bal "Le Chalet". C'est la seule fois que je vois mentionné ce bal dans des ouvrages de l'époque. Cet établissement fut racheté en 1886 par un certain Legrand, qui conserva la salle de bal, au fond, côté rue Hélène, et ouvrit sur l'avenue un "bouillon" et une salle de billards. C'est dans ce restaurant que Vincent van Gogh organisa une grande exposition avec ses "amis du petit boulevard", Anquetin, Emile Bernard Gauguin, Seurat, Signac, Angrand etc..
C'est sur un menu (qui se trouve aujourd'hui au van Gogh muséum) que Vincent fit au crayon la première esquisse du portrait du Père Tanguy. La brasserie et la salle de bal (plus la salle de billard) fut vendue peu après, l'adresse ne figure plus dans les annuaires de 1889. Vincent ne portait décidement pas chance, c'est la deuxième exposition et la deuxième faillite après l'aventure malheureuse du Tambourin, où Vincent laissa quelques plumes.....
11:04 Publié dans Montmartre au temps du Père Tanguy | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
28/06/2008
6 juillet, anniversaire de la mort de Maupassant
PAR BERNARD VASSOR
10:05 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
27/06/2008
LEON XANROF
PAR BERNARD VASSOR
19:00 Publié dans A MONTMARTRE LE SOIR | Tags : LEON XANROF, YVETTE GUILBERT | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
XAVIER PRIVAS, "LE PRINCE DES CHANSONNIERS" D'ARISTIDE BRUANT A ARISTIDE BRIAND
PAR BERNARD VASSOR
18:40 Publié dans Montmartre au temps du Père Tanguy | Tags : Laurent Tailhade, Joséphin Soulary, Péladan | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
26/06/2008
UNE COMMUNICATION D"ALAIN PAGES SUR LA PARUTION DU NOUVEAU NUMERO DES CAHIERS NATURALISTES
Par Bernard Vassor
Voici le sommaire du nouveau numéro :
Études historiques. – Émile Zola, de l’affaire Dreyfus au Panthéon.
Alain PAGÈS : Introduction. – Édith GUILLEMONT : Un dreyfusard inconnu, Félix Froissart. – Marie AYNIÉ : Lettres de soutien à Émile Zola dans l’affaire Dreyfus. – Gwendoline GEBET : Urbain Gohier, polémiste de la panthéonisation. – Hervé DUCHENE : Salomon Reinach, Carlos Blacker et l’Affaire. – Ursula BAHLER : Sur les traces naturalistes de La Vérité en marche.
● Études littéraires. – L’imaginaire naturaliste. Rêves et utopies.
Riikka ROSSI : La grisaille du quotidien. – Béatrice VERNIER-LAROCHETTE : L’Œuvre : chimère de la création artistique et précarité humaine. – Annette CLAMOR : Le rêve, élément narratif structurant dans Le Docteur Pascal. – Fabian SCHARF : Un modèle utopique de Travail. – Gilbert D. CHATIN : Le cauchemar de (la) Vérité. – Hans FARNLOF : Zola et la motivation.● Dossier Alfred Bruneau. – Etudes musicologiques par Jacques MERCIER et Jean-Sébastien MACKE. – Claire VLACH-MAGNARD : L'Affaire Dreyfus et la musique. – François LABADENS : Hommage à G. Leblanc. – Frédéric ROBERT : Tableau musical de la décennie naturaliste et vériste (1891-1901).
● Documents et inédits. – Agnès SANDRAS-FRAYSSE et Maria VIRGÍLIO CAMBRAIA LOPES : Zola vu par Rafael Bordalo Pinheiro. – Geneviève de VIVEIROS : Une interview inédite de Zola dans Le Matin. – Michel FORRIER : Jean Rostand reste un homme d’avenir. Comptes rendus. Bibliographie. Chroniques.
09:00 Publié dans ETUDES LITTERAIRES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
25/06/2008
Le physicien Nicholas Ogden Rood
PAR BERNARD VASSOR
Né en 1831, mort en 1902, cet américain conduisit des recherches scientifiques approfondies et fit paraître en 1879 une étude intitulée : Modern Chromatics . puis en 1881 : Student’s Textbook of Colour.,ouvrage dans lequel il simplifie les théories d’Helmut van Helmotz. Reprenant les théories de James Clerk Maxwell à l'originede la mesure quantitative des couleurs ou : "colorimétrie". Ses livres exercèrent une grande influence sur les impressionnistes, et fut sans doute à l'origine des techniques utilisant "le mélange optique" de ceux qui furent comme les traitait Gauguin et Bernard avec ironie (et un peu de mépris) "Le Ripipoint" qui était personnifié selon Émile Bernard par Pissarro, mais qui pouvait aussi bien s'appliquer à Seurat qu'à Signac..
Ogden Rood qui mit au point le cercle de couleurs complémentaires contrastées précises. Visitant une exposition d'art moderne avec son fils, celui-ci raconte : "nous vîmes des tableaux d'un tas de français qui se disent impressionnistes, certains d'un certain Monet, d'autres d'un type nommé Pissarro et de nombreux autre."
-"Qu'en pense-tu ?" demanda-t-il à son père.
-"Épouvantable ! Épouvantable !"
-"Je lui appris que ces peintres se réclamaient de ses théories."
-"Il était décomposé. Levant les bras d'horreur et d'indignation, il s'écria :
-"Si c'est là tout ce que j'ai fait pour l'art, je regrette d'avoir écrit ce livre !"
A SUIVRE...............
13:35 Publié dans La couleur | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
23/06/2008
LE PERE TANGUY AU MUSEE RODIN
PAR BERNARD VASSOR
Tout ce que nous trouvons sera de toutes façons pillé et détruit par les montreurs d'ours.
Le seul moyen d'établir la vérité est de l'énoncer et de la répéter, pareil pour les
mensonges malheureusement!
Benoit Landais
18:50 Publié dans Le marchand de couleurs タンギー爺さん を巡って | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
OFFRANDE FLORALE, fete nationale du perou, hommage à JOSE DE SAN MARTIN
● Lundi 28 juillet 2008 à 10H45 précises
«Offrande Florale du 28 juillet»
A l’occasion de la Fête Nationale du Pérou
Devenue une tradition du CECUPE, l’Offrande Florale à l’occasion de la fête nationale péruvienne est un moment symbolique pour nous. Le CECUPE la réalise depuis 22 ans et elle est organisée cette année une nouvelle fois en collaboration avec l’Ambassade du Pérou. Nous vous invitons à la cérémonie en célébration de notre Fête Nationale et comptons sur votre présence pour sa pérennité. Venez nous rejoindre pour nous souhaiter mutuellement un « Feliz 28 ! ».
Elle se tiendra avant la messe que le Consulat du Pérou organise le jour même à 12H00 à la Chapelle de la Madeleine (Place de la Madeleine, 75008 Paris).
En face de la statue du «Général Don José de San Martin» Parc Montsouris
En bordure du blvd Jourdan, 75014 Paris. métro Cité Universitaire
15:50 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Une information inédite sur le déménagement du Père Tanguy du 14 au 9 rue Clauzel
PAR BERNARD VASSOR
"Philosophe, plutôt que théoricien de l'art, Aurier a bataillé dans la Revue Indépendante et le Mercure de France pour imposer Van Gogh, Gauguin, Carrière, Henry de Groux, Sérusier, et la renaissance de l'art idéaliste a été pour une grande part le résultat des campagnes de cet écrivain"
Merci encore à monsieur Landais.
14:30 Publié dans Le marchand de couleurs タンギー爺さん を巡って | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg