21/06/2008
UNE INFORMATION DE LA SOCIETE DES AMIS D'ALEXANDRE DUMAS "LE PERE BIEN SÜR)
PAR BERNARD VASSOR
On ne peut pas être ami du Père Tanguy sans être amis d'Alexandre Dumas......
Nouvel adage de juin 2008
B.V.
LE D'ARTAGNAN la lettre d'information des Amis d'Alexandre Dumas.doc
21:35 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
ACHILE MELANDRI, L'HYDROPATHE PHOTOGRAPHE DU 19 RUE CLAUZEL, COMMANDEUR CHARGE DES RELATIONS AVEC LA PRESSE D'ACHILE Ier ROI D'AURICANIE ET DE PATAGONIE
PAR BERNARD VASSOR
Mise à jour le 20 juin 2008
11:42 Publié dans La bohème littéraire | Tags : Guy de Maupassant, Sarah Bernhardt, André Gill, Jules Jouy, Coquelin Cadet, Emile Cohl, Didier Vincent | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
20/06/2008
EMILE POUGET "LE PERE PEINARD" A L'EXPOSITION DES INDEPENDANTS
PAR BERNARD VASSOR
17:05 Publié dans HISTOIRE | Tags : emile pouget, pere peinard, van gogh, pissarro, maximilien luce, ibels, bonnard | Lien permanent | Commentaires (3) | | | | Digg
CELESTIN HENNION, UN "COMMISSAIRE SPECIAL" PUIS PREFET DE POLICE SOUS LA TROISIEME REPUBLIQUE PENDANT L'AFFAIRE DREYFUS
PAR BERNARD VASSOR
09:40 Publié dans HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
19/06/2008
DANS LE CADRE DES JEUDIS DU BOCATA, A L'INITIAVE DE PATRICE JAMIN, UNE CAUSERIE AUTUR DE L'IMPRESSIONNISME
PAR BERNARD VASSOR
21:35 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/06/2008
EMILE SIGNOL ET "LA SOCIETE DE L'OIGNON"
DE LA SOCIETE DE L'OIGNON AU "DA VINCI CODE3
PAR BERNARD VASSOR
La Société de l'Oignon ainsi dénommée parce que ses membres se réunissaient régulièrement autour d'une soupe à l'oignon, spécialité du café Le Brébant.
Bien plus qu'un cénacle, c'est plutôt une sorte de société secrète que ce "club" créé en 1825 par un groupe de peintres, dont le but était d'accaparer les commandes, les légions d'honneur, les médailles et tout régenter dans le domaine de l'Art. Emile Signol, né en 1804, mort en 1892, fut un élève du baron Gros, il suivit les cours à l'école des Beaux-Arts. Prix de Rome en 1830, académicien en 1860. Il exposa très tôt au salon, exclusivement des sujets religieux. Membre de l'Institut et des jury influent des salons, il fut un farouche adversaire des peintres modernes. Un article de Henry de la Madeleine le décrit ainsi :
"Une des hontes de notre temps, c'est qu'un peintre de la force de M. Signol ait pu arriver à l'Institut. Ce que c'est, cependant, que la médiocrité soutenue, la docilité académique et la bêtise soumise ! N"avoir ni impression, ni idées ni exécution, mais garder bonne mémoire des pensums donnés à l'École des Beaux-Arts et pieusement conserver les recettes de la maison, cela suffit, paraît-il, pour vous conduire à tout. (...) Plusieurs générations se succèdent; petit à petit, la classe se vide, les professeurs meurent, et un beau jour le bonnet d'âne, resté seul, finit par monter en chaire. Sa profonde nullité a fait sa fortune.(..) Le Supplice d'une vestale obtient au Salon, cette année un succès de fou-rire. (..)mais que vais-je chercher là ? On ne peut pas plus s'occuper de la couleur de M. Signol, que de sa composition, que du choix des sujets. La Seule chose qu'on soit en droit de lui demander, c'est un peu de pudeur. Lorsqu'on peint comme lui, on se cache"
Henry de la Madeleine 20 mai 1863
Ajoutons que Signol qui a exécuté des fresques dans une église àRennes-le-Château. Certains comment dire ? "ésotéristes" ont développé une thèse à ce propos selon laquelle il y aurait un lien avec l'église Saint-Sulplice, et une histoire de lettre sur une signature un N inversée au dos d'une toile qui pour des raisons obscures ressemblerait à une inscription (INRI) retrouvée sur une croix surmontant la sépulture d'un curé (Béranger Saunière ) mort en 1917 ? Bref je n'y comprend pas grand chose, mais l'affaire a une ampleur telle, depuis 1960, que l'on retrouve des histoires de Sociétés secrètes, de Rose-Croix. Ce qui fait dire à un adepte : " Depuis 1960, le phénomène ne cesse de croître, provoquant un déferlement littéraire au contenu parfois sulfureux, mais hélas sans que soit apportée d'explication probante quant au mystère insondable qui entoure la fortune subite de Bérenger Saunière"
Un certain Gérard de Sède à l'origine du roman de Dan Brown "Da Vinci code" a été le romancier qui a mis en lumière l'histoire de Rennes-le-Château qui servit de base au succès de Dan Brown.
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22:30 Publié dans Les Cénacles | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
UNE INFORMATION DU GIRB PAR NICOLE MOZET
Contact : nmozet@club-internet.fr
Nicole Mozet me signale la parution d'un ouvrage d'Anne-Marie Baron :
Anne-Marie BARON
ROMANS FRANÇAIS DU XIXe SIÈCLE À L’ÉCRAN
Problèmes de l’adaptation
La question de l’adaptation laisse trop souvent les enseignants désarmés, alors que souvent les étudiants ont d’abord accès aux romans du XIXe siècle par le cinéma. La comparaison entre le texte et le film s’avère toujours un exercice fructueux, qui leur fait prendre conscience des contraintes propres à chacun des deux modes d’expression. Mais des préliminaires historiques et théoriques sont indispensables pour mener à bien cet exercice. Or les nombreux ouvrages parus ces dernières années sur l’adaptation ont été écrits par des théoriciens du cinéma dans un vocabulaire difficile d’accès pour les littéraires. Enseignants et étudiants ont besoin de démarches plus pratiques, mieux ciblées, et directement utilisables. Sémiotique et analyse littéraire, histoire de la littérature et histoire du cinéma doivent être étroitement associées à cet effet. Cet essai envisage le cas particulier des plus importants romanciers français du XIXe siècle – Balzac, Stendhal, George Sand, Flaubert, Maupassant, Zola (mais non Hugo, très adapté, à qui deux livres viennent d’être consacrés) et les problèmes spécifiques que chacun d’eux pose aux réalisateurs. Pour la première fois donc, la question de l’adaptation sera posée du point de vue de l’étude du roman, par une dix-neuvièmiste capable à la fois d’analyses littéraires et d’analyses cinématographiques, en termes plus didactiques que purement théoriques. Cet ouvrage devrait donc rendre de grands services aux professeurs français et étrangers, qui enseignent, partout dans le monde, le roman français du XIXe siècle.09:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
15/06/2008
MULLARD, LE MARCHAND DE COULEUR PREFERE DE RENOIR
PAR BERNARD VASSOR
C'est un marchand dont nous ne connaissons que le nom. Son prénom ne figure pas dans les "Bottin" des archives de Paris. Renoir ne le cite que par son patronyme. Curieusement, Edouardle broyeur de la rue Clauzel au 6 est dans le même cas,(mais je vais quand même vous le donner en exclusivité et confidentiellement son prénom). C'est à cette adresse que Mullard devait en principe remplacer le patron d'un petit ouvrier, venu de Bretagne, qui était un ancien charcutier, mais nous aurons l'occasion d'en reparler. C'est donc au 6 rue Clauzel que Mulard s'installa en 1868. Il n'y resta que quelques mois, pour aller ensuite au 8 rue Pigalle. L'ouvrier d'Edouard fut licencié et alla s'installer comme concierge au 10 rue Cortot. Mais, c'est une autre histoire...
a suivre............
10:35 Publié dans Le marchand de couleurs タンギー爺さん を巡って | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LE PERE LATOUCHE, LE MARCHAND DE COULEURS DE LA RUE LAFFITTE
PAR BERNARD VASSOR
Anne Distel classe Latouche parmi les quinze grands marchands à Paris dans les années 1870-1900. Il joua unn rôle capital dans l'évolution de la peinture moderne en s'impliquant dans la lutte pour la création de salons réservés aux refusés dont il fut le premier artisan.
Louis Latouche (1829-1884) fut un ami des impressionnistes qu'il soutint dans leurs démarches pour un nouveau salon des refusés en 1867 par une pétition dans son échoppe, signée par Sisley, Pissarro, Renoir et d'autres. Le premier salon avait été créé en 1863, et supprimé en 1864, pour les raisons que nous vons données dans l'article consacré au baron Niewerkerke. Il fut pendant une période, le marchand attitré de Pissarro, de Monet, du docteur Gachet, d'Amand Gautier, de Gauguin, de Bazille, Renoir, Sisley. Son adresse personnelle était au 12 rue de la Tour d'Auvergne, et l'adresse exacte de la galerie, 34 rue Lafayette. Il avait débuté dans une petite boutique rue Neuve Saint-Augustin dans les années 1860. Peintre lui-même, membre de "La Société Coopérative des peintres" organisatrice de la première exposition impressionniste chez Nadar en 1874, avec 7 toiles : une vue des quais de la Seine, le Clocher de Berck, la plage, marée basse à Berck etc.. A cette exposition, il est de garde un dimanche. Pour cette occasion il écrivit au docteur Gachet qu'il gardait le tableau de Cézanne "Une Moderne Olympia" mais qu'il ne répondait de rien, et qu'il craignait même que la toile ne soit retrouvée crevée !!!. Curieusement, seize ans avant Vincent van Gogh, il peingnit "Le Pont d'Asnières" et "La Seine à Asnières". Vincent, quand il se rendait à la galerie de son frère Théo, passait devant la rue Laffitte à l'angle de la rue Lafayette, mais hélas, le père Latouche était mort depuis deux ans déjà, mais sa boutique était encore ouverte, jusqu'en 1887, Mme Latouche étant la propriétaire, elle céda le fond à Contet. La boutique de la rue Laffitte était un lieu de réunion de ceux que l'on nommaient "les intransigeant" que l'on retouvaient aussi chez le Père Tanguy. Il était également encadreur. Le salon des Indépendants fut créé avec le soutien de Victor Hugo au seuil de sa mort, juste avant le décès de Louis Latouche. C'est à cette exposition que figura "L'Enfant mort" de Dubois Pillet qui fit un énorme scandale.
01:25 Publié dans Le marchand de couleurs タンギー爺さん を巡って | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
12/06/2008
UN COLORANT ANCESTRAL,
Par bernard vassor
10:40 Publié dans La couleur | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
11/06/2008
ALFRED EMILIEN O'HARA, COMTE DE NIEUWERKERKE
PAR BERNARD VASSOR
09:35 Publié dans HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
10/06/2008
JOHN CONSTABLE, UN MAITRE POUR LES ROMANTIQUES ET LES IMPRESSIONNISTES
Par Bernard vassor
"Le monde est vaste, il n'y a pas deux jours
qui soient semblables? ni même deux heures"
John Constable
"ADMIRABLE ET INCROYABLE "
"Ce Constable me fait un grand bien"
Delacroix au salon de 1824.
Voilà une phrase qui pourrait certainement être placée dans la bouche de n'importe quel impressionniste.
John Constable (1776-1837) un paysagiste, fut parmi les premiers à utiliser une palette claire, et à travailler "sur le motif". C'est un de ses compatriotes un peintre "médiocre" Joseph Farington qui exhorta son ami à travailler directement d'après nature.Son influence est considérable, sur Paul Huet et Delacroix. Ses expositions ont été vues à Paris dès 1824. Charles Nodier qui a vu une exposition à Londres en 1821, déclare, admiratif : "C'est de l'eau, du ciel et de l'air". C'est Arrowsmith, un cafetier de la rue Saint-Marc qui conserve dans son échoppe des toiles de son ami, qui font l'admiration de peintres tels Diaz, Rousseau, Corot et Daubigny. C'est ce dernier, qui à Londres pendant la guerre de 1870, fera connaître à Monet celui qui l'avait le plus influencé. Pissaro réfugié lui aussi rencontra Monet à Londres et ils visitèrent ensemble les musées. Pissarro déclara dans une lettre : "Nous étions surpris surtout par les paysagistes qui étaient oplus près de nos recherches en plein air, la lumière et les effets fugitifs"*Sisley, un homme d'affaire décida de devenir peintre en découvrant des toiles de Constable et de Turner.
Sophie Monneret, L'Impressionnisme et son époque, Denoël 1979.
Constable, Le choix de Lucian Freud, galerie nationale du Grand Palais, Janvier 2003
A SUIVRE......
09:18 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
06/06/2008
RACHILDE, ANDROGYNE, "LA GRANDE DAME DES LETTRES" BAPTISEE REINE DES DECADENTS, ET MONSIEUR BAUDELAIRE PAR MAURICE BARRES
PAR BERNARD VASSOR
Mise à jour le 6 juin 2008.
Au cours d'une rencontre dans un séminaire consacré à Zola* qui n'avait aucun rapport avec Rachilde, j'ai obtenu de précieuses informations inédites grâce à mon ami Michael Pakenham*, l'éditeur de la correspondance Verlaine chez Fayard. J'ai donc eu l'information suivante : il y a plusieurs lettres inédites de Verlaine à Rachilde qui seront publiées dans le volume II de la correspondance Verlaine à paraître en 2009. En 1888, Verlaine souffrant et sans le sous a été hébergé quelques temps chez Rachilde qui habitait à l'époque avant son mariage avec Valette, rue des Écoles. Elle fréquenta assidûment "Les Hydropathes" et s'illustra en giflant "Papadiamantopoulos" qui avait "écorniflé" Victor Hugo.
Elle était bien plus chaste qu'on veut bien le dire, et que son oeuvre laisse supposer en raison des pires perversions que ses livres exploitaient, tout y passait, du sadisme à la nécrophilie enallant de l'inceste et la zoophilie. Bref tout ce qui lui fit mériter le titre de"Reine des décadents" (par Jean Lorrain expert en la matière). Elle déclara "On m'accusa d'aimer les hommes, les femmes, les chiens et les cochers de fiacre". Peu de femmes ont osé briser tous les tabous comme elle, et à ce titre elle mérite mieux que les petites et médiocres notices biographique qui lui sont parfois consacrées.
« Mon Dieu, qu’on s’amuse bêtement dans la vie dès qu’on cesse de faire de la littérature ! »
RACHILDE
C'est le 11 février 1860 que Marie-Marguerite Éymeryvit le jour à Château-l-Evêque en Dordogne. En 1876, elle fit croire selon certains, qu’un esprit suédois vint de lui souffler dans un songe son nom d’écrivain : Rachilde, patronyme qu’elle utilisa toute sa vie.Selon d'autres biographes, c'est la lecture d'un auteur du XVIème siècle qui lui fit choisir ce pseudonyme. Le premier roman qu’elle fit paraître : « Monsieur de la nouveauté » est un récit qui traite d'un sujet que Zola reprendra plus tard dans « Le Bonheur des dames ». Elle portait ses cheveux coupés courts à la garçonne et était vêtue en homme. Nous ne connaissons pas les raisons qui lui firent accorder l'autorisation par la préfecture de Police de porter des pantalons, ce qui était interdit aux femmes à l'époque (et l'est encore aujourdh'hui je crois ?) C'est un roman scandaleux : Monsieur Vénus, publié en Belgique en 1884 qui lui donna très tôt la célébrité et une réputation scabreuse qui ne manqua pas de provoquer l'admiration de Jean Lorrain qui vit en elle son "maître en littérature décadente". L'ouvrage fut saisi par le parquet de Bruxelles et condamna Rachilde à 2000 francs d'amende. Elle rencontra Maurice Barrès dont elle tomba amoureuse. Puis la rencontre au bal Bullier avec un imprimeur Alfred Vallette,va briser leur liaison. Leur mariage aura lieu en 1889. Elle fréquenta les cafés littéraires, les salles de conférences et le cercle des "Hydropathes" dont elle fut reçue membre en 1884. En 1889, elle tint salon dans les locaux de la revue littéraire de son époux au "Mercure de France», rue de L'Échaudé, C'est dans "Le Mercure de France" que furent publiées pour la première fois les "lettres de Vincent à son frère Théo" (vous noterez l'erreur de date 1887-1891) .Elle collabora à d'innombrables revues et journaux et publia jusqu'à la fin de sa vie, un roman par an. Après la mort de son mari, elle vécut cloîtrée dans les bureaux du "Mercure de France" au milieu de petites souris blanches. Devenue aveugle, elle mourut en 1953 à l'âge de 93 ans. Son successeur au "Mercure" Georges Duhamel, ne crut pas utile de prendre sa plume pour rendre hommage à celle qui fut longtemps le centre du "tout Paris" des lettres.
Nous pouvons ajouter à son portrait qu'elle fut liée avec Nathalie Barney et eut d'autres liaisons saphiques ce qui ne l'empêcha pas de publier un violent pamphlet en 1924, "Pourquoi je ne suis pas féministe") Elle prôna l'idée que seules les liaisons saphiques permettaient à une femme de rester vierge.
Chauvine à l'excès, elle fut anti-dreyfusarde, et à la limite de l'antisémitisme.
Elle s'opposa aussi aux surréalistes dont elle ne comprit pas l'engagement.
Elle prit plusieurs pseudonyme dont l'anagrame : Jean de Chilra
[photo extraite de "Rachilde and french Women's authorship" ouvrage écrit
par Mélanie Hawthorne, universitaire américaine]
10:20 Publié dans HISTOIRE DES FEMMES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
04/06/2008
ALAIN PAGES ET LE CENTENAIRE DU TRANSFERT DES CENDRES DE ZOLA AU PANTHEON
PAR BERNARD VASSOR
*Membre de notre comité scientifique qui nous fera l'honneur de nous guider dans l'exposition réservée aux "Amis du Père Tanguy" dont la date sera fixée incessamment
21:20 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
01/06/2008
EN ATTENDANT LA CREATION D'UN BLOG DISTINCT, LE PERE TANGUY ACCUEILLE " BOCATA"
19:55 Publié dans AUBERGES ET CABARETS. | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
29/05/2008
UNE EXPOSITION D'ANGELA EVERS A LA GALERIE ARTMONTI
PAR BERNARD VASSOR
13:45 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Vincent van Gogh, une découverte de Françoise Vaysse, suite...
PAR BERNARD VASSOR
09:22 Publié dans Vincent Van Gogh | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
27/05/2008
JEAN LORRAIN, RENE LALIQUE, NARKISS ET LA CONTRE-CULTURE DECADENTE.
PAR BERNARD VASSOR
18:50 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
24/05/2008
LOUISE DESBORDES-JONAS, UNE ARTISTE FEMME, FEMME ARTISTE
PAR BERNARD VASSOR
02:20 Publié dans LES IMPRESSIONNISTES ET LES SYBOLISTES | Tags : Antiquaire Drouot, SARAH BERNHARDT, HENRY BAUER, LOUISE DESBORDES-JONAS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
22/05/2008
JULES CHERET, PEINTRE, SCULPTEUR, LITHOGRAPHE, AFFICHISTE
PAR BERNARD VASSOR
09:08 Publié dans LES IMPRESSIONNISTES ET LES SYBOLISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
20/05/2008
CHARLES TCHERNIAWSKY
PAR BERNARD VASSOR
14:30 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
INVITATION : "LES RENCONTRES DE MAI" A BORDEAUX, une information de "IHSA....
PAR BERNARD VASSOR
Ma tristanesque amie cégéitsse et néanmoins amie Anni Gleyroux Ducom me communique :
L’Union Départementale CGT de la Gironde et l’Institut d’Histoire Sociale CGT de la Gironde organisent
“ Les rencontres de Mai “à la Bourse du Travail de Bordeaux, 44 cours Aristide Briand
- Jeudi 29 mai 2008, de 17h15 à 21h00
- Thème des rencontres : “ 68 - 2008, d’un Mai à l’autre en Gironde avec la CGT “
Les luttes sociales de 68 en Gironde.
Le rôle de l’organisation syndicale, l’engagement dans les luttes d’aujourd’hui.
- Des invités :
Jean Louis MOYNOT, ancien Secretaire Confédéral de la CGT, participant des négociations de Grenelle
Michel CABANNES, Maître de Conférence à l’Université Montesquieu Bordeaux IV
Michel BECERRO, Secrétaire de l’Institut d’Histoire Sociale d'Aquitaine
Jean Bernard SIPIÉ, Secrétaire Général de l’Union Départementale CGT de la Gironde Des témoins de l’époque, les salariés (es) actuels des entreprises de la Gironde-17h15 : Accueil Bourse du Travail - regard sur les expositions
-17h45 (précises) : Ouverture des débats
- 21h00 : Pot fraternel Entrée gratuite
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