15/01/2009
La maison de la rue Blanche du docteur Félix Allard
Par Bernard Vassor
La visite de toutes les salles d’appareillage de cet établissement de remise en forme, était une véritable curiosité au début du vingtième siècle, elle le serait aujourd’hui encore.
Pour lutter contre les effets du vieillissement, des troubles du système nerveux, de l’obésité, de l’arthritisme de la locomotion et de toutes les affections de la sédentarité, des appareils utilisant toute la gamme des procédés physique et mécaniques.
Le « docteur »Allard était un ancien préparateur de physique à la faculté, c’est à dire un professeur de gymnastique ! Ce métier, depuis que Napoléon III avait été un fervent adepte de musculation, avait connu une grande vogue, et nourrissait grassement ses prosélytes.
Certaines salles étaient adaptées aux bains locaux d’air sec et surchauffé, la douche d’air sec et chaud, douche d’air et d’eau de Vichy !
Le service d’électrothérapie comprenait des appareils à courant galvanique faradique, ondulatoire et sinusoïdaux. L’électricité statique, les courants de haute fréquence de d’Arsonval.
Les courants de haute fréquence disait la réclame, "augmentent la combustion organique, de plus ils augmentent l’activité de la circulation de la peau et diminuent la sensation de froid si pénible à beaucoup d’arthritiques".
les inhalations d’ozone, l’électro-aimant, les bains locaux et généraux de chaleur radiante lumineuse, appelés appareils Dowsing, enfin les rayons X , dont les effets bienfaisants sont bien connus à forte dose !.
Pour les agents mécaniques, il y avait deux salles de culture physique, française et suédoise, de la mécanothérapie avec massage vibratoire électrique.
Pour les femmes, un salon était réservé pour le traitement des affections gynécologiques par l’électrothérapie et des bains de lumière.
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Quelques noms de comédiens "sortis" de cette école d'art dramatique : Michel Aumont, Guy Bedos, Bernadette Bernard, Dominique BesnehardBernard Blier, Evelyne Bouix, Isabelle Carré, Roger Coggio, Fanny Cottençon, Clothide Courau, Jérôme Deschamps, Georges Descrières, François Florent, Catherine Frot, Nicole Garcia, Annie Girardot, Isabelle Huppert, Francis Huster, Irène Jacob, Marlène Jobert, Jean-Pierre Marielle, François Morel, Jean Poiret, Daniel Prévost, Emmanuelle Riva, Jean Rochefort, , Michel Serrault, Jacques Weber, Mouloudji, Rufus.
Mise à jour le 15 janvier 2008
16:24 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : michel aumont, guy bedos, bernadette bernard, dominique besnehardbernard blier, evelyne bouix, isabelle carré, roger coggio | Lien permanent | Commentaires (3) | | | | Digg
Un prince Grimaldi de Monaco, "figurant" dans un théâtre du Boulevard du Crime
Par Bernard Vassor
12:38 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : théophile gautier, florestan ier, grimaldi | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
13/01/2009
Les petits théâtres du boulevard du Temple, cinquième partie
Par Bernard Vassor
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12/01/2009
Les petits théâtres du boulevard du Temple, quatrième partie
Par Bernard Vassor
Les théâtres du boulevard, avant la révolution.
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Les petits théâtres du boulevard du Temple; troisième partie
Par Bernard Vassor
Au Théâtre du Lycée dramatique qui devint plus tard le Théâtre des Patagoniens
Mlle Rose et Mlle Malaga.
père qui faisait à la porte du théâtre l'énumération pompeuse des merveilles offertes au public, qu'on nomme le boniment et qui invitait le chaland à venir jouir du spectacle à l'intérieur. Le boniment était un art à part entière, il avait ses règles, son répertoire, ses provocations et ses audaces. On ne peut parler de Malaga sans évoquer le nom du "père Rousseau" qui faisait le pitre entre deux entrechats de la danseuse. Il était le plus âgé des pîtres de Paris, gros, court sur pattes, un visage souriant et spirituel, il possédait un répertoire de parades infini qu'il débitait avec bonhomie devant un autoire toujours plus nombreux. Devenu trop vieux pour continuer son métier, il habitait dans un grenier rue du faubourg du Temple, et vendait des petits gateaux avec son boniment habituel. Devenu infirme, il finit ses jours dans un hospice. Françoise-Catherine avait épousé un petit acteur de province. Econome, elle avait réussi à mettre un petit pécule de côté pour ses vieux jours. Mais hélas, son mari, joueur dissipa toutes ses économies.
09:29 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : marie taglioni, mademoiselle malaga, mademoiselle rose | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
10/01/2009
Les petits théâtres du boulevard du Temple, deuxième partie
Par Bernard Vassor
Quelques célébrités du boulevard.
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Quatre sous pour aller au paradis : les petits théâtres du boulevard du Temple.
Par Bernard Vassor
Première partie
Le Théâtre des Chiens Savants
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03/01/2009
Le Boeuf à la Mode de la rue du Lycée....
Par Bernard Vassor
14:48 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : horace de vieil-castel, boeuf à la mode, voyer d'argenson | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Le maître de poste Brion, du boulevard des Capucines
Par Bernard Vassor
10:35 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
29/12/2008
Paris disparu : Le restaurant Peter's du passage Mirès
Par Bernard Vassor
11:35 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : jules mirès | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
24/12/2008
Paris disparu : "Au Cadran Lunaire" la boutique de luxe du faubourg Montmartre
Par Bernard Vassor
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Etude sociale : une crèche en 1845, 144 rue Saint-Lazare
Par Bernard Vassor
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18/12/2008
Le cabaret de la Mère Roquille
Par Bernard Vassor
*Rue de la Chaussée d’Antin
**Parmi ces maisons, celle de "la Farcy" autre entremetteuse célèbre, qui s'était refaite une virginité en vendant son petit commerce pour s'associer à un agent de change (qui selon Brassens sont pis que des voleurs !)
***Aux numéros 20 22 24, le pied à terre galant du Comte d'Artois, qui servit de prison pendant la terreur principalement pour des anglais incarcérés sur ordre de Robespierre.
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16/12/2008
Le "Club rouge de la Reine Blanche"à Montmartre
Par Bernard Vassor
Au temps de Balzac, Paris comptait douze arrondissements. Etre marié dans le treizième, en langage populaire signifiait vivre en concubinage
Ainsi peut-on lire dans "Béatrix"
(..) venu là pour voir le fameux galop! Elle fanatisa par son esprit ce gentilhomme qui ne savait plus à quelle passion se vouer; et, alors, deux ans après avoir été quitté par Béatrix dont l'esprit l'humiliait assez souvent, le marquis ne fut blâmé par personne de se marier au treizième arrondissement de Paris avec une Béatrix d'occasion. Esquissons ici les quatre saisons de ce bonheur. Il est néces- saire de montrer que la théorie du mariage au treizième arrondissement en enveloppe également tous les administrés. Soyez marquis et quadragénaire, (…) chiffre des sommes qui sont restées improductives, verrouillées au fond des coeurs généreux et des caisses par cette ignoble phrase: -- Tirer une carotte!... Ce mot est devenu si populaire qu'il faut bien lui permettre de salir cette page. D'ailleurs, en pénétrant dans le treizième arrondissement, il faut bien en accepter le patois pittoresque. Monsieur de Rochefide, comme tous les petits esprits, avait toujours peur d'être carotté. Le substantif s'est fait verbe. (…) vertus dans cette nouvelle phase. Elle se dessina dans un rôle de ménagère dont elle tira le plus grand parti. Elle nouait, disait-elle, les deux bouts du mois sans dettes avec deux mille cinq cents francs, ce qui ne s'était jamais vu dans le faubourg Saint-Germain du treizième arrondissement, et elle servait des dîners supérieurs à ceux de Rothschild, on y buvait des vins exquis à dix et douze francs la bouteille.(…) Aussi ces annonces vivantes, ces articles ambulants firent-ils passer madame Schontz pour la femme la plus agréable que l'on connût sur la lisière qui sépare le treizième arrondissement des douze autres. Ses rivales, Suzanne Gaillard qui, depuis 1838, avait sur elle l'avantage d'être devenue femme mariée en légitime mariage, pléonasme nécessaire pour expliquer un mariage solide, Fanny-Beaupré, Mariette, Antonia répandaient des calomnies plus que drolatiques (…)
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04/12/2008
A propos de l'exposition Victor Hugo à Carnavalet : LA BERGERE D'IVRY
Par BERNARD VASSOR
Dédié à mon ami Gérard Comte, l'historien, du XIII° arrondissement . Passionné, il a bataillé ferme pour que l'on donnât le nom de Bergère d'Ivry dans ce quartier à une rue, un carrefour ou une place, plutôt que celui d'un obscur politicien, militaire ou chanteur à la mode, comme nous avons l'habitude de le subir trop souvent dans Paris. Ce serait un bel hommage à lui rendre pour toutes les actions qu'il a menées pour l'histoire de son fief...
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16:27 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : gerard comte, victor hugo, balzac, george sand, alfred de musset, aimée millot | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
23/11/2008
Une fusillade au jardin du Luxembourg
PAR BERNARD VASSOR
16:36 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
La mairie du IX° arrondissement pendant le siège de Paris, suite...
PAR BERNARD VASSOR
15:44 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
22/11/2008
Paris disparu : Le percement de la rue de Rennes
PAR BERNARD VASSOR
10:37 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : rue taranne, rue des vaches, de la courtille, chaptal, antoine croizat, cour du dragon | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
19/11/2008
A Ménilmontant, construction d'un réservoir permettant de recevoir les eaux de la Dhuis
Par Bernard Vassor
14:25 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Le percement du boulevard Magenta en 1865
Par Bernard Vassor
09:55 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
08/11/2008
Paris disparu : Le restaurant Lapré, rue Drouot
PAR BERNARD VASSOR
10:44 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
03/11/2008
Les "ravageurs de la Seine"pendant les basses eaux
PAR BERNARD VASSOR
19:52 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg