16/03/2007
LES ASILES DE NUIT "A LA CORDE"
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PARIS DISPARU, LE PASSAGE DELORME
Par Bernard Vassor
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15/03/2007
Jean-Jacques Liabeuf, un certain sens de l'honneur : Je ne suis pas un souteneur !!!
Par Bernard Vassor
jusqu'à la dernière goutte de mon sang,
je protesterai de mon innocence."
Jean-Jacques Liabeuf
UN SENS SACRE DE LA JUSTICE
Un jeune ouvrier cordonnier au chomage, après de menus larcins est interdit de séjour dans sa ville natale de Saint-Etienne. Il fut arrêté à Paris rue Aubry le Boucher et condamné à trois mois de prison, cent francs d'amende et cinq ans d'interdiction de séjour pour proxénétisme alors qu'il était semble-t-il d'après ses dires innocent. Il décida de se venger à sa sortie de prison, bravant l'interdiction, il se rendit de nouveau rue Aubry le Boucher attirant volontairement l'attention des policiers. Ceux-ci, voulant l'appréhender se blessèrent les mains car Jean-Jacques Liabeuf avait fixé des pointes d'acier sur deux manchons, fixés sur ses bras, dissimulés par une pèlerine. Au cours de la bagarre, Liabeuf tua agent avec un révolver et en blessa six autres avec deux tranchets de cordonnier qu'il avait sur lui.
Aux assises, il déclara :
"J'ai été condamné comme souteneur, mais je ne suis pas un souteneur. J'ai été à la suite de cette condamnation interdit de séjour. Et bien à cette peine infamante, je préfère la guillotine !
" Condamné à mort, à l'énoncé du verdict il s'exclama :
"Si vous m'avez condamné à mort, c'est comme assassin, non comme souteneur. Devant la veuve et jusqu'à la dernière goutte de mon sang, je protesterai de mon innocence." Son exécution le 2 juillet 1910 donna lieu à de violentes manifestations ouvrières, aux cris de "vive Liabeuf" un agent de police sera tué, des centaines de manifestants blessés. Monté sur l'échafaud, indifférent à tout ce vacarme, il mourut en criant : "Je ne suis pas un souteneur !!!"
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12/03/2007
PARIS DISPARU Place des Victoires
par Bernard vassor
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LE MARGUERY
par BERNARD VASSOR
«Ce soir, dîner offert chez Marguery par les amis du Grenier et autres lieux à l'auteur de Germinie Lacerteux et
de La Patrie en danger. Ce dîner est le prétexte à l'ouverture, chez le restaurateur, d'une salle recouverte d'une tenture, comme enduite
d'un strass aveuglant et aux sculptures moyenâgeuses dans le genre de celles que les Fragonard fils, sous la Restauration, mettaient à
l'illustration des Clotilde de Surville : une décoration atroce et qui aurait coûté 100 000 francs. Et qui sert toute la soirée de thème aux
horripilations artistiques de Huysmans, qui apportetrop de rab^chage dans son pessimisme. (…)A ce dîner, on est trente cinq
goncourtistes me montrant une franche sympathie.J’ai à ma gauche Rops, le causeur coloré, à la phrase fouettée et qui m’entretient à la
fois du dramatique de la campagne de 1870 et de sa folie amoureuse pour les rosiers de son jardin de Corbeil.(…) Antoine m’apprend
que la municipalité de Reims, lui demande de venir jouer Les Frères ZEMGANNO (Journal, 16 avril 1889)19 décembre
1892 rendez-vous à 7 heures chez Marguery, je suis exact.. Il fait un brouillard àne pas voir de l’autre côté du boulevard. Sept heures et
demie, toujours pas de Méténier Enfin je vois sortir d’une voiture le ménage Zola, accompagné du ménageCharpentier. Je leur demande
de m’asseoir à leur table, en attendant mon amphitryon en retard…."
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PARIS DISPARU LE COUVENT DE LA RUE DE DOUAI
par Bernard vassor
Cette rue fut ouverte en partie entre la rue Pigalle et la rue Blanche. Elle portait alors le nom de rue Pierre Lebrun. C’est en 1884 que le dernier tronçon entre la rue Blanche et le boulevard de Clichy, que fut percée la rue qui porta alors le nom de rue de l’Aqueduc, en raison des canaux anciens qui venant de la rivière de l’Ourcq, alimentait en eau une partie de Paris. Lors de ces travaux de percement, on découvrit en 1841, les vestiges d’une ancienne léproserie à
l’emplacement de la rue Pierre Lebrunl’emplacement de la rue Pierre Lebrun. Sur la partie au nord, occupée jadis par les jardinsTivoli, les ruines d’un ancien couvent sont restées en place, jusqu’à la construction du lycée Jules Ferry débutée en 1912, les travaux retardés par la guerre ne se termineront qu’en 1918. Guillaume Apollinaire avait fait éditer son premier livre « l’enchanteur pourrissant » (tiré à 104 exemplaires in-quarto, avec des bois d’André Derain gravé par Birault) dans uneimprimerie installée dans des bâtiments de l’ancien couvent restés debout chez Paul Birault. Il était établi imprimeur dans ce couvent qui était alors au bout de la rue de Douai, à l’angle de la place Clichy. Ami de Kees Van Dogen et de Derain, il avait gravé pour eux de très jolis bois.C’était un original qui se livrait à toutes sortes de mystifications. Il imprima également des livres de Max Jacob, et le célèbre recueil« Calligrames » furent également l’œuvre de l’imprimeur de
la rue de Douai. Il est mort en 1918 pendant la guerre. Apollinaire, qui avait annocé sa mort, ne
lui survécut que de quelques semaines.
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10/03/2007
PARIS DISPARU, LES DINERS DU RESTAURANT MAGNY
Par Bernard Vassor
J.MAGN...
Elève de Poila...
Salons et cabinets en...
Le restaurant Magny, avait ouvert en 1842 au 3 (?) de cette rue* . C'est le docteur Veyne qui soigne écrivains et artistes qui est à l'origine de la fondation du repas Magny. En 1862, il propose à son client et ami Sainte-Beuve d'organiser des soirées afin d'arracher à un état dépressif Paul Gavarni.*Juste en face, se trouvait la célèbre Auberge du Cheval Blanc
George Sand connaissait bien le patron Magny et venait dîner au restaurant. (..) Elle avait attendu trois ans avant d'accepter l'invitation de ses collègues masculins. Elle fut la seule femme à participer à ses fameux dîners où l'on parlait de littérature, de religion, de politique, d'expériences amoureuses et sexuelles. George Sand dans une lettre à son fils, elle évoque son premier soir chez Magny :
"J'ai dîné aujourd'hui pour la première fois chez Magny avec "mes petis camarades", le dîner mensuel fondé par Sainte-Beuve. Il y avait Gautier, (le critique) Saint Victor, Flaubert et son très grand ami Boulhet, Sainte-Beuve, Berthelot le fameux chimiste et les Goncourt. Taine et Renan n'y étaient pas (..) j'ai été reçu aujourd'hui àbras ouverts.....Ils ont été très brillants, sauf lme savant Berthelot, qui seul je crois a été raisonnable, Gautier,toujour brillant et paradoxal, Saint-Victor charmant et distingué, Flaubert, passionné, est plus sympathique à moi que les autres.
Le journal des Goncourt évoque le premier dîner auquel ont participé les frères :
"Gavarni a organisé abec Veyne, le médecin de la Bohème, et Chenevières, nous et Sainte-Beuve, un dîner, deux fois par mois, qui doit s'élargir comme convives. C'est aujourd'hui l'inauguration et le premier dîner chez Magny, où Sainte-Beuve a ses habitudes.................
A SUIVRE.............
Je peux dire que dans les années 1960, j'ai pris quotidienement mes repas dans cet endroit. C'était à cette époque le Resto u de la rue Mazet !
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09/03/2007
PARIS DISPARU : LE PASSAGE DU PONT-NEUF ET THERESE RAQUIN
Par Bernard Vassor
PASSAGE DU PONT NEUF,
« .-Le soir, trois becs de gaz, enfermés dans des lanternes lourdes et carrées, éclairent le passage. Ces becs de gaz, pendus au vitrage sur lequel ils jettent des taches de clarté fauve, laissent tomber. autour d'eux des ronds d'une lueur pâle qui vacillent et semblent disparaître par instants. Le passage prend l'aspect sinistre d'un véritable coupe-gorge ; de grandes ombres s'allongent sur les dalles, des souffles humides viennent de la rue ; on dirait une galerie souterraine vaguement éclairée par trois lampes funéraires. Les marchands se contentent, pour tout éclairage, des maigres rayons que les becs de gaz envoient à leurs vitrines ;ils allument seulement, dans leur boutique, une lampe munie d'un abat-jour, qu'ils posent sur un coin de leur comptoir, et les passants peuvent alors distinguer ce qu'il y a au fond de ces trous où la nuit habite pendant le jour. Sur la ligne noirâtre des devantures, les vitres d'un cartonnier flamboient : deux lampes à schiste trouent l'ombre de deux flammes jaunes. Et, de l'autre côté, une bougie, plantée au milieu d'un verre à quinquet, met des étoiles de lumière dans la boîte de bijoux faux. La marchande sommeille au fond de son armoire, les mains cachées sous son châle.Il y a quelques années, en face de cette marchande, se trouvait une boutique dont les boiseries d'un vert bouteille suaient l'humidité par toutes leurs fentes. L'enseigne, faite d'une planche étroite et longue, portait, en lettres noires, le mot Mercerie, et sur une des vitres de la porte était écrit un nom de femme : Thérèse Raquin, en caractères rouges. A droite et à gauche s'enfonçaient des vitrines profondes, tapissées de papier bleu. Pendant le jour, le regard ne pouvait distinguer que l'étalage, dans un clair-obscur adouci.D'un côté, il y avait un peu de lingerie : des bonnets de tulle tuyautés à deux et trois francs. Vers midi, en été, lorsque le soleil brûlait les places et les rues de rayons fauves, on distinguait, derrière les bonnets de l'autre vitrine, un profil pâle et grave de jeune femme. Ce profil sortait vaguement des ténèbres qui régnaient dans la boutique. Au front bas et sec s'attachait un nez long, étroit, effilé ; les lèvres étaient deux minces traits d'un rose pâle, et le menton, court et nerveux, tenait au cou par une ligne souple et grasse On ne voyait pas le corps, qui se perdait dans l'ombre ; le profil seul apparaissait, d'une blancheur mate, troué d'un oeil noir largement ouvert, et comme écrasé sous une épaisse chevelure sombre. Il était là, pendant des heures, immobile et paisible, entre deux bonnets sur lesquels les tringles humides avaient laissé des bandes de rouille. Le soir, lorsque la lampe était allumée, on voyait l'intérieur de la boutique. Elle était plus longue que profonde ; à l'un des bouts, se trouvait un petit comptoir ; à l'autre bout, un escalier en forme de vis menait aux chambres du premier étage. Contre les murs étaient plaquées des vitrines, des armoires, des rangées de cartons verts ; quatre chaises et une table complétaient le mobilier. La pièce paraissait nue, glaciale ; les marchandises, empaquetées, serrées dans des coins, ne traînaient pas çà et là avec leur joyeux tapage de couleurs.D'ordinaire, il y avait deux femmes assises derrière le comptoir : la jeune femme au profil grave et une vieille dame qui souriait en sommeillant. Cette dernière avait environ soixante ans ; son visage gras et placide blanchissait sous les clartés de la lampe. Un gros chat tigré, accroupi sur un angle du comptoir, la regardait dormir.Plus bas, assis sur une chaise, un homme d'une trentaine d'années lisait ou causait à demi-voix avec la jeune femme. Il était petit, chétif, d'allure languissante ; les cheveux d'un blond fade, la barbe rare, le visage couvert de taches de rousseur, il ressemblait à un enfant malade et gâté."
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PARIS DISPARU, 29 et 31 rue Galande
Par Bernard Vassor
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08/03/2007
L'HOTEL HEROUET, rue Vieille du Temple
Par Bernard Vassor
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07/03/2007
PARIS DISPARU, RUE SAINT-HONORE
Par Bernard Vassor
23:20 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LE DOCTEUR GACHET HISTORIEN DE PARIS
Par Bernard Vassor
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06/03/2007
UN ARRET DU CONSEIL D'ETAT DU ROI LOUIS XVI
Par Bernard Vassor
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PARIS PAS TOUT A FAIT DISPARU, LA FONTAINE DE LA REINE, RUE SAINT-DENIS
Par Bernard Vassor
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PARIS DISPARU, MAISONS DU 87 ET 89 BOULEVARD SAINT-GERMAIN
Par Bernard Vassor
Ces maisons dataient de la fin du seizième siècle. C'était les dernières maisons de la rue des Cordeliers qui furent supprimée à l'époque où la fortification de l'enceinte de Philippe Auguste fut supprimée après 1673. Les deux maisons s'appuyaient sur la muraille qui s'ouvrait pour former la porte du couvent des Cordeliers qui fut reconstruite en 1598. Elles furent la propriété de l'abbé de Rancé qui en fit don à l'Hôtel Dieu Les fondations de ces maisons reposaient entièrement sur les anciennes murailles.
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05/03/2007
PARIS DISPARU, LA TOUR DAGOBERT
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PARIS DISPARU, COUR DU HAUME DANS LA RUE PIROUETTE
Par Bernard Vassor
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04/03/2007
PARIS DISPARU, LA BOUTIQUE DU FOURREUR BRUNEREAU
Par Bernard Vassor
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03/03/2007
PARIS DISPARU, L'HOTEL DE NANTES, PLACE DU CARROUSEL
Par Bernard Vassor
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PARIS DISPARU, LA MAISON DE LA RUE TRANSNONNAIN
Par Bernard Vassor
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02/03/2007
L'ABATTOIRE DE MONTMARTRE
Par Bernard Vassor
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01/03/2007
UN P'TIT JET D'EAU, UNE STATION DE METRO ENTOUREE DE BISTROTS : LA FONTAINE DE LA PLACE PIGALLE
Par Bernard Vassor
La place telle que nous la voyons aujourd’hui a été formée en 1827. Elle a été aménagée en demi lune, remplaçant la barrière du Mur des Fermiers Généraux – barrière Montmartre, puis barrière Pigalle - qui se trouvait là depuis 1787. La fontaine en son centre date de 1863. Jusqu’alors, à la place de cette fontaine, un "puits encagé" devant la rotonde de la barrière décorait le lieu. On n'y puisait plus d'eau depuis longtemps, mais le puits existait quand même dans ce quartier Bréda où fleurissaient lorettes peintres et modèles de tout acabit. De chaque côté de la rotonde se trouvait une guérite près de la grille du "mur murant Paris"
Il était chargé de la conception de fontaines dans Paris, il mit en service le 1 août 1862, 15 bassins au centre de chacun, une gerbe d’eau jaillissant d’une touffe de roseaux en fonte….
Ces bassins à l’origine entourés d’un espace gazonné et d’une grille ouvragée qui seront refaits au XX° siècle.
Le 22 mai 1862 Davioud présente un projet, pour une fontaine Place Pigalle qui est construite entre 1862 et 1863 à la place de la rotonde Ledoux . Au centre du bassin circulaire interrompu par six bornes carrées, un piédestal octogonal supporte un piédouche cannelé et une vasque à godrons en fonte.
Une lettre du 29 juin 1868 de la direction des eaux et égouts de Paris : « Cette vasque est le réceptacle de toutes les ordures du boulevard et même des pavés et moellons trouvés aux environs ; les cantonniers y lavent leurs balais, les marchandes aux petite voitures s’y débarrassent de leurs rebuts de poissons ; le soir, vers la nuit, c’est là que l’on vient baigner et nettoyer tous les chiens du quartier »
La conséquence de cet état de fait est l’installation d’un petit jardin autour de la fontaine, et d’une grille de fer qui servait de clôture.
Archives de Paris : VO 3 185. dans une lettre du 29 juin 1872, le Contrôleur de la direction des Eaux et.. propose la mise en place d’une grille de fer sur le pourtour de la vasque.
Aujourd'hui, c'est un retour en arrière, les grilles et le petit espace de verdure orné de rosiers a été enlevé, et laisse de nouveau la fontaine dans un état de saleté innomable. La place est complètement défigurée par les nombreux panneaux publicitaires, mobilier placés en plein centre, coupant ainsi le joli point de vue qui faisait de ce lieu une des plus belles places de Paris. Pour ajouter à tout cela, un acte de vandalisme municipal a achevé d'enlaidir le lieu en rasant pour construire un blockhaus en lieu et place du Café de "La Nouvelle Athènes" qui je vous le rappelle, avait accueilli depuis les années 1850, les artistes, écrivains naturalistes, mémorialistes, sculpteurs, peintres les plus prestigieux. C'est là que se réunissaient les impressionnistes qui y rencontraient leurs marchands de tableaux et marchands de couleurs,
Archives de Paris :
On doit à Gabriel Davioud:
L' architecture du bois de Boulogne, les Magasins Réunis, la fontaine Saint-Michel, et avec son assistant Bourdais, le palais du Trocadéro pour l’exposition Universelle de 1878, les grilles de la fontaine Louvois..
Ad. Alphand le bois de Boulogne architectural, ed. Rothschild 1867
Davioud Gabriel Paris et ses fontaines , Action artistique de la Ville de Paris, 1995
Archives P.E.Séda
Archives B.V
Alfred Delvau.
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