01/11/2008
L'explosion d'une conduite de gaz fait cinq mort au pont d'Austerltz
Par Bernard Vassor
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28/10/2008
Les "restaurants du coeur" du Prince impérial
PAR BERNARD VASSOR
16:43 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
27/10/2008
Au jardin d'acclimatation, une sorte d'arche de Noë, avec un véritable zoo humain......
Par Bernard Vassor
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2007/06/...
10:16 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : isidore geoffroy-saint-hilaire, jardin d'acclimatation | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
21/10/2008
LES CAFES CHANTANTS
PAR BERNARD VASSOR
un véritable triomphe. Depuis quelques temps, grâce à un procès retentissant intenté par un auteur Ernest Bourget, les cafés chantants paient des droits d'auteur à une Association des auteirs et compositeurs créés pour l'occasion.
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20/10/2008
On a tué des ours Russes à paris !!!
PAR BERNARD VASSOR
16:31 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : castor et pollux, baltard, napoléon iii | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/10/2008
JE VOUS PARLE D'UN TEMPS QUE LES MOINS DE TROIS CENT QUINZE ANS NE PEUVENT PAS CONNAÎTRE......
PAR BERNAR VASSOR
11:11 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : hugues le coq, jean ramponneaux, magny | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
10/10/2008
NOTE POUR SERVIR A L'HISTOIRE DES EVENEMENTS DU 18 MARS 1871 A MONTMARTRE
PAR BERNARD VASSOR
A la question du journaliste : Voulez-vous évoquer vos souvenirs du 18 mars ? :
Le 18 mars à Montmarte
--"Jusqu'à ce jour le parc de Montmartre avait été gardé par un bataillon de la Garde nationale*. Sur les assurances qui nous avaient été donnéepar le maire**au nom du gouvernement, la garde fut diminuée et réduite à une centaine d'hommes, Notre simplicité était tellement grande que nous croyions encore à la sincérité de ces gens là.
Le 18 à quatre heures du matin***, une colonne se présente au sommet des buttes. La sentinelle crie : -"qui vive ?", il lui est répondu par une charge de mousquetterie. C'était le général Lecomte qui à la tête d'une brigade, venait tenir la parole donnée par le gouvernement.
Les quatres hommes qui étaient de garde au parc s'esquivèrent comme ils purent, quoique quelques uns furent fait prisonniers. Les buttes étaient prises****.
Toutes les précautions avaient été prises depuis quelques jours, les tambours et les clairons avaient été séquestrés par ordre supérieur.
Le bruit de la prise des buttes se répand dans le quartier. L'agitation est à son comble ! A toutes les rues des soldats et de l'artillerie formant cordon et interdisant la circulation.
Les gardes nationaux se groupent et se consultent; quelques uns veulent monter, ils en sont empêchés par la troupe. Le tocsin sonne de tous les côtés; des gardes parcournt les rues en tirant des coups de fusil en l'air, en criant : --"Aux armes !" Tous les gardes sont bientôt en tenue le fusil en bandoulière. Alors les rangs se forment et de tous les côtés on monte à l'assaut des buttes aux cris de "Vive la ligne ! vive la République !" La tête de la colonne s'engage dans la rue de la Fontenelle, l'élan est indescriptible, à mesure que l'on avance, les les rangs se serrent de plus en plus. La montée s'effectua sans accident jusqu'à la montée du "Rocher Suisse",. Là, un moment d'hésitation, à cinquante pas de nous, en haut de l'escalier, un obusier chargé, prêt à faire feu; des deux côtés de la pièce, un peloton d'infanterie, le fusil en joue....et la colonne monte toujours.
.............
Ce qui se passa alors est connu, le général Lecomte ordonnant par trois fois de tirer sur la foule, les soldats levant la crosse en l'air, la capture du général Lecomte et l'arrestation près de la place Pigalle du général Clément Thomas qui avait commandé le feu en juin 1848 sur le peuple, les deux hommes sont d'abord conduit au "Chateau-Rouge" puis remonté rue des Rosiers devant une foule déchaînée, un coup de fusil part, le général Lecomte est tué, puis Clément Thomas, appuyé contre un mur du 61° est fusillé à son tour.
* Le 61 ième basé au 6 rue des Rosiers
**Georges Clémenceau
***De nombreux autres témoigages disent 3 heures.
****Bonnefoy oublie qu'un des gardes fut blessé au ventre, et qu'il mourut huit jours plus tard à l'hôpital Lariboisière.
17:27 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : sébastien faure, bonnefoy, lecomte, thomas, pigalle, montmartre | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
01/10/2008
L'ART DE SE DEBARASSER DES CHÖMEURS ET DES INDESIRABLES AYANT ETE COMPROMIS DANS LA REVOLUTION DE 1848 : LA SOCIETE DES LINGOTS D’OR DU PASSAGE JOUFFROY.
La ficelle était un peu grosse, on découvrit qu'il y avait beaucoup de billets portant le même numéro, et personne ne gagna le fameux lingot !!!
23:15 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : passage jouffroy, pierre carlier, alexis godillot?alexandre dumas fils, californie | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
29/09/2008
Les Ambulantes à la Brune, Contre la Dureté du Tems :....C'était mieux hier !!!!
PAR BERNARD VASSOR
10:07 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : reverbères | Lien permanent | Commentaires (3) | | | | Digg
28/09/2008
PARIS DISPARU : RUE DROUOT, L'HOTEL DE RUSSIE
PAR BERNARD VASSOR
11:56 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : rue drouot, hôtel de russie, jockey-club, choiseul-stainville, crozat | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
27/09/2008
LES FAILLITES S'AMONCELLENT DANS LE NEUVIEME ARRONDISSEMENT DE PARIS
PAR BERNARD VASSOR
Au début de l'année 1884, une crise économique et industrielle provoque le chômages massif d'ouvriers de l'industrie et du bâtiment, ainsi que la crise du monde agricole et viticole (crise sucrière en Martinique). Cete crise a été précédée deux ans plus tôt par la faillite de "la Banque de l'Union Générale" présidée par Eugène Bontoux qui fait de sa banque une arme idéologique contre les banquiers protestants et juifs. Ceux-ci pour se défendre vendent leurs actions dans une société qui dépendait de la banque de l'Union Générale. Les cours s'effondrent, la bulle éclate. Bontoux est ruiné pour la deuxième fois, et avec lui des milliers de petits porteurs.
14:58 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : metropolitain electrique, eaux de vichy | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
03/09/2008
UNE EMEUTE DEVANT LA MAIRIE DU NEUVIEME ARRONDISSEMENT DE PARIS
PAR BERNARD VASSOR
13:15 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : caroline carvalho | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
29/08/2008
UN ECRIN POUR LE PORTRAIT DU PERE TANGUY : L'HOTEL BIRON, MUSEE RODIN
PAR BERNARD VASSOR
10:20 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : rodin, biron, peirenc de moras, dennerville, duchesse de brancas | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
11/07/2008
LE FIGARO 26 RUE DROUOT
09:40 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
10/07/2008
Les Hôtels de ventes au dix neuvième siècle
PAR BERNARD VASSOR
17:45 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
14/05/2008
LE PETIT MARGUERY DE LA RUE DES QUENOUILLES, AUJOURD'HUI 3LA TOQUE SAINT-GERMAIN, 4 RUE BERTIN-POIREE
PAR BERNARD VASSOR
17:30 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
10/05/2008
Rue Thibaut-Odet, (Rue des Boudonnais) RE-SUITE, AVEC LA RUE BERTIN POIREE
PAR BERNARD VASSOR
18:15 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Rue Thibaut-Odet, (Rue des Boudonnais)SUITE
PAR BERNARD VASSOR
10:55 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
02/05/2008
LES CHIFFONNIERS, LES BIFFINS, LES CHIFTIRES A PARIS
PAR BERNARD VASSOR
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01/03/2008
L'HOTEL DE LA REINE HORTENSE ET L'HOTEL DE PRINCESSE DE LA MOSKOWA...PARIS DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
09:42 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
20/02/2008
PETITE HISTOIRE SIMPLIFIEE DES ENCEINTES DE PARIS
PAR BERNARD VASSOR
Il est difficile de s'y retrouver dans les modifications du périmètre de Paris. Mais pour aller vite, on peut dire qu'il y eut au cours des siècles, depuis l'occupation romaine, 8 enceintes de Paris. Les raisons de ces fortifications furent d'abord commandées par l'idée de défense de Paris. Ensuite, de plus en plus, ce sont des préoccupations fiscales qui commandèrent l'édification de barrières. La septième, fut l'enceinte dite de Thiers qui en 1841 entoura Paris de fortifications au delà des limites des barrière de Ledoux. C'est après l'anexion de 1860, que l'enceinte de Thiers fixa les limites de l'octroi et de la huitième enceinte. Ce dernier ne disparut qu'en 1943.
A l'origine, Luttetia Parisiorum était un tout petit village dans une île de la Seine. Les habitants, les Parisii étaient un peuple brave et fier qui préférerent brûler les pont et leurs maisons pour résister au lieutenant de César Labiénus.
A la tête des soldats qui défendirent Lutèce, le chef Camulken (Camulogène) fut vaincu et tué dans la plaine de Villejuif.
César fit rebatir la cité qui fut appelée de 50 avant J.C jusqu'en l'an 360, la ville de César. Ce n'est qu'en 361 que Lutèce devint Paris apparu sous le nom de Parisea Civitas. C'est sous le règne de Louis le Gros que fut construite la première enceinte. Au delà de ces murs, de vastes terrains cultivés portaient le nom de clos. Philippe trouvant insuffisantes la protection par cette enceinte, décida en 1190 de reculer les limites à partir de l'endroit où s'élevait une grande tour appelée "la tour qui fait le coin"approximativement au niveau du pont des Arts. La construction se poursuivit jusqu'en 1211. Après la bataille de Poitier, il fallut construire une nouvelle enceinte. C'est le prévôt des marchands Etienne Marcel qui fut chargé de bâtir cette troisième enceinte appelée "enceinte de Charles V".
La quatrième fut édifiée après la bataille de Pavie sous François premier, achevée sous Henri II en 1547.
En 1626 Louis XIII fit entourer Paris d'une nouvelle enceinte, la cinquième. Les fermiers généraux obtinrent après la démolition des remparts et le comblement des fossés, de faire construire un mur tout autour de Paris de 1783 à 1786. Ce qui fit écrire cet épigramme :
"Pour augmenters son numéraire,
Et raccourcir notre horizon,
La ferm a jugé nécéssaire
De mettre Paris en prison"
16:54 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : Camulogène | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/02/2008
PETITE HISTOIRE DES RUES DE PARIS.... SUITE, les transports
PAR BERNARD VASSOR
LES TRANSPORTS A PARIS
Une des première remise de voitures publiques était située dans le cul-de-sac Saint-Fiacre vers 1660. Cette impasse est située au 81 de la rue Saint-Martin. C'était à l'origine une ruelle, elle porta aussi le nom de : Impasse Saint-Pierre.
Au milieu du XVIIIè siècle, une concurente de la Gourdan, l'entremetteuse Hecquet organisait là des petits soupers fins et des parties galantes. L'académicien, avocat général Antoine Louis Séguier était selon un rapport de police le principal client de la maquerelle avec quelques Fermiers-généraux. Celle-ci avait aussi une autre maison dans le faubourg Saint-Laurent.
Fermée par une grille depuis 1843, son nom lui vient de l'enseigne qui donna son nom aux voitures parisiennes. La commission du Vieux Paris, au début du XXè siècle a fait procéder au nettoyage et à l'encadrement par un filet bleu d'une inscription relevée sur le mur :
CUL DE SAC
III FIACRE
10°
La partie hachurée visible sur la pierre est dûe au ciseau d'un révolutionnaire voulant laïciser cette voie. 10° indique le numéro de la section dans laquelle se trouvait l'impasse. En 1662, une compagnie d'omnibus bon marché vit le jour sous le nom de : "Carrosses à cinq sols"*.
Louis-Jean de Monmerqué a publié une brochure fort rare : "Les carrosses à cinq sols ou les omnibus du dix-septième siècle."dans laquelle il donne lecture d'une lettre de la soeur de Pascal, madame Gilberte femme Perier, qui commente l'inauguration le 21 mars 1662 des lignes de cette entreprise : "L'établissement commença à sept heures du matin; mais avec une pompe et un éclat merveilleux... Messieurs les commissaires délivrèrent aux cochers chacun leurs casaques qui sont bleues, des couleurs du roi et de la Ville, avec des broderies sur l'estomac..." Elle ajoute que la foule était nombreuse que souvent on est obligé d'y aller à pieds. "J'attendais à la porte Saint-Merry, dans la rue de la Verrerie, ayant grande envie de m'en retourner en carrosse, parcque que la course est un peu longue de là chez mon frère, mais j'eus le déplaisir d'en voir passer cinq devant moi sans pouvoir y prendre place, et pendnat ce temps, j'entendais les bénédictions que l'on donnait aux auteurs d'un établissement si utile au public.." (Nous savons que Pascal n'habitait pas très loin, rue des Morfondus**,sur la montagne Sainte-Geneviève). (...) "voilà en quel état est présentement notre affaire; je m'assure que vous ne serez pas moins surpris que nous de ce grand succès; il a surpassé de beaucoup toutes nos espérances" (...) D'après Monmerqué, Pascal avait placé des fonds dans l'entreprise du duc de Rianès et du marquis de Sourches. L'historien Sauval prétend même qu'il fut l'inventeur de cette innovation. Il avait été créé trois lignes, la première reliait la Bastille au Luxembourg en passant par l'île Saint-Louis, la deuxième partait du couvent des Filles-du-Calvaire à la rue Saint-Honoré, et la dernière partiait de la porte Montmarte pour se rendre au pont Saint-Michel. La marquise de Sévigné dit un peu la même chose dans une lettre à Madame de Grignan. Le parlement avait enregistré l'entreprise en précisant que "les soldats, les laquais, gens de livrées, manoeuvres, gens de bras et juges ne pourraient entrer dans lesdits carrosses". Cette restriction fut la cause de la faillite de la spéculation en excluant la plus grande partie de la population. Dans cette brochure, "carrosse" est écrit avec 2 R) L'enseigne Saint-Fiacre fut au cours du temps transportée rue du Faubourg-Saint-Denis. On en dénombrait 1800 vers 1770, jusqu'à ce que la concurence des voitures de place mit fin au monopole de la Compagnie des Fiacres
Dans un curieux guide à l'usage des étrangers à Paris publié en 1727, l'auteur donne ces indications à propos des carosses (avec un seul R) dans Paris :
Les gens de condition ne peuvent pas aller à pié dans Paris.. Il y fait très souvent tems pluvieux, alors les rues sont pleines de crottes, à force d'être trop battue & trop pratiquée par les passans à pié & en voiture; auquel cas on fait mieux de prendre un carosse, que de se gâter la peruque, les habits, les souliers & bas (...) il ne sied pas trop bien de faire le piéton, où d'y paroitre la peruque entortillée par le vent, les bas et les souliers crottéz (...)Il y a deux sortes de voitures dont un étranger se peut servir dans Paris (chaises à porteurs mises à part) savoir :
1)Les carosses de louage, bien entendu ceux qui s'arrêtent en pleine rue, lesquels on nomme fiacre vulgairement.
Une autre sorte de carosse de louage dits communément carosses de remise. On les trouvent chez certaines gens, surout au faubourg Saint-Germain & ces cochers ont d'ordinaire fait peindre des carosses & chevaux sur leurs portes cochère, ou placé des écriteaux qui disent : Loueurs de carosses. On peut les louer dans ces lieux par mois ou par jour (...) On peut les avoir à toute heure. Il y en a quelques fois jusqu'à vingt rue Mazarine, sans avoir rien à faire; une autre fois, il n'y en a pas un seul(...)
Pendant la révolution, une pétition anonyme à l'Assemblée Nationale, demandait la suppression des carosses dans Paris et dans les grandes villes pour les remplacer par des chaises à porteur. Emporté par un élan patriotique, notre citoyen emporté par un élan écologiste avant l'heure, il déclare :
"J'ai une voiture, un cabriolet et quatre chevaux; je désire mes frères vous en faire le sacrifice sur l'autel de la patrie; qu'ils soient vendus au profit de ceux qui vont toujours à pied. La reu leur appartenoit comme à moi (...)Ordonnez le sacrifice que je sollicite, et alors je pourrai aller quelques fois à cheval, mais plus souvent à pied, je jouirai d'un des charmes des grandes villes, celui de l'égalité et de l'obscurité. J'ai suffisament motivé ma motion, et je conclus à ce que la Commune de Paris propose à l'assemblée Nationale le décret suivant ": carrosses et cabriolets petition écologiquo-patriotique.pdf
La réglementation des voitures et leur numérotage fut fixée en 1703 par ordonnance du lieutenant de Police. Avant la révolutin de 1789, les bureaux de voitures de la cour ne conduisaient qu'aux lieux où résidait le roi. Sous Napoléon, ont pouvait compter quinze sociétés de usant de ce moyen de transport, comptant 34 lignes pour 390 voitures circulant dans Paris. A la fin du XIXè siècle, la Compagnie des omnibus comptait 2000 voitures ou tramways, la Compagnie générale 5000, plus 7000 voitures diverses, tramways éléctriques, tramways à vapeur, soit environ 16 000 véhicules roulant dans Paris ....
**Cette voie s'était appelée à l'origine : chemin du Moulin à Vent, puis rue du Puits de Fer, rue des Morfondus, rue Neuve-Saint-Etienne-du-Mont, puis rue Rollin en 1867 .
A SUIVRE.........
18:05 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : Carrosses à cinq sols, PASCAL, FIACRE, Louis-Jean de Monmerqué, marquis de Sourches | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg