26/04/2007
PLACE MAUBERT, LA BOURSE-AUX-MEGOTS
Par Bernard Vassor
12:50 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : Charles Fourier, André Breton, Dolet, Rabelais, Clément Marot | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
25/04/2007
RUE MONTDETOUR
20:05 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : ART NOUVEAU, Louis VI Le Hutin, GAVROCHE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
23/04/2007
LA RUE DU PUITS-QUI-PARLE
Par Bernard Vassor
La rue du PuitS-Qui-Parle, anciennement rue Amyot,(Jacques Amyot, évèque d'Autun, traducteur des Vies Parallèles de Plutarque,) commençait rue Sainte Geneviève, et finissait rue des Postes (Lhomond) numéro 13 et 15.
Sa longueur était de 110 mètres. Ce n'était qu'un chemin au XIV° siècle. Le censier de Sainte Geneviève lui donne le nom de Puit-qui-Parle, en raison d'un puit qui rendait un écho important. Une légende racontait que le puit d'une maison de la rue a répété durant de longues années qu'un bourgeois qui ne pouvait plus supporter les jacasseries de sa femme, l'avait jeté dans le puits. Mais, la mégère, toujours vivante, continuait ses vitupérations contre son mari. La propriété contigue au puits appartenait à René Bertignon sous le règne de Louis XIV, puis, elle fut anéxée à la Tête-noire maison de la rue des Postes,proche du couvent des Augustines. Il y avait un cimetière pour protestants dans la rue des Poules. Sous Louis XVI la maison appartenait à Lemoine de la Clairtière, également propriétaire du cabaret Le Pot d'Etain.
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L'ESTAMINET LYRIQUE DU PASSAGE JOUFFROY
Par Bernard Vassor
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22/04/2007
LA COUR DES MIRACLES SAINT-SAUVEUR
Par Bernard Vassor
Entre la Butte-aux-Gravois, ( tas d'immondices peuplée de rat et de vermine) la rue Dussoubs, la rue du Nil, ancienne rue de la Cour des Miracles, puis, rue Neuve Saint-Sauveur. La rue de Bourbon (d'Aboukir) remplaça le mur d'enceinte de Charles V.
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GUISEPPE CAGLIOSTRO JOSEPH BALSAMO
Par Bernard Vassor
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19/04/2007
LES BALS ET GUINGUETTES PUBLICS ENTRE 1830 ET 1900
Par Bernard Vassor
Pour les cafés concerts, ils étaient établis depuis le début du siècle, la règle, est que l'on doit entendre des airs sérieux ou comiques qui ne peuvent être empruntés aux répertoires des principales scènes lyriques. Le prix d'entrée se payant en consommations et ne pouvant nulle part être inférieur à 50 centimes.
Voici une liste des principaux établissements :
CAFES-CONCERTS
Café -Concert des Champs-Elysées;-Eldorado (boulevard de Strasbourg;-Casino Français (galerie Montpensier 18 Palais Royal);- Café des Aveugles ou du Sauvage, péristyle de Valois;- Café Aublin (rue Contrescarpe Dauphine 5 c'est également
l'adresse du Cheval Blanc);- Café-Concert des Folies (16 boulevard de Strasbourg) Auberge du Cheval-Blanc (16 faubourg Saint-Denis; - Café-Concert du Cadran (86 rue Montmartre) ;-Le Café des Arts (47 boulevard du Temple)
LES BALS PUBLICS OU SALONS DANSANT :
Cellarius Henri, rus Vivienne
Cellarius fils et neveu, successeur, passage de l'Opéra
Markowski, de son véritable nom Joseph Mayer, bal 12 rue Buffault
Bal Perrin, chez ce professeur de danse, ces bals sont très fréquentés par des femmes légères.
Bal Saint-Georges 18 rue Neuve-Bréda (rue Clauzel, archives B.V)
Le bal Mabille (allée des Veuves) prix d'entrée 3 francs, dame 50 centimes
Le Château des Fleurs,(rue dess Vignes, près des Champs Elysées) cavalier 2 francs, dame 50 centimes avec abonnement, sans abonnement 1 franc
La Grande Chaumière, (201 à209 boulevard Raspail et 112 à 136 boulevard du Montparnasse)
La Closerie des Lilas ou jardin Bullier qui prend en hiver le nom de Prado entrée 1 franc pour les cavaliers seulement.
Le Château Rouge (Chaussée de Clignancourt près de la barrière Rochechouart) 2 francs par cavalier
Le jardin du Pré-aux-Clercs (chaussée du Maine)
Les bals d'Asnières, prix d'entrée 3 francs pour les cavaliers, de 3 à 5 francs les jours de fête.
Le bal Valentino; 251-255 rue Faubourg Saint-Honoré
Le Vauxhall (24 rue de la Douane, derrière le Château d'Eau)
La salle Barthélémy (20 rue du Château d'Eau du nom de l'architecte)
Bal de la rue Aumaire (dans une boutique de cette rue)
Bourg-Tibourg, dans la salle à manger d'un restaurant.
Rue du Vert-Bois idem
Bal des Savoyards, rue Montorgueil
Le Casino Paganini rue de la Chaussée d'Antin, (1838) dont l'illustre virtuose se retira dès son ouverture, ce qui provoqua la faillite deux mois plus tard.
Bal Desnoyer avant 1830 à Belleville
Les Armes de France, à Belleville
Le Bal Favié à Belleville
Le Bal des Chiens au Château d'Eau
Le Bal des Nègres, boulevard Saint -Denis
Le Bal Dourlans au Ternes
Le Bal de la Reine Blanche près du cimetière Montmartre à la barrière Blanche (qui sera remplacé par le Moulin Rouge en 1890)
Les Folies-Robert,( par Gilles Robert) ouvert en 1856 rue des Acacias (Abbesses à Montmartre) , puis, 58 boulevard de Rochechouart.
Le Bal des Barreaux Verts, à Ménilmontant
Bal Ragache, Bal Constant, Elysées-Ménilmontant...
Ne pas confondre avec le Bal de la Reine Blanche dans Paris dans le Marais qui changea de nom en Bal des Acacias, mais les clients continuaient de l'appeler le Bal de l'Astic. Fréquenté par des israélites, les peintres Daubigny, Messonnier, Daumier, Delaroche, venaient y chercher des modèles.
Le Grand Bal du Pavillon du Mail dans le quartier de l'Arsenal
23:40 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
13/04/2007
UN HOMME D'INFLUENCE TRONCIN-DUMERSAN
Par Bernard Vassor
18:30 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
10/04/2007
PARIS RIDICULE, CLAUDE LE PETIT
Par Bernard Vassor
12:25 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LES BRASSERIES DE FEMMES
Par Bernard Vassor
C'est rue Champolion que fut ouverte en 1867 la première brasserie de femmes, au nom prometteur, :
"La Brasserie de l'espérance" . La particularité de ces établissements consistait à faire servir en costumes nationaux plus ou moins déshabillés, où l'on pouvait demander une blonde à une brune ou vice-versa. Les jeunes femmes étaient munies d'une sacoche, et avaient toute liberté de "poursuite" (des chambres à l'étage étaient réservées aux "conversations particulières) avec les clients, sans avoir de contrainte ni de règles comme dans les maisons closes.La mode se répandit dans Paris à une vitesse fulgurante la concurrence poussant à la surenchère. On vit ainsi La Brasserie des Amours, La Brasserie de la Vestale, la Brasserie des Belles Marocaines, des Polonaises, du Caprice, des Apothicaires, Le Paradis de Mahomet, Au Vermoulu, où l'on était servi par des femmes déguisées en chiffonnières.
La plus chère à notre coeur étant :
09:00 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
04/04/2007
MAURICE RAVEL DANS LE NEUVIEME ARRONDISSEMENT
Par Bernard Vassor
Si Maurice n'est pas né dans le neuvième arrondissement le 7 mars 1875, il va prendre ses premiers biberons quand la famille va s'installer au 40 rue des Martyrs. En 1878, c'est Edouard Ravel qui va pousser ses premiers cris dans cette maison. 1880? Les Ravel déménagent au 29 rue de Laval (Victor Massé). Henri Ghys donne ses premières leçons de piano à"un petit élève qui me parait intelligent". Le 22 novembre 1888 c'est au 75 rue Pigalle nouveau déménagement, Maurice fait la connaissance de Ricardo Vines qui deviendra son grand ami, et également un pianiste virtuose. 1889 Il fréquente les cours Schoeller 5 rue Georroy Marie, où il a pour professeur Raoul Pugno, l'ancien communard injustement tombé dans l'oubli, pour le rôle qu'il a joué dans l'histoire de la formation de jeunes élèves de cette époque qui deviendront des vedettes internationales....
Le 8 février 1893, Maurice Ravel et Ricardo Vines, interprêtent devant Emmanuel Chabrier (qui habitait avenue Trudaine) "Les Valses romantiques pour deux pianos". Le père de Maurice, invite un certain Erik Satie qui exercera une grande influnce sur Maurice. 1896 Maurice lit Gaspard de la Nuit d'Aloysius Bertrant (dont c'est le bicentenaire de la naissance). En 1896, nouveau déméngement pour aller à deux pas, au 7 rue Fromentin jusqu'en 1901 où les Ravel atteints de déménagite aigüe, vont habiter 40 bis rue de Douai, Ce sera le dernier domicile du neuvième arrondissement, devenus riches, les Ravel fréquenteront les beaux quartiers, tant pis pour eux !
Joseph Ravel, père de Maurice, par Marcelin Desbouitin
(Le café fréquenté par Desboutin, "La Nouvelle Athènes, se trouvait presque en face du 75 rue Pigalle)
05:05 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : MAURICE RAVEL, RAOUL PUGNO, EMANUEL CHABRIER, RICARDO VINES, ERIK SATIE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
QUELQUES THEATRES ET CABARETS DE MAXIME LISBONNE
Par Bernard Vassor
A son retour d'exil, Maxime Lisbonne se retrouve directeur du théâtre des Bouffes du Nord, place de la Chapelle dans le dixième arrondissement. Il monte Nadine, une pièce de son amie Louise Michel. Contrairement à tout ce qui est raconté, le tout Paris littéraire va se rendre aux représentations.
A SUIVRE....
04:15 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
31/03/2007
Célébration de la naissance de Vincent Van Gogh dans la Boutique même du Père Tanguy
Au cours de la petite cérémonie que nous avions organisée, notre secrétaire Chantal Chemla a lu des fragments de lettres de Vincent à son frère Théo, où il exprimait son amour de l’art du Japon et son désir de mener une existence de peintre japonais.
Pour terminer par cette phrase terrible, qui a pris une résonance particulière dans son ancienne échoppe :
« Si j’arrive à vivre assez vieux, je serai quelque chose comme le père Tanguy. Enfin notre avenir personnel, en somme nous n’en savons rien mais nous sentons pourtant que l’impressionnisme durera. A bientôt et merci de toutes tes bontés » Arles : 17 septembre 1888.
(1) Rappelons que la marque « Père Tanguy » ® est déposée par le propriétaire des murs du 14 rue Clauzel à Paris, et qu’il a donné à Art Media une licence pour l’utiliser uniquement pour ce seul usage, notre association loi 1901 « autour du Père Tanguy » bénéficiant de la même autorisation, puisque ayant son siège, bien entendu distinct de celui d’Art Media, dans un bureau du même immeuble, mais qu’elle n’a aucun lien commercial ni financier avec Art-Média, notre seule satisfaction étant de voir ici renaître le nom du père Tanguy.
Par ailleurs, je vous rappelle que nous essayons de faire apposer une inscription au cimetière de Saint-Ouen, où il a été inhumé dans la « Tranchée (des pauvres) gratuite numéro 12. " La conservation du cimetière, ne peut nous donner l’emplacement même approximatif de l’endroit, ni même ce que sont devenus les ossements après le « déblaiement de cette tranchée."
Bernard Vassor président de l ‘Association Autour du Père Tanguy.
Composition réalisée par Paul Gachet fils, à partir d'un carnet d'estampes de Vincent, de tube d'un de couleur de Tasset et un tube du Père Tanguy. L'affiche est celle du cabaret Le Tambourin tenu par Agostina Ségatori qui fut dit-on..., un temps, la maitresse de Vincent Van Gogh
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30/03/2007
PARIS DISPARU, RUE CHANOINESSE, LA MAISON DE L'ONCLE FUBERT, D'HELOISE ET D'ABELARD
Par Bernard Vassor
En 1858, cet alexandrin était inscrit sur la muraille du 1 rue des Chantres, la maison ayant été refaite en 1849 :
"Abélard, Héloïse habitèrent ces lieux." On lisait de plus à l’intérieur : Abélard, Héloise, 1118
La rue Chanoinesse était la principale artère du cloitre Notre Dame, elle date du temps des carolingiens. Les propriétés faisant partie de l’ancien cloître Notre Dame étaient exemptées d’impôt en vertu d’un édit de Charlemagne.
La rue Chanoinesse.
L’historien de Paris, l’abbé Lebeuf, rapporte que Saint Bernard ayant prêché en pure perte, des écoliers de l’Université vinrent gémir, prier, implorer le ciel à la chapelle Saint-Aignan du cloître afin d’obtenir les grâces du ciel pour ces pêcheurs endurcis. Au carrefour des rue Chanoinesses et de la Colombe était une des quatre portes du cloître qui portait le nom de porte Marmouset, nom de la rue qui prolongeait la rue Chanoinesse au-delà du cloître. Au numéro 14, Bichat est mort, au 18, Lacordaire logeait au 17.Au numéro 26, on a trouvé au XVIII° siècle des débris de pierres tombales dont on a dallé le chemin d’entrée.Il y a 889 ans, dans cette maison, le chanoine Fulbert demanda à Pierre Abailard ou Abélard, de devenir le précepteur de sa nièce. Celui-ci était alors à l’apogée de sa gloire. Théologien philosophe, il avait ouvert une école où il professait avec une habileté éclatante. Les vingt-deux ans qui séparaient le maitre et l’élève ne firent nullement obstacle à l’irréparable. Héloïse devint mère et épousa Pierre Abélard secrètement.Elle mit au monde un garçon qu’elle prénomma Pierre-Astrolabe. Abélard fut alors chassé du cloître Notre Dame.Replié sur la Montagne Sainte-Geneviève, il fut suivi par 3000 disciples. Il nomma 50 évêques, vingt cardinaux et un pape : Innocent III. Cela n’empêcha pas Fulbert en soudoyant des misérables, de faire subir au docteur une mutilation, que François Villon a appelé le supplice d’Abélard dans sa Ballade des dames du temps Jadis.Abélard et Héloïse prononcèrent leurs vœux définitifs, Héloïse prit le voile, "Abélard fut chastré et puis moine".
Obligé de s’enfuir, Abélard fit construire non loin de Nogent-sur-Marne un petit oratoire qu’il dédia à la Trinité et qu’il appela « Le Paraclet » (consolateur).
Considéré comme le principal fondateur de la philosophie au moyen âge, il se fit de redoutables ennemis, le pire étant Saint Bernard, l’abbé de Clairvaux qui, trouvant que la peine qui lui avait été infligée n’était pas suffisante, demanda une nouvelle condamnation. Les amants maudits moururent tous les deux à l’âge de soixante-trois ans, mais à vingt deux ans d’intervalle. Héloïse fit secrètement transporter le corps de son mari à l’oratoire du Paraclet qu’il avait fondé. La « très sage Héloïse » fut inhumée dans le même cercueil. L’affaire n’en resta pas là. Une abbesse, jugeant en 1630 la promiscuité scandaleuse, fit séparer les ossements dans deux caveaux éloignés l’un de l’autre. En 1701, la très sentimentale abbesse Marie Roye de La Rochefoucauld, fit rapprocher les tombeaux. En 1792, des révolutionnaires sentimentaux remirent les squelettes dans le même cercueil, mais séparés par une cloison de plomb !
En 1817, une sépulture définitive (pour le moment) fut trouvée au cimetière du Père Lachaise à la division numéro 7...L’inventaire de la conservation du cimetière précise qu’il restait d’Abélard des portions de fémur et de tibia, des côtes, des vertèbres, et une partie du crâne. Héloïse quand à elle avait conservé toute sa tête, des ossements des cuisses, des bras et des jambes.
Sources :
Guillaume Ganne : Paris Pittoresque Paris 1960
Nouveau Larousse illustré sous la direction de Claude Augé Paris 1901
L’abbé Lebeuf, Histoire du Diocèse de la Ville de Paris
Nomenclature des rues de Paris
Marquis de Rochegude, dictionnaire des rues de Paris
10:21 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
PARIS DISPARU, RUE DES MARMOUSETS, UNE PARFAITE COLLABORATION, LE BARBIER ET LE PATISSIER
Par Bernard Vassor
09:53 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (6) | | | | Digg
PARIS DISPARU : MARCHAND DE COULEURS EPICIER, RUE DES FOSSES SAINT VICTOR
08:28 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
27/03/2007
UNE ANCIENNE INSCRIPTION DU QUAI CONTI
Par Bernard Vassor
13:35 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
23/03/2007
LE PLUS VIEIL ARBRE A PARIS
Par Bernard Vassor
20:40 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
21/03/2007
L'HOTEL CLISSON rue des archives
Par Bernard Vassor
13:40 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/03/2007
VICTOR HUGO, 66 RUE DE LA ROCHEFOUCAULD L'HOTEL ROUSSEAU
Par Bernard Vassor
C'est en 1776 que l'architecte de l'hôtel de Salm (pavillon de la légion d'honneur)Pierre Rousseau se construisit ce petit hôtel. Il s'agit d'un pavillon carré, agrandi par la suite. Le peintre Edouard Picot en fit son atelier, Eugène Isabey prit sa suite après 1830.
............
L'aspect extérieur n'a pas changé, sauf les deux révèrbères encadrant la porte d'entrée, qui ont été enlevés. Il ne doit pas en être de même pour l'intérieur. L'hôtel, qui avait il y a deux ou trois ans avait été mis en vente, a subi de nombreux travaux. Inquiet de l'avenir de cette maison, j'ai suivi les travaux et vu des marteaux-piqueurs attaquer le sol carrelé d'époque. Le 25 septembre 1871, Paul Meurice (le secrétaire de Victor Hugo) loua pour lui, dans l'immeuble du 66 rue de La Rochefoucauld le premier étage sur cour. Mais comme l'appartement n'était pas prêt, Hugo s'installa pendant les travaux à l'hôtel Byron, rue Laffitte. C'est le 9 octobre 1871 qu'il emménagea. Juliette Drouet y loua un petit appartement 55 rue Pigalle, la maison juste en face. Totor vint l'y rejoindre plus tard.
http://vassorama.spaces.live.com/blog/cns!C32C7FF1FE41996...
10:15 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : victor hugo, rousseau, paul meurice, juliette drouet | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
17/03/2007
LES PLEYEL, 9 RUE CADET, L'HOTEL CROMOT DUBOURG
Par Bernard Vassor
9-11, rue Cadet - hôtel Cromot du Bourg (succession Dutuit)l'hôtel construit en 1766, a une façade à deux étages, sans sculptures ni clés de fenêtres avec seulement une corniche à modillons. La propriété en 1824, était entourée de jardins. C’est d’abord Ignace Pleyel, né le 18 juin 1757 à Ruppersthal en Basse-Autriche, qui va faire parler de lui. Il était l’élève privilégié de Joseph Haydn. En 1787, Maître de Chapelle de la cathédrale de Strasbourg, il épousa Gabrielle Lefèbvre, la fille d’un ébéniste strasbourgeois.
LIRE LA SUITE :
22:05 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : hôtel cromot du bourg, ignace pleyel, gabrielle lefèbvre, george sand, mozart, haydn, frédéric chopin | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/03/2007
AMELIE HELIE, DITE CASQUE D'OR, DE LA COURTILLE A LA RUE DE PROVENCE
Par Bernard Vassor
La "maison de Casque d'Or", ou plutôt la maison du chef de la bande Popincourt, le Corse Leca était située 44 rue des Cascades.
C'est au "Bal des Vaches", que Amélie Hélie surnommée Casque d'Or, rencontra un ouvrier-polisseur nommé Manda. Ce fut le coup-de-foudre, mais le salaire de l'ouvrier, ne suffisait pas au train de vie d'Amélie. Manda changea donc d'orientation et devint le chef de la bande des Orteaux. Le grand amour dura quatre ans, Casque d'or s'enticha de Leca avec qui elle s'installa. Manda fit tout pour la reprendre, et les deux bandes s'affrontèrent rue des Haies. Leca , blessé, fut hospitalisé à l'hôpital Tenon.
10:45 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : Bouffes du Nord, Casque d'Or, Leca, Manda, Arthur Dupin, Alliot Clémentine | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg