07/09/2008
A SAISIR DE SUITE : Quartier faubourg Montmartre, un terrain clos de plus de deux tiers de son enceinte par des murs neufs et mitoyens.
PAR BERNARD VASSOR
08:25 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : Sanson, rue Bleue, passage Saulnier, ruelle de l'Egout, rue d'Enfer, rue Richer | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
26/07/2008
RUE AUX OURS, LA MESAVENTURE D'UN GARDE SUISSE
PAR BERNARD VASSOR
21:05 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : docteur Guillotin, Henri de Marle.RUE AUX OURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
06/05/2008
Rue Thibaut-Odet, partie de la rue des Bourdonnais,
PAR BERNARD VASSOR
19:05 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (6) | | | | Digg
02/03/2008
Petite histoire de la rue Bonaparte
PAR BERNARD VASSOR
Au XVè siècle, un petit sentier marécageux appelée chemin de la Petite-Seine, chemin de la Noue* en 1523, chemin des Petits Augustins courrait entre les quais et le chemin du Pré-aux-Clercs(rue Jacob).. Au cours des siècles suivants, la rue fut nommée rue de Bouyn**, puis petite rue de Seine, cour des Religieux, rue Bonaparte. Débaptisée pendant la restauiration, elle devient rue de la Poste aux Chevaux, puis rue Saint-Germain-des-Prés. Elle reprit définitivement le nom de Bonaparte sous....Napoléon III en 1852. Au XVIIIè, la rue ne comptait qu'une quinzaine de propriétaires, dont un Larochefoucault, un certain comte de Lautrec, la communauté des Petits-Augustins, l'hospice de la Charité, et un certain Carré officier de la reine. Au numéro 1, est mort en 1794 Félix Vic-d'Azir, fondateur de l'Académie de médecine. Au 3 c'est le vicomte de Beauharnais qui y habite seul, car la future impératrice se trouvait à la Martinique au chevet de sa mère. Le numéro 5 abrita les locaux de la célèbre imprimerie Dentu. On trouve parmi les locataire un éditeur du nom de Gide ! Le 6 fut la demeure et le salon du baron Gérard. Au 8, Lacépède y élut domicile. Au 9, "l'hôtel de Persan" habitait une jeune fille, mademoiselle Claire, fille d'un sergent. Elle était plus connue au théâtre sous le nom de "La Clairon". Le géomètre Monge qui avait fait la campagne d'Egypte, sénateur, fait comte de Péluse, professeur à l'Ecole Polytechnique avait éxigé que ses élèves le tutoyassent. Radié après le retour au pouvoir de Louis XVIII, il décéda là en 1818. Le numéro 10, dépendance du couvent des Petits-Augustins avait des pièces sur l'arrière du bâtiment qui conduisaient à la chapelle dite "l'hôtel de Jacob" due à la reine Margot dont les jardins du château englobaient cette chapelle. Les 11, 13, et 15 étaient les dépendances de l'ancien hôtel de La rochefoucault sur les ruines duquel on a tracé la rue des Beaux-Arts.*. Le 20 jadis César, duc de Vendôme, fils de Gabrielle d'Estrée, et son fils le duc de Beaufort y finirent leurs existences mouvementées. Plus loin, dans des caves du 80, qui abritaient une loge maçonniqueVoltaire fut reçu en 1778, maçon de "la loge des neuf soeurs"
*La Noue, ou Petite Seine, était un canal qui servit à limenter les fossés creusés autour de l'Abbaye
**Du nom d'un médecin Jean Bouyn
Sources
Marquis de Rochegude et M.Dumolin A travers le vieux Paris, E.Champion 1923.
Lefeuve, Histoire des rues de Paris 1857
Archives de Paris
A SUIVRE......
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28/02/2008
UNE PETITE HISTOIRE DE LA RUE LA FAYETTE
PAR BERNARD VASSOR
11:05 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : guinguet, briolet, laPopelinière, Promenades Egyptiennes, Sanson | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
20/02/2008
PETITE HISTOIRE DES RUES DE PARIS, SUITE : Les enseignes
PAR BERNARD VASSOR
Parmi les rares ouvrages consacrés aux enseignes de Paris,
Balzac avait imprimé le petit ouvrage suivant :
Petit dictionnaire critique et anecdotique des enseignes de Paris, par un batteur de pavé.- [M. Brismontier].
- Chez les marchands de nouveautés, 1826.
Certains balzaciens disent qu'il en fut l'auteur.
Ce petit article n'a pas la prétention de retracer toute l'histoire des enseignes de Paris, parmi, les milliers recencées aux Archives nationales? Je comprend qu'au XIXè personne ne se soitt attaqué à un travail aussi colossal. Je n'ai pas connaissance de thèses au XXè et je serai heureux d'en connaître l'existence.
Nous ne savons pas à quelle époque remonte l'usage des enseignes, mais on sait qu'il existe depuis des temps anciens. A Paris, le premier repaire que nous ayons date du règne de Philippe le Bel dans un document intitulé "le livre de la taille".Avant le numérotage des rues, l'enseigne était un des moyen de repérage topographique, avec les églises les tours, les demeures nobiliaires, les fours collectifs, les bains, les étuves, les piloris etc.... C'est ainsi que bon nombre de rues prirent le nom des enseignes situées en leur sein. Au XVIè siècle, ceux qui voulaient ouvrir une auberge ou un commerce, devaient "faire connoitre leurs noms prénoms, demeurance, affectes et enseignes". L'enseigne fut réglementée sous Henri III en 1577. Les aubergistes qui jusque là se contentaient de suspendre le long d'une perche un bouquet de feuillage ou de fougères, d'où le nom de bouchon, ces cabaretiers furent donc obligés d'accrocher une enseigne à leur fronton. Le calembourg était de mise pour frapper l'imagination du passant on avait parfois recours à des rébus imagés. C'est ainsi que naquirent le bon coing, l'épi- scié (un épi de blé coupé), la rue du bout du monde, (un bouc, un grand duc et une mappemonde), le Puissant Vin, (un puit où l'on tirait de l'eau), la Vieille science (une vieille qui scie une anse) la rue de l'arbre sec devait son nom à une enseigne inspirée par la Croix du Trahoir qui était le pilori de la rue Saint-Honoré et avait été le sinistre gibet à l'épopque où il, était situé aux limites de la Ville*. Le chat qui pêche, dont le rébus est toujours gravé, que l'on peut voir encore aujourd'hui quand la rue du même nom n'est pas trop encombrée.... (Ecrivez-moi pour avoir le numéro) Les multiples "Lions d'or" représentés par un voyageur couché ( au lit on dort) Le chat qui pelotte, qui fut mise en scène par Balzac. L'histoire des cabarets des hôteliers et estaminets est liée à l'histoire des enseignes dans toute l'Europe. A côté de l'enseigne, on pouvait lire parfois : Ici on loge à pieds et à cheval, ce à quoi certains poètes farceurs ajoutaient :
"Tout passant ici peut s'ébattre
Qu'il ait deux pieds ou qu'il en ait quatre"
*Dans une maison vis-à-vis la Croix du Trahoir rue Saint-Honoré, pendait une enseigne "Le Signe de la Croix" c'était le moins que l'on puisse faire ! Un épicier (marchand de couleurs était établi là)De l'autre côté, dans la rue de l'Arbre Sec, une autre enseigne avait un nom aussi sinistre "Le Pilier Vert", sur 33 toises et six pieds,un corps de logis de quatre étages appartenant à la fin du XVIIIè au sir Broutier pour la partie avant aux nommés Gasnier et Minot par derrière.
a suivre.....................
23:50 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (3) | | | | Digg
PETITE HISTOIRE DES RUES DE PARIS, SUITE, l'éclairage
PAR BERNARD VASSOR
L'ECLAIRAGE DES RUES DE PARIS
22:50 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/02/2008
PETITE HISTOIRE DES RUES DE PARIS, SUITE...les trottoirs
PAR BERNARD VASSOR
LES TROTTOIRS
C'est sous Napoléon I, que les bornes destinées en principe à protéger les piétons, furent remplacées progressivement par des trottoirs. Les ruisseaux situés au milieu des rues et des ruelles, (transformant la chaussée en amas d'immondices, de boues fangeuses, ou de torrent les jours de pluie) ont été progressivement reportés le long de chaque côté des trottoirs. Il était recommandé aux voyageurs empruntant des lignes omnibus, de prendre place à gauche si le trajet suit des rues à ruisseau, et de prendre place à droite si la ligne suit des rues à chaussée.
L'entretien des rues était assuré par la corporation des balayeurs ou des "boueux". On pouvait rencontrer ces pauvres gens vêtus de guenilles. Mouillés jusqu'aux os les jours de pluie, ils étaient également chargés de curer les égouts. Les femmes de cette corporation portaient des robes de bure effilochées en lanières depuis le hauteur du genou. Certains ajoutaient à leur panoplie une sorte de "carmagnole"de toile cirée. Chaussés de grands sabots débordants de paille qu'ils tressaient autour de leurs jambes en guise de bottines. Il y avait aussi quelques enfants garçons et filles qui s'acquittaient tant bien que mal de cette tache. Tout ce petit monde était placé sous la surveillance d'inspecteurs qui les regardaient sans pitié. Malheur aux dandys et aux élégantes qui devaient passer à portée de leur instrument de travail ...vengeance des gueux, le balai allant de droite, revenait fatalement à gauche où se trouvaient placés les promeneurs aventureux qui recevait une projection de ce qui se trouvait dans le ruisseau.
*Appelées mibrais, d'où, le nom de certains noms de lieux qui devaient être particulièrement boueux.
10:15 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
10/02/2008
PETITE HISTOIRE DU NUMEROTAGE DES MAISONS A PARIS, SUITE
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2008/02/...
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2007/08/...
Une exception toutefois, l'avenue qui porte le nom du préfet qui a réglementé le numérotage, échappe à la règle, pour une raison que je n'ai pas réussi à élucider. Les numéros pairs en montant, sont à gauche, et les pairs à droite bien sur.
Les différents aménagements démolition et reconstructions ont modifié au cours des siècles la répartition des lotissements, changeant ainsi la numérotation dans certaines rues.
La Commission des travaux historiques de la ville de Paris, ont publié sous la direction de Jeanne Pronteau : Les numérotages des maisons à Paris, du XVè siècle à nos jours, Paris 1966
10:20 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : FROCHOT, RUES DE Paris, RAMBUTEAU, NOUVELLE ATHENES, MUSEE DE MONTMARTRE | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
16/12/2007
90 RUE SAINT-DENIS
PAR BERNARD VASSOR
07:45 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
25/11/2007
LE MYSTERE (provisoire) DE LA CITÉ MILTON
PAR BERNARD VASSOR
18:10 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
24/11/2007
LA RUE DU FAUBOURG MONTMARTRE AU TEMPS JADIS
PAR BERNARD VASSOR
Une brève notice anecdotique pour servir à l'histoire de cette voie :
Lettres de la Ville de Paris
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07/11/2007
L'ASSOMMOIR DU PERE COLOMBE
PAR BERNARD VASSOR
10:25 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : zola, mousseau, william busnach, octave gastineau | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/10/2007
18-20 RUE RAYNOUARD PARIS DISPARU
19:35 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/09/2007
UNE VOISINE DE GUYONNET-MERVILLE TRES INCONVENANTE, N'EST-CE PAS MONSIEUR DE BALZAC !!!
PAR BERNARD VASSOR
Groupe International de Recherches Balzaciennes, Groupe ARTFL (Université de Chicago), Maison de Balzac (Paris). Balzac. La Comédie humaine. Edition critique en ligne [En ligne]. [Consultation du 3 juillet 2004]. Disponible sur internet : http://www.paris.fr/musees/balzac/furne/presentation.htm
La rue Coquillière
Elle bordait le mur d'enceinte de Philippe Auguste et devait son nom à une famille des XIIème et XIIIépme siècle, un acte de vente de 1292 indique que Pierre Coquillier a vendu à Gui de Dampierre une maison dans cette rue qui était alors "esdifiée"Robert et Adam Coquillier y avaient des maisons voisines. Un fermier-général y eut un hôtel à deux portes donnant sur les rue Coquillière et rue du Platre. Il confia l'éducation de son fils à un precepteur nommé Jean-Jacques Rousseau . A l'angle de la rue du Bouloi, un hôtel nommé Casse-noisettes abritait un apothicaire marchand de couleurs donc. Le nom de Casse-noisette était la corruption du nom d'un propriétaiire : Gigot de Crissenoi, nommé par déeision Brise-noix, Casse-noix, puis Casse-noisette. Parmi les héritiers, on compte Mme Angélique-Nicole Langlois, seconde épouse de Talma. Tout près de l'hôtel Bullion, donnant aussi rue Coq-Héron reconverti en salle des ventes en 1780. A l'enseigne de l'Epée-de-Bois, deux filles galantes la Dumoulin et la Virville faisaient les quatre-cents pas de la rue du Jour à la rue du Bouloi et arpentaient de long en large la rue Coquillière.
16:05 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
RUE DE LA LUNE : AH ! C'EST DU PROPRE MONSIEUR DE BALZAC !!!
PAR BERNARD VASSOR
Groupe International de Recherches Balzaciennes, Groupe ARTFL (Université de Chicago), Maison de Balzac (Paris). Balzac. La Comédie humaine. Edition critique en ligne [En ligne]. [Consultation du 3 juillet 2004]. Disponible sur internet : http://www.paris.fr/musees/balzac/furne/presentation.htm Il faut vous dire que l'endroit a une longue tradition de galanterie depuis des temps immémoriaux. La partie située près de la rue Poissonnière prèsdes anciens remparts de la ville, s'appelait "Le Champs-aux-femmes, à l'époque de Louis XIV. La rue fut ouverte en 1630 A l'angle de la rue de la Lune deux maisons tricentenaires faisaient commerce dans une spécialité fort recherchée et jouxtait la Compagnie colonelle des Gardes-françaises. Une autre maison fut fondée en 1820, elle succédait au commerce d'un galant qui vendait ses charmes aux dames fortunées. Il se faisait appeler Henri de Renneville et dit-on ne dédaignait pas les faveurs de leurs maris. Ensuite, c'est une rebouteuse qui ne craignait pas de se transformer en hétaïre, une fois la guérison de ses patients était assurée. Vers 1690, on trouve au milieu de cette rue un monsieur Claude du Plaisir qui fut obligé de déménager car les marcheurs de nuit prenait au mot la maison de ce fort honnête homme ! La plupart de ces maisons avaient une double entrée, donnant de l'autre côté sur le boulevard.
12:00 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : BALZAC | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
15/08/2007
RUE DES PRETRES SAINT-GERMAIN L'AUXERROIS
PAR BERNARD VASSOR
Au XIIIéme, elle s’appelait rue du Cloître, prolongée ensuite par une ruelle « la Petite rue Saint-Germain-l’Auxerrois » disparue en 1925. La maison à tourelle que nous voyons sur la photographie à l’angle de la rue de l’Arbre-Sec a été démolie pour permettre la construction de la Samaritaine. Le « Journal des Débats » ( depuis 1800, jusqu ‘en 1940) au deuxième étage, était au numéro 17, au rez-de-chaussée, c’était le célèbre café Momus, remplacé par un marchand de couleurs vers 1860. Aujourd’hui, est installé un café-restaurant dont les responsables ne souhaitent pas connaître la vie de cet endroit historique....
07:50 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
13/08/2007
RUE MICHEL-LE-COMTE, PARIS DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
10:40 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
11/08/2007
RUE PIERRE-AU-LARD, PARIS DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
07:15 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
04/08/2007
A LA GRACE DE DIEU, 119 RUE MONTMARTRE PARIS DISPARU. UNE ENSEIGNE DU DEBUT DU XVIIe SIECLE
PAR BERNARD VASSOR
Mis à jour le 4 août 2007
21:10 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : A LA GRACE DE DIEU, CARNAVALET, ROCHEGUDE, Compagnie de la Traite des noirs, Compagnie des Indes, Casanova, Atget | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
02/08/2007
LE MORTIER D'OR RUE DES LOMBARDS, PARIS DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
La rue au XIIéme siècle s'appelait de l'Aiguillerie dans sa partie est, rue de la Lamperie dans la partie ouest, plus tard rue de la Buffetterie, puis sous Louis XIII, la rue de la Pourpointerie. Pourtant, c'est sous Philippe Auguste que des prêteurs sur gage venus d'Italie, de Gênes, Venise, Pise, Florence, ou Sienne, Ils furent désignés par la population sous le npm de Lombards. Le père de Boccace faisait partie de cette corporation (l'auteur du Décameron son fils, était né à Paris par hasard à Paris selon le marquis de Rochegude), il avait pignon sur rue. Le nom de rue des Lombards apparait vers 1650, alors que les habitants de Paris lui donnaient déjà depuis plus de deux siècles. L'hospice Sainte- Catherine était situé à l'angle de la rue Saint-Denis et servait d'asile aux bonnes sans place. Les religieuses catherinettes étaient également chargées d'enterrer tous les morts exposés à la morgue du Châtelet qui n'avaient pas été réclamés... La rue avait au début du règne de Louis XIV "Le-Poids-du-Roi" juré-peseur que nommait les épiciers et les apothicaires qui étaient chargés de vérifier les poids et mesures, les poinçons, les étalons d'usage légal.
09:00 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : MORTIER D'OR, BOCCACE, LOMBARDS, MARCHANDS DE COULEURS, POIDS-DU-ROI, ROCHEGUDE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
31/07/2007
RUE DE LA TANNERIE, PARIS DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
17:01 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg