24/06/2007
LES ENSEIGNES DE PARIS
PAR BERNARD VASSOR
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17/06/2007
LA PLUS ANCIENNE MAISON DE PARIS, parait-il....
Par Bernard Vassor
16:51 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
13/06/2007
EGLISE SAINT-HONORE PARIS DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
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L'IMPASSE SAINT-SAUVEUR, PARIS DISPARU ( EN 1913)
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11/06/2007
ANCIENNE FACADE DE L'EGLISE SAINT-LAURENT
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PLACE DES VICTOIRES, Partie disparue
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RUE DE LA TIXANDERIE MAISON DE SCARON, PARIS DEMOLI
PAR BERNARD VASSOR
05:00 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : TURENNE, NINON DE L'ENCLOS, SCARON, SEVIGNE, MIGNARD | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
23/05/2007
BALZAC, LEON GOZLAN, LA RUE DE LA JUSSIENNE, voyage a la decouverte des rues de paris, comment trouver le titre d'une nouvelle ?
PAR BERNARD VASSOR
Petit dictionnaire critique et anecdotique des enseignes de Paris, par un batteur de pavé.- [M. Brismontier].- Chez les marchands de nouveautés, 1826
*La rue Pagevin a été absorbée par la rue Étienne Marcel
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LE MARCHAND DE SAUCISSES, L'EMPOISONNEUSE, LA RUE DU BOULOI, RUE COQ-HERON, RUE DE LA JUSSIENNE SUITE....
PAR BERNARD VASSOR
qui y eut sa résidence jusqu'à ce que sa fille, une certaine marquise de Brinvilliers, abrégea ses jours avec l'aide du poison qui l'a rendu célèbre et lui a donné son surnom. Elle s'en prit ensuite à ses deux frères, qui furent empoisonnés par les soins de son laquais.
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19/04/2007
LA MAISON DES TROIS PUCELLES 31 RUE GALANDE
Par Bernard Vassor
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17/04/2007
RUE DE LA BUCHERIE, MAISON OU EST MORT RETIF DE LA BRETONNE
Par Bernard Vassor
23:10 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : Restif de la Bretonne, comtesse d'Egmont, Bertin, Mlle de Jumilhac, Hocquart de Montfermeil, La Folie Bertin, Balzac | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/03/2007
RUE DES MARTYRS, ANTONIN DUBOST, dit : "Le père la pudeur"
Par Bernard Vassor
16:45 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : Jean Grave, Clemenceau, Mirbeau, Bernard Lazare, Paul Adam, Saint Grégoire de Nysse, Fénéon | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
17/03/2007
23 rue des Martyrs BALZAC CHEZ LAURENT-JAN
Par Bernard Vassor
Balzac s'est caché de ses créanciers chez son beau-frère l'ingénieur de Surville au 47 rue des Martyrs
09:16 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : Balzac, de Surville, Laurent-Jan, docteur Ménière, Jacques-Antoine Manuel | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/03/2007
PARIS DISPARU, LA MAISON DE THEOPHILE GAUTIER RUE DE NAVARIN
Par Bernard Vassor
Dans cette rue, le baron Botherel avait fait construire un véritable palais au milieu de la rue de Navarin. C'était une immense maison précédée d'un jardin avec des allées ombreuses, des labyrinthes touffus, et surtout une cascade.
Théophile Gautier en 1839, occupe le premier et le deuxième étage un splendide appartement en compagnie de nombreux chats et d'un esclave noir ! On le voit du matin au soir dans le jardin du lever au coucher du soleil, il folâtre au milieu des parterres, se livre à toues sortes d'exercices de gymnastique. On le voit grimper aux arbres et lorsqu'il lui arrive de monter chez lui, ce n'est pas l'escalier qu'il emprunte, mais les anfractuosités de la muraille et les angles des balcons pour pénétrer chez lui.Tous les dimanches, il fait jeter dans la bassin des écrevisses des anguilles, des rougets qu'il se donne le plaisir de repêcher lui-même. Il hébergea quelques temps Gerard de Nerval, entre deux internements 22 rue Norvin chez le docteur Blanche. Gérard qui avait eu un petit logis au 4 de la rue de Navarin. La maison a été vendue en 1844 et démantelée au XX° siècle pour faire place à plusieurs maisons.
Balzac, situe la maison et l'atelier de Pierre Grassou rue de Navarin
(site des Amis de Balzac )
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13/03/2007
PARIS DISPARU angle MIROMESNIL BEAUVAU
Par Bernard Vassor
C'est là que la Comtesse Elisabeth Françoise Sophie Lalive de Bellegarde Houdetot (l'égérie de Jean-Jacques Rousseau) ferma les yeux de son plus grand amour, le poète Saint-Lambert le 9 février 1803.
Après la révolution, un pharmacien, qui ne manquait pas d'assurance, monsieur Labourdette avait son officine à l'angle de la rue Miromesnil où était née sa grand-mère madame Demeule qui s'honorait de figurer parmi les sans-culottes Robespiéristes. Sa maison, voisine d'un boulanger, elle se cachait la nuit dans une cave communiquant avec celle du voisin, elle faisait passer du pain en secret aux royalistes de son quartier au plus fort de la terreur ! Dans la même maison habitait une madame Boulanger épouse d'un président au parlement et mère de la comtesse de Baumont.
C'est l'architecte Le Camus de Mézière qui y a édifié le splendide hôtel d'à côté pour le prince de Beauvau. un ancien officier du roi de Pologne
a suivre.........
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04/03/2007
LE CHATEAU DES BROUILLARDS
Par Bernard Vassor
C'était un moulin avec une ferme au XVII° siècle, dans l'allée des Brouillards qui était fréquenté par les parisiens. Puis, c'est un bal champêtre qui remplaça la ferme et prit le nom de bal des "Berceaux Verts" en raison des tonnelles et des bosquets qui entouraient l'endroit. En 1772, le moulin en ruine fut racheté par un avocat au parlement qui fit construire "la Maison des Brouillards. La maison avait deux entrées, une sur la rue des Brouillards, l'autre sur la rue des Fontaines Saint Denis. Gérard de Nerval habita l'endroit. On trouva à cette adresse Georges Izambard, le professeur de Rimbaud, Paul Alexis, Auguste Renoir, avec ses modèles Gabrielle et la Boulangère.
Puis jean Cocteau, Marius Casadessus, Jean-Pierre Aumont habitèrent cette maison.
Archives B.V.
André Roussard, Dictionnaire des lieux à Montmartre, édition André Roussard 2001
00:46 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : RENOIR, Cocteau, Alexis, Gérard de Nerval | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
24/02/2007
ALLEE DES VEUVES, AVENUE MATIGNON
Par Bernard Vassor
C'était sous Louis XV, qu'un chemin boueux, conduisant à des cabanes de jardiniers au milieu de marais. On l'appelait le chemin des Gourdes en raison des cultures de cette plante curcurbitacée que l'on appelait aussi Calebasse. Cette courge une fois séchée, servait de récipient pour les voyageurs à transporter des liquides. En 1790, cette voie prit le nom d'allée des Veuves jusqu'en 1852. Ce nom venait de ce que l'on pouvait y faire des rencontres galantes loin des regards de la ville. C'était un endroit obscur bordé d'ormes. La nuit, sans lumière autre que celle des guinguettes fréquentées par des vagabonds et des voleurs. Eugène Sue situe un fameux tapis-franc"le Bras-Rouge" dans les Mystères de Paris. Une maison de campagne fut construite au début de cette allée sous la Révolution pour abriter future madame Tallien. Elle y donna là des receptions que fréquentèrent Barras, Fréron, Sieyès, Josephine de Beauharnais. En 1817, une guinguette à l'enseigne de l'Acacia eut là une brève existence. Le restaurant Le Petit Moulin-Rouge, était juste à côté. Au mileu de l'allée, un palais fut construit en 1858 pour le prince Napoléon.Le bal Mabille était à l'emplacement des numéros 49 à 53.
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21/02/2007
HISTOIRE DE PARIS, la station de métro Richelieu Drouot
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19/02/2007
Rue de la Victoire
Par Bernard Vassor
Les religieux de la Victoire, de l’ordre de Saint-Augustin, eurent un jardin, et un marais, au-delà de l’égout entre la ferme des Mathurins, les Porcherons et la ferme de la Grange-Batelière dans un lieu qui était dit Chanterelle. Un sentier s’appelait vers 1675la ruelle aux Maraisdes-Porcherons. Puis, se transforma en 1731 en rue Chanterelle, ruelle des Postes en 1734, (en raison des postes de garde de l’octroi de chaque côté de la voie de la rue de la Chaussée-Gaillon (d’Antin) et de la rue du faubourg Montmartre.
Extrait d’un relevé censuel des propriétaires de ces parcelles en 1738 :
« Fille ou femme Mignon un marais à l’angle de la rue du faubourg Montmartre. – Martin, jardinier de M. Guillemont. – A.Legué.- Veuve Clémentin. – Bourgeois. – Veuve Bourdin. ‘
Presque tous les propriétaires n’avaient que des marais. Le jardin de monsieur Ruelle, n’était marqué à l’encoignure de la Chaussée-Gaillon (d’Antin)que par le topographe Deharme en 1766.
Le nom de Chanterelle réapparut en 1776 puis remplacé par Chantereine, sans doute en raison du coassement des grenouilles qui peuplaient les marais. L’hôtel particulier construit par le Perrard de Montreuil dont nous avons raconté l’histoire dans "Julie Careau " un article précédent.. Le nom de rue de la Victoire fut donné en 1797 à cette rue en raison hommage à Bonaparte….Les raisons données par la ville de Paris, : « Il était de son devoir de faire disparaître tous les signes de royauté qui pourraient encore se trouver dans son arrondissement, voulant ainsi consacrer le triomphe des armées françaises par un de ces monuments qui rappellent la simplicité des mœurs antiques » Bonaparte acheta le 21 mars 1798 à Talma. Voici dans ses Mémoires, Talma racont la vente de l'hôtel rue Chantereine sans prononcer le nom de Julie Careau : TALMA_MEMOIRES_extrait_vente_a_Bonaparte.pdf
Après le départ de l’empereur à Sainte Hélène la rue retrouva le nom de Chantereine, puis sous le second empire, la rue retrouva le nom de rue de la Victoire.
Le théâtre Chantereine avait été construit par Gromaire, un machiniste de l’opéra à l’emplacement du 47 rue de la Victoire. La salle est restée en place jusqu’en 1848.Mlle Falcon de l’Opéra habita le 17, et Mme Stolz emménagea au 13..
21:50 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
11/02/2007
Théophile Gautier : Les Maisons sculptées modernes
Par Bernard Vassor
THEO PAR CHATILLON
Je dois à mon amie Dominique Delord qui a déniché cet article de Théophile Gautier écrit en 1843, sur deux "Maisons sculptées, modernes" qui venaient d'être construite dans le quartier Bréda. J'ai retrouvé la trace d'une des deux maisons décrites dans cet article, bien que des transformations aient défiguré l'immeuble :
"L'autre jour, poussé par je ne sais quel caprice de locomotion, je sortis de chez moi*à l'aide du moyen indiqué par Dante.-en ne levant pas un pied de terre sans que l'autre ne fut posé. Un anglais eût été tout droit manger des sandwichs sur le sommet de l'Himalaya, ou prendre du thé dans le tombeau de Chéops. Moi plus audacieux, je m'engageait hardiment dans la rue de Laval, une rue fantastique, aussi peu fréquentée que le détroit de Béring, peut-être moins, car l'on a pas pour y aller le prétexte de la pêche à la baleine; là je trouvais un monument qui serait décrit avec beaucoup de soin, s'il était noir, écorné et situé à quelques centaines de lieues d'ici, dans une ville à nom bizarre, c'est tout bonnement un atelier de peintre dont la façade arrangée dans le goût de la renaissance et orné de délicieuses sculptures (...)la principale est une espèce de bordure qui entoure la verrière d'où l'atelier tire son vrai petit poème de pierre.A travers les volutes d'une riche arabesque de feuillage, les chants, les amours la construction du nid, la becquée (...) Aucun artiste de la renaissance ne désavouerait cette charmante façade. Le temps ne l'pas encore noirci et n'a pas comme le dit un grand poète passé son pouce intelligent sur les arêtes des sculptures, mais l'outrage ne lui a pas été épargné. Quelques unes de ces hideuses grenouilles de ruisseau qu'on appelle gamin de Paris, à qui Bouffé a le tort de prêter sa sensibilité et sa poésie, on a trouvé spirituel de casser les becs d'oiseaux, les pointes d'ailes, les vrilles des fleurs qui sont à hauteur de la main (furent cassées)."La maison construite en 1840 au 9 rue de Laval fut la propriété de Leclanché, l'inventeur de la pile électrique. Une plaque apposée sur la façade mentionne le domicile de Paul Heudel, l'historiographe de l'hôtel Drouot. L'atelier fut un des lieux de réunion où se produisit un pianiste du salon de Nina de Callias, Maurice Rollinat.
La seconde maison décrite dans cet article, située près de la barrière Blanche, n'existe plus à mon avis....
*Gautier habitait 14 rue de Navarin à l'époque.
Aujourd'hui, au rez-de-chaussée, un éditeur fort sympathique : http://www.naive.fr/style_livres.htm
Vous pouvez trouver ces ouvrages à la non moins sympatique librairie voisine L'ATELIER 9
Tel 01 48 74 30 74
23:05 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LES PASSAGES DE L'OPERA
Par Bernard Vassor copyright 2007
Je crois qu'il serait plus juste de dire "les passages de l'Opéra", car en plus des deux galeries, des couloirs obscurs menant de la sortie de l'Opéra à la rue Grange-Batelière. Le passage qui communique de la rue Le Peletier à la rue Pinon (Rossini) a été formé lors de la construction du théâtre. Les deux autres passages, connus sous les noms de galeries du baromètre et de l'horloge qui ont été ouverts sur la propriété du vicomte Morel de Vindé, pair de France. La largeur de chacune de ces galeries est de 3 mètres 74. Une autre voie avait été ouverte sous le théâtre de l'Opéra LzPeletier, il fallait descendre quelques des marches pour aboutir rue Grange-Batelière ( aujourd'hui rue Drouot). Un certain sieur Fuselier construisit un important immeuble en façade sur le boulevard des Italiens. Il comprenait 70 boutiques et 41 grands appartements. De nombreux cafés et restaurants*, des petits théâtres, dont celui de Monsieur Chirac qui donnait en privé des pièces érotiques, certains disent mêùme pornographiques ! De très nombreuses marcheuses y déambulaient la nuit, la fermeture réglementaire sur le boulevard était à minuit, mais s'ouvrait alors une entrée occulte donnant sur le passage
*Le restaurant Grossetête, le café Leblond, le Divan Le Peletier, le café Certa.
00:05 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : morel de vindé, grossetête, le café leblond, le divan, le café certa, chirac, fuselier | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
01/02/2007
Un guide du quartier Trudaine Rochechouart
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