09/11/2007
QUELQUES HISTOIRES D'HERMAPHRODITES A TRAVERS LES SIECLES
PAR BERNARD VASSOR
06:45 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : HELVETIUS, DIDEROT, GRIMM | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
08/11/2007
ARLES, LES ALYSCAMPS, HIER ET AUJOURD'HUI
PAR BERNARD VASSOR
00:05 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
07/11/2007
MARIE PLEYEL, PIANISTE VIRTUOSE, "SYNESTESISTE"
Une des plus grandes pianistes du dix neuvième siècle, Marie-Félicie Moke est née à Paris le 4 juillet 1811. Son père était Belge, et sa mère était Allemande modiste dans le deuxième arrondissement (ancien) à Paris. Ses parents confièrent l’éducation musicale de la très jeune enfant prodige Maire-Félicie à Henri Herz musicien virtuose et facteur de piano avec son frère, 64 rue de la Victoire (il fut aussi un certain temps l’amant de la Païva qui le conduisit à la ruine). La jeune enfant se produisit en concert, dès l’age de huit ans. « Synéstésiste »on disait d’elle :"Marie-Félicie Moke voyait les tons et entendait les couleurs". Hector Berlioz qui fut son fiancé avait déclaré qu’elle n’avait pas du talent, mais du génie ! QuandIl apprit son mariage avec Camille Pleyel au cours d’un déplacement à Rome, ivre de rage et de jalousie, il acheta un pistolet et rentra précipitamment à Paris pour tuer l’infidèle. Fort heureusement, il ne mit pas son projet à exécution, mais il l’a poursuivit de sa haine maladive dans des pamphlets publiés dans des gazettes musicales jusqu’à sa mort. Frédéric Chopin et Franz LiSzt furent ses principaux adorateurs ainsi que Esprit Auber, Félix Mendelssohn, Robert Schumann, les écrivains et artistes Félix Avers Gérard de Nerval, Alfred de Musset , Alfred Tattet, Alexandre Dumas , Eugène Delacroix, Eugène Sue, Victor Schoelcher.
Marie Pleyel mourut en 1875 près de Bruxelles.
Sources
Fétis, François-Joseph (1784-1871). Biographie universelle des musiciens, 8 volumes et 2 suppléments 1860-1868, T VII et VIII ET SUP II, librairie Firmin-Didot Paris 1867-1868.
Lire aussi l'article "Les Pleyel au carrefour de la musique" sur le site de parisneuvieme.com
23:50 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : Esprit Auber, Félix Mendelssohn, Robert Schumann, les écrivains et artistes Félix Avers Gérard de Nerval, Alfred de Musset, Alfred Tattet, Alexandre Dumas | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
03/11/2007
LA GUILLOTINE RE SUITE...
PAR BERNARD VASSOR
21:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
ISAAC ALBENIZ
PAR BERNARD VASSOR
14:50 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : PAUL DUKAS, LAURA ALBENITZ | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/10/2007
CURTIUS LE MUSÉE DE CIRE DU BOULEVARD DU TEMPLE AU XVIII° SIECLE
PAR BERNARD VASSOR
Suite de l'article "Musée Grévin"
C'est à côté du Théâtre Sans-Prétention, boulevard du Temple que le médecin allemand Curtz (dit Curtius) en 1782, avait installé son cabinet de cire. Il était auparavant au Palais Royal. Cet artiste modelait des sujets grandeur nature. Il y avait deux salles, la première était consacrée aux personnages célèbres, la seconde : "La caverne des grands voleurs" représentait des brigands de toutes sortes. Il vendait également des figurines érotiques "sous le manteau". Il apprit à Marie Grosholtz, sa bonne, venue le rejoindre à Paris l'art de modeler. Celle-ci, après la mort de Curtius prit sa succession et se maria à un nommé Tussaud. En 1802, Marie se rend à Londres pour y présenter sa collection de figurines. Elle ne quittera plus cette ville et ouvrira à Baker Street le musée qui existe tet qui porte son nom.
Il y avait pendant la révolution française d'autres cabinets de marbre et de cire. L'un "boulevard Martin" à l'emplacement de l'ancien Opéra. Et d'autres cabinets de ce genres existaient dans Paris, mais étaient des succursalles de ces deux-là.
18:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
15/10/2007
MARIE GODEBSKA DITE MISIA
PAR BERNARD VASSOR
UNE ÉGERIE DU GROUPE NABI, UNE DES "PLUS BELLES FEMMES DE PARIS"
03:45 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : Mallarmé, Valéry, Coco Chanel, Cocteau, Paul Morand, Debussy, Radiguet | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
06/10/2007
MAURICE MAC-NAB : le bonhomme en bois
PAR BERNARD VASSOR
Tout en lui était en bois disait-on : l'allure, le geste, la voix. Il était venu au Chat Noir réciter Baudelaire et Edgard Poe , n'ayant pour tout répertoire que des chansons-réclames pour une fabrique d'appareils de chauffage et des médicaments. Prié de les dire, il provoqua une telle hilarité quand il entonna la chanson de la pommade Galipeau, qu'il se lança dans la composition de pièces fantaisistes et sociales. Il est mort à vingt huit ans à l'hôpital Lariboisière en 1889.
Né à Vierzon, ancien employé des postes, il soutint les grèves des mineurs de son pays natal :
Les citoyens, dans un élan sublime,Étaient venus guidés par la raison.
A la porte, on donnait vingt-cinq centimes
Pour soutenir les grèves de Vierzon.
Bref, à part quat' municipaux qui chlingue(nt)
Et trois sergots déguisés en pékins,
J'ai jamais vu de plus chouette métingue,
Que le métingu' du métropolitain !
Y avait Basly, le mineur indomptable,
Camélinat, l'orgueil du pays...
Ils sont grimpés tous deux sur une table,
Pour mettre la question sur le tapis.
Mais, tout à coup, on entend du bastringue;
C'est un mouchard qui veut fair' le malin !
Il est venu pour troubler le métingue,
Le grand métingu' du métropolitain!
Moi j' tomb' dessus, et pendant qu'il proteste,
D'un grand coup d' poing, j'y renfonc' son chapeau.
Il déguerpit sans demander son reste,
En faisant signe aux quat' municipaux.
A la faveur de c'que j' étais brind'zingue
On m'a conduit jusqu'au poste voisin...
Et c'est comm'ça qu'a fini le métingue,
Le grand métingue du métropolitain!
MORALE
Peuple français, la Bastille est détruite,
Et y a z'encor des cachots pour tes fils !...
Souviens-toi des géants de quarante-huite
Qu'étaient plus grands qu' ceuss' d'au jour d'aujourd'hui.
Car c'est toujours l'pauvre ouvrier qui trinque,
Mêm' qu'on le fourre au violon pour un rien...
C'était tout d' même un bien chouette métingue,
Que le métingu' du métropolitain!
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30/09/2007
LES "BOUILLONS"
PAR BERNARD VASSOR
08:50 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
17/09/2007
CAILLEBOTTE , SUITE
PAR BERNARD VASSOR
CLAUDE MONET : LE PETIT-GENNEVILLIERS
Le père de Gustave Caillebotte, normand d’origine a épousé Céleste Daufresne, née à Lisieux. Martial Caillebotte, sous Louis-Philippe, puis sous Napoléon III, dirige une entreprise qui fabrique de la literie et du matériel pour l’armée. Tout comme son confrère le marchand de fournitures de toiles de tentes puis d'habillement militaire et enfin la fabrication de chaussures Alexis Godillot, ils vont amasser une immense fortune grâce aux nombreuses guerres du second empire "L'Empire c'est la paix" était le slogan des adeptes de "Napoléon le Petit."
Gustave est né le 19 août 1848, au 160 rue du faubourg Saint-Denis, dans le cinquième arrondissement. Son père acheta une grande propriété à Hyères, tout comme Alexis Godillot. Tous les deux sont bonapartistes, commerce oblige…
Gustave a eu deux frères dont l'un futprêtre et l'autre, Martial musicien et photographe. En 1866 Caillebotte père achète à la ville de Paris un lotissement à l’angle de la rue de Miromesnil. Pendant le siège de Paris, Gustave Caillebotte est Garde national dans la dixième légion, démobilisé au mois de mars 1871, nous ne savons pas ou il se trouve pendant la Commune, mais, il ne figure pas dans la liste (d’ailleurs fausse) publiée par le "Journal Officiel"des membres de la Fédération des Artistes de la Commune, dirigée par Courbet. Il fréquente ensuite les ateliers des peintres académiques Bonnat, Cabanel,, Léon Gérome* (qui sera parmi les plus acharnés avec Alfred Stevens dans les attaques contre les impressionnistes) En 1874, l’immeuble de la rue de Miromensil est surélevé pour construire un atelier pour Gustave. Il ne participe pas à la première exposition chez Nadar, mais à la deuxième chez Durand-Ruel.. Il participa ensuite à toutes les autres expositions impressionnistes, sauf la dernière à la Maison dorée en raison d’un désaccord profond avec un des participants. Ce que l'on ne dit pas assez, c'est que le frère de Gustave, en plus d'être musicien, était un photographe chevronné, ci qui a beaucoup influencé "la vision photographique des toiles de Caillebotte" comme le diqait un critique de l'époque.Les frères Caillebotte achètent une propriété à Gennevilliers au bord de la Seine, face à Argenteuil. En 1882 il présente dans l’ancienne salle Valentino 17 toiles, en compagnie de Gauguin, Renoir, Monet, Sisley (tous familiers de la boutique du père Tanguy) En 1885, Caillebotte devient le parrain de Pierre Renoir, le grand-père de notre « marraine » l’actrice Sophie Renoir. Gustave achète de nombreuses propriétés et immeubles à Gennevilliers dont il devient conseiller municipal, tout comme Godillot qui fut un temps maire de Sain-Ouen. Le quartier dit « Le Petit Gennevilliers » se trouvait entre le pont d’Argenteuil et le pont de Colombes, actuellement emplacement du port de Gennevilliers. L’arrivée du chemin de fer dans les années 1850, va faire de ce lieu très chic le rendez-vous des canotiers. Des guinguettes vont s’installer et permettre des chantiers de construction de bateaux faisant petit à petit de cet endroit un quartier industriel, qu'il est resté aujourd'hui encore.
*Léon Gérome était également le gendre d'Adolphe Goupil, "le patron" des frères Van Gogh. Il a eu pour modèle dans son atelier du 65 boulevard de Clichy, "La Ségatori" qui ouvrit plus tard un cabaret j en face de l'atelier de Gérome : Le Tambourin
13:00 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/09/2007
A PROPOS DU LEGS CAILLEBOTTE
Baltasar Gracian, Maximes, Paris, Rollin fils 1730
23:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/09/2007
ALEXANDRE DUMAS, LA COLONNE VENDÔME ET LE LATIN....
16:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : jean darnel, joseph méry, alexandre dumas, thomas jegler, colonne vendome | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
29/08/2007
L’ABSINTHE
PAR BERNARD VASSOR
Ainsi qu’une abeille au matin
Va sucer les pleurs de l’aurore
Ou sur l’absinthe ou sur le thym.
Voltaire
Les antialcooliques sont des malades en proie à ce poison, l'eau, si dissolvant et corrosif qu'on l'a choisi entre autres substances pour les ablutions et lessives, et qu'une goutte versée dans un liquide pur, l'absinthe, par exemple, le trouble.
Alfred Jarry
Cette plante a été chantée par les plus grands écrivains et poètes qui en ont usé et abusé de madame de Sévigné, Labruyère, Charles Nodier, Alfred de Muset à Charles Cros en passant par Lamartine, Victor Hugo, Verlaine et Rimbaud.
Nous buvons des absinthus qui me cassent la poitrine, et nous jouons au sempiternel domino qui nous abrutit (...) Je me rend presque toujours à mon étude la bouche pâteuse et l'oeil absinthé; cs petites débauches sont d'un salutaire effet pour la discipline
.............(Alphonse Daudet)........... ..
Daudet qui cumula les effets de l'absinthe, de la syphilis et de la morphine pour calmer les douleurs dues à la maladie en phase ultime qui étaient insoutenables. Dans une confession posthume, Daudet décrivit sont calvaire dans : "La Doulou, dictante dolore"
(Sous la ditée de la douleur )
Le nom de cette plante provient du grec apsinthion, qui signifie qu’il est impossible de boire. C’est une plante de la famille des composées . D’une odeur forte et pénétrante, et d’une saveur amère. L’utilisation intensive de la liqueur d’absinthe a provoqué des ravages jusqu’à son interdiction en 1914 par le préfet Hennion (le créateur des Brigades du Tigre). Le principe actif, l’absinthine, allait jusqu’à provoquer des crises d’épilepsie et il n’était pas rare sur les boulevards, « à l’heure de la fée verte » de voire des médecins appelés à la hâte dans les cafés des boulevards, soigner des client en pleine crise de delirium ou d’épilepsie. Les bagarres provoquées par l'abus de la boisson se produisaient plusieurs fois par jour, l'odeur d'absinthe se répandait sur les terrasses du boulevard Montmartre dès cinq heures du soir. C'était avec la syphilis le plus grand fléau du dix neuvième siècle. l'utilisait souvent panachée avec d'autres plantes, anis, menthe,
Elle a été classée par Linné sous le nom d'ARTEMISIA ( artemisia absinthium).
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LA SOCIETE DES AQUAFORTISTES, CONTRE -OFFENSIVE DES PEINTRES A L'EGARD DE LA PHOTOGRAPHIE
PAR BERNARD VASSOR
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26/08/2007
EUGENIE BUFFET
PAR BERNARD VASSOR
Néanmoins reprenons quelques faits avoués et revendiqués par la chanteuse : Très jeune elle prit le bateau pour Marseille, où pour vivre, elle chantait dans les rues, les guinguettes, et dans "des bars louches". Elle eut l'occasion d'aller écouter la chanteuse Amiati, célèbre à l'époque. Son répertoire patriotard et revanchard eut un écho favorable dans tout le pays.
A propos de Godillot, voire aussi l'article sur PARIZINE du 3 août 2005
16:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : eugenie buffet | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
PARIS DISPARU, LE CAFE CERTA ET LES "DADA"
PAR BERNARD VASSOR
« Il n’y a personne des dadas monsieur », répondait la caissière du « Certâ » à Aragon quand il appelait un ami ! »
Le passage de l’Opéra qui reliait le boulevard des Italiens (6), à la rue Le Peletier (8), comportait également deux galeries (de l’Horloge, et du Baromètre). La partie dite passage de l’Opéra avait été formée lors de la construction de « l’Académie Royale de Musique », et allait de la galerie du thermomètre jusqu’à la rue Pinon, emplacement actuel de « l’Hôtel des ventes Drouot rue Rossini ». Ils avaient été ouverts par le Vicomte Morel de Vindé, pair de France, le 21 juillet 1822 et le 16 avril 1823. La largeur de ces galeries était de 3,74 mètres.
C'est là que se réunissaient les membres du groupe autour de Tristan Tzara
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10/08/2007
TOULOUSE-LAUTREC, ARISTIDE BRUANT, "A BATIGNOLLES."
PAR BERNARD VASSOR
Avec ses ch'veux couleurs de feu,
On croirait voir eun' auréol,
A Batignolles.
20:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : TOULOUSE-LAUTREC | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
07/08/2007
RICHARD WAGNER ET JUDITH GAUTIER, UNE PASSION AMOUREUSE
PAR BERNARD VASSOR
11:05 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
01/08/2007
L'ENIGMATIQUE OLYMPE CHOZDKO
PAR BERNARD VASSOR
09:40 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : Olympe Chodzko, Marie Dorval, Flora Tristan, Jules Sandeau, Luguet, Gustave Planche, Stéphane Michaud | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
28/07/2007
UN FAIT-DIVERS DANS UNE MAISON DE TOLERANCE A ARLES
PAR BERNARD VASSOR
21:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
27/07/2007
A PROPOS DE LA CORRESPONDANCE VAN GOGH
PAR BERNARD VASSOR
15:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
24/07/2007
BAUDELAIRE, MANET, MADAME PAUL MEURICE,LES FRERES CHARLES ET FRANCOIS HUGO,ROGEARD
PAR BERNARD VASSOR
22:40 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : BAUDELAIRE, MANET, MADAME PAUL MEURICE, LES FRERES CHARLES ET FRANCOIS HUGO, ROGEARD | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg