09/07/2008
LE CENACLE DE LA RUE FROCHOT CHEZ "LA PRESIDENTE" Apollonie sabatier
PAR BERNARD VASSOR
09:50 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : Baudelaire, Théo Gautier, Maxime du Camp, Virginie Huet, Honorine Huet, Auguste Préault, Jules Turgan | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/07/2008
UN COMMERCE DE PROXIMITE AU 14 RUE MONTHYON, AUJOURD'HUI DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
Rappelons pour mémoire, que le prix Monthyon est décerné chaque année depuis 1832 pour récompenser des personnes vertueuses
16:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
04/07/2008
INEDIT : RUE CLAUZEL, UNE ERREUR SUR L'ADRESSE DE GUY DE MAUPASSANT
PAR BERNARD VASSOR
Avis aux montreurs d'ours et pilleurs en tous genres, cette information est totalement inédite et ne saurait faire l'objet d'une quelconque utilisation, comme il est de coutume chez certains adeptes du copié-collé..... Cela faisait trois ans que je pataugeais, à la suite de doutes déjà émis par Paul Léautaud en 1931 et consignés dans un article que j'avais publié sur un autre site.
Mise à jour le 4 juillet 2008
Jusqu'à aujourd'hui, les preuves manquaient parce que les recherches aux archives de Paris portaient sur le numéro 19. Le 17 avait été délaissé, mais une lecture attentive du calepin du cadastre m'a permis de constater une erreur, une faute d'orthographe de l'employé aux écritures Maupassant était inconnu au moment de l'enregistrement lui a fait écrire MONTPASANTpour Maupassant. Les dates correspondent bien, de 1877 date (fiscale) d'entrée, jusqu'en 1882. Il résidait au deuxième étage et demi, côté rue Clausel (sic) et quatrième étage par rapport à la rue Laferrière. Dans deux jours, c'est l'anniversaire de la mort de Guy de Maupassant.
Madame Odette Christienne à l'Hôtel de Ville, à qui j'ai donné la primeur de ces informations et qui est très pointilleuse pour tout ce qui concerne la vérité historique m'a conseillé de faire modifier et déplacer la plaque par les services compétents de la Mairie de Paris, ce que je vais demander, dossier historique à l'appui.
Il y a longtemps que je pensais que l'adresse indiquée 19 rue Clauzel sur une plaque commémorative était fausse. Aujourd'hui, la preuve est faite, ce n'est pas au 19, mais bien au 17 que vécut l'auteur de Bel Ami. Dans une lettre de Harry Alis son ami, reproduite dans le Mercure de France, un article d'Auriant rectifia l'erreur qui avait été commise plusieurs années auparavant. Le titre de l'article du Mercure est : 17 rue Clauzel, à propos de la pose d'une plaque.
Au numéro 19, c'est le "Fumiste Hydropathe" Achile Mélandriqui eut un appartement et un atelier photographique au cinquième étage. Pour ce qui concerne Maupassant, le calepin du cadastre est muet à ce sujet. Mais, c'est une indication qui m'a mise la puce à l'oreille : dans une lettre à un ami où Maupassant signalait que l'on sonnait souvent à sa porte, les visiteurs se trompaient d'étage, croyant avoir accès au lupanar qui était installé dans son immeuble . Or, ce lieu de débauche se trouvait au numéro 17. De sa fenêtre, il voyait au deuxième étage du numéro 14 une "fenestrière", qui exerçait là sa noble profession depuis une dizaine d'années. Peut-être que la nouvelle "Le Signe" lui a-t-elle été inspirée par cette travailleuse surveillée par la police.
Auriant a écrit en 1931 : "Le jour où on déplacera la plaque-stèle du numéro 19 au numéro 17 de la rue Clauzel, qu'en même temps on scelle un morceau de marbre sur la façade du 24 de la rue Vauquelin. Celui qui vécut là est digne d'un tel hommage." Nous sommes en 2008, la plaque est toujours au numéro 19, et rien n'a été entrepris pour la mémoire d'Harry Alis. Le 24 rue Vauquelin est maintenant l'emplacement
.Il y a peu de chances pour que l'on déplace la plaque, peut-être "Les Amis de Maupassant" avec le concours de "la Société des Gens de Lettres" qui répareraient ainsi l'injustice d'avoir refusé l'entrée d'Alis parmi ses membres*, pourraient-ils intervenir ?
Trouver par souscription le financement des travaux. Je peux me charger des démarches auprès de la préfecture de la Seine si nécessaire.
*C'est Fortuné du Boisgobey auteur de romans populaires qui s'opposa farouchement à cette élection.
21:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
19/05/2008
A BORDEAUX, L' ETRANGE DISPARITION DU PERE TANGUY
PAR BERNARD VASSOR
12:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/05/2008
MAUPASSANT NON-CANDIDAT A L'ACADEMIE FRANCAISE
PAR BERNARD VASSOR
20:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/04/2008
LES PEINTRES ET ECRIVAINS ANARCHISTES A LA FIN DU DIX-NEUVIEME SIECLE
PAR BERNARD VASSOR
09:42 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
08/04/2008
HONORE DE BALZAC... INVENTEUR DE LA PUBLICITE REDACTIONNELLE
PAR BERNARD VASSOR
(...)"et dit à son ami habillé par Buisson, chez qui nous nous habillons tous, et monté sur vernis comme le premier duc venu:-"
Eugénie Grandet :
(...)"Mais les bagages de l'amour sont les charmes de la jeunesse; Mais un habit dû à Buisson, une paire de gants prise chez Boivin, des bottes élégantes que l'industriel tremble d'avoir fournies, une cravate bien nouée, suffisent à un homme pour devenir le roi d'un salon; Mais enfin les militaires, quoique l'engouement pour la graine d'épinards et l'aiguillette"
*J'ai dans mes archives la facture d'un carrosier loueur de calèche rue Bergère, un certain Panhard....Dans cette lettre de relance, il réclame son dû pour la location d'une voiture que Balzac avait louée pour se rendre au procès Peytel.
10:45 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : BALZAC, BUISSON, PEYTEL | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
25/03/2008
DANS LE CADRE DE LA SEMAINE VINCENT VAN GOGH : LES IRIS.....
PAR BERNARD VASSOR
Quand il a peint ces fleurs, Vincent ne connaissait sans doute pas les espèces hybrides japonaises que des horticulteurs avaient entrepris l'hybridation depuis des siècles. Un grand collectionneur nippon, "Matsudarai Shoo, (1773-1856)* a porté l'iris à la perfection en améliorant les couleurs, les formes, les caractères et le nombre de pétales de la fleur". Les japonais les ont d'abord nommés hana-ayame, puis aujourd'hui hanashobu. Il existe en Europe, en Afrique et en Amérique, plusieurs centaines d'espèces. On attribue à cette plante plusieurs vertus thérapeutiques, et la faculté de pouvoir chasser les mauvais esprits...C'est peut-être la raison pour laquelle, la ville d'Auvers-sur-Oise voit refleurir chaque année des dizaines d'espèces spectaculaires.
Michel Jourdheuil, Chargé de mission pour les parcs et jardins, Conseil général du Val de'Oise : Vivre en Val d'Oise, avril-mai 2004.
10:50 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/03/2008
Henri-Antonin Dubost, "le père-la-pudeur" est mort victime du devoir au 10 rue des Martyrs
PAR BERNARD VASSOR
08:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
28/02/2008
Un cent cinquantenaire passé sous silence !!!
PAR BERNARD VASSOR
13:26 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/02/2008
MONSIEUR DE CHIRAC ET "LE THEATRE REALISTE" DU PASSAGE DE L'OPERA EN 1890.
PAR BERNARD VASSOR
07:45 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
25/01/2008
UN MARCHAND DE COULEURS CHANSONNIER, URBAIN ROCOUX DIT PAUL BURANI.........LE SIRE DE FISH-TON-KAN
Par Bernard Vassor
On peut lire la chose suivante à propos de Paul Burani sur le site pompe aspirante et fourre-tout Wikipedia le 25 janvier 2008 :
Le Sire de FISH-TON-KAN 1870...Cette chanson a été écrite pendant et à propos de la Commune de Paris (sic...).
Comme quoi, il faut toujours se fier aux informations historiques sur internet.... Cette chanson était un pastiche du Sire de Framboisy*, destinée à ridiculiser "Badinguet" pendant la guerre de 70. Pendant la Commune de Paris, il fut nommé président du Comité de la "Fédération Artisitique" chargé de l'organisation des représentations théâtrale (dont le siège était à l'Alcazar d'hiver, 10 rue du faubourg Pöissonnière).
Paul Burani, de son véritable nom Urbain Rocoux ( Burani est l'anagramme d'Urbain), a été poète* auteur, éditeur de musique, secrétaire de Timothée Trimm (Leo Lespès) rédacteur en chef de "La Rive Gauche", journal des cafés-concerts. Chansonnier, auteur dramatique, il a écrit de nombreuses pièces et vaudevilles des opérettes et des revues en collaboration** (la pièce la plus célèbre est : "François les Bas-Bleus"). Au journal l'Estafette, il rédigeait le courrier des théâtres sous le pseudonyme de Strapontin et ses chroniques étaient signées Cacambo. Il obtint des triomphes à Marseille, au Casino à Lyon, à l'Eldorado après la Commune de Paris. C'est en 1875, qu'il ouvrit une boutique de marchand de couleurs à Marseille !!!
Pendant la Commune, il est bien l'auteur d'un Chant de l'Internationale, qu'il ne faut pas confondre avec la chanson d'Eugène Pottier qui ne sera mise en musique, elle que des années plus tard.
Chant de l'Internationale
Fils du travail obscur, farouche,
Debout à la face du ciel !
Viens que ton coeur et que ta bouche
Proclament ton droit immortel.
Plus de parias, plus d'ilotes,
Regarde l'avenir prochain
Plus de tyrans, plus de despotes,
Devant le peuple souverain.
REFRAIN
Le drapeau de l'Internationale
Sur l'univers est déployé
C'est la révolution sociale,
c'est la révolution sociale,
Par le travail et la fraternité.
C'est la révolution sociale,
c'est la révolution sociale,
Par le travail et la fraternité.
Que veut dire ce mot : Patrie
Que veut dire ce mot : soldat,
La guerre n'est qu'une infamie,
La gloire un grand assassinat.
Avec l'enclume et la charrue
II faut combattre désormais :
Que l'univers entier se rue
Sous la bannière du progrès.
Le travail, c'est la loi commune,
Le devoir : aimer son prochain.
Que la misère ou la fortune
N'arment plus le bras d'un Caïn !
Le hasard fait le prolétaire,
La richesse est un bien d'en-haut
Il faut citoyen sur la terre,
L'égalité pour seul niveau.
Religion, divine flamme,
Des mondes sublime flambeau,
Partout c'est l'ignorance infâme
Qui s'abrite sous ton drapeau ;
Tes ministres qu'on doit maudire,
Peuvent dérober la clarté,
Les peuples apprendront à lire
Au livre de la liberté.
Rois vous élevez des frontières
Séparant peuples et pays,
Et de tous les peuples, des frères,
Vous avez fait des ennemis ;
Ce n'est plus la bête de somme
Des tyrans subissant des lois
Le peuple avec les Droits de l’Homme,
Va briser le sceptre des rois.
Laboureur, paysan, la terre
C'est ton outillage, ton pain ;
L'ouvrier des villes ton frère
Ne demande pas d'autre bien.
Le travail ne veut plus d'entrave
Plus de veau d'or, plus d'exploiteur,
Le Capital n'est qu'un esclave
Le vrai roi, c'est le travailleur.
Nous pouvons citer entre autres chants populaires ;
"Les Baisers", "Les Pompiers de Nanterre", "à Chaillot" "ma bonne femme" "Ousqu'est ma Sophie ?". Il a publié un volume de vers sous pseudonyme : Oronte. Ses activités lui valurent quelques villégiatures à Sainte-Pélagie.
*Chansons de 1855, d'Ernest Bourget "à qui l'on doit la création de la SACEM".
**(William Busnach avec Paul Burani) "Les Boniments de l'année", Paris, Athénée-Comique, 28 décembre 1877 et, "J'ai passé par là" au Théâtre des Arts en 1880.
LE SIRE DE FISH TON KAN, paroles de Burani : PAUL BURANI LE SIRE DE FISH-TON-KAN.pdf
A SUIVRE
19:30 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
14/12/2007
L'ABSINTHE
par Bernard Vassor
Les initiés aux mystères d’Isis portaient des rameaux d'’absinthe
Ainsi qu’une abeille au matin
Va sucer les pleurs de l’aurore
Ou sur l’absinthe ou sur le thym.
Voltaire
Le nom de cette plante provient du grec apsinthion, qui signifie qu’il est impossible de boire. C’est une plante de la famille des composées. D’une odeur forte et pénétrante, et d’une saveur amère. L’utilisation intensive de la liqueur d’absinthe a provoqué des ravages jusqu’à son interdiction en 1914 par le préfet Hennion (le créateur des Brigades du Tigre). Le principe actif, l’absinthine, allait jusqu’à provoquer des crises d’épilepsie et il n’était pas rare sur les boulevards, « à l’heure de la fée verte » de voire des médecins appelés à la hâte dans les cafés des boulevards, soigner des client en pleine crise de delirium ou d’épilepsie.
A SUIVRE
09:05 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
13/12/2007
A PROPOS DE LA DÉMOLITION DE LA COLONNE VENDÖME
PAR BERNARD VASSOR
Aujourd’hui encore, beaucoup d'historiens se posent la question de la responsabilité de la démolition de la colonne Vendôme par Gustave Courbet. Il est pourtant clair que si Courbet était en charge pendant la Commune de l'exécution d'un décret de la commiossion executive de ladite Commune, il a cherché à préserver les bas-reliefs qu'il jugeait comme étant des oeuvres d'art. Il n'était pas élu au moment où le décret fut promulgué sous l'impulsion de Félix Pyat et surtout des membres du Comité de Salut Public. Ce que Courbet proposait en réalité d'après ce qu'il en a dit, c'était de déplacer cette colonne que beaucoup considéraient comme un symbole des guerres Napoléoniennes. Il faut se reporter aux proclamations de ses principaux accusateurs moins de 9 mois avant le soulèvement des Parisiens, pour constater que la justice du début de la troisième république était pour le moins aveugle et sélective. C’est fin septembre 1870 que « le Journal des Débats », par la parole de son patron l'adepte d'Auguste Comte, le positiviste Ratisbonne, , demandait : « Qu’on refonde au besoin la place Vendôme et ce bronze que n’ont jamais regardé les mères, trophée de nos fatales victoires et qui servira du moins, pour finir au salut de la patrie » Cette phrase n’étant pas très compréhensible, cinq jours plus tard, le 2 octobre, le journal revenait à la charge avec le soutien des citoyens Hérisson, avocat à la cour de cassation, maire, docteur Robinet adjoint au maire du sixième arrondissementet André Rousselle avocats ; Jozon, le docteur Goupil (qui sera membre de la Commune) qui ont signé cette déclaration commune : Outre l’utilité matérielle de cette mesure, il y aurait un avantage moral immense à débarrasser la France républicaine d’une image odieuse qui rappelle outrageusement une race exécrable et maudite ».
Jules Ferry, le lendemain, fit adopter cette proposition par toutes les mairies de Paris; il fit dresser des trétaux sous la porte cochère de la mairie de Paris et là il appuya de ses discours la provocation et l'adhésion à la démolition de la colonne (Bulletin officiel de la municipalité de Paris du 2 octobre et jours suivants). Nous pouvons ajouter à la liste les frères Ernest et Athur Picard, les citoyens Delaby, Vinot, Camille Adam etc..
Archives de Paris
Guide des sources du mouvement communaliste et de la Commune de Paris, La documentation Française, 2007
Archives B.V.
15:35 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
28/11/2007
Pour faire suite à l'article "QUELQUES HISTOIRES D'HERMAPHRODITES A TRAVERS LES SIECLES
PAR BERNARD VASSOR
11:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
27/11/2007
LE DOCTEUR GIRAUDY, UN HUMANISTE A CHARENTON
PAR BERNARD VASSOR
17:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
EMMA LIVRY, UNE HISTOIRE TRAGIQUE A L'OPERA
PAR BERNARD VASSOR
07:00 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
19/11/2007
LA PENDULE A AIR COMPRIMÉ, UNE INVENTION SANS LENDEMAIN
PAR BERNARD VASSOR
19:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
15/11/2007
HISTOIRE DE LA PHOTOGRAPHIE
PAR BERNARD VASSOR
C'est Charles-Louis Chevalier (1804 - 1859) qui créa une chambre pliante à mise au point à crémaillère. Cette invention fut suivie, en 1841, par le premier appareil en cuivre muni d'un objectif de focale F:3/6 qui donnait des daguerréotypes circulaires de 94 mm de diamètre alors que l'autrichien Pierre-Guillaume Voïgtländer (1812 - 1878) fabriqua un objectif avec un double système de lentilles.
09:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
13/11/2007
JACQUES OFFENBACH SUR UN VOLCAN !
PAR BERNARD VASSOR
18:46 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
LE PROPHETE SAC-A-DIABLE
PAR BERNARD VASSOR
03:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
12/11/2007
UNE GALEJADE D'AMBROISE VOLLARD
PAR BERNARD VASSOR
Il est parti il y a une minute. Il était venu accrocher ce tableau des Tournesols*, puis il est sorti aussitôt."
(C'est moi qui souligne, car ce garçon, semble très attaché comme le médecin de molière au poumon, lui, c'est le tournesol, le tournesol vous dis-je)
..........................................................................
Fort bien, ledit biographe dit que Vollard était arrivé à Paris en novembre 1887, pour poursuivre ses études de droit. Nous connaissons, grâce à la correspondance entre Vincent et Théo, fait exceptionnel, nous n'aurions peut-être pas connu l'épisode qui va suivre si Théo n'était pas parti pour la Hollande dans le but de demander une premmière fois en mariage Johanna, et de demander à ses oncles un financement pour se "mettre à son compte". Les lettres 461F et 462Fnous donnent quelques indication sur les évènements qui ont conduit à la rupture et l'évictiojn de Vincent du cabaret. L'état de santé d'Agostina est inquiétant, d'après Van Gogh, elle se serait fait avorter, ou aurait fait une "fausse grossesse" mais il pense qu'elle sera rétablie dans deux mois. Il indique aussi qu'il attend le retour de son frère pour récupérer ses tableaux. D'après mes recherches, le Tambourin aurait fermé ses portes fin 1887, l'établissement ne figurant plus comme les années précédentes au "Bottin du Commerce" en 1888, ni 1889, ni 1890.
Un dessin-réclame DE 1886 pour le Tambourin du boulevard de Clichy nous donne des précisions sur l'établissement :
La devanture comporte deux entrées, l'adresse donnée est fausse, ( 60 boulevard de Clichy) "spectacles à 8 heures 30 ; Les Tziganes
L'inscription en gros caractères est "Cabaret le Tambourin", sur une autre enseigne en forme de tambourin il y a la mention : "La Butte"
Plus bas :
Déjeuner dîners et soupers, tous les samedi soirées hivernales de la Butte.
..............................................................
A SUIVRE..............................................
Maxime Lisbonne, « Le d’Artagnan de la Commune* »*dans son journal La Gazette du Bagne, publie cette annonce :
Marcel Cerf, Maxime Lisbonne le d’Artagnan de la Commune, éditions du Panorama (Suisse) 1967 (souvent largement copié, et pas très souvent cité)
*****Ludovic Némo est le pseudonyme d’Emile Bernard
Sophie de Juvigny conservateur du musée de Saint Cloud
10:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg