24/07/2007
CASANOVA GIACOMO GIROLAMO,CHEVALIER DE SEINGALT LA TRISTE FIN D'UN GRAND SEDUCTEUR
PAR BERNARD VASSOR
A SUIVRE..........
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23/07/2007
L'HOMME QUI A COUPE PLUS DE 400 TETES, ANATOLE DEIBLER
PAR BERNARD VASSOR
11:10 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/07/2007
LE QUADRILLE DE LA CHAISE LOUIS XIII. BRUANT TOULOUSE-LAUTREC
PAR BERNARD VASSOR
Ah ! mesdames qu'on est à l'aise
Quand on est assis sur la chaise
Louis XIII
Elle est à Rodolp', cependant
Pour s'asseoir d'ssus, faut aller chez Bruant
Au cabaret du Mirli
Au cabaret du Mirli
Du Mirli ton taine et ton ton
Du Mirliton
QUAND ON DIT QUE TOUT FINIT PAR DES CHANSONS :
Rodolphe Salis, avait oublié au cours de son déménagement du boulevard Rochechouart pour la rue de Laval, une chaise empaillée de style vaguement Louis XIII ordinaire. Le très pingre Rodolphe s'empressa d'aller la réclamer à son successeur Aristide Bruant. Celui-ci lui claqua la porte au nez. Obstiné, Salis envoya un de ses garçons, le père Bock, récuperer son "fauteuil Louis XIII". Devant sa clientèle ébahie, Bruant saisit la chaise, monta sur une table, et accrocha ladite chaise au plafond. L'histoire fit le tour de Montmartre, et juste à côté, Grille d'Egout et la Goulue obtiennent un franc succès à l'Elysée Montmartre en exectant "Le quadrille de la chaise Louis XIII". La chaise devint bientôt le symbole du Mirliton, et comme nous le voyons sur le tableau, tous les soirs, on réclamait la chanson ! Bruant monté sur une table l'interpêtait en battant la mesure avec sa canne.
18:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : Rodolphe Salis, Aristide Bruant, Toulouse-Lautrec | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
17/07/2007
JABLOCHKOFF OU JABLOCHKOV ?
PAR BERNARD VASSOR
Cette invention fut à l'origine de l'éclairage à arc. En 1878, on utilisa les "bougies" pour éclairer l'avenue de l'Opéra. Puis, c'est l'hippodrome, des théâtres, des grands magasins.
L'ingénieur repartit pour la Russie est mort oublié, dans un état de grande pauvreté. Aujourd'hui son nom resté méconnu, ne figure même pas dans les "Larousse que j'ai consulté.....
Ci-dessus, chandelier à dérivation pour utilisation continue
18:30 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/07/2007
AH ! QUE DIABLE ALLAIT-IL FAIRE DANS CETTE CLAIRIERE ? PHILIPPE LEBON, L'INVENTEUR DE L'ECLAIRAGE AU GAZ.
PAR BERNARD VASSOR
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01/07/2007
LES BAIGNEURS DE CEZANNE, UNE HISTOIRE "ABRACADABRANTESQUE"
PAR BERNARD VASSOR
Caillebotte à son tour décède, dans son testament il fait don de la totalité de sa collection au musée du Luxembourg. Cézanne ne tient plus de joie : Il va entrer au Luxembourg !!!.Il lance alors des insultes à l’égard de certains peintres académiques qui vont se venger en refusant l’entrée dans le prestigieux musée, et ainsi se débarrasser « du Leg Caillebotte ». Mais, ce sera l’objet d’un spectacle avec l’ATELIER PORTE SOLEIL , L’association « HISTOIRE ET VIES DU DIXIEME ARRONDISSEMENT » et notre association AUTOUR DU PERE TANGUY - Pour les journées du patrimoine au 57 rue des Vinaigriers 75010 Paris, mais vous serez informés ultérieurement.
La synesthésie étant à la mode, si on ne peut pas y faire entrer "Voyelles" de Rimbaud, le "Sonnet des sept nombres" entre parfaitement dans cette catégorie.
VOIRE L'ARTICLE DU 21 SEPTEMBRE 2006
Pour en finir avec "les Baigneurs", sachez que le tableau appartient désormais à la célèbres fondation Barnes
20:30 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : CEZANNE, VERLAINE, NINA DE CALLIAS, ERNEST CABANER, GUSTAVE CAILLEBOTTE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LOUISE BOURGOIN, dernière photographie
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25/06/2007
UN HOMME POLITIQUE CORREZIEN UN PETIT PEU MABOULE
PAR BERNARD VASSOR
Pierre-Jean-Georges Cabanis
. "Nous concluons avec la même certitude que le cerveau
digère en quelque sorte les impressions: qu'il fait
organiquement la sécrétion de la pensée."
« Le moral n'est que le physique considéré sous
certains points de vue particuliers ».
Le titre de cet article est très injuste, mais nous n'avons pas û resister à faire un mot. C'est un débat ouvert en l'an III par Oelsner, un silésien vivant à Paris pendant la révolution qui publia une note sur la guillotine. Un allemand Soemmering, anatomiste de réputation internationale lui répond alors par une lettre ouverte. Le sujet de la querelle vise la continuité de la vie après que le supplicié aiit eu la tête tranchée. Samuel Soemmering se dit convaicu qu'une tête coupée pourrait parler s'il était possible de lui insufler de l'air par les organes de la voix qui n'auraient pas été détruits.
Il appuya son affirmation sur une expérience effectuée sur un guillotiné : "A l'aide d'un trocard, j'explorais la moelle épinière sectionnée et le supplicié ferma les yeux dans une crispation, serra les dents de toutes ses forces, tandis que les muscles maxilaires remontaient vers les paupière". C'est ensuite au tour de Pierre-Jean-Georges Cabanis d'entrer dans la controverse. Ilest né au château de Salagnac à Cosnac en Corrèze au mois de juin 1757. Il fait des études de philosophie et de médecine. Il écrit des oeuvres scientifiques et soutient que le cerveau secrète la pensée, comme le foie secrète la bile. Il pense que "les têtes séparées de leur tronc peuvent ressentir les douleurs aïgues, il conclue que ces têtes où se trouve l'âme concentrée toute entière selon eux expriment ainsi les angoisses et les vives souffrances qu'elles éprouvent"
Au moment de la révolution, il rencontra Mirabeau avec qui il se lia et pour qui il écrivit des discours.
LE BON DOCTEUR GUILLOTIN
Entre alors dans la danse alors un autre professeur : Jean-Joseph Sue, père de l'auteur des "Mystères de Paris" . Son hypothèse est que dans le corps humain il existe deux caractères de sensibilité et qu'il n'existe pas de plus horrible situation que celle d'avoir la perception de son supplice (..)Plus l'action meutrière a de célérité et de précision, plus ceux qui y sont exposés conservent longtemps la conscience de l'affreux tourment qu'ils éprouvent; la douleur locale, à la vérité est moins longue, mais le jugement du supplice a plus de durée, puisqu'alors l'impression de la douleur avertit, avec la rapidité de l'le centre de la pensée de ce qui se passe" J'espère que le lecteur plus intelligent que moi aura compris le sens de cette pensée.
"il est vraisemblable que la sensibilité peut durer un quart d'heure [...] vu que la tête ne perd pas si tôt sa chaleur [...] et que si l'air circulait encore régulièrement par les organes de la voix, cette tête parlerait."
Cabanis fut le protégé de Turgot, il écrivit des oeuvres scientifiques sous la protection de madama Helvetius en
1790-1793, il publie divers rapports commandés par le directoire de Paris et requis par sa fonction de membre de la commission des hôpitaux. Il est élu à l'Institut le 15 décembre 1795 (classe des Sciences morales et politiques, section de l'analyse des sensations et des idées. Sa fidélité à Bonaparte lui vaut une nomination de Sénateur de l'Empire dans la première promotion. il n'y siégera pas, car il ne voulait pas avoir à entériner les décisions de Napoléon 1er. Avec son entrée au sénat s'achève en fait sa vie politique active. Il meurt le 5 mai 1808 à Rueil des suites d'une congestion cérébrale, son cœur est à Auteuil prés de Madame Helvétius; son corps fut déposé au Panthéon.
Corrézien de naissance, scientifique de haut niveau, homme politique sachant s’adapter aux situations, le titre de comte lui est attribué après sa mort, le 23 mai 1808.
Ce fut le père d'Eugène Sue, et le même qui soutint contre Cabanisla fameuse discussion à propos de la guillotine, lorsque son inventeur prétendit que les guillotinés en seraient quittes pour une légère fraîcheur sur le cou ; Jean-Joseph Sue était, au contraire, pour la persistance de la douleur, et il défendit son opinion par des arguments qui prouvaient sa science profonde de l'anatomie, et par des exemples pris, les uns chez les médecins allemands, et les autres sur nature.
Alexandre Dumas, Mémoires.........
21:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
23/06/2007
LE BANQUIER PEIXOTTE
PAR BERNARD VASSOR
Tous les dictionnaires nous donnent le nom de Peixotoa, ce maréchal Brésilien auteur d’un coup d’état en 1885, mais aucun ne nous indique le nom de ce grand banquier du dix-huitième siècle., grand défenseur de la plumasserie française et grand ami des animaux. Un précurseur de la S.P.A pourrait-on dire, il a, par ses expérimentations ornithologiques avec la demoiselle Dervieux permis à Buffon de faire un grand pas dans les recherches, et la communication sur les volatiles. Il apparait dans la correspondance de madame Gourdan, et dans "L'espion dévalisé" ( en 1782) en bonne place.
Ses expérimentations consistaient à se promener dans le plus simple appareil autour d'une pièce tel que la nature l'avait conçu, mais avec des plumes de paon fichées dans la partie réservée à cet animal pour faire la roue. Pendant ce temps, la dame devait lui prodiguer des caresses que la décence m'interdit de préciser. Ce banquier donc avait jeté son dévolu sur la Dervieux, (maitresse du prince de Soubise) qui s'étant fait construire un superbe hôtel rue de la Victoire, avait de gros besoins financiers .
On assure même que notre financier ne dédaignait pas les garçons et avait moyennant mille louis, converti un chanteur de la Comédie italienne à sa passion pour les volailles dont on n'a pas inventé le nom, il s'appelait Michu !.
11:50 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
20/06/2007
O KEWE MY, dernière minute.....
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18/06/2007
LES ARTISTES A L'ASSAUT DU MONT LESBOS
PAR BERNARD VASSOR
Chaste un peu moins que Pénélope ,
Il n'est rien e nous ne fassions
Pour fuir l'ennui qui nous galope.
Plumes en l'air, nez en avant,
06:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
12/06/2007
L'ENIGME DE LA SEPULTURE DE PRIVAT D'ANGLEMONT AU CIMETIERE MONTMARTRE ENFIN RESOLUE, OU PRESQUE !!!
PAR BERNARD VASSOR
06:55 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : BAUDELAIRE, MURGER, ALFRED DELVAU, SAINTE ROSE, GUADELOUPE, BALZAC, OULET MALASSIS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
10/06/2007
LE SUPPLICE DE LA LESCOMBAT, EMPOISONNEUSE
PAR BERNARD VASSOR
Cette punition était en général réservée aux maquerelles, que l'on faisait monter sur un âne à rebours et traverser la ville en 1755 jusqu'en place de Grève, sous les huées des braves gens, toujours très friands de ces spectacles d'humiliation,(et cela, à toutes les époques). Madame Lescombat avait fait assassiner son mari par son amant l'architecte Mongeot. Celui-ci fut condamné à être rompu vif. Le tombereau qui le conduisit sur le lieu du supplice à la Croix Rouge, mit une heure et demie à passer le pont Saint Michel, la rue Saint-André-des-Arcs, la rue de Bussy, et la rue du Four-Saint-Germain. L'exécuteur des hautes oeuvres s'étant foulé le bras, c'est son assistant "La Blancheur " qui fut chargé d'étendre sur la roue le condamné. Par malheur, ce qui fit murmurer la foule, les cordes qui devaient lier ses mains et ses pieds étaient trop courtes. Il fallut donc aller à Saint-Germain-des-Prés pour en chercher d'autres. L'office terminé, le cadavre déchiqeté resta sur place pendant deux jours. C'est une violente chute de neige qui abrégea lre spectacle offert à la multitude. Sur la place, il y avait un cabaret à l'enseigne de LA Croix-Rouge qui fit tant de bonnes affaires, qu'à bout de réserve de vin il donna une boisson si frelatée que la police lui en dressa un procès. Le hasard fit que lors de sa reconduite en prison la Lescombat traversant la place de la Croix-Rouge, vit le Corps de Mongeot, elle s'écria : "Ils lui ont mis la tête à ses pieds !"
Deux mois plus tard, Blanche Lescombat par arrêt du parlement après avoir subi la question ordinaire et extraordinaire fut conduite en place de grève comme une maquerelle, et pendue haut et court.
La MORT DE LESCOMBAT, Trag. en 3 Ac. imprimée au commencement du mois d'Octob. 1755. Toute la France a été informée des aventures de la Lescombat, convaincue d'avoir participé à l'assassinat de son mari, & dont le supplice a fait l'objet de la curiosité & des entretiens de tout Paris.
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UNE BROCHURE D'ALAIN POUILLART CONCERNAT ACHILLE LAVIARDE
Le prix de vente de sa brochure est de 6€ majorés de 2.80 pour les frais d'envoi
16:05 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : VERLAINE, RIMBAUD, LAVIARDE, JACQUELINE DUVAUDIER | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
02/12/2006
mise à jour le 20 février 2008
On abusa de sa célébrité pour publier une brochure portant son nom intitulée :
CE QUE JE PENSE D'HENRIETTE MARECHAL
DE SA PREFACE
ET DU THEATRE DE MON TEMPS
PAR PIPE-EN-BOIS
LIBRAIRIE CENTRALE
1866
Un grand in-octavo de 27 pages
Il désavoua publiquement cette brochure, mais d'autres placards affiches prospectus étaient proposés au public qui achetait aux crieurs, pourvu que le nom de Pipe-en-Bois figure sur l'imprimé.
Ce qui n'empêcha pas d'autres brochures comme celle-ci :
MON OPINION VRAIE
SUR
HENRIETTE MARECHAL
PAR
ACHILLE PIPE-EN-BOIS
La carrière de Georges Cavalier ne se borna pas à siffler, Gambettiste, il joua un rôle important pendant la République du 4 septembre, puis pendant la Commune de Paris.
18:05 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : princesse mathilde, debureau, jules vallès, edmond about, georges cavalier | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg