05/02/2009
Mystères Galans des théâtres de Paris
par Bernard Vassor
Histoire d'un livre:
10:39 Publié dans Histoire littéraire | Tags : baudelaire, rachel, legallois, privat d'anglement, l'abbé constant, baron pichon | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
21/01/2009
Cyrano de Bergerac, un pilleur de livres lunaires.....
Par Bernard Vassor
Rendons à César, ce qui revient à Pierre Borel....
14:15 Publié dans Histoire littéraire | Tags : pierre borel, cyrano de bergerac, françois godwin | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
18/01/2009
Le Théâtre Historique d'Alexandre Dumas
Par Bernard Vassor
17:56 Publié dans Histoire littéraire | Tags : chantal chemla, barbara cooper, claude schopp, jean-pierre galvan, fernando guerreiro, théodore katsikaros, odile krakovitch | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/01/2009
La dernière compagne, et les derniers domiciles d'Henri Murger
Par Bernard Vassor
11:34 Publié dans Histoire littéraire | Tags : 16 rue neuve-des-martyrs, manuel, murger, anaïs latrasse | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
02/01/2009
Point de lendemain, Un petit conte dans le genre libertin, par un baron, gentilhomme de qualité. Une histoire bibliophilique très alambiquée !!!
Par Bernard Vassor
La question de savoir qui était l’auteur de ce petit livre, n’a été résolue définitivement qu’en 1876.
C’est l’éditeur des « Fleurs du Mal », Auguste Poulet-Malassis qui s’en fit l’historien. Les multiples éditions parurent dans des recueils de pièces sous le nom de Dorat* (Claude-Joseph, 1734-1780). : "Coup d’œil sur la littérature, ou Collection de différents ouvrages tant en prose qu’en vers, en deux parties, par M.Dorat ; Amsterdam et Paris 1780". Donc, c’est l’année de la mort de Dorat que parut ce recueil. Mais c’est en 1777 que l’édition pré-originale, dirons-nous, fut publié dans un journal mensuel : « Mélanges littéraires ou Journal des Dames dédié à la Reine » du mois de juin. Le récit parut en tête du numéro avec pour en guise de nom d’auteur les initiales M.D.G.O.D.R, pour : M .Denon, Gentilhomme Ordinaire Du Roi.
Ce journal appartint à Joseph Dorat jusqu’en 1778, date à laquelle, il le céda à l’éditeur Charles-Joseph Panckoucke qui réunit ce titre à celui du Mercure de France.
Après la mort de Dorat, à l’occasion de la publication d’une nouvelle édition de ses œuvres par l’éditeur Nicolas-Augustin Delalain libraire rue de la Comédie Françoise, le conte reparaît sous le titre de : « Lettres d’une chanoinesse de Lisbonne » en supprimant les initiales de Vivant-Denon. Le conte est intitulé dans ce recueil « Trois infidélités ou l’Envieuse par amour »
Une troisième édition parut en 1802 sous le titre : « Les cinq aventures, ou contes nouveaux en prose par Dorat » toujours chez Delalain, un volume in-32, avec une gravure « libre » intitulée « Quelle nuit délicieuse ! dit-elle », l’éditeur prétendant que cette publication était conforme que Dorat s’était proposé de publier peu avant sa mort (de son vivant…) Rappelons que ce Delalain avait, publié en collaboration avec Dorat huit ans plus tôt un roman libertin intitulé : "Les Malheurs de l'inconstance, ou lettres de la Marquise de Cyrcé et du comte de Mirbel ".
.........
L’éditeur P.Didot l’Aîné en 1812 publia Point de lendemain, toujours sans nom d’auteur. Sur l’exemplaire de la Bibliothèque nationale, les initiales V.D.(Vivant-Denon) figurent sur la page de faux-titre.
Il existe des éditions clandestines du XVIII° siècle, démarquées de ce conte avec des passages plus épicés, parues avec des gravures obscènes dont une porte en titre « L’Héroïne libertine, ou la femme voluptueuse » qui selon certains seraient la véritable édition originale. Impossible de le vérifier, ce volume sans lieu ni date est suivi par des ariettes pornographiques. Une autre imitation, intitulée "La nuit merveilleuse ou le nec plus ultra des plaisirs" avec des planches tout aussi licencieuses. La mention Partout et nulle part est imprimée sur la page de titre, les gravures obscènes sont sans rapport avec le texte., mais une mention de cet ouvrage, se retrouve dans l'édition de 1812
L’histoire se complique encore un peu, avec l’intervention de Balzac. Dans la première édition de la Physiologie du Mariage en 1829, dans la « Méditation XXIV», l’illustre écrivain, après avoir disserté au cours d’un dîner chez le prince Lebrun, sur « les ruses intarissables des femme » reproduit le texte de Denon, « en le défigurant et l’alourdissant par des corrections maladroites » (Poulet-Malassis).
Balzac disait tenir du chirurgien Dubois** les circonstances de « l’édition originale de « Point de Lendemain » en 1812 », celui-ci disait posséder un exemplaire numéroté 24 (bien que cette édition n’ai pas été numérotée). Dans la première édition de la Physiologie du Mariage, Balzac fait intervenir Denon, racontant cette histoire.
Puis ayant eu connaissance des éditions des œuvres complètes de Dorat par quelques personnes qui les lui avaient signalées, et qu’il donnait l’impression de s’attribuer une œuvre ne lui appartenant pas, Balzac dans une deuxième édition rectifia de façon sibylline son récit en faisant raconter par une tierce personne (le docteur Dubois) le texte presque complet de Point de Lendemain, qu’il avait appelé « éléments de narration ».(rappelons que Balzac fut à l’origine de la création de la Société des Gens de Lettres, dont le but principal était la protection littéraire)
Dans l’édition définitive de ses œuvres (Furne corrigé) Balzac apporta quelques changements,, et il attribua le texte à …..Dorat !
Les grands bibliographes de l'époque étaient partagés. Brunet tenait Dorat pour l'auteur du texte en question, tout comme Chéron, le conservateur de la bibliothèque impériale. Sainte-Beuve ne se trompe pas sur l'auteur, mais, bien que touvant le livre scabreux, déclare qu'il peut citer le livre sans danger, puisque le livre est introuvable.
Un bibliophile strasbourgeois, qui en a fait une réédition à tirage limité à quatre vingts exemplaires, se demande si Denon n'a pas été un plagiaire.
Le mystère reste entier pour ce qui concerne les éditions clandestines du 18° siècle.
………….
13:57 Publié dans Histoire littéraire | Tags : vivant denon, dorat, balzac, poulet-malassis, clémentine portier kaltenbach, jean-paul martineau | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
19/12/2008
Emile Zola : "L'OEUVRE", une entreprise de démolition....
Par Bernard Vassor
"Une bien mauvaise action de m'sieu Zola",
a déclaré le père Tanguy à Octave Mirbeau,
lors de la parution du livre d'Emile Zola.
...............
L'Oeuvre
Un roman cénaculaire où l'auteur éreinte tous ses amis d'enfance qu'il considère comme "des ratés".
Sandoz, c'est Zola lui-même, bon généreux, visionnaire, c'est le seul qui ne soit pas un raté dans l'Oeuvre !
Amis Zoliens, ne lisez surtout pas le brouillon qui va suivre....
Paul Cézanne lui avait fourni sans le savoir des verges pour le faire battre, en lui demandant de rédiger une notice pour l'organisation d'une vente en faveur d'Ernest Cabaner, ce musien, poète extravagant qui faisait tantôt l'admiration ou était tantôt la risée des artistes de son temps, d'Henry Murger à Auguste Renoir.
..............
Voici un fragment de la lettre de Cézanne à Zola le 12 avril 1881 à ce propos :
Mon cher Emile,
Dans quelques jours doit avoir lieu la vente en faveur de Cabaner. Voici donc ce que je viens te demander; ce serait que tu voulusses bien te charger de faireune petite notice.Car on ne doute pas que le seul appui de ton nom ne fût un grand attrait(...) c'est moi qui ai été chargé, comme étant une de tes plus anciennes connaissances de te faire la demande"
Le 16 avril Zola lui répond qu'il accepte d'écrire "la légende de Cabaner"mais il demande des détails sur sa biographie. C'est Franc-Lamy(l'illustrateur du "Hareng-saur") qui fait parvenir à Zola quelques notes rédigées par trois personnes différentes.
Cette lettre du 22 avril est restée sans réponse, Cézanne relance son ami car le temps presse, la vente est fixée le 14 mai.
Jean-Jacques Lefrère et Michael Pakenham disent dans leur livre : Cabaner poète au piano, qu'Emile Zola rédigera une préface qui ne dut pas lui donner de longues heures de labeur.
La vente eut lieu à l'Hôtel Drouot LE 14 mai salle 7. L'expert était Durand Ruel, le commissaire priseur Maître Tual
Quelques clés possibles ?
Le café Baudequin aux Batignolles : Le café Guerbois, 7 route des Batignolles (11 avenue de Clichy).
Le nom est peut-être la contraction de Baudelaire qui assistait aux premières réunions du Guerbois, et de Hennequin, le marchand de couleurs voisin, au 13 avenue de Clichy, fournisseur de Manet et de quelques peintres du groupe des Batignoles.
Le Tambour : est peut-être le journal "Le Rappel"ou bien le "Tam-Tam" d'Alfred Lepetit
Gagnière ???
Courajod, est peut-être Chintreuil, La mare aux pommiers, la mare à Gagny dans le roman....
Jory : Antony Valabrègue né à Aix en 1844, poète parnassien, journaliste. Il passe des vacances à Bennecourt en 1866 avec Zola, Guillemet, et Solari.....
Mahoudeau ; Philippe Solari 1840-1906 ami d'enfance de Zola, Marius Roux et Cézanne. c'est lui qui a réalisé le buste qui figure sur la tombe de Zola au cimetière Montmartre.
L'épisode de "La Baigneuse" de Mahoudeau dans le roman, est démarqué d'un incident qui s'etait produit le jour où Cézanne ayant conduit Manet à l'atelier de Solari pour y voir "Le Nègre Scipion" la dernière oeuvre de Solari, "le Nègre", placé près d'un poele, ayant une armature trop faible se cassa en morceaux.
Dequersonnière rue du Four : Victor Baltar
Godemard :.........
Fagerolles ; Guillemet s'est reconnu en lui, Zola lui a juré que c'était Henri Gervex qui apprenant cela, au lieu de se fâcher, a adopté ce surnom...
Malgras : personnage composite, entre "Le père La Crasse" marchand de couleurs de la rue Bréda et Le père Martin, portrait parfaitement injuste, car le père Martin a aidé beaucoup de peintres dans le besoin, et en a révélé plusieurs... marchand de couleurs, marchand de tableaux,
Dubuche, Jean-Baptiste Baille 1841-1918 architecte
BONGRAND, : COURBET
Pour le personnage de Claude Lantier, c'est d'abord à Manet que l'on a pensé, Monet a cru se reconnaître en quelques traits, mais c'est Cézanne est le plus visé et qui n'adressa plus jamais la parole à Zola jusqu'à sa mort
Atelier Boutin............................
Monsieur Hue, le collectionneur est Victor Choquet
Irma Bécot : Valtesse de la Bigne comme pour Nana, Madame Meuriot selon ARMBRUST-SEIBERT, M., Victorine Meurent, prototype d’Irma Bécot dans L’Œuvre, 1992 (66), 113-122.
Sur la jeunesse de Zola et Cézanne ;
Paul Alexis (1847-1901) Emile Zola, notes d'un ami.. Paris 1882
Dans cet essai, Alexis annonce 3 ans avant, le projet littéraire de Zola : il veut écrire depuis longtemps un roman sur l'art.
Paul Alexis prévoit que ce sera un roman à clés, et que Zola sera "forcé d'ymettre en scène ses amis" et que pour sa part, Alexis déclare : "si je m'y trouve, et même si je n'y suis point flatté, je m'engage à ne pas lui faire de procés"
Ernest Cabaner a été inhumé comme Claude Lantier au cimetière de Saint Ouen, dans une tranchée gratuite.....
(Tout comme le père Tanguy tranchée numéro 14, Cabaner tranchée numéro 12)
Extrait de l'ébauche du roman : "Avec Claude Lantier, je veux peindre la lutte de l'artiste contre la nature, l'effort de la création dans l'œuvre d'art, effort de sang et de larmes pour donner sa chair, faire de la vie : toujours en bataille avec le vrai et toujours vaincu, la lutte contre l'ange. En un mot, j'y raconterai ma vie intime de production, ce perpétuel accouchement si douloureux ; mais je grandirai le sujet par le drame, par Claude, qui ne se contente jamais, qui s'exaspère de ne pouvoir accoucher de son génie, et qui se tue à la fin devant son œuvre irréalisée."
INDEX CAHIERS NATURALISTES POUR L 'OEUVRE :
ARMBRUST-SEIBERT, M., Victorine Meurent, prototype d’Irma Bécot dans L’Œuvre, 1992 (66), 113-122.
BESSE, L., L’Œuvre : le désir du désincarné, 1999 (73), 207-215.
BRADY, P., Claude Lantier, 1961 (17), 10-18.
- La théorie du chaos et L’Œuvre, peinture, structure, thématique, 1992 (66), 105-112.
CNOCKAERT, V., Dans l’ombre de l’œuvre : L’Enfant mort, 1998 (72), 351-361.
FERNANDEZ-ZOILA, A., Les inapparences de la création dans L’Œuvre, 1986 (60),139-156.
- Le système écriture-peinture et le figural dans L’Œuvre, 1992 (66), 91-103.
GANTREL, M., Zola et ses doubles, 2001 (75), 87-98.
KAMINSKAS, J., Espace et dispersion dans L’Œuvre : à la recherche du stable, 1989 (63), 127-136.
MAIONE, M., Zola et la sculpture, 1984 (58), 151-164.
NEWTON, J., La dernière toile de Claude, 2000 (74), 239-245.
RAUSEO, Ch., Zola et les Goncourt. Vérité et vraisemblance dans L’Œuvre : la scène de la pose, 1996 (70), 151-168.
RAYNIER-PAUGET, L’Œuvre : la femme faite modèle, 1999 (73), 199-206.
REBERIOUX, M., Zola et la modernité, 1984 (58), 15-22.
RHEIMS, M., Allocution prononcée à Médan le 7 octobre 1973. Emile Zola et la curiosité, 1973 (46), 121-129.
RIEGER, A., L’espace de l’imaginaire. Promenade dans la roseraie zolienne, 1989 (63), 93-107.
TERNOIS, R., La naissance de L’Œuvre, 1961 (17) 1-9.
WOODWARD, S., Le sang dans L’Œuvre, 1991 (65), 169-176.
Ouvrard, Pierre :
MITTERAND, Henri., Hommage, 2003 (77), 421-422
THION, M.C., Hommage, 2003 (77), 419-421.
* édition l'Echoppe 1994,
A suivre......
13:46 Publié dans Histoire littéraire | Tags : franc-lamy, jean-jacques lefrère, michael pakenham, emile zola, le café baudequin, le café guerbois, alfred lepetit | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
11/12/2008
Brillé, birilli, bérelle et autres curiosités rimbaldiennes
Par Bernard Vassor
« Il est de fait que Rimbaud a dévasté la poésie,
brisé l’instrument, détruit l’art classique du vers,
bouleversé la notion du rythme, et même d’une certaine façon,
l’art de s’exprimer logiquement. »
Emile Henriot
De Lamartine à Valèry 1941.
Cette brochure de Geneviève Hodin, rimbaldienne passionnée, dont « Les Amis de Rimbaud », ont maintes fois appréciés ses connaissances lexicographiques, enrichit notre vision de l’œuvre de l’œuvre de Rimbaud, par le biais de documents inédits et ouvre la voie à de nouvelles recherches et interprétations par le biais de curiosités instructives et amusantes.
J’avoue que j’ai été troublé par cette lecture, et que beaucoup de mes certitudes sont tombées, et que bien des biographes devraient lire, avant de nous seriner les mêmes clichés !!!
........
Geneviève Hodin, par la même occasion fait litière du vrai faux Rêve de Bismarck, miraculeusement retrouvé chez un bouquiniste de Charleville !
d'un texte qui serait paru le 25 novelmbre 1870 dans le Progrès des Ardennes.
Dans notre brochure, Geneviève nous donne son interprétation, et laisse le lecteur juge de décider :
"si la prose patriotique de Rimbaud, "pigiste", récemment découvert, est un faux comme je le pense"
(J'ajoute, malgré l'imprimatur donnée par des biographes rimbaldiens éminents.....)
……..
Brillé, birilli, bérelle et autres curiosités rimbaldiennes
par Geneviève Hodin.
I.S.B.N. 978 2 9530951 0 4
........
Tiré à 200 exemplaires numérotés
Chez l’auteur :
Geneviève Hodin, La Closerie II, App 12
83 rue Carnot
60200 Compiègne France.
Tel : 03 44 86 16 43
Email : hodin.closerie@wanadoo.fr
Prix de vente 9 euros.
Ajouter les frais de port : 2,11 euros, tarif prioritaire par exemplaire, ou 1,57 euros tarif Ecopli.
Chèque à lordre de Madame Hodin.
11:09 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
07/12/2008
La revue en ligne de l'actualité maupassantienne.
Par Bernard Vassor
Actualité maupassantienne
Le dernier numéro de la revue Maupassantiana, vient de paraître. Vous pouvez vous abonner gratuitement sur le site de Noëlle Benhamou
Vous obtiendrez ainsi l'actualité internationale des parutions, des essais, des films, émissions de radio, ou documents consacrés àGuy de Maupassant. Des informations sur les conférences, colloques, expositions, ventes aux enchères publiques, pièces de théâtre sont également disponibles
Ce mois-ci, vous aurez les films ou télé-film diffusés à la télévision avec les horaires de passage.
Des oeuvres pédagogiques, (j'ai moi-même été interessé par une étude consacrée à "Pierre et Jean et l'impressionnisme").
Les parutions sont traitées à part sur le site à la rubrique : Bibliographie.
Vous pourrez ainsi vous tenir régulièrement de ce qui se passe près de chez vous ou à l'autre bout du monde.
Des icônes facilitent la consultation de l'éphéméride.
18:01 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
30/11/2008
Un anthroponyme grand ou petit : Larousse
Par Bernard Vassor
11:38 Publié dans Histoire littéraire | Tags : pierre-athanase larousse, larousse et boyer, jules andrieux, deberle, jules hollier | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/09/2008
UN SITE POETIQUE ET LITTERAIRE : Celui de LAURA VANEL-COYTTE
Description:
Ecrivain, poétesse, documentaliste veille culturelle, rédactrice, correctrice, traductrice anglais-allemand, auteur de 3 ouvrages dans des genres différents, essai, prose et poésie. Leur point commun est le paysage. C'est le sujet de son mémoire de maîtrise :
"Des paysages dans les oeuvres de Baudelaire et Nerval"
Sur ce blog : Un poème par jour, des articles des critiques de livres etc..
Par exemple, l'article du vendredi 12 septembre 2008 est intitulé :
"Déception dans les paysages du "Voyage en Orient" de Nerval".
08:48 Publié dans Histoire littéraire | Tags : LAURA Vanel Coytte | Lien permanent | Commentaires (3) | | | | Digg
13/08/2008
LES DOMICILES D'HENRY MURGER
Les domiciles d’Henry Murger :
Après une brouille avec Champfleury, il retourna travailler chez Tolstoï, et trouve un logement 92 boulevard Pigalle (bld de Clichy) .
Peu après, Murger entra une nouvelle fois à l’hôpital Saint Louis pour y soigner un « purpura ». qui ne lui laissa que peu de répit jusqu’à sa mort.
Le jour de la première, on était alors en pleine épidémie de choléra, tous les amis et personnages du roman, même le président de la République, le prince Napoléon assistèrent à la représentation.
Schanne (Schaunard)
Lazare et Tabar, (Marcel)
Antoine Fauchery
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02/08/2008
GUY DE MAUPASSANT ET LA FOLIE
PAR BERNARD VASSOR
« Sa mère était atteinte de la maladie de Basedow (goitre et migraines exophtalmiques) et elle a sans doute transmis sa névrose. De là à penser que Maupassant serait mort fou sans syphilis, moi je dis non, mais d’autres si…Son frère Hervé est mort syphilitique aussi. Comme Maupassant avait contracté la syphilis en 1876 ou 1877, il avait déjà des troubles. »
A la question: y-a-t-il eu récemment des études médicales concernant les causes de la maladie de Maupassant ?
"Non, à ma connaissance, pas d’étude récente en matière médicale. Mais entre nous, la mère de Maupassant avait un sérieux « pète au casque » comme disent mes élèves… Elle était hystérique.".
Le dernier numéro de la revue en ligne disponible gratuitement : Maupassantiana
http://www.maupassantiana.fr vient de paraître.
10:25 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/07/2008
HENRY BAUËR, FILS NATUREL D'ALEXANDRE DUMAS
En direct de Granville à la Citrouille
PAR BERNARD VASSOR
D'après le livre de mon ami Marcel Cerf, Le Mousquetaire de la plume, Henry Baüer fils naturel d'Alexandre Dumas, Académie d'Hitoire, Paris 1975
11:20 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
12/07/2008
DUVERNEUIL, LE TROISIEME HOMME DES ALMANACHS
PAR BERNARD VASSOR
en direct de la Citrouille à Granville
DUVERNEUIL journal général de la littérature TABLE IMPRIMEURS LIBRAIRES.pdf
(à suivre)
14:45 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
JEAN DE LA TYNNA
PAR BERNARD VASSOR
14:35 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
SEBASTIEN BOTTIN
PAR BERNARD VASSOR
En direct de la Citrouille à Granville, juillet 2008
14:25 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
09/07/2008
UNE LETTRE DE MAUPASSANT A SON AMI "LA TOQUE"
PAR BERNARD VASSOR
21:40 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
08/07/2008
PIERRE VERON JOURNALISTE LITTERATEUR
PAR BERNARD VASSOR
15:20 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
28/06/2008
6 juillet, anniversaire de la mort de Maupassant
PAR BERNARD VASSOR
10:05 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
27/05/2008
JEAN LORRAIN, RENE LALIQUE, NARKISS ET LA CONTRE-CULTURE DECADENTE.
PAR BERNARD VASSOR
18:50 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
11/05/2008
JEAN-BAPTISTE PAULIN, CO-FONDATEUR DU JOURNAL "LE NATIONAL" ET DE "L'ILLUSTRATION"
PAR BERNARD VASSOR
Avocat, puis libraire éditeur, associé avec Auguste Sautelet, il a participé à la création du journal le National(financé par le financier Jacques Laffitte et la caution du duc d'Orléans).dans les bureaux duquel fut rédigé par Thiers et Mignet, le texte proclamant le duc d'Orléans lieutenant général du Royaume, affiche qui fut placardée dans la nuit du 30 juillet (articles précédents)Associé d'Hetzel, Nicholas Jean-Baptiste Paulin (1793-1859) 4 rue des Jeuneurs, en 1825, figura sur la page de titre des tomes I et II de "La Comédie humaine". Son nom disparut dès le volume III.
Il fut l'éditeur des Oeuvres de Thiers et d'Armand Carrel.
10:20 Publié dans Histoire littéraire | Tags : Chantal Sanches, Charles Furne, Balzac | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
10/05/2008
JACQUES-JULIEN DUBOCHET CO-FONDATEUR DE L'ILLUSTRATION,EDITEUR DE BALZAC
PAR BERNARD VASSOR
18:40 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg