12/07/2010
Un "Garçon-de-bonne-humeur" : Marie-Antoine-Madeleine Desaugiers
Par Bernard Vassor
"Ci-git, hélas ! sous cette pierre
Un bon vivant mort de la pierre"
10:00 Publié dans Les écrivains | Tags : gobe-mouches, desaugier, gentil, merle, brazier, desfontaines | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
25/07/2009
Naissance d'Alexandre Dumas : 24 juillet 1802
Par Bernard Vassor
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21/06/2008
UNE INFORMATION DE LA SOCIETE DES AMIS D'ALEXANDRE DUMAS "LE PERE BIEN SÜR)
PAR BERNARD VASSOR
On ne peut pas être ami du Père Tanguy sans être amis d'Alexandre Dumas......
Nouvel adage de juin 2008
B.V.
LE D'ARTAGNAN la lettre d'information des Amis d'Alexandre Dumas.doc
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17/04/2008
UN SITE DEDIE A DUBUST-DE-LA-FOREST
PAR BERNARD VASSOR.
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13/04/2008
BAUDELAIRE ET LES LESBIENNES
PAR BERNARD VASSOR
12:15 Publié dans Les écrivains | Tags : LES LESBIENNES, LE CATHECHISME DE LA FEMME AIMEE, Poulet-Malassis, Bric à brac esthétique, Baudelaire, Champfleury, Pierre de Fayis | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
09/02/2008
FELICIEN CHAMPSAUR, JOURNALISTE ROMANCIER AUTEUR DRAMATIQUE
PAR BERNARD VASSOR
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07/02/2008
ANTONIO WATRIPON : LES LOLOTTES ET LA BOHEME AU QUARTIER LATIN....800ème article de ce blog
PAR BERNARD VASSOR
Le mot de Grisette existait déjà au XVIIIème siècle. Sébastien Mercier désignait ainsi les petites employées et les servantes qui allaient au bal vêtues de leur blouse grise de travail. Musset popularisa ce mot un peu plus tard. C'est Nestor Roqueplan qui inventa le mot de Lorette qu'illustra si bien Gavarni. Eugène Sue inventa la Rigolette Antonio Watripon tenta de propager un nouveau nom pour désigner celles qui ne venaient pas du quartier Saint-Georges en désignant dans une sorte de "Physiologie" sous le nom de Lolottes des jeunes filles du quartier latin, succédant selon lui aux grisettes de Paul de Kock. Elles n'étaient disait-il qu'une dégénérescence de la grisette !
Antonio Watripon de son véritable nom Tony Fantan, a publié de nombreux articles également sous le pseudonyme de Joseph Devismes. Outre quelques romans ou essais, sur la vie intime des étudiants parisiens, il fut l'auteur controversé de chansons. Il signa un recueil de chansons : Chants et Chansons de la Bohème et Vieux quartier latin.
Il fut un des premiers à faire l'éloge d'un jeune poète qui devait publier un recueil de poèmes qui aurait dû s'intituler : Les Limbes....
Deux auteurs Lepère, et un certain Choux se disputèrent la paternité de ces oeuvres. Le tribunal ne put trancher et les plaignants en furent pour leurs frais.
21:55 Publié dans Les écrivains | Tags : BOHEME, QUARTIER LATIN, BAUDELAIRE, VALLES, LOLOTTES, WATRIPON, TONY FANTIN | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
06/11/2007
DAUDET "LA DOULOU"
PAR BERNARD VASSOR
17:35 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
26/10/2007
GUSTAVE FLAUBERT ET LOUISE COLET
PAR BERNARD VASSOR
Tes petites pantoufles sont là pendant que je t'écris ; je les ai sous les yeux, je les regarde. Je viens de ranger, tout seul et bien enfermé, tout ce que tu m'as donné ; tes deux lettres sont dans le sachet brodé ; je vais les relire quand j'aurai cacheté la mienne. Je n'ai pas voulu prendre pour t'écrire mon papier à lettres ; il est bordé de noir ; que rien de triste ne vienne de moi vers toi ! Je voudrais ne te causer que de la joie et t'entourer d'une félicité calme et continue pour te payer un peu de tout ce que tu m'as donné à pleines mains dans la générosité de ton amour. J'ai peur d'être froid, sec, égoïste, et Dieu sait pourtant ce qui, à cette heure, se passe en moi. Quel souvenir ! et quel désir ! Ah ! nos deux bonnes promenades en calèche ! Qu'elles étaient belles, la seconde surtout avec ses éclairs ! Je me rappelle la couleur des arbres éclairés par les lanternes, et le balancement des ressorts ; nous étions seuls, heureux. Je contemplais ta tête dans la nuit ; je la voyais malgré les ténèbres ; tes yeux t'éclairaient toute la figure. Il me semble que j'écris mal ; tu vas lire ça froidement ; je ne dis rien de ce que je veux dire. C'est que mes phrases se heurtent comme des soupirs ; pour les comprendre il faut combler ce qui sépare l'une de l'autre ; tu le feras, n'est-ce pas ? Rêveras-tu à chaque lettre, à chaque signe de l'écriture ? Comme moi, en regardant tes petites pantoufles brunes, je songe aux mouvements de ton pied quand il les emplissait et qu'elles en étaient chaudes... le mouchoir est dedans..
.
A suivre................................................
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23/10/2007
ALFRED DE MUSSET ET AIMÉE D'ALTON
PAR BERNARD VASSOR
Belle muse païenne au sourire adoré,
Viens, laisse-moi presser de ma lèvre idolâtre
Vois-tu cTon front qui resplendit sous un pampre doré.
e vert sentier qui mène à la colline ?
Là, je t'embrasserai sous le clair firmament,
Et de la tiède nuit la lueur argentine
Sur tes contours divins flottera mollement
C'était Melle Aimée-Irène d'Alton.
Elle avait alors vingt-cinq ans, un an à peu près de moins que Musset. A cet âge et ainsi faite, elle était très entourée et très courtisée. Il était immanquable que Musset lui fît la cour ».
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30/08/2007
MERDRE A DIT UBU LE 29 OCTOBRE 1907 DANS L'HOPITAL DE LA CHARITE
PAR BERNARD VASSOR
CENTENAIRE DE LA MORT D'ALFRED JARRY
SOCIETE DES AMIS D'ALFRED JARRY
UN SITE AVEC LE PROGRAMME DES MANIFESTATIONS POUR CETTE CELEBRATION.
Il avait un tout petit zizi
et un gros cul
Le père Ubu
En 1894, il fait un voyage à Pont-Aven où il rencontre Gauguin et Filiger. C'est le 11 juin 1896 qu'il publia Ubu Roi au Mercure de France. Il devient le secrétaire de Lugné-Poe le fondateur du théâtre de l'oeuvre et se lie avec Lord Douglas, l'ami "scandaleux d'Oscar Wilde. Il fréquentait les salons littéraires de Mallarmé, de Rachilde, Valette et Remy de Gourmont.
Nommé roi de Pologne, il fait massacrer tous les nobles pour leur prendre leurs biens. Jamais on ne vit dictateur plus féroce....Menacé d'invasion par le Czar, la mère Ubu le persuade de faire la guerre, ce qui est toujours la meilleur solution dans ces cas là, merdre alors !!!
Après avoir tempêté contre les Polognards, les soulards, les bâtards, les hussards, tatares, calards, cafards, mouchards, savoyards, et communards, il a dit merdre à la tuberculose qui le rongeait....et rendu sa couronne de roi de Pologne, laissant seule la mère Ubu qui l'avait volé et trompé.
Ubu roi , L’Autre Alceste, Gestes et Opinions du Dr Faustroll, Pataphysicien, Le Surmâle, Textes de la Chandelle Verte...
Inventeur du terme "pataphisique" , science des solutions imaginaires
00:35 Publié dans Les écrivains | Tags : PATAPHYSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
26/08/2007
TRISTAN TZARA
05:28 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/08/2007
JULES-AMEDEE BARBEY, D'AUREVILLY VINGT ANS APRES, UN NORMAND "DIABOLIQUE" : LE MOUSQUETAIRE DE LA PLUME....
EN DIRECT DE LA CITROUILLE A GRANVILLE.
Il est né à Saint-Sauveur-le-Vicomte dans la Manche, sa mère n'ayant pas eu le temps de rentrer chez elle à Valognes a accouché chez un cousin le chevalier de Montressel. La famille ultra-royaliste, a participé de près à l'épopée chouanne. C'est l'oncle paternel Jean-François qui porte la particule que reprendra Jules-Amédée vingt ans plus tard. Il fait des études au collège de Valognes et habite ches son oncle chez qui il peut lire tous les livres que son père n'aurait pas toléré. Il découvre George Byron à qui il voue une admiration sans bornes. Il tombe amoureux de sa cousine Ernestine.
"Car ce premier amour, dont la marque nous reste
Comme l'entaille, hélas ! du carcan reste au cou
Il semble que le diable y mette un ôût d'inceste
Pour qu'il soit plus ivre et plus fou "
Il se rend à Paris où après avoir été reçu à sa thèse de droit et hérité de son oncle, chevalier de Montressel, il mène à Paris une vie de Dandy. Il fréquente le "Tortoni, le Café Hardy, et se fait livrer par "les Bains Chinois", des baignoires d'eau chaude. Il a rencontré Brummell et son imitateur le comte d'Orsay. Ses amis sont Eugène Sue, Alexandre Dumas, et Maurice de Guerin. Ses maîtresses se comptent par dizaines, tantôt des filles de petite vertu, tantôt des comtesses ou des marquises, et même la célèbre Vellini, connue pour avoir assassiné un de ses amants. A l'age de trente huit ans, ilse converti aux idées de sa maîtresse la comtesse de Maistre et devient légitimmiste, et ultra-catholique. En 1847, il devient rédacteur en chef du "Monde Catholique". Après la révolution de février 1848, il fonde un "club catholique" réactionnaire qu'il nomme : "Les Ouvriers de la Fraternité". Il préside les séances, avec deux abbés pour assesseurs. Il donne de temps en temps la parole "au peuple", mais pas trop longtemps !....Il la coupe trop souvent, ce qui fait que les assistants se révoltent et provoque une émeute.
Le club est dissout dès la deuxième séance.......................
14:20 Publié dans Les écrivains | Tags : Saint-Sauveur-le-Vicomte, Valognes, Brummell, Eugène Sue, Alexandre Dumas | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
12/08/2007
BEAUMARCHAIS PIERRE-AUGUSTIN CARON, tour à tour horloger, musicen, chansonnier, agent secret, traficant d'armes,MARCHAND DE COULEURS, architecte, ingénieur, éditeur de livres, diplomate....
PAR BERNARD VASSOR
LES AVENTURES DU CHEVALIER DE RONAC
Pierre-Augustin Caron est né le 24 janvier 1732, dans la maison familiale de la rue Saint-Denis où son père était horloger.
13:40 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
10/08/2007
BOCCACE, L'ENFANT "NATUREL" DE LA RUE DES LOMBARDS
PAR BERNARD VASSOR
15:30 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
09/08/2007
ALEXIS DE TOCQUEVILLE MORALISTE, DEPUTE DE LA MANCHE
PAR BERNARD VASSOR EN DIRECT DE GRANVILLE :
08:05 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/08/2007
STENDHAL DANS UNE MANSARDE
PAR BERNARD VASSOR
15:50 Publié dans Les écrivains | Tags : STENDHAL | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
10/07/2007
ARNOULD GALOPIN
16:55 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
06/07/2007
BENJAMIN PERET
PAR BERNARD VASSOR
Né à Rezé le 4 juillet 1899. Mort le 18 septembre 1959 à Paris, inhumé au cimetière des Batignolles
Ecrivain d'abord "Dada" puis Surréaliste dès le départ avec Robert Desnos et Breton. Adepte de "l'écriture automatique"de la contrepétrie, il bouscule et désacralise la poésie. Engagé dans les brigades internationales pendant la guerre d'Espagne au "Poum" selon les uns, à la "CNT", selon d'autres, enfin les trotskistes disent qu'il faisaient partie des brigades de s "P.O.I.". Il a toujours revendiqué la plus grande liberté. Sa mort fut un véritable choc pour Breton avec qui, ce qui est rare, il ne s'était pas brouillé.
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25/06/2007
PAUL HERVIEU
PAR BERNARD VASSOR
Saisie du texte : S. Pestel pour la collection électronique de la Médiathèque André Malraux de Lisieux (10.V.2002)
Texte relu par : A. Guézou
Adresse : Médiathèque André Malraux, B.P. 27216, 14107 Lisieux cedex
-Tél. : 02.31.48.41.00.- Fax : 02.31.48.41.01
Mél : mediatheque@ville-lisieux.fr, [Olivier Bogros] 100346.471@compuserve.com
http://www.bmlisieux.com/
Diffusion libre et gratuite (freeware)
Texte établi sur un exemplaire (coll. part.) des Oeuvres de Paul Hervieu publiées par Alphonse Lemerre à Paris en 1894 (notre exemplaire : 1 des 15 sur sur papier de Chine avec le portrait front. en double état).
08:50 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/06/2007
OCTAVE MIRBEAU ET LE PERE TANGUY
PAR BERNARD VASSOR
ExtErait PDF; MIRBEAU_Des_Artistes_extrait_père_Tanguy_Flamarion_1899.p...
L’Écho de Paris, 31 mars 1891 :
Dans une foule de tableaux mêlés les uns aux autres, l’œil d’un seul clin, sûrement reconnaît ceux de Vincent Van Gogh, disparu trop tôt(…) Van Gogh garde toujours ses admirables qualités de peintre et une noblesse qui émeut, et une grandeur tragique qui épouvante ».
Peu après, il demande au père Tanguy d’aller toucher de sa part chez l’éditeur Charpentier 600 francs et de lui livrer les Iris et Les Tournesols (lettre extraits cités par Francis Jourdain).
Pour éviter qu’Alice, sa pingre de femme, ne lui en fasse grief, Octave Mirbeau demande à Tanguy de lui envoyer une lettre expliquant que ces toiles lui sont offertes en remerciement des articles qu’il a fait et de la « bonne campagne qu’il a toujours menée en faveur du peintre de talent incompris et malheureux ».
A suivre
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15/04/2007
LE DEMI-MONDE, ALEXANDRE DUMAS FILS
- Je n'aime guère le talent de M. Alexandre Dumas fils. C'est un écrivain extrêmement surfait, de style médiocre et de conception rapetissée par les plus étranges théories. J'estime que la postérité lui sera dure. [1876] Il a été un des ouvriers les plus puissants du naturalisme contemporain. Puis, il s'est déclaré en lui une sorte d'accès philosophique, qui a empoisonné et détraqué ses œuvres. ( Émile Zola 1879)
01:30 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg