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03/06/2007

EXPOSITION ADOLPHE GUMERY

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LA PETITE FILLE DU PEINTRE DEVANT SON PORTRAIT...
IL Y A UN CERTAIN TEMPS 
EXPOSITION DU 1er AU 23 JUIN 2007 
 
GALERIE AMICORUM
19 PASSAGE VERDEAU
75009 PARIS
Tel : 01 48 01 02 41 
Peintre, il fit le portrait d'Emile Zola et illustra l'édition originale de Germinal .
L'oeuvre de Gumery est présente au musées Carnavalet, Orsay, Maison de Balzac, de Bordeaux, Brest et Pont-Aven.
Notre amie Viviane présente sur le tableau est également la petite fille de Georges Izambard,  professeur de rhétorique de Rimbaud... quelle hérédité !
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21:10 Publié dans LES PEINTRES INCLASSABLES | Tags : GEORGES IZAMBARD, ADOLPHE GUMERY, VIVIANE MOREL, RIMBAUD, CARNAVALET, ORSAY, MAISON DE BALZAC | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg! Digg

LES DEUX MAGOTS

Par Bernard Vassor

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RUE TARANNE, CARREFOUR SAINT-BENOIT

C’est en 1813, que voit s’ouvrir un magasin de nouveautés portant le nom des « Deux Magots» à la suite du succès d’une pièce de théâtre intitulée : « Les Deux Magots de Chine ». Cinquante ans plus tard, la mercerie déménage* et s’installe rue Taranne, face à l’église Saint-Germain. Après le percement du boulevard Saint-Germain,il y avait dans la maison à cet emplacement, au quatrième étage, un philosophe qui vécut là avec  sa femme et sa fille de 1754 à 1784. C’était Denis Diderot. En 1891, s’ouvrit le café des Deux Magots, fréquenté d’abord par les rédacteurs du Mercure de France, puis, ce sont ceux de la NRF,  ensuite, un jeune éditeur Bernard Grasset en fait son quartier général.

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La vie littéraire s’installe là autour de Gide, Proust, Jacques Rivière. Puis les suuréalistes, Desnos, Crevel, Eluard. Pendant cinquante ans,  ce sera le centre intellectuel parisien. Après la guerre, Sartre, qui a une chambre de bonne au cinquième étage (qu’il laisse à son secrétaire Jean Cau) Simone de Beauvoir et toute une troupe de maîtres à penser. Antoine Blondin reçoit le prix des Deux Magots pour » «l ’Europe Buissonnière »

Avec un tableau licencieux qui servait d'enseigne à la mercerie, une jeune fille chinoise avec ses cheveux relevés par un peigne, entouré de deux hommes aux intentions pas très honnêtes... 

 

18:40 Publié dans CAFES ET RESTAURANTS | Tags : ROBERT DESNOS, RENE CREVEL, PAUL ELUARD.ANDRE BRETON, Antoine Blondin, Diderot | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

LES FOLIES-ROBERT, UN AUTRE BAL DE BARRIERE

PAR BERNARD VASSOR

 
 
C'est au niveau, toujours de l'autre côté du mur murant Paris, au 58 boulevard Rochechouart, qui faisait l'angle de l'impasse du Cadran qui conduisait presque jusqu'à la rue de l'Abbaye(aujourd'hui rue des Abesses). C'était disaient certains témoins, une immense baraque en plâtre avec panneaux de bois, "faite pour durer huit jours". Tenue par un certain Gilles Robert, la salle entre chaque bal, donnait des cours de danse prodigués par Bobert en personne. Les danses à la mode étaient : "La Policinelle," la Fricasserie", "la Gavotte". L'orchestre était dirigé par Olivier Emart qui changea les lettres de son nom en "Olivier Métra". Pour rentabiser au maximun l'endroit, le local était loué pour des réunions. Pendant les révolutions et les évènements de 1871, l'endroit était investi pour l'organisation de clubs révolutionnaires. Les "Folies" fermèrent leurs portes si je ne me trompe pas après la Commune de 1871.
Olivier Métra, était Garde national, clairon au 61 ème bataillon, celui du père Tanguy.....

10:30 Publié dans BALS ET GUINGUETTES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

02/06/2007

LE BAL DE LA REINE BLANCHE, AVEC NINI-LA-BELLE-EN-CUISSES

PAR BERNARD VASSOR

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Sur le boulevard de la Barrière Blanche 
C'est entre la rue Lepic et le cimetière Montmartre, de l'autre côté du mur, que de jeunes ouvrières venaient danser et trouver un amant de coeur. Mais, dans tous ces bals de barrière, des professionnels étaient à l'affut, les proies étant faciles à attraper. Les ingénues, déposaient leur panier d'osier, leur tablier et leur bonnet au vestiaire elles recevaient  un saladier avec des morceaux de sucre, après avoir payé une somme modique. Ensuite, il suffisait de donner 1 sou pour obtenir dans le saladier une piquette coupée d'eau, versée sur le sucre que l'on écrasait avec une cuillère. On y dansait, bien avant la goulue, le chaut ou le cancan. L'attraction de la Reine Blanche, était surnommées. Nini-la-belle-en-cuisse Les lois de la pesanteur étaient les mêmes qu'aujourd'hui, Nini, à la fin de chaque danse, faisait le tour de la piste en marchant sur les mains, ce qui lui couvrait le buste avec sa jupe et lui découvrait la partie charnue de son anatomie qui par litote lui valut son sobriquet. La clientèle masculine, au grand dam des jeunes filles, attendait avec impatience, la fin de chaque reprise pour se repaître du spectacle affriolant. Démoli vers 1887, la Reine Blanche fut remplacé par un autre bal, créé par un ancien boucher, qui existe toujours et qui est aujourd'hui un lieu symbolique de Montmartre.
Les alentours étaient surtout des parties gazonnées, avec ci et là des bottes de foin où venaient dormir les sans-logis, cernées aux alentours de bosquets propices la nuit aux étreintes furtives, ce qui étaient le lot de tout les bals de barrière.

23:55 Publié dans BALS ET GUINGUETTES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

CONSTANTIN GUYS "LE PEINTRE DE LA VIE MODERNE"

PAR BERNARD VASSOR

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 PORTRAIT PAR MANET

Guys de Sainte-Hélène Ernest-Adolphe dit Constantin Guys est né à Flessingue en 1802, mort à Paris à la maison municipale de santé Dubois*, en 1892. Il est considéré comme un artiste ayant influencé l'impressionnisme. Baudelaire l'ayant présenté comme "Le Peintre de la vie moderne". On sait peu de choses de sa jeunesse.  Il aurait combattu pour l'indépendance Grecque, puis se serait engagé dans l'armée pour sept ans. Après sa démobilisation, il s'installe à Londres en 1842 où il donne des cours de dessin. Il avait rencontré Gavarni en 1847 à qui il a demandé de travailler avec lui pour The Illustrated London News et l'avait entraîné dans les quartiers de débauche de londoniens appelés Reddeak.

Il décide d'éditer une version française du journal de Londres, Charles Bataille demande à son ami Nadar d'y collaborer également. Après avoir passé deux mois à Londres  où Nadar a rencontré Guys avec qui il nouera une amitié jusqu'à la mort de Contantin. Puis Guysl voyage dans toute l'Europe, autour de la méditerranées,  il couvre la guerre de Crimée, va en Turquie, retourne à Londres puis repart pour l'Italie. A son retour d'Italie en 1871, il s'est installé au 80 rue de Provence, dans une chambre, sous des combles dont il ne sortait que la nuit. Dans les années soixante, il a participé aux réunions du café Guerbois et a marqué fortement le groupe par son caractère d'une indépendance forcenée. Il provoque l'admiration de Manet, de Monet de Gavarni des frères Goncourt, de Champfleury, de Villiers de l'Isle-Adam, de Degas, Cézanne, et de bien d'autres. Cependant, Guys vit très pauvrement. Il dépose au musée Carnavalet un lot de dessins pour qu'un musée conserve une partie de son oeuvre qui concerne l'histoire de Paris. Le musée n'en donnera qu'une bouchée de pain malgré l'intervention d'Henri Ceard pour obtenir une somme raisonnable. Oublié, dédaigné, Constantin Guys ne sera reconnu comme les impressionnistes que des dizaines d'années après sa mort.

Le 14 juillet 1885**, en sortant de chez Nadar, il est renversé par un fiacre rue du Havre dan le neuvième arrondissement. Souffrant de plusieurs fractures aux jambes, il est conduit rue du faubourg Saint-Denis. Il y resta sept ans, jusqu'à sa mort en 1892. Oublié de  tous, seul, Felix Tournachon dit : Nadar lui rendit visite et s'occupa de lui jusqu'à la fin.

 *L'histoire de la maison municipale de santé Dubois, figure dans un article du bulletin de la société historique :

*Nadar raconte que  c'était le mardi-gras, mais il fait une confusion, (d'autres historiens d'art aussi  en parlant de jour de carnaval) la date d'entrée 200 rue du faubourg Saint-Denis, dans le 10° arrondissement est bien le 14 juillet 1885.

02:15 Publié dans LES PRECURSEURS | Tags : CONSTANTIN GUYS, NADAR, GONCOURT, MANET, MONET, GAVARNI, MAISON DUBOIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

01/06/2007

RIMBAUD, PAUL FORT, PAUL RANSON, PAUL SERUSIER et la representation theâtrale du "Bateau ivre"

D'après un compte rendu de la conférence du Professeur
Louis Forestier
pour "Les Amis de Rimbaud"par madame
Jacqueline Fournout
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Portrait de Rimbaud par Carjat 
Rimbaud est mort le 10 novembre  1891. Connu seulement de quelques initiés, son décès est passé inaperçu.
Quelques mois plus tard, le 5 février 1892, Paul Fort décide de mettre en scène "Le Bateau Ivre" . Il a vingt ans, etvient de fonder deux ans plus tôt le Théâtre de l'Art. Seul et sans ressource, il enrôle des comédiens sans gage. Le jour de la première, il avait convoqué les plus importants critiques d'art. Les journalistes du Figaro, du Temps, du Mercure de France et de La Revue Blanche sont présents. A la fin de représentations de pièces diverses, vers deux heures du matin, le Bateau Ivre est  joué par des acteurs médiocres. Malgré cela, les critiques ont été fort impressionnés par la beauté du texte.
Pour le décor, Paul Fort s'était adressé à Paul Ranson. Mais celui-ci étant tombé malade, c'est Paul Sérusier, assisté de Bonnard et de Vuillard qui s'en chargèrent.. Lors  de la représentation, le tableau fut placé à l'envers, mais, personne ne s'aperçut de rien. Les décors étaient peint "à la détrempe", et la plupart du temps étaient repeints pour les pièces suivantes*. 
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PAUL SERUSIER "LE NABI A LA BARBE RUTILANTE" 
Les couleurs provenaient peut-être de la boutique du Père Tanguy ???

23:10 Publié dans ETUDES LITTERAIRES | Tags : LOUIS FORESTIER, RIMBAUD, SERUSIER, RANSON, VUILLARD | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg! Digg

31/05/2007

RUE BUFFAULT UNE BIEN CURIEUSE IDEE POUR UN NOM DE BAPTEME D'UNE RUE CONVENABLE

PAR BERNARD VASSOR

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 C'est chez la "procureuse"femme de Jean-Baptiste Buffault que Jeanne Bécu travaillait dans un magasins de soieries de luxe comme trottin, c'est à dire vendeuse-livreuse à domicile. La boutique était à l'enseigne des Traits-Galants, rue Saint-Honoré. A proximité de la Croix du Trahoir, d'autres marchands comme le plumassier monsieur Liegeois, et le mercier Tesnières, assuraient au quartier une nombreuse clientèle fort riche. Le magasin de Buffault était un arsenal pour l'art de séduire. Ces échoppes étaient un prétexte à la prostitution de jeunes femmes recrutées pour leur beauté, qui derrière leur comptoir, "à la file l'une de l'autre" recevaient les œillades des passants. La jeune Bécu devenue comtesse du Barry, puis favorite du roi Louis XV, n'oublia pas son ancien "patron" qui devint le marchand chargé de ses affaires. Les dépenses somptuaires répertoriées dans les archives des manuscrits de la BnF, nous renseignent sur l'énormité des marchés attribués à Jean-Baptiste Buffault. En outre grâce à la protection de la comtesse, il fut nommé conseiller du roi à l'Hôtel de Ville, puis régisseur de l'Opéra, et échevin de la ville de Paris, ce qui lui permit d'acquérir les terrains et d'ouvrir la rue qui porte toujours son nom. Il avait conservé son commerce de la rue Saint-Honoré qu'il dirigeait très discrètement en sous-main. Il fut même après la disgrâce et jusqu'à sa mort par le bourreau Sanson le 8 décembre 1793, le conseiller de la comtesse du Barry. Sa fonction d'échevin lui permit d'acquérir et d'ouvrir une voie qui porte toujours son nom, entre le faubourg Montmartre et la rue Neuve-Coquenard.

C'est à son passage dans la boutique de la rue Saint-Honoré, que la jeune oie-blanche gravit les échelons qui la conduisirent de "La Petite Comtesse" de la rue Saint-Sauveur, jusqu'au roi Louis XV qui la conserva près de lui même après la maladie de la comtesse qui l'empêcha d'avoir toute relation intime avec le roi, mais ne lui interdisit pas d'être la pourvoyeuse et la conseillère de ses plaisirs.

Elle entra en disgrâce après la mort du roi bien-aimé, la première mesure de son successeur Louis XVI sera d'exiler la comtesse au monastère de Pont en Brie. Le roi la précèdera de dix mois sur l'échelle de Sanson.

Née à Vaucouleurs, prénommée Jeanne comme sa marraine Jeanne Birabin. Sa mère Anne Bécu prétendue de Cantigny était la fille d'un cuisinier rôtisseur, et son père supposé était un certain Jean-Jacques ou Jean-Baptiste Gomard de Vaubernier  ? moine, dont on ne connait pas grand chose....Elle prit également le surnom de Lange, puis en inversant l'ordre du nom de son père présumé, elle se fit appeler Mlle de Beauvernier.

Certains historiens situent les premiers pas de Jeanne chez le marchand de mode à la Toilette Labille rue Neuve-des-Petits-Champs où elle sera remarquée par le maquereau Jean du Barry. Toujours est-il que c'est Buffault qui accompagnera l'ascension de la Du Barry.

00:45 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

30/05/2007

UNE PHARMACIE "SYMPATHIQUE" A BIEN DES EGARDS

PAR BERNARD VASSOR

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C'est ici au 115 rue Saint Denis que fut établie vers 1776 la pharmacie
Cadet de Gassicourt.
Des inscriptions gravées dans la pierre au dessus du bandeau de bois entre les fenêtres de l'entresol indiquent :
Fabrique d'extraits
évaporés dans la vapeur
et dans le vide,
et de l'autre côté :
Produits chimiques
et pharmaceutiques
de Bernard Derosne e
et Ossian Henry
D'abord pendait l'enseigne du Mouton vers 1515,
puis du Mouton Blanc en 1530.
C'est un nommé François Nourrit, marchand bourgeois qui fit reconstruire la maison telle que nous la voyons actuellement. Un sieur Rouvière, pharmacien du roi ouvrit la première échoppe d'apothicaire en 1712. Sa réputation grandit quand on apprit qu'il avait procuré au roi Louis XIV un médicament qui lui aurait redonné une sympathique vigueur particulière (pardon pour la périphrase...)
Le propriétaire de la maison Louis Claude Cadet de Gaussicourt apothicaire de son état, associé avec Louis Derosne avait une très jolie femme Marie-Thérèse Boisselet que le roi Louis XV aurait trouvé très sympathique. Si bien que le fils de Cadet de Gassicourt, Charles Louis ressemblait comme deux gouttes d'eau au roi, si l'on en croit un mémorialiste de son temps.
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En 1787, la pharmacie fut un dépot "des eaux de Passy" et "des eaux d'enghien"
Certains historiographes racontent que c'est là que le comte Mercy d'Argenteau, ambassadeur d'Autriche, venait acheter "l'encre sympathique" qui permettait  Fersen de correspondre secrètement avec Marie-Antoinette qui s'y fournissait également en produits de beauté.
Derosne devint un personnage important, devint pharmacien de Napoléon qu'il accompagna à Wagram. Après sa mort, la dynastie des Derosne prospéra rue Saint-Honoré jusqu'en  1874, date à laquelle une famille Graux se rendit acquéreur de l'immeuble et de la boutique. Puis, c'est la comtesse de Montmorin qui prit la suite jusqu'à ce que en 1942, le docteur Pierre Barra en devint un des derniers propriétaires.

19:10 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

29/05/2007

DANNAE MARIAE MOZART

PAR BERNARD VASSOR
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La mère de Wolfgang Amadeus Mozart qui habitait Paris, est décédée le 3 juillet 1778. Elle a été inhumée au petit cimetière Saint-Joseph.
medium_eglise_saint_eustache_05_sepia.2.jpgUne plaque de marbre a été posée par les soins de la ville de Paris en 1953 dans l'église Saint-Eustache.
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C'est lors de son deuxième séjour à Paris 1777-1778 qu'il écrit à son père le 9 juillet 1778,:
"Vous avez été préparé par ma lettre du 3 à ne rien oser attendre de bon. Ce jour-même, le 3, ma mère s'est bien heureusement endormie en Dieu à 10 heures 20 minutes DU SOIR. Tandis que je vous écrivais, elle jouissait des félicités célestes. Tout était déjà fini. Je vous écrivais dans la nuit; j'espère que vous et ma très chère soeur vous me pardonnerez cette  petite tromperie si nécessaire. Car lorsque j'ai compris d'apès ma douleur et ma tristesse quelles seraient les vôtres, il m'a été impossible de prendre sur moi de vous saisir tout à coup par cette horrible nouvelle"
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 LA FAMILLE MOZART 1781

17:00 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

LA PORTE DES PEINTRES PARIS DISPARU

PAR BERNARD VASSOR

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 LA PORTE-AUX-PEINTRES
La porte Saint-Denis, dans l'enceinte de Philippe Auguste, porte ce nom en raison de l'installation dans une ruelle contigüe,  d'un maître peintre Guillaume Ledoux.
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Elle a aussi porté le nom d'impasse de l'Ane Rayé

 

15:45 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

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