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28/02/2007
RETIF DE LA BRETONNE
Par Bernard Vassor
Une notice sur la vie de Rétif : RETIF_LES_CONTEMPORAINES_VIE_DE_RETIF_extrait_02.pdf
LA VERiTABLE HISTOIRE DE "INGENUE SAXANCOURT"
Les évènement décrits dans le roman "Ingénue Saxancourt" sont authentiques. Monsieur Saxancourt est Rétif lui-même, et Ingénue, est sa fille Agnès. Elle était née à Auxerre en 1761 et passa sa jeunesse à Sacy, le village natal de son père.
A SUIVRE ....
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AUGUSTE KOTZEBUE
par Bernard Vassor
August Friedrich Ferdinand von Kotzebue est né à Weimar le 3 mai 1761, mort à Mannheim le 23 mars 1819.
Cet écrivain Allemand séjourna à deux reprises à Paris. D'abord en 1790, puis en 1804. Il a laissé des notes de voyage fort intéressantes sur les époques mouvementée de la révolution et du consulat.. Ensuite, attaché aux services de la Sainte Alliance, il fut tué d'un coup de couteau par un révolutionnaire nommé Sand. En voici un petit chapitre;
TEMPS NOUVEAUX :
"L'habillement que l'on nomme aujourd'hui décent n'aurait pas été permis il y adeux cents ans aux femmes publique. Si cela continue, nos descendants habilleront leurs filles pour rien. On rit aujourd'hui, en songeant que dans un siècle peut-être on ne sera vêtu que d'une feuille de figuier; et cependant il y a moins de distance entre cette feuille et la chemise transparente d'aujourd'hui, qu'il n'y avait que les paniers que l'on portait il y a vingt cinq ans et le costume actuel. (..)On ne met plus de rouge, la pâleur est plus interessante. On appelle cela "une figure à la Psychée" (d'après le tableau de Gérard). Les dames ne se servent plus que de blanc, et laissent le rouge aux hommes. Il y a quelques femmes d'un certain genre qui portent des schalls de casimir et des voiles de dentelle, le reste est abandonné aux espèces. La grande parure est très simple, point de fard, point de poudre, les cheveux en désordre, un diadème en brillants, une tunique en dentelle, point de corps, point de paniers, et beaucoup de fleurs.(..)
La mère et la fille sont mises à présent de la même manière, se tutoient; et quand elles se disputent, aucune ne cède. Toutes deux dansent la gavotte, chantent, jouent aux cartes, rentrent séparément chez elles font des folies et se boudent (...) Le nombre de filles publiques paraît s'être considérablement accru depuis la Révolution; à la vérité elles n'osent plus faire leur commerce que la nuit; celles qui habitent le Palais-Royal ne quittent pas leur demeure avant le coucher du soleil, pour folâtrer sous les arcades; mais en revanche on en rencontre partout qui étalent leurs appas nus, avec une profusion extraordinaire, et par tous les temps possibles. Il est inconcevable que ces pauvres filles puissent demeurer huit jours en bonne santé; elles n'ont absolument rien sur le corps qu'une robe blanche très fine et parfaitement collante ;vraisemblablement, elles n'ont ,pas de chemise, car elle se ferait au moins deviner par un pli, attendu qu'ells tiennent toutes leur robe par derrière, et qu'elles lla serrent contre les cuisses, de manière à ne rien laisser perdre de leur forme. (..) A la vérité, elles ont sous les arcades du Palais-Royal, la facilité de se promener à pieds sec, et à l'abri du mauvais temps; mais dans les rues, elles bravent avec intrépidité la pluie et la grêle, quand elles pensent qu'il est de interêt d'y rester, et qu'elles présument le temps favorable à la recette.Il faut que le coin de la rue Vivienne et de celle des Petits-Champs** soit un bon poste pour le gibier, car je ne suis jamais sorti le soir du Palais-Royal sans ne trouver là un troupeau : un jour j'en ai compter jusqu'à quatorze à cette place. Il pleuvait à verse, la rue était sale et crottée; mais elles n'y faisaient aucune attention. Cependant j'ai cru remarquer qu'elles sont moins importunes, moins hardies qu'il y a treize ans*; elles n'attaquent les passants que dans les endroits obscurs; partout où brille la clarté de la clarté des réverbère , elles se contentent de se présenter.(...)
*Son premier séjour à Paris datait de 1790. Il avait publié :
Paris en 1790, puis : Souvenirs de Paris en 2004 , 2 volumes, Chez Barba, palais du tribunat, derrière le Théâtre Français 51, An VIII
**Cet endroit est à vingt mètres de la rue des Bons-Enfants, rue Radziwill
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TORTONI, LE BOULEVARD EN 1830 VU PAR ALFRED DE MUSSET
Par Bernard Vassor
Ce texte inédit du vivant de Musset, est très peu connu. Tortoni en ce temps là était le rendez-vous, de toutes les élégangances. Tous les dandys venaient parader. Les jeunes littérateurs, les lions, les cocodès, les ambitieux, les grisettes trouvaient là un terrain de chasse. On pouvait croiser un jeune avocat de très petite taille, dandy complètement ridicule avec une énorme cravate bleue qui rendait encore plus dispropotionnée sa silouette. C'était Adolphe Thiers, avec "ses frères provençaux" Mignet et Barthélemy, Balzac enquétait déjà sur les moeurs de ces gens. Voici ce qu'écrivit Alfred de Musset :
"L'espace compris entre la rue Grange-Batelière et celle de la Chaussée d'Antin n'a pas comme vous savez plus d'une portée de fusil de long. C'est un lieu plein de boue en hiver et de poussière en été. Quelque marroniers qui y donnaient de l'ombre ont été abbatus à l'époque des barricades. Il n'y reste pour ornement que cinq ou six arbrisseaux et autant de lanternes. D'aiileurs, rien qui mérite l'attention, et il n'existe aucune raison de s'asseoir là plutôt qu'à toute autre place du boulevard qui est aussi log que Paris. Cet espace souillé de poussièe et de boue est cependant un des lieux les plus agréables qui soient au monde. Le Parisieny vit, le provincial accoure, l'étranger qui y passe s'en souvient comme la rue de Tolède 0 Naples, comme autrefois la Piazetta à Venise. Restaurants, cafés, théâtres, maisons de jeu, tout y passe; on a cent pas à faire; l'univers est là. De l'autre c^té du ruisseau, ce sont les Grandes Indes.
Vous ignorez surement les moeurs de ce pays étranger qu'on a nommé le boulevard de Gand. Il ne commence guère à remuer qu'à midi. Les garçons de café servent dédaigneusement quiconque y déjeune avant cette heure. C'est alors qu'arrivent les Dands; ils entrent à Tortoni par la porte de derrière, attendu que le perron est envahi par les barbares, c'est-à-dire les gens de la Bourse. Le monde Dandy, rasé, coiffé déjeune jusqu'à deux heures, à grand bruit, puis s'envole en bottes vernies. Ce qu'il fait de sa journée est impénétrable : c'est une partie de cartes, un assaut d'armes, mais rien n'en transpire au dehors et je ne vous le confie qu'en secret...A cinq heures changement complet, tout se vide et reste désert jusqu'à six heures. Les habitués de xhaque restaurant paraissent peu à peu et se dissipent vers "leur mondes planétaires". Le rentier retiré, amplement vêtu, s'achemine vers le Café Anglais avec son billet de stalle dans sa poche.Les courtiers bien brossés, le demi-fashinnable vont s'attabler chez Hardy; de quelques lourdes voitures de remise débarquent de longues familles anglaises, qui entrent au Café de Paris, sur la foi d'une mode oubliée. Les cabinets du Café Douix voient arriver deux ou trois parties fines, visages joyeux mais inconnus Devant le Club de l'Union, illuminé, les équipages s'arrêtent; les dandys sautillent ça et là avant d'entrer au Jockey.A sept heures, nouveau désert. Quelques journalistes prennent le café pendant que tout le monde dîne. A huit heures et demie, fumée générale; cent estomacs digèrent, cent cigares brûlent, les voitures roulent, les bottes craquent, les cannes reluisentles chapeaux sont de travers, les chevaux caracolent, le monde dandy s'envole de nouveau.Ces messieurs vont au théâtre et les dames pirouettent. La compagnie devient tout à fait mauvaise. On entend dans la solitude le crieur de journal du soir. A onze heures et demie les spectacles se vident; on se casse le cou chez Tortoni pour prendre une glace avant de s'aller coucher. Il s'en avale mille dans une soirée d'été. A minuit, un dandy dégingandé reparaît un instant; il est brisé de sa journée; il se jette sur une chaise, étend son pied sur une autre, avale un verre de limonade en baillant.Tout s'éteint. On se sépare en fumant au clair de lune. Une heure après, pas une âme ne bouge, trois ou quatre fiacres patients attendent seuls devant le Café Anglais des soupeurs attardés qui n'en sortiront qu'au jour.
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27/02/2007
Frantz VAILLANT, Roland Topor ou le rire étranglé
Biographie accompagnée d’un hors-texte iconographique de 16 pages.
Quatrième de couverture :
Roland Topor naît en 1938, à Paris, de parents émigrés polonais. Sa vie commence dans les prémices d'une guerre qui saignera bientôt le monde et qui le marquera à jamais. Très tôt, il manifeste une liberté d'esprit étonnante. Voulant être artiste, il s'inscrit aux Beaux-Arts et publie pour la première fois des dessins et des contes dans les revues Bizarre, Arts, Le Rire, Fiction. C'est le début d'un travail considérable réalisé (jusqu'à sa mort en 1997) par l'un des derniers grands touche-à-tout.
Topor est fascinant parce qu'il est peintre, dessinateur, écrivain, homme de théâtre et de télévision. En France, le fait qu'il vienne du dessin d'humour et de l'illustration (de 1961 à 1965, Topor collabore à la revue Hara-Kiri, et fonde le groupe « Panique » avec Arrabal, Jodorowsky et Sternberg est encore un sujet de malentendu. Il ne figure ni dans les grandes expositions des grands musées, ni dans les collections publiques. Il est pourtant l'un des plus impressionnants dessinateurs de notre époque. Sa puissance d'invention brouille la perception qu'a de lui le monde de l'art. Homme-orchestre, la liste de ses activités semble infinie. Et pourtant son ouvre reste cohérente et tourne autour de quelques thèmes majeurs. Sa morale ? Ne jamais être correct. Humaniste pessimiste, il joue sur le grotesque et le burlesque. Et si, pour lui, les matières fécales, le sang, le sexe, la viande comptent beaucoup, c'est parce qu'ils désignent avant tout l'être humain.
Dix ans après sa mort, Frantz Vaillant mène l'enquête et compose la première biographie de cet « acrobate de l'imaginaire » – dont l'obsession majeure reste la mort – , qui l'emplissait d'effroi, et autour de laquelle il n'a cessé de tourner avec drôlerie en une magnifique danse macabre.
Frantz Vaillant, rédacteur en chef adjoint à TV5, est l'auteur de plusieurs documentaires. Parmi eux, « Léo Ferré, les témoins de sa vie », 2003. Roland Topor ou le rire étranglé est son premier ouvrage.
Editions Buchet-Chastel :
http://www.editions-libella.com/fiche-ouvrage.asp?O=435
23:10 Publié dans L'amour des livres | Tags : Frantz Vaillant, TOPOR, Arrabal, Jodorowsky, Steinberg | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
le Grand Café de la Place Pigalle, autrement dit : LE RAT MORT
Par Bernard Vassor
Au n° 7 actuel de la place, un limonadier s’installait en 1835. Cet établissement édifié à l’angle de la rue Frochot et de la place, se nommait "le Grand Café de la Place Pigalle" mais les clients vont s’empresser de le baptiser "le Rat Mort" en raison de l’odeur pestilentielle qui empuantissait l’endroit, ce qui ne l’empêcha pas de devenir le rendez-vous de tout ce qui comptait de journalistes, écrivains, peintres et jolies dames esseulées. On pouvait aussi rencontrer tous les chiens du quartier, terriers, épagneuls, bichons havanais, lévriers, barbets, caniches, qui s’y livrent à des combats acharnés. A la jonction des deux demi-lunes qui avaient été tracées de part et d’autre en partant des guérites et qui était le passage des boeufs conduits à l’abattoir de l’avenue Trudaine.
Nous pouvons imaginer Baudelaire attendant de voir passer« Apolonie », attablé à la terrasse du café, noter sur une feuille volante cet hommage à Paris la Catin, qui figure dans l’exemplaire de Poulet-Malassis :
Hommage à Paris, vu du Haut Montmartre :
"Je t’aime, ô ma très belle ô ma charmante... Que de fois...
Tes débauches sans soif et tes aurores sans âme, Ton goût de l’infini,
Qui partout dans le mal lui-même se proclame,
Et tes feux d’artifice, éruptions de joie,
Qui font rire le ciel, muet et ténébreux.
O vous soyez témoins que j’ai fait mon devoir,
Comme un parfait chimiste et comme une âme sainte.
Car j’ai de chaque chose extrait la quintessence :
Tu m’a donné ta boue et j’en ai fait de l’or".
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12:35 Publié dans CAFES ET RESTAURANTS | Tags : SENLIS, Séraphine, Louis, Baudelaire, le Grand Café de la Place Pigalle, Apolonie, Sabatier | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
MARIE-ROSALIE BONHEUR DITE ROSA
Par Bernard Vassor
Née le 22 mars 1822 à Bordeaux, morte en 1899 au château de By à Thomery, petit village près de Fontainebleau. Son premier maître fut son père qui l'initia à la peinture. Puis, c'est Cogniet qui lui enseignera les premiers rudiments de son art. Elle faisait preuve dès son plus jeune age d'une grande habileté à dessiner des bonshommes qu'elle découpait. Elle avait déjà une grande indépendance de caractère, elle s'enfuit de l'école, puis de l'atelier où elle était apprentie. Les lectures de George Sand la marquèrent profondément, et eurent une grande influence sur sa vie et l'affranchirent de tous les préjugés. Elle débuta au salon en 1841 et obtint sa première médaille en 1848. L'impératrice Eugénie la fera, première femme chevalier de la légion d'honneur en 1865, qui lui déclarera : " Vous voilà chevalier. Je suis heureuse d'être la marraine de la première femme artiste qui reçoive cette haute distinction. " puis fut officier en 1894. Elle obtint de la préfecture de Police, fait unique, l'autorisation de s'habiller en homme afin de pouvoir circuler librement au marché aux bestiaux. Outre la légion d'honneur, elle fut nommée Commandeur de l'Ordre d'Isabelle la Catholique et de l'Ordre de Léopold de Belgique. Son atelier était 232 rue d'Assas. *Rosa Bonheur, première femme émancipée à s'emparer du mot "amitié" en baptisant le château de By, ou elle s'installe en 1860 avec sa compagne Nathalie Micas, "le Domaine de la Parfaite Amitié"
A SUIVRE...........
Sources :
Bénézit
*Marie-Jo Bonnet, Les Deux Amies Editions Blanche2000
10:35 Publié dans LES PEINTRES INCLASSABLES | Lien permanent | Commentaires (10) | | | | Digg
26/02/2007
SERAPHINE LOUIS DITE SERAPHINE DE SENLIS
Par Bernard Vassor
A Arcy-sur-Oise, Séraphine Louisest née en 1864, la même année que Camille Claudel. Elle vécut, et mourut de faim, comme Camille ses derniers jours dans un asile psychiatrique, le 11 décembre 1942 dans une petite cellule. Terrassée par des dose massives de tranquillisants assénés depuis dix ans ! Après sa mort, personne ne vint réclamer son corps. Elle fut donc enterrée dans une fosse commune. Aujourd'hui, dans le cimetière de Clermont de l'Oise, on ne connaît même pas l'emplacement de cette fosse. "Comme on ignore encore aujourd'hui le lieu de la sépulture de Camille Claudel) La palette qu'elle utilisa, les ingrédients pour réaliser ses oeuvres sont tout à fait insolites. Elle allait voler à l'église l'huile des lampes, des petits pots de Ripolin, de la terre qu'elle mélange, et de son propre sang qui, croit-elle donne de la vie à ses peintures faites sur toutes sortes de supports. Des fleurs peintes sur des planchettes de bois, qu'elle échange contre de la nourriture. Elle habitait à partir de 1906 au premier étage d'une maison ruelle du Puits-Thiphaine. Après avoir été dans un couvent de Senlis, soeur tourière, portière, jardinier, s'occupant des besognes les plus basses pendant vingt ans. Elle voulait devenir religieuse, mais il fallait apporter une dot, et elle n'avait rien...Déja, elle avait des visions et était souvent en conversation avec la Vièrge Marie.
L'enquête
Au savoir livresque vient s'ajouter la connaissance directe de la réalité, approfondie méthodiquement sous la forme d'une enquête.Le romancier se déplace. Il lui arrive de voyager à l'étranger : Flaubert est allé à Tunis pour Salammbô, les Goncourt à Rome pour Madame Gervaisais... Mais aux longs déplacements qu'affectionnent les romantiques il préfère les voyages proches, qui sont en quelque sorte des repérages de situation : Flaubert explore la campagne normande pour préparer Bouvard et Pécuchet ; Zola se rend à Anzin pour Germinal, va dans la Beauce pour La Terre, refait le trajet suivi par l'armée de 1870 pour écrire La Débâcle... Sur place, le romancier a recours à des informateurs ; il accomplit des visites techniques : les Goncourt ont pénétré dans la prison des femmes de Clermont pour écrire La fille Elisa ; Zola a longuement exploré les Halles pour composer Le Ventre de Paris ; à Anzin, il est descendu dans un puits de mine ; au moment de La Bête humaine, il a fait en locomotive, à côté du chauffeur, le trajet Paris-Mantes...Ces enquêtes sont en général asses brèves : elles durent rarement plus d'une semaine. On s'est souvent moqué de leur rapidité, mais on a eu tort. Car ce sont des reportages où le contact avec l'inconnu, l'impression saisie sur le vif comptent avant toute chose. Et il ne s'agit que d'un élément parmi d'autres, dans le travail de préparation."
Extrait de Cahiers naturalistes sous le titre : Le roman scientifique
L'actrice Yolande Moreauincarnera Séraphine dans un prochain long métrage en cours de tournage de Marin Provost.
Les oeuvres ont été dispersées, c'est, dirigé par Madame Bénédicte Ottinger le Musée d'Art de Senlis qui en possède le plus grand nombre.
21:10 Publié dans LES PEINTRES INCLASSABLES | Tags : SERAPHINE DE SENLIS, Yolande Folliot, Camille Claude, Séraphine Louis, Musée d'Art de Senlis | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
LE CABARET PELLORIER DE L'ACADEMIE FRANCAISE..
Par Bernard Vassor
Plus tard dans le siècle, Rimbaud fréquenta avec Verlaine l’académie d’absinthe , ce qu’il appelait l’Académie d’Absomphe.
Il écrit à son ami Ernest Delahaye : Rimbaud avec l'ombre de Verlaine
"Vive l'académie d'Absomphe, malgré la mauvaise volnté des garçons ! C'est le plus délicat et le plus tremblant des habits, que l'ivresse par la vertu de cette sauge de glaciers, l'absomphe. Mais pour après se coucher dans la merde.
Jumphe 1872"
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LE CAFE DE LA ROTONDE
Par Bernard Vassor
09:35 Publié dans CAFES ET RESTAURANTS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
25/02/2007
GAUTHIER D'AGOTY
00:00 Publié dans L'amour des livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg