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02/12/2012
Les Bohémiens de la porte de Saint-Ouen. des Batignolles, bastion 39, et de La Chapelle en des temps plus anciens.
Par Bernard Vassor
Des journaux de 1872 relatent l'installation de bohémiens aux portes de Paris..
Un article signé Jan Karl dans l’Univers Illustré de juillet 1872 relate l’installation d’un campement de gitans dans le fossé des fortifications sous le bastion 39 de la porte des Batignolles.
Une invasion pacifique mais non sans inconvénients pour le voisinage dans les quartiers où elle s’est abattue, vient de fondre inopinément sur ce quartier de Paris. Nous voulons parler de ces industriels vagabonds, diseurs de bonne aventure, magiciens, égyptiens (depuis « Notre-Dame de Paris » les gitans étaient associés aux gitans) qui viennent du nord ou du midi, caraques et gitanos communément marchands de chevaux, d’ânes et de mulets. Ceux qui ont fait leur apparition ces jours derniers exerçaient la profession de chaudronniers.
Les premiers qui se sont montrés avaient établi leur campement dans le fossé des fortifications, un lieu désert qui convient à ces bohémiens qui n’y font pas plus de mal pour cela mais qui y vivent en toute liberté selon leurs us et coutumes. Les seconds étaient entrés plus avant dans la ville et avaient établi leurs tentes en plein Montmartre, près de l’église Notre-Dame de Clignancourt.
Quel excès d’audace ! L’administration de la ville leur a depuis interdit l’enceinte de Paris, et nous ne saurions l’en blâmer. Les cours des miracles, même les plus inoffensives ne sont plus de ce temps.
Nous connaissons d’enfance ces teints bronzés, ces dents d’une blancheur éclatante qui font ressortir la peau brune de ces espèces d’enfants du soleil.
Leurs cheveux crépus les font ressembler à des nègres et leurs yeux noirs effrayaient les enfants et même les plus belles dames. »
L'article se poursuit sur une colonne avec le même ton haineux, on croirait du Copé collé rien de nouveau en quelque sorte....
Déjà, dans « Le Journal d’un bourgeois de Paris » (1405-1449) le chroniqueur relate un évènement similaire, «Le douzième jour du mois d’août 1427, l’arrivée de bohémiens à qui l’on a refusé l’entrée dans Paris, « mais par justice furent logés à la Chappelle Sainct-Denis et n’estoient plus en tout hommes femmes et enfans plus de cent ou six vingt environ. Quand ils furent à la Chapelle, on ne vit oncques plus grand allée de gens à la bénéisson du Landit, qui alloient de Paris à Saint-Denis pour les veoir. Item, les hommes étaient très noirs les cheveux crespéz, les plus laides femmes que on peust veoir ; toutes avaient le teint deplaié, cheveux noirs comme la queue d’un cheval (…) Bref ce estoient les plus povres créatures que on vit oncque venir en France de sage de homme »
18:25 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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Félix Fénéon, "inventeur de Twitter", défricheur de talents, critique d'Art et critique littéraire, il fit tomber François, Coppée de son piédestal pour y faire monter Arthur Rimbaud.
Par Bernard Vassor
En outre, Fénéon donna à un peintre en vogue, le sobriquet de "brocanteur Messonier" et il fit l'éloge d'un obscur peintraillon batave nommé van Gogh !
SEM : de gauche à droite,Francis de Croisset, Emile Bergerat, Courteline, Georges Beer, Jean de Bonnefon, Catulle Mendès, Ernest Lajeunesse.
A part Courteline et peut-être Mendès, qui se souvient aujourd'hui de ce cénacle ?
Avec Paul Adam, Jean Moreas et Oscar Metenier, il publia sous le pseudonyme Plower le « Petit Bottin des lettres et des arts » en 1886.
Juste un petit extrait savoureux, la notice Coppée François "Un exemple de ce que peut l'esprit de suite dans le commerce de la lingerie à bon marché. Sert une clientèle de petites ouvrières; de moeurs pures (...) A récemment joint à sa boutique de blanc un magasin d'accessoires de théâtre et de costumes historiques pour modèles à l'enseigne des "Palmes vertes". (...) Dans la poussière qui en émane, des voix de cabots jettent : "J'ai tué le tyran ! -- c'était ton père ! ---Ah !"
Rémy de Gourmont le qualifie ainsi : "M.fénéon avait toutes les qualités d'un critique d'art, l'oeil, l'esprit analytique, le style qui fait voir ce que l'oeil vu et ce que l'esprit a compris. (...) Nous n'avons eu depuis l'ère nouvelle que deux critiques d'art, Aurier et Fénéon : l'un est mort (Aurier) l'autre se tait. Quel dommage !"
Félix Fénéon et suppose-t-on Vincent van Gogh. ?
Félix Fénéon qui selon Apollinaire "n'a jamais été très prodigue de sa prose"cessa presque d'écrire sur l'art en 1891, mais il continua jusqu'à sa mort à soutenir les peintres de l'Ecole moderne..
Le véritable inventeur de "Twitter", il innove dans le journal "Le Matin" une formule journalistique jusqu'alors inconnue :
"Les Nouvelles en trois lignes" comprenant entre 130 et 135 signes typographiques maximum en style télégraphique !
On peut lire avec intéret le livre de Daniel Grojnowski, Aux commencements du rire moderne. L'esprit fumiste, José Corti, Paris, 1997 .
Régine Detambel (éd.), Nouvelles en trois lignes, volumes 1 et 2, Mercure de France, coll. « Le petit Mercure », Paris, 1997 et 1998.
Une petite biographie par notre ami Octave Mirbeau sur internet :
http://www.homme-moderne.org/textes/classics/mirbeau/fene...
A suivre
11:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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30/11/2012
La Mesnagerie de XENOPHON, c'est à dire : La manière de bien gouverner une famille, par Etienne de la Boétie.
Par Bernard Vassor
« Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres. »
La Boétie, Traité de la servitude volontaire
Ce recueil fut publié par Michel de Montaigne après la mort de son ami, survenue en 1563. Montaigne ajouta cinq épitres et le récit de son décès dont il ne se consola jamais.
Cet essai est présenté sous la forme d'un dialogue entre Socrate et Critobule un historien et homme politique Bysantin né vers 1400-1410 qui serait mort après 1470.
Les conseils de Socrate sont assez savoureux, quand on connait ses relations de soumission envers sa femme Xantippe.
Juste un tout petit extrait :
CITOBULE : -"Mais ceux Socrate, qui ont les bonnes femmes que tu dis, ne pourroit-on pas adviser en quelque sorte comment ils les ont enseignées ? Je te mettrai devant Aspasie qui te fera entendre toutes ces choses beaucoup plus doctement que je ne saurai le faire"
Socrate :-"Mais de ma part, je pense que la femme est loyale compagne de la maison, car le plus souvent, les biens entrent daans la maison par le fait du mari"
21:02 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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Jean Veber, un peintre, dessinateur caricaturiste annonciateur en 1901 des grands crimes du vingtième siècle naissant, victime de Dame Anastasie !
Par Bernard Vassor
Cette caricature que l'on croirait tout droit sortie d'un numéro de Charlie-Hebdo, parut dans "L'Assiette au beurre" pour dénoncer le rôle de l'Angleterre dans la guerre du Transvaal contre les Boers, et la création des camps de "reconcentration", devanciers des grands crimes du vingtième siècle naissant. C'est le royal postérieur de la reine Victoria ainsi représenté, qui, soulevant ses cottes tend au spectateur un plantureux derrière sur lequel se dessine le visage monstrueux du prince de Galle, futur Edouard VII. L'ambassade d'angleterre obtint la censure du numéro incriminé, mais Dame Anastasie dans sa grande sagesse autorisa sa reparution en 1901, du fessier victorien, à la condition qu'il soit voilé.
Jean Veber né en 1864 dans le neuvième arrondissement de Paris, mort en 1928. Il fut avec Willette qui donna aussi de la plume et du crayon contre les "Englishs" , responsable d'incidents diplomatiques avec la probe Albion.
Veber récidiva dans un autre numéro avec un dessin plus sage contre la guerre conduite par les Anglais dénonçant toujours les massacres avec ce titre à la fois terrible et très sobre, simplement intitulé : "LE SILENCE".
Un quart de la population Boer et 120 000 Africains noirs furent internés dans des camps de concentration, et leurs maisons détruites. Beaucoup, dont femmes et enfants périrent victimes d'épidémies ou de malnutrition.
15:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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29/11/2012
Un petit caboulot pas cher...Le Champeaux place de la Bourse (à l'emplacement actuel de l'Agence France Presse) Mise à jour (Zola)
Par Bernard Vassor
"Il ne faudrait ne jamais être passé par la place de la Bourse pour ne pas avoir vu le restaurant Champeaux." Alfred Delvau.
Situé au centre d'un des quartiers les plus riches de Paris, c'est une des maisons dont la réputation a été le plus longtemps soutenue. Ce que possède le restaurant Champeaux en plus de ses concurents, c'est un magnifique jardin d'été qui se transforme à l'approche de la nouvelle saison en jardin d'hiver.
On donne parfois à Paris le nom de jardin d'hiver à de modestes terrasses vitrées où s'étiolent quelques plantes rabougries au feuillage artificiel. Rien de tel chez Trap, le propriétaire, le vaste jardin est planté d'arbres véritables sous lesquels on dîne confortablement. Le jardin a été confié pour son éxécution à un architecte de goût M. Profilet qui a réussi l'exploit d'allier la simplicité à l'élégance. La cave est bonne et la cuisine aussi parait-il ?. Le prix des repas est directement proportionnel à la notoriété du lieu. C'est aussi sur cet emplacement qu'une maison attenante au couvent des Filles Saint-Thomas fut occupé par le salon célèbre de Madame Doublet.
Dans l'Argent d'Emile Zola, le roman s'ouvre sur Saccard qui vient d'entrer au restaurant Champeaux (l'action se passe en 1863) : "Onze heures venaient de sonner à la Bourse lorsque Saccard entra chez Champeaux, dans la salle blanc et or, et dont les deux hautes fenêtres donnent sur la place (...) A cette heure où tout le monde déjeunait (à 11 heures ?) la place était presque vide : sous les marroniers d'une verdure tendre et neuve, les bancs restaient inoccupés, le long de la grille, à la station des voitures, une longue file de fiacres s'allongeait d'un bout à l'autre et l'omnibus de la Bastille s'arrrêtait au busans prendre ni laisser de voyageurs."
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2012/01/...
16:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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Un espion versaillais fait un relevé de l’état des barricades et des canons dans Paris pendant la Commune de Paris de 1871.
Par Bernard Vassor
Le rapport adressé au général Valentin, le supérieur hiérarchique du commissaire Lombard (une vieille connaissance pour les lecteurs de ce blog), un agent infiltré de la préfecture de police dresse un tableau des barricades et des canons et fait état de renseignements recueillis auprès d'habtitants de chaque quartier de Paris.
Dans un premier temps l’agent indique que les insurgés ont concentré leurs moyens en deux points : la place Vendôme et la préfecture de police. Place Vendôme il y a de fortes barricades en pavés de bois, garnies en arrière de palissades élevées et armées d’artillerie. D’un côté rue de Castiglione entre la rue Saint-Honoré et la place, l’autre en avant de celle-là. Une autre à l’angle de la rue de la Paix et de la rue Neuve-des-Capucines. Pour la préfecture de Police, des canons aux abords des ponts et du quai. Une barricade a été dressée sur le quai des Orfèvres (amarrée au terre-plein.)
Ce que semblaient craindre les communards tout d’abord, c’était une attaque venue de l’intérieur, comme la manifestation des Amis de l’Ordre place de l’Opéra le 22 mars pouvait le laisser supposer.
Les barricades aux abords de l’Hôtel de Ville étaient armées d’une centaine de canons et de mitrailleuses.
Puis, au cours de jours suivants les intentions de l’armée de Versailles semblant avoir arrêté un plan de campagne, la taupe du général s’est particulièrement intéressé aux systèmes de défense situés dans le 9e arrondissement :
« 20 mars place Clichy trois barricades armées de canons.
22 mars, barricades de la place armée de 12 canons.
23 mars, arrivée de nouvelles pièces d’artillerie.30 mars, autour du monument Moncey, 10 à 12 pièces d’artillerie, 6 petits mortiers et 2 obusiers de montagne. Les rues aboutissant à la place Clichy sont barricadées, chaque barricade est armée de 2 canons et de mitrailleuses.
30 mars, barricades commandant la rue Fontaine désarmées.
30 mars, rue des Martyrs, une barricade armée d’un canon et d’une mitrailleuse (débouché sur le boulevard de Clichy)
Cette photographie a été réalisée par un des rares photographes restés à Paris. Eugène Fabius avait son magasin au 5 rue de Provence et sera par la suite un magasin d'antiquités.
Nous voyons au débouché de la rue des Martyrs à droite des bâtiments vétustes bordant un terrain vague sur le boulevard Rochechouart, où un fils de boucher, Ferdinand Baert viendra planter son chapiteau de toile un an plus tard pour y établir un cirque qui portera comme patronyme son prénom espagnolisé : cirque Fernando.
Faisant face, de l'autre côté du boulevard, nous reconnaissons ce qui sera après 1880 le cabaret de Maxime Lisbone "La Taverne du bagne". Nous pouvons même deviner l'emplacement de ce qui a été "Le Divan japonais" en remontant la rue des Martyrs sur la gauche.
Enfin, toujours à gauche côté 9e arrondissement un autre terrain vague boulevard de Clichy accueillait le Cirque miniature Corvin. Ce cirque fut remplacé par le "Café des Artistes" fréquenté par le clown "Géronimo" plus connu sous le nom de "Médrano". Un autre jeune client, venu d'Andalousie prénommé Pablo Ruiz sera un hôte assidu de ce café.
12:00 | Lien permanent | Commentaires (2) | | | |
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28/11/2012
La "sortie" du 14 avril 1871, traversée de la Seine à Asnières sur un pont de bateaux. Le père Tanguy faisait partie des gardes nationaux qui l'on traversé à l'aller comme au retour
Par Bernard Vassor
Le pont d'Asnières qui avait été complètement anéanti par des obus prussiens, fut remplacé par un pont de bateaux pour traverser la Seine.
Dans un article précédent, nous avons de cette gravure un point de vue différent.
L'arrivée des gardes nationaux sur les berges de la Seine donnait précisément accès à la guinguette qui s'appelait alors "Cassegrain". L'autre guinguette qui y était accolée avait reçu l'obus d'une batterie versaillaise venant de la plaine de Courbevoie. faisant un trou important près d'un bec de gaz situé près du cabaret "L'Amiral" qui fut également en partie détruit (archives personnelles).
Au fait, Cassegrain a changé de propriétaire après la Commune de Paris, et il est devenu "La Sirène"
Complément de l'article :
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2011/04/...
16:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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Une scène, sur le boulevard Montmartre à l'occasion de la suppression de 8 journaux le 5 avril 1871.
Par Bernard Vassor
C'est devant le théâtre des Variétés que se déroule cette scène. Un décret paru au "Journal officiel de la Commune" (dirigé par Charles Longuet et Louis-Xavier de Ricard) avait annoncé la supppression dans Paris de 8 journaux versaillais dont "Le Bien-public" et plus tard, "le Journal des Débats". Ce qui provoqua une mini-émeute entre partisans de Thiers, et ceux favorables aux insurgés parisiens. Le lendemain, des éléctions complémentaires devaient se tenir pour remplacer les élus de la Commune morts au combat, ou ceux, démissionnaires pour des raisons diverses. D'autres journaux seront suspendus le 5 mai, mais...c'est une autre histoire.
Cette gravure nous donne l'occasion de situer avec précision le café de Suède, fréquenté par les bonapartistes, et le fameux café des Variétés qui perdit une grande partie de sa clientèle pour avoir refusé de s'abonner à la revue du caricaturiste photographe Carjat titrée "Le Boulevard". Etienne Carjat, partit avec armes et bagages porter ses pénates sur le trottoir d'en face au café de Madrid, le fief des gambetistes (le patron de ce café était d'ailleurs un mouchard au service du cabinet Lombard, la police politique secrète de Versailles)
Le café des Variétés avait une porte de communication avec le théâtre au premier étage. Cette porte fut murée pour éviter aux comédiens de monter sur scène l'esprit vaporeux.
13:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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27/11/2012
Ce que cette auto-promotion n'avait pas envisagé. L'assassin habite au 51 !
Par Bernard Vassor
Archives du musée de Montmartre.
Pour cette publicité, Gaston Secrétan n'avait pas imaginé qu'un médecin publirait un article glauque et vulgaire après sa mort, où Gaston aurait tenu le rôle de l'un des assassins de Vincent van Gogh, lui-même présenté par le docteur Doiteau comme un personnage malsain.
Bien des charmeurs de serpents de mer s'empareront à sa suite de cet article venimeux.
Nous retrouvons Gaston Secrétan devenu chansonnier autour des années 1925 dans des émissions d'une radio montmartroise "Radio Vitus, Le poste de Montmartre " installé 90 rue Damremont.
Il animait tous les soirs à 21 heures 15 avec Lucien de Gerlor une émission intitulée "Le cabaret montmartrois"
ARCHIVES DU MUSEE DE MONTMARTRE 2011.
(Merci à Madame Raphële Martin-Pigalle)
Parallèlement, il se produisit à "La Lune Rouse", le minuscule cabaret du 36 boulevard de Clichy (aujourd'hui le théâtre de dix heuires) Chevauchant une bicyclette et tournant en rond sur une scène de 3 mX 3 il demandait au public de lui donner des fragments de phrases dans le désordre. Doté d'une mémoire formidable, il accomodait ces phrases éparses pour en faire une chanson, tout en continuant à pédaler. Auteur compositeur, il fit enregistrer paroles et musique de nombreuses chansons par différents interprêtes.
Sa filmographie indique qu'il a joué en 1931, dans long métrage de Louis Mercanton intitulé : « Il est charmant » aux côtés de Meg Lemonnier, Cassive et Marthe Derminy.
En 1936, on le retrouve avec Raimu, dans un film d’André Berthomieu : « Le secret de Polichinelle »
Enfin, peu avant sa mort c’est dans le célèbre long métrage de Julien Duvivier : « La fin du jour » avec Louis Jouvet, Victor Francen, Michel Simon et Gabrielle Dorziat.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le formidable site :
http://100ansderadio.free.fr/HistoiredelaRadio/Radio-Vitu...
....................
Il figure en bonne place dans un numéro de :
La Bonne Chansons Française (Mars 1925) N° 89 : Jean Kermor - Th. Botrel - Jacques Ferny - Paul Olivier -Felix Mortreuil Et Gerny - Leon Denis - Gaston Secretan - Julien Sermet- Victor Herpin
Mise à jour le 27/11/2012
17:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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Alfred Sisley à Thomery
Par Bernard Vassor
La Seine vue des coteaux de By (musée d'Orsay) aux confluents de la Seine et du Loing.
Alfred Sisley séjourna vers 1880 (habitait disent certains) à Thomery, non éloigné du château de By où demeurait Rosa Bonheur; nous ignorons si ils se sont rencontrés ? Ou bien, tout simplement Sisley qui à vécu longtemps à Moret-sur-Loing (où il est mort) à quelques dizaines de kilomètres au sud de Thomery, est-t-il tombé en arret devant la splendeur de ce paysage.
Cette toile pourrait bien avoir fait partie de celles laissées en dépot chez le père Tanguy. Une autre interrogation, Vincent van Gogh a-t-il vu ou fréquenté Alfred Sisley, son aîné de 24 ans, pour qui il avait une grande estime et dont il prit la défense contre Teersteeg, son ancien directeur de la galerie Goupil et Cie à La haye.
Tout est très peu historique et celà fait beaucoup de conditionnel, mais peut-être aurons-nous un jour quelques réponses !
13:22 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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