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22/07/2011

Toulouse-Lautrec : le cabaret "La Souris" avec pour la première fois, une photographie d'époque du cabaret de la "mère Palmyre"

Par Bernard Vassor

La Souris,madame Palmyre,Bob dit Bobette,toulouse-Lautrec,bouboule

Tout y est, la lanterne rouge, le rideau légèrement entre-ouvert pour attirer le chaland.  

Cabaret fréquenté par Colette, grande amatrice elle aussi de bouledogues 

 

mADAME palmyre.ET SON CHIEN BOUBOULE A LA SOURIS.jpg
Madame Palmyre au centre, par mimétisme, ressemblait disait-on à son chien, le bouledogue "Bouboule", ou bien peut-être était-ce le contraire ? Son associé à droite était monsieur Bob Giguet dit Bobette. A gauche, probablement une cliente ?
Dans son cabaret principalement dédié aux amours saphiques, mais  madame Palmyre adorait être entourée de garçons androgynes.
bouboule la souris.jpg
Bouboule, le portrait de madame Palmyre...
Nous connaissons tous le goût très prononcé de Toulouse-Lautrec pour les lieux de plaisir parisiens.
C'est au "Perroquet vert", à l'angle de la rue de Steinkerque qu'il avait conduit pour le dévergonder Vincent van Gogh (qui n'avait pas besoin de cela).
Les bordels de la rue des Moulins et de la rue d'Amboise étaient ses résidences secondaires.
Dans le cabaret borgne de "Madame Papa" uniquement lesbien "le Hanneton" au 73 rue Pigalle, il était le seul homme admis. 
......................
C'est au 29 Bréda street (aujourd'hui rue Henry Monnier) que le cabaret "La Souris" accueillait les clients "antiphysitiques ou antiphysiques" comme on le disait à l'époque.

menu la souris,toulouse Lautrec

Sur ce menu, illustré par Toulouse-Lautrec, la petite souris voisine avec le chien Bouboule.

http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2009/02/...

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20/07/2011

Précurseur de la Démocratie oublié des livres d'Histoire : Hégésippe Simon.

PPar Bernard Vassor

R Smedium_hegesippe_SIMON_cadre.jpg                                                                                                                                          

 Les ténèbres s'évanouissent                                                                                                               q

uand le soleil se lève                                                                                                                       

Hégesippe SIMON 


Nous devons à la sagacité et à l'obstination du libraire éditeur-imprimeur Paul Birault la redécouverte de ce grand homme à qui la République doit tant. Le lieu de naissance est controversé, né en 1814, les registres paroissiaux ayant été détruit lors de la fuite des restes des armées napoléoniennes, plusieurs villes se disputèrent l'honneur d'être le berceau de ce grand homme. C'est certainement un village de l'extème sud du Morvan sur la départementale 92 que cette cité rattachée à Laroche-Millay que comptant environ 180 habitants ce hameau principalement agricole s'appelle Poil. 

Paul Birault qui tenait une librairie sur les vestiges d'un ancien couvent de la rue de Douai, à l'emplacement approximatif de l'actuel numéro 67, habitait rue Durantin. Il décida d'organiser le centenaire de ce précurseur de la République, parmi les principaux créateurs du parti radical. Paul Birault adressa en 1913 une circulaire demandait la création d'un comité aux députés radicaux pour les prier de participer à l'élévation d'un monument à la gloire du Grand homme.

 

 


Hégésippe Simon.jpg

Ce n'est que le jour de l'inauguration que les braves sénateurs découvrirent le canular, quand dans son discours le libraire annonça que : Hégésippe Simon était né et mort à Poil ! 

.......................... SI

 The darkness vanish

when the sun rises

Hegesippus SIMON 

We need the wisdom and the obstinacy of the printer-publisher bookseller Paul Birault the rediscovery of this great man who is both the Republic. The birthplace is disputed, born in 1814, the parish registers had been destroyed during the flight of the remains of Napoleon's armies, cities vie for the honor of being the birthplace of the great man. This is certainly a village in the south of the Morvan exteme Surla 92 county that the city attached to Laroche-Millay with about 180 residents that this mainly agricultural village called Hair.

Paul Birault who kept a bookstore on the remains of an ancient convent of the Rue de Douai, in the approximate location of the current number 67, lived Durantin Street. He decided to organize the centennial of the precursor of the Republic, one of the main creators of the Radical Party. 

Traducteur Google

To follow ............. ....................... 

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10/07/2011

Bouboule

Par Bernard Vassor

La Souris,madame Palmyre,Bob dit Bobette,toulouse-Lautrec,bouboule

mADAME palmyre.ET SON CHIEN BOUBOULE A LA SOURIS.jpg
Madame Palmyre au centre, par mimétisme, ressemblait à son chien, le bouledogue "Bouboule", ou bien peut-être est-ce le contraire ? Son associé à droite était monsieur Bob Giguet dit Bobette. A gauche, probablement une cliente ?
Dans son cabaret principalement dédié aux amours saphiques, mais  madame Palmyre adorait être entourée de garçons androgynes.
bouboule la souris.jpg
Bouboule, le portrait de madame Palmyre...
Nous connaissons tous le goût très prononcé de Toulouse-Lautrec pour les lieux de plaisir parisiens.
C'est au "Perroquet vert", à l'angle de la rue de Steinkerque qu'il avait conduit pour le dévergonder Vincent van Gogh (qui n'avait pas besoin de cela).
Les bordels de la rue des Moulins et de la rue d'Amboise étaient ses résidences secondaires.
Dans le cabaret borgne de "Madame Papa" uniquement lesbien "le Hanneton" au 73 rue Pigalle, il était le seul homme admis. 
......................
C'est au 29 Bréda street (aujourd'hui rue Henry Monnier) que le cabaret "La Souris" accueillait les clients "antiphysitiques ou antiphysiques" comme on le disait à l'époque.

menu la souris,toulouse Lautrec

Sur ce menu, illustré par Toulouse-Lautrec, la petite souris voisine avec le chien Bouboule.

http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2009/02/...

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09/07/2011

Histoire anecdotique : désormais, pour 1f 50 cent, vous ne mourrerez* plus d'une blessure par balle !!!

Par Bernard Vassor

pharmacie pansements Drouot.jpg
Pendant la guerre de 1870, la publicité de la Pharmacie Normale,
15 rue Drouot, vous assurait que dorénavant, à l'aide d'une cartouche-pansement, ou pansement-instantané placé dans sa giberne, pour un franc 50 centimes, les blessures et les décès dùs à la guerre, seraient guéris presque instantanément.
Cette publicité s'adresse aux gardes nationaux qui pendant le siège de Paris par les prussiens en 1870,
mouraient par centaines à chaque sortie pour repousser l'ennemi qui étouffait Paris.
L'exemple donné de la sortie du 21 octobre d'un garde blessé à la cuisse reçu, grâce à un camarade "un mobile" qui avait une cartouche-pansement en fit l'application et : "L'hémorrhagie s'arrêta et les symptômes dangeureux disparurent immédiatement"

185 bataillon garde nationale,drouot

 Etat  d'habillement de la 3° compagnie de marche du 185° bataillon de la Garde nationale (DE MONTMARTRE)

La Pharmacie Normale existait depuis le percement et la prolongation de la rue de Drouot en 1851, jusqu'à la rue de Provence, dont elle faisait l'angle. Rénovée en 1900, elle devint "La Pharmacie Nouvelle". Elle existe encore aujourd'hui. Sans avoir changé de place, sa numérotation fut modifiée lors de la reconstruction de l'Hôtel des ventes, la réalisation de la crèche et de la bibliothèque en 1980, qui occupèrent l'emplacement du tronçon de la rue de la Grange-Batelière qui continuait alors jusqu'à la rue Chauchat. Le numéro 15 de la rue Drouot devint donc le numéro 19.
Si "Le Dormeur du Val" avait eu en sa possession une cartouche-pansement, peut-être serait-il encore vivant ? Et le jeune Arthur eut été contraint de remiser son poème dans sa propre giberne !
*Ce verbe "mourrirer" extrait des oeuvres de Gainsbourg, sera reconnu par l'Académie Française dans cinquante ans ! 
 

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08/07/2011

Paris disparu, rue Ogniard, puis Trousse-vache devenue la rue de la Reynie

Par Bernard Vassor

baie ogivale 35 rue de la Reynie.jpg
 Baie ogivale percée en façade d'une maison.  
Cette maison, sans doute une auberge, photographiée en 1910 au 35 rue de la Reynie, a été détruite lors des différents boulversements des travaux parisiens. 
Cette rue moyennageuse porta au cours des siècles de nombreux noms. Un texte du XIIIe siècle (Le Dit de Paris) de Guillaud de Paris sous Philippe le Bel nous en donne plusieurs :
(...)La rue Auberi-le-Boucher,
Et puis la Conreerie* aussi,
La rue Amauri-de-Roussi**,
En contre Trousse-Vache*** chiet.
Que Diex gart qu'il ne nous meschiet.
Et la rue du Vin-le-Roi****.
..............
La rue plus tard, devint la rue Guillaume-Josse, puis la rue des Trois-Maures, probablement aussi dùe à une enseigne. Cette partie disparues lors du percement du boulevard Sébastopol.  
*Courroirie en raison des courroyeurs qui y étaient établis.
Elle devint plus tard la rue Hoignard ou Ogniard, puis fut réunie à la rue de la Reynie en 1851, puis devint la rue des Cinq Diamants nom qu'elle devait à une enseigne pendue dans cette rue.
***Des historiens donnent le nom d'une famille Eudes Troussevache, découvert dans le cartulaire Saint-Magloire, monastère stitué un petit plus haut, rue Saint-Denis. Au moyen-âge, les noms de famille ne provenaient pas toujours du métier qui étaient exercés, mais parfois d'une réputation graveleuse. Une autre hypothèse nous est donné par l'appellation au dix-septième siècle de rue "Trou-Vassou". Le trou-vassou était une sorte d'entonnoir, espèce de goufre sans fond où venaient s'engouffrer les eaux usées des corroyeurs et des ruisseaux des alentours. Une enseigne aussi porta le nom de Vache-Troussée, nom que François Villon ne manqua certainement pas de relever ! Nous trouvons aussi, sous Philippe Auguste, d'après l'historien de Paris Auguste Lefeuve, dans le livre de la Taille, un contribuable rue Troussevache "Marques de Lucques, sa chambrière et Jeannette sa pucelle
C'est au dédouché de cette rue que naquit Eugène Scribe le jour de Noël 1791.
 
*
***Elle devait son nom à des caves que le roi possédait.
J'espère que vous avez compris quelque chose, car moi, je m'y perd aussi un petit peu...

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La mort de Stendhal et la place du Carrousel

AU CENTRE, L'HÔTEL DE NANTES OU STENDHAL TROUVA LA MORT LE 23 MARS 1842.
Par BERNARD VASSOR 

medium_Stendhal_02.jpg

Une attaque d'apoplexie  terrassa Henri Beyle dans la rue Saint-Nicaise. Transporté dans sa chambre à l'hôtel de Nantes il y rendra son dernier soupir le 23 mars 1842. Complètement inconnu, sauf d'un petit nombre d'écrivains de salon (dont Balzac qui, visionnaire fit l'éloge de La Chartreuse de Parme), Il n'y eut que trois personnes son ami Colomb, Prosper Mérimée et la "comtesse Gazul...." pour suivre le cotège funèbre qui le conduisit dans sa dernière demeure au cimetière de Montmartre.
cette ruelle se change en coupe-gorge, et où les vices de Paris, enveloppés du manteau de la nuit, se donnent pleine carrière. Ce problème, effryant par lui-même, devient horrible
Hôtel de Nantes place du carousel 02jpg.jpg
Ce magnifique daguéréotype est le pendant de celui qui fut déposé au musée Carnavalet.
La place du Carousel fut rasée le  premier octobre 1850 pour dégager la place afin de faire se rejoindre les ailes du palais des Tuileries et du musée du Louvre. Une autre raison était certainement de faire disparaître ce quartier sordide "du Doyenné", si bien décrit dans la Cousine Bette :
"le jour où Napoléon résolut de terminer le Louvre. La rue et l'impasse du Doyenné, voilà les seules voies intérieures de ce pâté sombre et désert où les habitants sont probablement des fantômes, car on n'y voit jamais personne, Le pavé, beaucoup plus bas que celui de la chaussée de la ruedu Musée, se trouve au milieu de celle de la rue Froidmanteau. Enterrées déjà par l'exhaussement de la place, ces maisons sont enveloppées de l'ombre éternelle que projettent (...) ce coupe-gorge, et la nécessité de symboliser au coeur de Paris l'alliance intime de la misère et de la splendeur qui caractérise la reine des capitales. Aussi ces ruines froides, au sein desquelles le journal des légitimistes a commencé la maladie dont il meurt, les infâmes baraques de la rue du Musée, l'enceinte en planches des étalagistes qui la garnissent, auront-elles la vie plus longue et plus prospère que celles de trois dynasties peut-être! Dès 1823, la modicité du loyer dans des maisons condamnées à disparaître, avait engagé la cousine Bette à se logerautes galeries du Louvre, noircies de ce côté par le souffle du Nord. Les ténèbres, le silence, l'air (…)  
 
 Hôtel de Nantes détail.jpg

Cette vue fut sans doute réalisée du sommet de l'Arc de Triomphe de la place du Carrousel.

Nous y voyons une intense activité autour d'un bureau des voyageurs "de la correspondance des omnibus" Des voitures attendant des silouhettes de passagers prenant des omnibus.

Nous distinguons nettement l'entrée de l'hôtel à droite sur l'image. Sur la gauche, un estaminet

 http://autourduperetanguy.blogspirit.com/l_estamine.../

borde un autre bureau des omnibus. A l'arrière, un restaurateur de tableau affiche son activité au premier étage.

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07/07/2011

Alphonse Giroux, marchand de tableaux, précurseur de la photographie, et dépositaire exclusif (avec Susse) du daguerréotype.

Par Bernard Vassor

"Le Louvre n'est plus qu'une succursalle

de Giroux et de Susse"

Susse,daguerre,giroux,durand-ruel

Boite "Giroux Daguerre" en acajou de Cuba.

Dès 1839, Daguerre et lee fils Nièpce accordèrent à Giroux et  Susse frères, l'exclusivité et la fabrication et de la vente de la chambre portant la signature de Daguerre.

Alphonse Giroux est le portrait craché du marchand de tableaux dépeint par Murger dans "Les Buveurs d'Eau" dont le héros est Francis Bernier

Il était établi 7 rue du Coq Saint Honoré, jusqu'à la destruction de sa boutique pour le percement de la rue de Rivoli. C'était un des 4 grands marchands entre 1830 et 1850. On l'appelait "Le marchand des princes" Dans son magasin se vendait tout ce qui était luxueux. En 1839, apès l'incendie du Diorama,il créa une école pour jeunes filles désirant apprendre l'aquarelle !

medium_GIROUX_RUE_COQ_ST_HONORE.jpg

On peut lire dans "l'Artiste" (1854) un article d'E.Henriet :

"Depuis  10 ans, Giroux n'a fait que de rares acquisitions. Cependant, son étalage rue Coq Saint Honoré ne manquait ni de solennité, de richesse. Il faut du moins lui rendre cette justice, que les ouvrages qui  faisaient le fond de ses exhibitions étaient toujours, mérite à part, dignes...(aujourd'hui M.Giroux est sans asile,, de par la rue de Rivoli. Mais d'ici à quelques jours son brillant étalage va de nouveau resplendir, rajeuni et transformé au boulevard des Capucines, sur l'emplacement  de l'hôtel du Ministère des affaires étrangères, où le souvenir de Durand-Ruel et le désir de lutter avec M.Deforge ne manqueront pas de le piquer d'émulation et le porteront sans doute à faire de raisonnables concessions au goût actuel." Nous remarquons qu'à l'époque les deux autres "grands" étaient Durand Ruel* et Deforge du boulevard Montmartre. Dans l'Artiste de 1835, sous le titre Du Commerce d'objets d'art" :

"Ainsi les étalages de Giroux de Susse** et de Durand-Ruel ne sont à bien dire que des expositions établies dans l'intérêt des artistes, où leurs ouvrages ne risquent jamais d'être placées à dessin dans un mauvais jour (...) il y aurait mauvaise grâce à resister à l'esprit de son temps. Tout est aujourd'hui matière à commerce (...) Durand-Ruel dans ses mémoires indique :

"La vente des tableaux aquarelles et dessins ne rapportait que fort peu en raison du prix ridicule atteints par  les oeuvres les plus belles. Ainsi ces trois maisons (Giroux, Binant, Susse) et celle de mon père pouvaient-elles faire face à leurs frais que grâce à la vente de tableaux et dessins très en usage à l'époque."

*La maison Durand -Ruel était à l'époque 103 rue Neuve des Petits Champs, née de l'union de Jean-Fortuné Marie Durand, employé principal et de la papeterie Ruel dont il épousa la fille en 1825.

**Susse était place de la Bourse.

mise à jour le 07/07/2011

16:39 | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg! Digg

Henri Moret, un peintre de "l'Ecole de Pont-Aven"

Par Bernard Vassor

Le silence est une opinion,

on ne peut jamais être neutre.

Henri Moret.

moret henri finistere pont aven.jpg
 
D'après Emile Bernard :
"Moret est un révolutionnaire paisible,sincère, fort sérieux, assidu et silencieux "
C'est à Cherbourg que naquit Henri Moret en 1856. De passage à Lorient pour faire son service militaire, il suivit les cours d'Ernest Corroller le peintre de marines. Arrivé à Paris, à l'Ecole des Beaux-Arts, il étudie auprès du pompier Léon Gérome et de Jean-Paul Laurens. Son premier envoi au Salon, date de 1880. En 1888 il se rendit à Pont-Aven où il rencontra Gauguin,Laval, Emile Bernard, Chamaillard etc..

L'influence de Gauguin se fit sentir, et l'on soupçonne même que plusieurs toiles signées par Gauguin seraient dûes au pinceau d'Henri Moret.

Sous contrat avec Durand Ruel, il traversa la Bretagne, du Finistère au Morbihan, prenant racine à Belle-Ile où il subit nettement l'influence du trop injustement méconnu Maxime Maufra.

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06/07/2011

Un amoureux de "la Veuve": le docteur Louis

PAR BERNARD VASSOR

guillotin,antoine Louis

It is the Dr. Antoine Louis, surgeon, permanent secretary of the Academy of Medicine, who invented this machine to cut people in half, with the help of a piano maker named Schmidt. The first experiments were transition from the old place-Comedy of sheep.

He published one of a multitude of theories of medicine and surgery in 1749: " Letters on the certainty of death ", and written numerous articles for the anatomist Encyclopedia  of Diderot and d'Alembert .He had the presence of mind and good taste to die in 1792, the year we experimented with his camera on the spot ...., the Dr. Guillotin , who was elected member of the National Assembly, was not the advertising. He very nearly his machine was called " The Louison . "

The first man-trunk was a bandit convicted of robbery on the highway: Nicolas-Jacques Pelletier . His conviction was datedJanuary 24, 1792  : the sentence was executed on April 25 of that year on the Place du Carrousel , by Charles Henri Sanson,

........

The log Prudhomme  give lessons in  "Revolutions de Paris"published that day the story of cutting the steel blade, with premonitory to Malherbe:

And the guard who watches over the gates of the Louvre

Not defended by the kings . " (of death)

 

 

docteur louis biblio.jpg

Traduction Google

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Musée de Montmartre 12 rue Cortot, bientôt, inauguration d'une plaque commémorative de 14 artistes ayant vécu dans ses murs.

PAR BERNARD VASSOR

Renoir,Emile Bernard,Raoul Dufy,Maurice Utrillo,Suzanne Valadon,Othon Friez,Poulbot,André Utter,Charles Camoin,MAXIMILIEN LUCE,Démétrius Galanis,André Antoine,Léon Bloy,Pierre Reverdy

plaqque musée.jpg

La liste impressionnante des familiers du 12 rue Cortot n'est pas close. Le musée va redémarer en fanfare, avec le nouveau et dynamique "repreneur" Kléber Rossillon qui prévoit en relation avec la "Société du Vieux Montmartre"d'augmenter considérablement la surface d'exposition en adjoignant les numéros 8, 10 et 14 de la rue Cortot, de sortir des réserves un grand nombre de documents ayant un rapport avec la vie montmartroise.

Pour faire oublier les billevesées et autres fariboles du journal Le Parisien, rappelons que c'est grâce aux milliers de montmartrois et à la pétition signée par des amoureux de Montmartre, et non à la mairie et la Ville de Paris qui viennent aujourd'hui retirer les marrons du feu, que le musée a été sauvé du démantèlement voulu par le maire de Paris qui voulait disperser les collections au Forum des Images et à Carnavalet et vendre "au privé" les locaux.

*L'article un peu simplet du Parisien.fr :

http://www.leparisien.fr/paris-75/le-musee-de-montmartre-...

Notre association qui n'a pas la mémoire courte, n'a pas été la dernière à rassembler des personnalités du monde artistique et universitaire pour contrer ce funeste projet. 

Notons ausi la contribution importante de l'infatigable Daniel Rolland dans ces négociations tumutueuses.

14:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

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