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17/06/2007
LA PLUS ANCIENNE MAISON DE PARIS, parait-il....
Par Bernard Vassor
16:51 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
16/06/2007
QUELQUES DOMICILES ET LIEUX PARISIENS FREQUENTES PAR GERARD DE NERVAL EXISTANTS OU DISPARUS
APPEL POUR L'ORGANISATION DU BICENTENAIRE DE LA NAISSANCE
DE GERARD LABRUNIE
PAR BERNARD VASSOR
en voici tout de même quelques uns : Il est né au 96 rue Saint-Martin, puis il part pour Mortefontaine où il passe son enfance. Il revient vivre avec son père au 72 rue Saint-Martin. 1820, il est externeau lycée Charlemagne. 1826, il séjourne chez sa tante à Saint-Germain-en Laye où il achève la traduction de Faust. 1826 à 1828 il est apprenti dans une imprimerie et travaille chez un notaire. 1830, assiste à la première d'Hernani.1831, fait un premier séjour à Sainte-Pélagie pour tapage nocturne.1831, il fait la connaissance de Gérard Papion du Château avec qui il établi une correspondance. 1832, il fait partie du "Petit Cénacle" de Jehan Duseigneur, d'abord au cabaret de la mère Saguet près du Moulin de Beurre, puis au Petit Moulin Rouge avenue de la Grande armée.. Il fait un nouveau séjour à Sainte-Pélagie au moment du complot de la rue des Prouvaires. 1832, Gérard est étudiant en médecine, pendant la terrible épidémie de choléra morbus, il fait des visites de malade avec son père. C'est sans doute en 1833 que Gérard aperçoit Jenny Colon pour la première fois. Mort du grand-père de Nerval qui hérite de trente mille francs. Il fait alors des voyages dans le midi de la France et en Italie. En 1834 il habite chez son ami Célestin Nanteuil 15 rue de Vaugirard, La même année il va vivre 6 rue du Paon. Avec Alexandre Dumas, il fonde "Le Monde Dramatique"L'année suivante, il demeure au début de l'année avec Camille Rogier au 5 rue des Beaux-Arts, puis, c'est le fameux emménagement au 3 impasse du Doyenné avec Houssaye, Esquiros, Ourliac etc... Mme de Feuchère achète la maison d'Antoine Boucher, "Le Bal des Truands". En 1836, Le Monde Dramatique sombre, emportant avec lui le reste de l'héritage. il va habiter chez Gautier rue Saint-Germain, puis à la barrière de Passy. Le 11 septembre 1836 le transfert des corps de sa mère madame Labrunie née Laurent du cimetière Montmartre au Clos Nerval à Mortefontaine. 1837, c'est au 91 (?) rue Coquenard *qu'il vit avant de déménager à la fin de l'année au 23 rue Caumartin, à l'Hôtel Caumartin.En 1839 Gérard en proie à des difficultés financières accepte une mission en Autriche pour le gouvernement de Louis-Philippe. Il passe par Genève, Lausanne, Berne, Augsbourg, Salzbourg puis Vienne où à l'ambassade, il fait la connaissance de Marie Pleyel. Il fait le trajet inverse en partie à pied, faute de moyens ! Gérard déclare son amour à Jenny....1838 Jenny se marie avec le flutiste Louis-Marie-Gabriel Leplus. 1838, il rejoint Dumas à Francfort et visite l'Allemagne, se documente sur Kotzebue et Carl Sand
1840 il va au 14 rue de Navarin dans la maison avec un grang parc qu'occupe Gautier d'avril 1840 à janvier 1841. (Balzac signale un logement au 2 rue de Navarin dans une maison haute et étroite)
1841, rue de Miromesnil a lieu sa première crise de folie, il est conduit chez Mme de Saint-Marcel 6 rue de Picpus d'où il ressort pour presque aussitôt faire un séjour chez le docteur Esprit Blanche, place du Château d'Eau à Montmartre.
Nous n'avons pas d'adresse pour l'année 1842, mais il semble qu'il soit resté à Paris 10 rue Saint-Hyacinthe-Saint-Michel ?
1843, il fait un long voyage en orient, il passe Noël à Nimes dans la falille de son ami Rogier.
1844 Voyage en Hollande avec Ardène Houssaye, il habite 6 rue Pigalle, puis au 2 rue des Rosiers à Montmartre.
1845. Vit chez Rogier 39 rue de la Victoire (ou bien 36 ?) Voyage en Algérie
1846, 16 rue de Douai.
1847, 39 rue de La rochefoucault
1848, il fonde avec Esquiros, Marc Fournier et Alexandre Weil "Le club des Augustins", avec Heine, il revoit les traductions de l'écrivain allemand. Il reçoit des soins du docteur Ley 45 allée des Veuves (avenue Matignon), puis du docteur Aussandon 48 rue Notre-Dame-de-Lorette.
Il habite 4 rue Saint-Thomas-du-Louvre jusq'à la fin décembre 1851.
1851 il va habiter au 9 rue Montyon, (curieuse coïncidence, ce sera quelques années plus tard le cabinet du docteur Gachet, auteur d'une thèse sur la Mélancholie....) A la fin de l'année, il demeure 20 rue de Lille.
1852, il s'installe 66 rue des Martyrs, puis à l'hôtel de Normandie rue du Chantre, rue Neuve-des-Bons-Enfants, chez Gautier 14 rue de Navarin, chez Staler 24 rue Bréda et à la maison municipale de santé du docteur Dubois pour érysipèle 110 rue du faubourg Saint-Denis (aujourd'hui le 200) il termine cette année au 9 rue du Mail.
1853 nouveau séjour pour"fièvre" à la maison Dubois; vient habiter 2 rue du faubourg Montmartre. Il est conduit d'urgence à l'hospice de la Charité puis à la clinique du docteur Blanche, sorti en mai, y retour,e en octobre. Il va vivre chez sa tante Labrunie 54 rue Rambuteau puis à Saint-Germain-en-Laye.
Son dernier domicile parisien connu est le 13 rue Neuve-des-BonsEnfants. Son ami Charles Asselineau fut le dernier à le rencontrer vivant rue du Bouloi, au Café de l'Epoque à l'angle du passage Véro-Dodat.
D'après les textes établis par Albert Beguin et Jean Richer, Oeuvres, Gerard deNerval bibliothèque de la pléïade Paris 1966
(*A VERIFIER)
11:45 Publié dans Les écrivains (1) 永井荷風 | Lien permanent | Commentaires (4) | | | | Digg
O-KEW MY George Sand et l'exposition Catlin
PAR BERNARD VASSOR
00:15 | Tags : O-KEWE MY, CATLIN, VATTEMARE, GEORGE SAND, BAUDELAIRE, VICTOR HUGO | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
15/06/2007
O-KEWE MY RE-SUITE....Oke--je, ours femelle qui marche sur le dos des autres ?
PAR BERNARD VASSOR
Les dernières informations en notre possession nous permettent de retrouver sans doute la véritable identité de notre jeune squaw. D'après le répertoire des oeuvres de George Catlin, ce serait sous le nom de
Oke--je, ours femelle qui marche sur le dos des autres
que ce nom figure au catalogue ( traduction incertaine).
Voici l'adresse en version non traduite du site consacré à la culture des Ioways
Notre association a l'intention d'organiser une cérémonie traditionnelle amérindienne avec ceux qui voudraient bien se joindre à nous. Secte ou association ésotérique s'abstenir....
S'il venait à l'idée saugrenue de l'adjointe à la culture ou de son chargé de mission à la mairie du XVIIIéme, de se manifester, qu'ils sachent qu'ils ne seront pas les bienvenus
13:15 Publié dans Evènement | Tags : O-KEWE MY, CATLIN, VATTEMARE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
PARUTION D'UN OUVRAGE SUR LE MUSEE DE MONTMARTRE PAR YVONNE SINGER LECOCQ
PAR BERNARD VASSOR
11:25 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LES INDIENS IOWAYS
PAR BERNARD VASSOR
La jeune indienne morte à Paris en 1845, appartenait à la tribu des ioways
Quelques titres de tableaux de George Catlin ; Peintures_de_Catlin_des_ioways.pdf
Collection indienne de George Catlin, toujours sur le superbe site cité plus haut :
Collection_indienne_de_Catlin.pdf
Squaws peintes :
Squaw
10. Ruton-ye--mA, se pavanant le pigeon, l'épouse du nuage blanc
11. Ruton--je, pigeon sur l'aile
12. Oke--je, ours femelle qui marche sur le dos des autres
13. Koon-za-ya-je, navigation femelle d'aigle de guerre
14. Ta-PA-ta-je, Sophia, sagesse, la fille du nuage blanc
15. Corsaire, un papoose.
12. Oke--je, ours femelle qui marche sur le dos des autres, est sans doute celle qui fut inhumée au cimetière Montmartre.
08:55 Publié dans CIMETIERE MONTMARTRE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/06/2007
O-KEWE MY SUITE....
Par Bernard VASSOR
16:40 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
13/06/2007
EGLISE SAINT-HONORE PARIS DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
13:35 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
L'IMPASSE SAINT-SAUVEUR, PARIS DISPARU ( EN 1913)
PAR BERNARD VASSOR
08:55 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LA RUE DES DEUX PORTES, SUITE, PARIS DISPARU
PAR BERNARD VASSOR
Au moyen-age, elle portait le joli nom de rue Gratte-cul, puis rue Tire-Vit, (les historiens ont toujours écrit rue Tire V..) rue Tire-Boudin, enfin rue Marie Stuart. A la fin du XVIIéme, elle fut prolongée jusqu'à la rue Thévenot et prit le nom de rue Des-Deux-Portes-Saint-sauveur. En 1913, l'opération de voirie destinée à élargir la rue Dussoubs, fit disparaître les maisons du 1, 3, 5, 7 et 9. Cette partie entre les rues Grenetta et Tiquetonne, ne comptait en 1292, qu'un seul habitant soumis à la taille.
Cette dernière maison avait été habitée par Marie-Anne de Cupis, danseuse plus connue sous le nom de "La Camargo" (1710-1770) qui eut dit-on mille et un amants. La demoiselle Paganini, première danseuse de Lisbonne, la maison de madame de Bragelonne, le marquis d'Osmond qui avait deux maisons, l'une à l'angle de l'actuelle rue Marie Stuart, et l'autre qui abrita la demeure de la très connue "Petite comtesse" Gourdan. C'est sans doute la proximité de l'hôtel de Bourgogne qui attira toutes les danseuses qui vinrent habiter cette rue pourtant mal fréquentée, véritable coupe-gorge la nuit. C'est pour cette raison que les portes qui bordaient cette rue étaient fermées la nuit.
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