11/10/2007
JEAN-LEON GEROME, un "Pompier" pyromane !
PAR BERNARD VASSOR
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08/10/2007
HENRI RIVIERE DU GROUPE DU CHAT NOIR
PAR BERNARD VASSOR
19:00 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/10/2007
GEORGE-DANIEL DE MONFRED
PAR BERNARD VASSOR
Né en 1856 à New-York, mort d'une chute accidentelle en cueillant des kakis dans son jardin. Il est le père du célèbre écrivain aventurier Henri-de-Monfreid. Dans les années 1880, il achète un petit atelier 12 rue du Moulin de Beurre (c'est dans ces parages que se trouvait le célèbre cabaret de la mère Saguet dont Gérard de Nerval fut un des habitués dans sa jeunesse).Il rencontre Schuffeneker à l'atelier Colarossi et rencontre Gauguin chez le "bon Schuff" en 1885 avec qui il nouera de profondes relations d'amitiés jusqu'à la mort de "Koké" à qui il donnera le conseil de ne pas revenir à Paris pour ne pas faire baisser sa cote chez Vollard.....Il a exposé au "Café des Arts Volponi"avec le groupe des peintres impressionnistes et synthétistes
14:40 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
02/10/2007
LES DINERS IMPRESSIONNISTES
PAR BERNARD VASSOR
22:45 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
29/09/2007
LES ARTISTES DE LA RUCHE
PAR BERNARD VASSOR
00:15 Publié dans Les peintres | Tags : CHAGALL | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
28/09/2007
JACQUES JOSEPH DIT "JAMES TISSOT", UN BRETON JAPONISANT
par BERNAR VASSOR
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GUSTAVE CAILLEBOTTE LA PLACE SAINT-GEORGES
par BERNARD VASSOR
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30/08/2007
LE CABARET DU PERE BATAILLE, UN DESSIN DE VINCENT VAN GOGH
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08/08/2007
NOTE AUX ADHERENTS
En direct de Granville :
Un entrefilet du journal "Ouest-France", annonce que les toiles volées chez "l'une de nos "marraines" Diana Widmeyer Picasso" ont été retrouvées.....Mais peut-être avez-vous plus d'informations que moi. Ecrivez moi si c'est le cas, merci.
Je vous ferai parvenir le programme de septembre dès mon retour vers le 20 août. Amitiés à tous Bernard Vassor.
14:50 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/08/2007
Jean-Baptiste Antoine Guillemet 1843-1918
"Mon bon ami,
Vous seriez bien aimable de me dire le jour où vous pourrez me donner une heure de causerie (de 3 à 6 par exemple) en tête à tête, soit à votre atelier*, soit ailleurs. J'ai besoin pour mon prochain bouquin de notes sur les marchands de tableaux et sur les amateurs, j'ai songé à vous. Jarriverai avec du papier et un crayon (...)
Cordialement Emile Zola"
Lettre de Zola demandant à Guillemet sa collaboration pour l'écriture de "l'Oeuvre" le vingt avril 1885 :
"Les marchands de couleurs font des crédits très long et perdent peu parcequ'ils vendent très cher, (..) Baudry à dû 60 000 francs à son marchand de couleurs. Ils salent les vieilles notes. Il y a les chics et les pas Chics (...)
(Note de Guillemet)"
11:15 Publié dans Les peintres | Tags : Brame, Petit, Sedelmeyer, Le père Martin, Aubourg, Villerville, Courbet | Lien permanent | Commentaires (7) | | | | Digg
04/07/2007
EDOUARD VUILLARD LE "NABI SECULIER"
PAR BERNARD VASSOR
16:05 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
02/05/2007
CHARLES JACQUE, PEINTRE DESSINATEUR GRAVEUR
Par Bernard Vassor
Né en 1813 à Paris le 25 mai à l'école Militaire où son père était en garnison, mort le 7 mai 1894 dans la capitale.
(les frères Goncourt qui vont le rencontrer à Barbizon, en font le fils d'un maître d'école de Chalons-sur-Saone ?)
Journal Août 1853 :
"Décidément les peintres que je vois se divisent en deux classes :ceux qui resemblent à des ouvriers farauds et tapageurs, les autres à des paysans malins et sournois. Jacque appartient au genre paysan; il a même quelque chose dans sa personne, son chapeau, son habit, du paysan, le jour où il est endimanché, où il enterre sa femme.(...)il nous parle de la prostitution en homme qui aurait fait avec un médecin, maison par maisopn, dans les faubourgs, dans les milieux de la plus pauvre et la plus populaire, une enquête de "visu et de tactu " (ce que ne vont pas manquer de faire aux-même les frères Goncourt !)Après sa naissance, la famille habite au 4 rue des Rats*, dans ce quartier, il y avait de nombreux ateliers de gravures en taille douce, rue de la Bûcherie, rue de la Huchette, rue Galande. Son père était déclaré peintre-artiste, c'est à dire qu'il peignait des enseignes. Un ami de la famille qui sera parrain son frère cadet était imprimeur en taille douce Jean-Baptiste-Noël 29 rue de la Huchette. A l'age de dix sept ans, il entre chez un graveur de cartes géographiques. En 1830, la famille habite 69 passage du Petit-Saint-Antoine, donnant dans la rue du Roi-de-Sicile. Peintre de paysages animés, il débuta au salon de 1845 avec des eaux-fortes
Il est l'un des plus importants représentants et le dernier survivant de l'école de Barbizon. La ville d'ailleurs lui a donné son nom à une rue.
A suivre................
*Aujourd'hui rue de l'Hôtel Colbert à deux pas de la maison mortuaire de Restif de la Bretonne.
Goncourt, Journal Robert Laffont 1989
Pierre-OLivier Fanica Charles Jacque, Graveur original et peintre animalier, Art Bizon 1995
Benezit, Dictionnaire des peintres et graveurs Grund Paris 1979
15:39 Publié dans Les peintres | Tags : RESTIF DE LA BRETONNE, JACQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
12/04/2007
LES DERNIERS JOURS DE VAN GOGH
22:25 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
19/03/2007
MARIE JADE, (Gabrielle Vien), ARMAND SEGUIN
Par Bernard Vassor
Marie Jade (1873-1907) de son véritable nom Gabrielle Vien, était la fille de la compagne de Charles Morice co-auteur avec Gauguin de Noa-Noa.
Son portrait Signé par Armand Seguin est resté inachévé. Il est au musée d'Orsay et son histoire mérite d'être racontée :
En 1893-1894, Morice conduisit Marie Jade et sa mère à l'atelier de Seguin 54 rue Lepic (c'était aussi l'adresse de Théo et Vincent Van Gogh 4 ans auparavant) pendant que sa mère jouait du piano, Marie assise sur un canapé, un bouquet de chrisanthèmes dans une coupe posait pour Armand Seguin. Cest alors que Gauguin entra dans l'atelier. Il regarda le travail de son élève il murmura :"Non, non, ça ne va pas......" puis, lui prenant la palette et le pinceau des mains, il ouvrit du bout de son pinceau, une fenêtre à droite du petit modèle, derrière laquelle il mit un paysage, afin de donner de l'air à la petite fille blonde et triste assise toute raide sur le bord du canapé....
Seguin ne reprit jamais cette étude. Le tableau a été acquis par le musée du Luxembourg en 1929 et est actuellement au musée d'Orsay.
Marie-Jade est considérée comme "esprit original, précurseur du surréalisme et du théâtre moderne"
13:50 Publié dans Les peintres | Tags : gauguin, armand seguin, charles morice, marie jade | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
01/03/2007
GEORGES SEURAT
13:30 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
29/11/2006
MARY CASSATT
08:48 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
06/06/2006
Sur Cézanne, autour du Père Tanguy
D’après des témoins de son temps.
Dans un article du journal L’Occident de juillet 1904, Emile Bernard raconte :
« Il y aura bientôt vingt années que de jeunes peintres, dont aujourd’hui Paris se préoccupe, se rendaient en pieux pèlerinage en une petite et sombre boutique de la rue Clauzel. Arrivés là, ils demandaient à un vieillard armoricain* au socratique visage**des tableaux de Paul Cézanne. Malgré les murs de l’endroit tapissés de rutilantes toiles, ils ne se trouvaient satisfaits que lorsque, sur une chaise disposant son dos en chevalet, les études requises par leur désir d’art leur enseignaient la voie à suivre. Religieusement, ils consultaient ces pages d’un livre écrivant la nature et une esthétique contemporaine (…) Puis, de là, ils retournaient en maints discours admiratifs, à leurs propres toiles et pinceaux. Ainsi naquit, d’œuvres quasiment ravies à leur auteur, qui certes, les jugeant non conforme à sa vision, ne les eut jamais laissé aller hors de son logis, une école picturale que d’autres, ambitieux trop ou pas artistes assez, les étiquetèrent de noms faux, dévoyèrent vers la fantaisie et la surface.
Portrait du père Tanguy par E.Bernard
Le père Tanguy est mort en 1894 dans sa petite boutique du 9 rue Clauzel.
Il avait quitté deux ans auparavant celle un petit peu plus grande du 14 de la même rue.
Dans un long article au Mercure de France des 1er et 16 octobre, Emile Bernard continue :
« Celui qui écrit ces lignes a été pendant vingt ans de sa vie un admirateur fervent de Paul Cézanne. (..) il a déchiffré avec passion les toiles (rares alors) que l’on pouvait voir de ce peintre dans une petite boutique de la rue Clauzel à Paris. »Dans sa notice des « Hommes d’aujourd’hui » en 1889, Bernard rend hommage à son maître d’alors :
« Tout ce que l’on en savait était raconté par le père Tanguy, le bon, le généreux Breton dont la boutique était l’unique repaire, en ces temps si vite passés, de la peinture. »
Un peu plus loin, Emile Bernard questionne Cézanne sur son compatriote Achille Empéraire (1829-1898), très petit, difforme, il avait un esprit brillant et savait admirablement commenter les œuvres d’art du Louvre devant lesquels il accompagnait Cézanne. En 1877, Cézanne écrit à Zola :
« Hier soir, en allant rue Clauzel chez mon marchand de couleurs, j’y ai trouvé Empéreire(sic). Celui-ci, venait souvent quand il était à court d’argent demander des avances au brave Père Tanguy qui dira à Emile Bernard : « Empéraire avait résolu de vivre à Paris à raison de cinquante centimes par jour »
Francis Jourdain (1876-1958), ami de plusieurs peintres du XIX° siècle a laissé des souvenirs, dans lesquels nous pouvons lire dans un portrait de Cézanne :
« Si l’on était fort peu et mal renseigné sur les « idées » de Cézanne, on ignorait généralement la peinture qu’elles avaient engendrée. Léon-Paul Fargue et moi étions très fiers d’avoir en retournant les toiles entassées chez le père Tanguy, découvert un paysage à la gravité duquel, il faut en convenir nous étions beaucoup moins sensible qu’à l’éloquence frénétique et exaltante» du cher Van Gogh, le fol dont les « Lichens de soleil et les morves d’azur » embrassaient la minuscule échoppe de la rue Clauzel.
Nous avions été conduits là par Emile Bernard ; qui fâché avec Gauguin, et un peu jaloux de l’importance accordée aux recherches de celui qui disait avoir initié***"
A SUIVRE….
*Julien Tanguy était né en 1825
**Le nom de Socrate revient à plusieurs reprises chez les habitués du lieu pour qualifier sa sagesse, ou bien évoquer le caractère acariâtre de sa femme comparée par Vincent à Xanthippe la femme du philosophe Grec.
***Dont un portrait par Cézanne est exposé au musée d’Orsay.
***La querelle entre Bernard et Gauguin, portait sur la création du synthétisme. Emile Bernard n’avait peut-être pas tout à fait tort. Il a d’ailleurs déclaré : « L’école de Pont-Aven est née 14 rue Clauzel dans la boutique du père Tanguy."
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