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25/03/2007

LEA SILLY, BRINGHAM YOUNG LE PROPHETE DES MORMONS ET MOZART DE CHATOU

Par Bernard Vassor

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Chanteuse d'opérette, rivale d'Hortense Schneider,  dotée de beaucoup d'esprit, c'est elle qui avait surnommée Hortense "le Passage des Princes".Parmi ses amants, on signale Ismaïl Pacha, vice-roi d'Egypte.
"C'était une fort belle fille, un peu masculine, un peu noire, à la voix rude, aux mouvements brusques et saccadés; mais ayant de grands yeux profonds et brillants comme des escarbouches, un regard impératif et hypnotisant qui vous clouait sur place; un esprit mordant et prodigieusement gai tout ensemble (...) En un mot une de ces femmes créées et mises au monde pour aller au fond des choses. Le point culminant de sa carrière théâtrale a été la Belle Hélène. Tout, jusqu'à ses formes d'adolescent bien bâti, contribuait à lui donner l'apparence d'un joli garçon. Son triomphe était le bal de l'Opéra. Elle  s'y montrait assidue et excellait à intriguer la fleur des cavaliers. Plus d'un a été victime de la mystification qu'elle se plaisait à imaginer, et aucun ne lui en gardait rancune, tant elle y apportait de grace et de finesse. Les habitants de"la loge infernale" en savaient fort long sur ce chapitre....."
Elle se décida à faire une tournée en amérique avec la grande Aimée et Céline Montaland. Le directeur de la tournée était un personnage extravagant, le colonel Fusk, industriel, financier, propriétaire de chemins de fer, de bateaux et de théâtres. Il fut tué par un rival jaloux et rancunier que Fusk avait fait condamner.
Silly prit des vacances et pour son plaisir elle s'était mise à voyager, faisant étape à Cincinnati, San Fransisco. Par curiosité, elle décida de rendre visite aux mormons sur les bords du Lac salé. Silly parlait l'anglais à la perfection. Elle fut enchantée de se prosterner aux pieds du prophète !
Arrivé au campement des Mormons, elle pria qu'on la conduisit tout droit chez Brigham Young "ce vieux singe, ce vieux sorcier" . Présentée au grand gourou, Silly expliqua le but de sa visite : "Nous sommes des artistes venus de Paris et nous n'avons pas voulu traverser la région sans être admis à présenter ses devoirs au célèbre Brigham Young, au pasteur du peuple, au fondateur d'une religion, la vraie, l'unique, au restaurateur chrétien de la polygamie !!!"
Rougissant de plaisir, Bigham s'exclama :
"Comment ! vous êtes des artistes, et des artistes de Paris ! Et vous chantez madame ! N'aurai-je pas la joie de vous écouter, de goûter de votre bouche en fleur l'une de ces belles mélodies, qui enchantent l'âme et les sens !"
Très rieuse, et ne detestant pas berner les gens, Silly ne voulut pas manquer une telle occasion :
"Que préférez-vous entendre monsieur Young ? Du Mozart, du Schumann ?"
--"Oh ce qu'il vous plaira. Je ne connais ni l'un ni l'autre "
Alors, pour le satisfaire, elle lança dans les airs un la la la itou, une tyrolienne des plus excentriques qu'elle eut dans son répertoire. Emerveillé par ces borgborymes incongrus Brigham désira des détails sur le compositeur ? Quel était le nom de ce grand homme ?
-" C'est Mozart de Chatou" lui répondit Silly.
"--Ah ! et Il habite Paris ?"
''"Non, mais une île. L'île de la Grenouillère"
Il fallut se séparer, Brigham Young ouvrit les bras,à la parisienne, la bénit en regrettant de n'avoir pas eu le temps de la convertir pour la compter au nombre de ses concubines ! De retour à Paris, elle revint aux Variétés pour le rôle d'Oreste dans La Belle Hélène d'Offenbach.

10:04 Publié dans LES COURTISANES LES MODELES ET LES ACTRICES | Tags : offenbach, hortense schneider, silly? mozart, brigham young | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

24/03/2007

DELEUZE, DITE ALICE LA PPROVENCALE

Par Bernard Vassor

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Née en 1846 à Soustelle (Gard). Elle fréquentait une table d'hôte 4 rue de la Grange-Batelière, et couchait dans cette maison avec un escroc qui avait été condamné par contumace. Il profitait des orgies qu'organisait Alice qui se faisait une gloire d'afficher son tribadisme. Elle possédait de nombreux diamants. Elle fut convoquée par un juge d'instruction M. Bazire, parcque elle avait écrit à un homme marié, qu'elle ferait tout ce qui kui serait possible pour le posséder. Elle demeurait alors au 2bis rue Cadet avec un amant capitaine d'artillerie le fils Lablache. Fidèle au neuvième arrondissement, elle eménagea 2 rue Montholon où elle mena la même vie avec le même souteneur. 

08:35 Publié dans LES COURTISANES LES MODELES ET LES ACTRICES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

LAFIN EUGENIE DE LA RUE CLAUZEL

Par Bernard Vassor

Eugénie est née à Bourbon-Nancy (Saône et Loire). Elle demeurait 17 rue Clauzel qui était aussi l'adresse d'une maison close qui a perdué jusqu'en 1946) Elle fréquentait Mabille et les restaurants des boulevards pour se prostituer. Elle a témoigné dans l'affaire de la proxénète Angely du numéro 3 rue des Saussaies. La veuve Angely avait été arrêtée le 3 février 1873 pour excitation de mineures à la débauche et condamnée à un an de prison. Elle avait rencontré au bal Valentino un américain Gustave Granseigne qu'elle avait eu comme client avant de l'épouser. Eugénie habitait toujours 17 rue Clauzel après son mariage. 

08:35 Publié dans LES COURTISANES LES MODELES ET LES ACTRICES | Tags : LAFIN EUGENIE, RUE CLAUZEL, veuve Angely, Gustave Granseigne | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

LA COMTESSE DE BEYREN

Par Bernard Vassor

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C'est un mystère que cette femme dont les rapports de police ne signalent l'existence qu'à partir de sa présence chez une proxénète de la rue de Provence. Autre bizarrerie, à plusieurs reprises, les rapports signalent cette proxénète sans donner ni son nom ni son adresse exacte. Elle serait née autour des années 1842 ? Une femme du monde, grande, assez forte, bien faite et jolie.On lui donne ses adresses de rendez-vous chez un banquier du 42 rue Notre-Dame-des-Victoires M. Lange. On lui connait comme amant M. de Moltke, ambassadeur du Danemark qui fréquentait la tolérance de la rue de Provence...

08:25 Publié dans LES COURTISANES LES MODELES ET LES ACTRICES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

23/03/2007

LE PLUS VIEIL ARBRE A PARIS

Par Bernard Vassor

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Planté en 1601, ce robinier faillit connaître la hache des bucherons il y a un siècle. Fort heureusement la mobilisation d'associations permit pour cette fois la sauvegarde du témoin de la naissance du XVII° siècle.  
Square Viviani devant Saint-Julien-le-Pauvre, il porte le nom de robinier pour la simple raison que c'est un botaniste, apothicaire, arboriste Jean Robin (1550-1629) qui l'a importé d'Amérique du nord en 1601. Ce fut lui que la faculté de médecine de Paris chargea d'organiser son jardin botanique à la pointe est de l'île de Notre Dame. Les plantes qu'il réunit figurent au nombre de 1317 dans son Catalogus stirpium tam indigenarum quam exoticarum. de 1601 et dans son Enchiridion au nombre de 1800 publié en 1623-1624.
Histoire de la botanique par  Adrien Davy de Virville (1954) Adrien_Davy_de_Virville_histoire_de_la_botanique_1954.pdf

20:40 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

LE ROCAMBOLE BULLETIN DES AMIS DU ROMAN POPULAIRE

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LE NUMERO 37 VIENT DE PARAITRE
Sous la direction de Daniel Compère
Rédacteur en chef : Jean-Luc Buard
Responsable de la publication : Alfu 
Ont participé à ce numéro :
Alfu, René Beaubiat, Noëlle Benhamou, Jean-Luc Buhard, Daniel Compère, Philippe Ethuin, Ferréol de Ferry, Jean-Pierre Galvan, Jean-Paul Gomel, Paul J. Hauswald, Claude Herbulot, Elisabeth Ripol-Rohr,, Jérôme Serme. medium_ROCAMBOLE_N_37_09.jpg

18:00 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

LE SALON DE LA CARABIN

Par Bernard Vassor

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Irma Carabin : Danseuse à l'Opéra 
 
Elle était la fille d'un concierge de la rue d'Amboise.C'était une belle brune, aux traits accentués, très intelligente, très futée, très répandue et au point de vue de la danse, n'avait rien de remarquable. Les soirées de "La Carabin" étaient très prisées, sa spécialité était de donner des soirées"où l'on rencontrait des demoiselles du corps de ballet et des hommes à la mode de l'époque. Elle recevait merveilleusement et avait un salon superlativement coté dans la crème du demi-monde. Il était de rigueur pour les débutants de la haute vie d'y être introduit, et le fréquenter assidûment était un excellent et agréable moyen de cultiver les relations ébauchées dans les coulisses, voire de faire de nouvelles connaissances et de découvrir des beautés inédites."
Nous retrouvons dans ses relations, des prostituées de haut-vol : Louise Bossi qui avait commencé dans la galanterie par se livrer au premier venu.
 Elle ne savait ni lire ni écrire, et avait une secrétaire, une certaine madame Leborgne. On compte aussi dans les relations de la Carabin, la comtesse Malatesta qui procure des femmes aussi bien aux hommes qu'aux femmes.
Carabin fit la connaissance de l'ambassadeur de Turquie Méhéméd-Bey, ce qui lui servit de tremplin dans le grand monde. Elle a été la maîtresse du fils du directeur de la Compagnie du Soleil M.Thomas et le duc de Brabant  lui dispensa des largesses. Elle donne des bals et des salons chez Cellarius alors au 49 rue Vivienne, elle se charge des invitations et ne choisit que des actrices pour danseuses. Elle donne aussi chez elle des soirées où l'on joue.
Elle occupe un splendide appartement 26 rue Laffitte sous le nom de Madame Daverne. Elle héberge une nièce toute jeune qui est parait-il d'une perversité extrème. Elle est aussi très liée avec Cora Pearl, dîte "Le plat du jour"
 

 

16:40 Publié dans LES COURTISANES LES MODELES ET LES ACTRICES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

LOUISE BOURGOIN UN PORTRAIT PHOTOGRAPHIQUE original

Par Bernard Vassor

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Habituée du bal Perrin 30 rue de la Victoire, dans le neuvième arrondissement 
Au bal Mabille, et au Cellarius du passage de l'Opéra (Le Peletier) 
 

 Née à Méhin (ALLIER) Article détaillé sur ce même blog

13:55 Publié dans LES COURTISANES LES MODELES ET LES ACTRICES | Tags : LOUISE BORGOIN, MABILLE, CELLARIUS, OPERA | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

22/03/2007

MARCELIN DESBOUTIN GRANDEUR ET DECADENCE

Par Bernard Vassor

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Né en 1823, à Cérilly, mort à Nice en 1902. Connu comme graveur, il est est méconnu comme peintre. Il a produit plus de mille toiles. Zola a dit de lui :"Desboutin est impressionniste dans ce que l'impressionnisme a de plus profond".
Il est parent du célèbre polémiste Henri Rochefort.. Sa famille possède une grosse fortune terrienne. Après son premier mariage, il s'installe à Florence où il possède un palais baptisée "L'Ombrellino" Il mène une vie fastueuse et dépense sans compter en réceptions d'amis artistes de tous bords, dont le groupe des "Macchiaioli" qu'il retrouvera à Paris. Acculé à la ruine par la spéculation foncière,il quitte l'Italie en 1870pour s'installer à Genève. En 1871, il fréquente les proscrits de la Commune qui : "envahissent les bistrots des Pâquis, des Grottes, les pensions ouvrières de la Terrassière, des Glacis-de-Rive. A Carouge des réfugiés, sont si nombreux qu’ils forment un îlot dans la ville et les bicoques qu’ils habitent deviennent le « Petit Paris. " (...) Mais à côté de la grande armée des prolétaire qui ont fui la mort, la déportation, on rencontre de nombreux intellectuels révolutionnaires, des artistes, anciens suppôts des brasserie de la rive gauche, ennemis personnels de Napoléon III ou de « l’Espagnole ». Ceux-là fréquentent les grands cafés, le « Nord », la « Couronne », le « Levant ».
"Presque dans le même temps arrive d’Italie à Genève le peintre et aquafortiste Marcellin Desboutin, grand seigneur ruiné, qui pense pouvoir gagner largement sa vie dans la belle métropole touristique et intellectuelle. Bien vite la réalité la détrompe. Si le succès d’estime est complet, si les Genevois sont à la fois éblouis et émerveillés par la facilité et la dextérité du peintre, s’ils admirent ses portrait enlevés en deux, trois séances, ils ne vont tout de même pas jusqu’à mettre la main à leur poche et à ouvrir leur porte monnaie. Le grand artiste, sera un des plus célèbres graveurs de son siècle, a loué pour trois cents francs, maison Bellami au Pré-l’Evêque, un vaste appartement avec une ribambelle de pièces en enfilade où sa famille loge à l’aise. Lui-même, sur les conseils de Nina et de ses amis, a ouvert un atelier au bord du lac, près de la Promenade et le Tout-Genève défile. Y défile seulement, sans passer de commandes, hélas ! Desboutin est navré, marri, inquiet. Il fait part de ses craintes à son ami Raisin, l’avocat, à son ami Marc Monnier qui le consolent et essayent en vain de lui faire obtenir des commandes. C’est à cette époque qu’un ami de Courbet, Pia, ouvre rue du Mont-Blanc, la Première galerie de tableaux où pour quelques billets de cent francs on peut acheter des Manet, des Millet, des Courbet, des Delacroix et des Corot. Mais décidément les Genevois ne savent pas voir ni même spéculer sur les œuvres d’art et l’audacieux doit bientôt fermer boutique. Il va de soi que Desboutin a pris contact, dès son arrivée, avec ces gens de l’exil, avec les grands seigneurs de la proscription, et qu’il a fréquenté avec plaisir la belle Nina, dont il fera plus tard une pointe sèche devenue aujourd’hui d’une insigne rareté. Pour se consoler Desboutin lui lit en confrère des drames qu’il compose ou corrige dans la cité de Calvin, notamment Le Cardinal Dubois, Madame Roland et, aussi une comédie d’une verve incontestable. Sa verve à dire vrai est dépensée en vain, nul ne songe à jouer les chefs-d’œuvre dramatiques de Marcellin Desboutin. Pour comble, il a horreur du climat de Genève et de cet hiver qui, pendant deux mois, prive du moindre rayon de soleil et l’ensevelit dans un linceul de brume.
Nina et sa mère
medium_DESBOUTIN_madame_Gaillard.2.jpgessayent d’encourager le grand artiste, ses amis les proscrits le voient, le réconfortent. Desboutin ne pourra jamais s’habituer aux sautes d’humeur de la température genevoise, pas d’avantage au caractère grincheux des gens d’ici, à leur ladrerie, leur avarice, leur mesquinerie. Il quitta notre ville en juillet 1872. Nina à son tour sent l’ennui la gagner. Quel silence soudain sous les arbres des Pâquis ! C’est que la plupart de ses bruyants amis ont dû quitter la pension des Charmettes.
Quelqu’un a vendu la mèche au père Lerou qui, stupéfait, a appris que ces jeunes viveurs, ces seigneurs fastueux et pleins d’or, d’entrain et de gaieté, n’étaient autre que des « Révolutionnaires ”. Ca n’a pas trainé et les Parisiens ont reçu congé. Toute la nichée s’est envolée, égaillée aux quatre coins de la cité et Nina, une fois de plus, cherche dans l’art les éternelles consolation qu’il prodigue toujours aux âmes en peine. Elle donne des concerts au Casino de Saint-Pierre où, quelques lustres plus tôt, se fit applaudir Liszt,"*
Il revient à Paris en 1873 et fait sensation au café Guerbois, où Manet le prend pour un marchand ambulant. Il donne six toiles à la deuxième exposition impressionniste. Il a de nombreux amis et est apprécié de tout le monde, mais il ne vend rien. Seule la gravure lui permet de subsister. Après 1875, c'est au café La Nouvelle Athènes qu'il expose ses théories. Il vit dans une cabane en bois de la rue Forest en planches disjointes dont les courants d'air sont atténués par des tapisseries italiennes et quelques toiles savamment clouées au mur. Par l'intermédiaire de Philippe Burty, il va rencontrer Edmond de Goncourt et Degas qui deviendront ses amis. Samedi 6 février 1875 :
"Un artiste nommé Desboutin, que je ne connaissait pas, a apporté chez Burty (15 boulevard Montmartre)) jeudi, deux ou trois portaits à la pointe sèche, des planches suprêmement artistiques. Je les ai admirées ces pointes sèches. Il m'a offert de me "portraire" et rendez-vous a été pris aujourd'hui. Je vais le trouver aux Batignoles avec Burty. L'ateleir est dans la cour d'une cité ouvrière, bruyante de toutes les industries de bois et de fer. Il est construit en planches mal jointes que recouvrent au-dedans d'immenses tapisseries rapportées d'Italie (...)"
Il vivait dans ce taudis avec ses huit enfants sans jamais se plaindre.
 
 
*Extrait de   Par F. Fournier-Marcigny  Une muse parisienne à Genève Nina de Villard,  Almanach du Vieux Genève,  La Genève d’autrefois.  Willy Aeshlimann,  1946   

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21/03/2007

RUE BERTON 15bis L'HOTEL DE LAMBALLE

Par Bernard Vassor

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Appartenant au "beau" Lauzun en 1695, lorsqu'il épousa une jeune fille de quatorze ans (il en avait soixante)
Puis ce fut la résidence de la princesse de Lamballe qui y habita jusqu'à sa mort en 1792et ne fut pas la seule à perdre la tête dans cette maison...medium_Maupassant_05_SEPIA.jpg
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Rétif de la Bretonne, dans"Les Nuits de paris" raconte sa décapitation devant la prison de la force, rue du Roi de Sicile : 
"....................................................." 

 

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