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04/02/2007
ANNA DESLION
22:35 Publié dans LES COURTISANES LES MODELES ET LES ACTRICES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
MERY LAURENT
11:15 Publié dans LES COURTISANES LES MODELES ET LES ACTRICES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
02/02/2007
Valtesse de la Bigne "l'autre NANA"
Journaliste, Yolaine de la Bigne est la Rédactrice en chef du magazine féminin Atmosphères. Spécialiste des tendances, elle animait les émissions « Quelle époque épique » et « l'Age d'horizon » sur France Info.
Yolaine de la Bigne est une journaliste de référence. Elle a été Rédactrice en chef de « Femme Online » et écrit régulièrement pour de nombreux magazines. Elle est l'auteur de L'Homme désir. Enquête au pays des séducteurs, Valtesse de la Bigne ou le pouvoir de la volupté, Claudie Haigneré, une française dans l'espace et dirige la collection Les savoirs d'équitation éthologique aux éditions du Cherche-midi. Yolaine de la Bigne prépare actuellement le lancement d'un nouveau magazine féminin, gratuit et produit par M6 à destination des CSP +. Nom de code « Absolument féminin ».
17:35 Publié dans Une "NANA" d'Emile Zola | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
EUGENE JANVIER DE LA MOTTE
T II p 504 et 813 le 24 mars 1872 : "Hier à sa table (Victor Hugo) il prenait la défense du préfet Janvier." 18 janvier 1879, Edmond de Goncourt ne peut s’empêcher d’évoquer la différence de traitement avec « Henriette Maréchal » écrit avec une pointe de jalousie : à la première de L’Assommoir : « Il y a là des gens de toutes sortes, Busnach avec sa tête de veau, le vieux Janvier, qui a conservé sous un air de jeunesse son teint brouillé de coquin (..) Chabrillat allant voir les journalistes qui soupent au-dessous au milieu de la lecture de fragment d’un grand article devant paraître le lendemain, au milieu de racontars d’après lesquels un contrôleur aurait envoyé se faire f…. le préfet de Police."
Il fut néanmoins élu député bonapartiste de Bernay de 1876 jusqu’à sa mort en 1884.
12:00 Publié dans A MONTMARTRE LE SOIR | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
01/02/2007
LOUISE BOURGOIN
21:20 Publié dans Une courtisane qui faisait la pluie et le beau te | Tags : LOUISE BOURGOIN, bals, Mabille, BAL PERIN, canal, pluie, Baltard | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Marie Ernestine Blanche Antigny autrement dit : Blanche d’Antigny
Une des deux lionnes ayant servi de modèle à Emile Zola pour le portrait de Nana
Voici la description presque photographique d’un témoin de son temps :
« C’était une belle, bonne, blonde, réjouie et plantureuse fille aux yeux bleu saphir, à la chair couleur de lait, toujours en gaité et en santé.. Elle avait un buste superbe, une gorge opulente, modelée et arrogante, qui contrastaient légèrement avec la partie inférieure de son corps, relativement grêle. Au total, ragoûtante au possible et ne manquant que d’une seule chose, la distinction. (…)Elle fut un moment une des reines de Paris. Elle se promenait au bois avec un curieux atelage russe et des trotteurs de l’Ukraine, conduite par un moujik en blouse de soie, qui attirait tous les regards. (…) Les hommes à la mode, les jeunes seigneurs les plus courrus, les nababs les plus étincelants, les parvenus les plus cossus lui faisaient une cour acharnée et rivalisaient à son égard de générosité et de passion. »
Elle était parmi les dames galantes, parmi celles qui ont consommé le plus de livres. Elle était une habituée de la « Librairie Nouvelle » du boulevard des Italiens, où tout ce qui se passe et tout ce qui se dit à Paris est raconté et commenté parfois par des témoins oculaires.
17:40 Publié dans Une "NANA" d'Emile Zola | Tags : bal bullier, cirque d'hiver, arthur meyer, janvier de la motte, mesentof, caroline letessier, valtesse de la bigne | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Charles Lullier Le général fou de la Garde nationale de Paris le 18 mars 1871
Par Pierre-Henri ZAIDMAN
(Gavroche n° 143, septembre-octobre 2005, p. 1 à 9)
Le premier numéro de Gavroche est sorti en décembre 1981. Il prenait la suite du Peuple français, belle aventure éditoriale des années soixante-dix. Depuis plus de 20 ans, la revue s'attache à la retranscription des fêtes, des travaux, des luttes et des joies du principal acteur de l'histoire : le peuple. Gavroche fait aussi resurgir des événements jusque-là ignorés ou passés volontairement sous silence.
Trimestrielle, la revue est disponible par abonnement ou en commande au numéro.
Pour tout renseignement :
Gavroche - BP 863 - 27008 EVREUX CEDEX
Tél. : 02 32 39 50 50
E-mail : revue (AT) gavroche.info
EN VOICI UN PETIT EXTRAIT dans Gavroche :
Un étudiant bohèmeetviolent :
Pas trop affecté par la sanction qui lui permet d’échapper sans trop de dommages aux rigueurs de la vie de marin, Lullier vient alors à Paris, s’installant à l’hôtel des Quatre Nations, 29, rue Mazarine et suit les cours de l’école de Droit à la Sorbonne et au Collège de France. Parmi les étudiants, il commence à s’intéresser aux idées républicaines et socialistes, tout en menant une vie de bohème tumultueuse, dépensière et bien arrosée, fréquentant les cafés, les cabarets, les maisons closes, se querellant et provoquant sans cesse ses contradicteurs en duel. Le 19 août 1863, au café Mazarin, 26, rue Dauphine, il se dispute avec un garde de Paris de la caserne Tournon, Joseph Loechler, en le « prenant par les aiguillettes ». Il est écroué à la maison de Justice militaire et, après une lettre de regret adressée à sa victime qui retire sa plainte, il est remis en liberté. Une dette impayée de 97 francs 33 à Merle, fabricant de chaussures à Brest, lui vaut une retenue sur traitement, ce ne sera pas la dernière : 298 francs de vêtements à Alcibiade Poulet, tailleur à Brest, 220 francs de note de l’hôtel des Quatre Nations etc.
Pierre-Henry Zaidman est Maître de conférences à l'Université de Paris V
14:20 Publié dans LA COMMUNE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
Le Café Manoury
...............La révolution des dames.................
« A ma sortie du soir, j’entrai au Café MANOURY, au coin de la place de l’Ecole pour y voire les Petites-affiches »
Les Nuits de Paris ou le spectateur Nocturne.
..........................A Londres 1788 ............
A la fin du quatorzième siècle, ce lieu était le point d’ancrage des bateaux du port, face aux îlots « du Passeur », et de « l’Ile aux Juifs », qui furent réunies lors de la construction du Pont-Neuf. Les écoles de Saint-Germain-l’Auxerrois, parmi lesquelles, celle de chirurgie, firent appeler dès l’année 1290, Grande rue de l’eschole Sainct-Germain-l’Auxerroy*, le quai étant élargi sous François I°, la Régence, Louis XVI, puis sous Napoléon III. Sous François I°, la place de l’Ecole avait pour nom : Place aux Marchans.................................
Bien avant l’importation du café, existait un chocolatier. C’est une dame Servant qui avait tenu la maison pendant trente ans. L’endroit était devenu un lieu de réunion des gens de lettres au XVIII° siècle. Le cabaretier Manoury, en 1770 va révolutionner le jeu de dames et établir de nouvelles règles et «qui a fait perdre 8 pions au damier ».il a publié un traité qui sera réédidté et fera loi. Notre ami «Le Hibou», dans ses « Nuits de Paris », fera de nombreuses haltes dans ce café. En 1869 Ernest Cognac et sa femme Louise Jay, y installent un magasin qui deviendra plus tard La Samaritaine, faisant ainsi disparaître tout ce pâté de maisons de la place de l’Ecole. Reconstruit entre 1903 et 1930 par Franz Jourdain. *Curieusement la « raquette» historique de la Ville de Paris indique que la traduction du nom de la place devrait être de « l’Echelle »au lieu de «l’Ecole » ? ...................
...........................N° 1 Café Manoury datant de 1730 ........... .....................................
...........................N° 2 Ancien cabaret...................
...........................N° 4 Emplacement du fameux cabaret de la mère Moreau ( en préparation) .............
N° 5 Maison du XV° siècle, jolie enseigne : Au Soleil de la Samar, épi de faîtage très élégant …dont il ne reste rien ! Et comme disait "Nicolas" : élereste ..............................
.En partie déjà publié sur le site Terres d'écrivains .............................................................................
10:10 Publié dans CAFES ET RESTAURANTS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
Un guide du quartier Trudaine Rochechouart
09:27 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
31/01/2007
Passage Jouffroy : L'estaminet lyrique de Darcier...
10 boulevard Montmartre et 2-4-6 passage Jouffroy
Par Bernard Vassor
Au XVIII° siècle prince russe Tuffakine, était propriétaire de cet hôtel. Il était la risée du tout Paris en raison d’une infirmité qui lui faisait incliner la tête fortement sur le côté. Une dame galante habitait cette maison l'historien de Paris raconte : LEFEUVE_HISTOIRE_DE_Paris_boulevard_Montmartre..pdf
Avant l’ouverture du passage Jouffroy, Rossini a été locataire d’un petit appartement dans la maison du 10 boulevard Montmartre (pour 900 francs de loyer annuel). Après le percement du passage, une loterie puis un restaurant « américain » « Le Lingot d’Or » fut installée à l’entrée, à droite du passage en venant du boulevard jusqu’en 1853, date où va s'arrêter « L’affaire de la loterie des Lingots d’or ». Après la fermeture, va lui succéder un limonadier-glacier nommé Mariage (et ensuite Mahieu), qui a donc l’idée de faire manger debout la clientèle, pour de servir des plats froids, du vin « à la bouteille et au verre ». A cette époque, avant la construction du musée Grévin, la partie arrière du « restaurant rapide », donnait sur un petit jardin. Au premier étage, il y avait une salle de billard. Le passage Jouffroy était la promenade favorite des parisiens. D’après un chroniqueur (Alfrred Delvau), il fallait plus d’une demi-heure pour aller du boulevard à la rue Grange Batelière, et parfois, le badaud ayant franchi les 30 premiers mètres, se voyait parfois pressé par la foule, refoulé au bout de 20 minutes sur le boulevard !Il n’y avait pas moins de trois restaurants concurrents, dont le célèbre "Dîner de Paris", la brasserie de Mulhouse qui venait du boulevard des Italiens, une salle de spectacles qui donnait en représentation un "Théâtre d’ombres chinoises", 40 ans avant le Chat Noir, qui sera transformée en café chantant : « L’Estaminet Lyrique », dirigé par le chanteur Darcier, Maurice Nadeau s'y produisit longtemps et de nombreux autres chanteurs, chanteuses et chansonniers y firent leurs premières armes. Le chanteur Frédéric Bérat vers 1850 y chanta pour la première fois une de ses compositions :"J'irai revoir ma Normandie" . L'estaminet lyrique fut remplacé au XX° siècle par le « Petit Casino » Cette salle dont l'entrée passage Jouffroy était située à gauche en venant du boulevard, dans la galerie, communioquait sur un petit jardin face à l’hôtel Aguado. C’est aujourd’hui la salle Rossini attenante à la mairie du 9°. Un cabinet de lecture et plusieurs librairies ont cohabité jusqu’à la fin du siècle. Une porte secrète de la salle Rossini communique encore avec le passage Jouffroy.
11:05 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : alexandre dumas, fils, fanny loriot, pierre carlier, préfet de police, rossini | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg