08/10/2008
LES LORETTES DU PASSAGE LAFFERIERE
PAR BERNARD VASSOR
09:47 Publié dans Histoire des rues de Paris | Tags : louis-marie de lafferrière-l'evêque, gavarni, goncourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
29/02/2008
ALBERT GUILLAUME, LE PLUS GRAND CARICATURISTE (1,97m)
PAR BERNARD VASSOR
09:55 Publié dans Les peintres | Tags : DELAGRAVE, SIMONIS, ALBERT GUILLAUME, LEON GEROME, GAVARNI, Suzanne Bloch-Levalois | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
02/06/2007
CONSTANTIN GUYS "LE PEINTRE DE LA VIE MODERNE"
PAR BERNARD VASSOR
PORTRAIT PAR MANET
Il décide d'éditer une version française du journal de Londres, Charles Bataille demande à son ami Nadar d'y collaborer également. Après avoir passé deux mois à Londres où Nadar a rencontré Guys avec qui il nouera une amitié jusqu'à la mort de Contantin. Puis Guysl voyage dans toute l'Europe, autour de la méditerranées, il couvre la guerre de Crimée, va en Turquie, retourne à Londres puis repart pour l'Italie. A son retour d'Italie en 1871, il s'est installé au 80 rue de Provence, dans une chambre, sous des combles dont il ne sortait que la nuit. Dans les années soixante, il a participé aux réunions du café Guerbois et a marqué fortement le groupe par son caractère d'une indépendance forcenée. Il provoque l'admiration de Manet, de Monet de Gavarni des frères Goncourt, de Champfleury, de Villiers de l'Isle-Adam, de Degas, Cézanne, et de bien d'autres. Cependant, Guys vit très pauvrement. Il dépose au musée Carnavalet un lot de dessins pour qu'un musée conserve une partie de son oeuvre qui concerne l'histoire de Paris. Le musée n'en donnera qu'une bouchée de pain malgré l'intervention d'Henri Ceard pour obtenir une somme raisonnable. Oublié, dédaigné, Constantin Guys ne sera reconnu comme les impressionnistes que des dizaines d'années après sa mort.
Le 14 juillet 1885**, en sortant de chez Nadar, il est renversé par un fiacre rue du Havre dan le neuvième arrondissement. Souffrant de plusieurs fractures aux jambes, il est conduit rue du faubourg Saint-Denis. Il y resta sept ans, jusqu'à sa mort en 1892. Oublié de tous, seul, Felix Tournachon dit : Nadar lui rendit visite et s'occupa de lui jusqu'à la fin.
*L'histoire de la maison municipale de santé Dubois, figure dans un article du bulletin de la société historique :
*Nadar raconte que c'était le mardi-gras, mais il fait une confusion, (d'autres historiens d'art aussi en parlant de jour de carnaval) la date d'entrée 200 rue du faubourg Saint-Denis, dans le 10° arrondissement est bien le 14 juillet 1885.
02:15 Publié dans LES PRECURSEURS | Tags : CONSTANTIN GUYS, NADAR, GONCOURT, MANET, MONET, GAVARNI, MAISON DUBOIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg