25/02/2009
La "Maison de la Guerbois" rue Saint-Roch
qui n’ait son dîner sûr chez madame Guerbois ?
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La « Maison Guerbois », rue Saint Roch près l’hôtel de La Faye (de Soubise). Bien que quelques maisons existaient vers 1490, l'actuelle rue Saint-Roch avait été percée au milieu du XVI° siècle(1560). Elle portait alors le nom de cul-de-sac Saint-Vincent, ensuite rue du Dauphin, rue de la Convention, du Trocadéro. Le prolongement prit les noms de ruelle Michaut Riegnaut, rue Michel Regnaut, puis ruelle Gaillon, en raison de l’hôtel Gaillon avant la construction de l’église Saint-Rochqui l’a remplacé. Pour simplifier un peu plus, la rue porta au XVII° siècle elle fut nommée rue de Lorges, rue Neuve-Saint-Roch, pendant la révolution rue de la Montagne et finalement son nom actuel.... Non loin était la communauté des sœurs de Sainte-Anne, établissement religieux fondé en 1686 par le grand-audiencier de France, Frémont, destinée aux jeunes filles pauvres pour leur dispenser un enseignement religieux dans le but de leur éviter et les préserver des dangers de la ville qui guettaient les filles à chaque coin de rue.
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La maison Guerbois fut un endroit à la mode, où il était de bon ton de se montrer en compagnie des « gens de lettres ou de finances », en compagnie de marquis et de duchesses. Le poète Boursaut (1638-1701) nous donne une idée des « partie d’amour » qui se liaient dans la demeure de madame Guerbois.
Dancourt (1661-1721) acteur, auteur dramatique est encore plus clair :
Vous qui faites tous vos plaisirs
De régner dans le cœur des belles,
Il faut pour vous faire aimer d’elles,
Autres choses que des soupirs.
La renommée de sa cuisine faisait concurrence aux plus illustres tables. Pendant un carnaval, chez le marquis de Lyonne, réputé meilleure cuisine de Paris, le cuisinier ayant manqué son repas, « si bien qu’il eut mérité de se pendre », Un humoriste anonyme a laissé ces vers :
Le mardi gras fut aux abois,
Quand au dîner d’un grand satrape,
A quatre pas de la Guerbois
Il vit renouveler la trappe.
Il est plaisant de penser que cette "madame Guerbois"fut l’aïeule de l’autre "grand" Guerbois des Batignolles, mais rien n'est moin certain.
Mise à jour le 25 février 2009
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19/12/2008
Petite histoire de "La Société du Caveau", un petit conservatoire de la chanson.....
Par Bernard Vassor
C’est en 1729 qu’un épicier nommé Gallet invitait à sa table, le premier dimanche de chaque mois des chansonniers à des dîners chantants dans un cabaret.
Les premiers convives étaient Panard, Piron, Collé, puis ,les Crébillon père et fils et leur cohorte chantante. Les réunions avaient lieu dans le Cabaret Landel.
Reconstituée par le fermier général Pelletier en 1759, le mercredi, il recevait à sa table Marmontel, Helvétius et le poète Gentil-Bernard. Lui succédèrent : Desaugier, Brazier, Laujon, puis Béranger . La révolution interrompit ses activités, qui reprirent en 1796 aux « Dîners du Vaudeville ». Barré, Radet, Desfontaines et Pils furent les fondateurs de la nouvelle société qui sévit jusqu’en 1802. En décembre 1802, le « Caveau moderne » renaît, dirigé par le comédien Armand Gouffé et le libraire Capelle.
Brazier, Desaugier, Philippon de la Madelaine animèrent avec Grimod de la Reynière au Rocher de Cancale, rue Montorgueil ( le premier « Rocher », à l’angle de la rue Mandar), le 20 de chaque mois, des dîners musicaux et publièrent un mensuel sous le titre de « Journal des gourmands et des belles ». Le représentant le plus célèbre est à l’époque était le Grand Béranger. Les divergences politiques une nouvelle fois conduisirent le Caveau à une dissolution.
Il fut reconstitué puis éclaté dix fois, les lieux de réunions étant chaque fois différents. C’est le café Coroza au Palais-Royal qui accueillit les chansonniers en 1865.
· Un petit livre publié chez Dentu en 1883 explique le fonctionnement de ces réunions. Pendant les séances, le public écrivait chacun un mot que l’on mettait dans un chapeau. Le poète devait tirer plusieurs de ces mots pour en fabriquer de façon improvisée une chanson. Nous avons grâce à ces sociétés, des recueils de partitions qui ont servi pendant tout le XIX° siècle à tous les auteurs de chansons, pouvant ainsi les interpréter sur l’air de … leurs œuvres, sans avoir besoin de composer de musique.
(Paris et ses quartiers, Chansons par les membres du caveau, Paris Dentu 1883)
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17/12/2008
Les "Buveurs d'Eau"
Pour la rédaction de cette petite étude, Jules Janin,Théophile Gautier et Arsène Houssaye, ont accepté de m'apporter leur aide.
Les Buveurs d’eau :
Cette société, est née en 1841, les fondateurs se réunissaient rue de la Tour d'Auvergne au numéro 1 (et 3) dans une petite mansarde. On y accédait par l'escalier au fond de la cour, au cinquième étage, la porte à gauche. De la fençetre donnant sur la cour, on observait les hauteurs de Montmartre. La concièrge s'appelait madame Fleury. "La chambre était si basse de plafond,qu'on n'y pouvait rester debout que décoiffé" Le mobilier était plus que sommaire, mais comme disait Murger :"Dès qu'on s'encombre de chaises, on ne sait plus où s'asseoir"
Même si avant lui, Musset, Gerard de Nerval, Nodier, Gautier, Victor Hugo avec la Cour des miracles, avaient exploité cette veine, le mot de bohème reste attaché à l'oeuvre de Murger. Rodolphe Mimi et Musette
Henry Murger est né rue Saint Georges au 16 disentcertains historiens, dans la loge de concièrge de ses parents. Il est mort à « la maison de santé Dubois » aujourd'hui 200 rue du faubourg Saint Denis. L’histoire de cet hospice est liée à celle de beaucoup d’artistes et d’écrivains depuis le début du XIX° siècle, (pour la simple raison que la Société des Gens de Lettres, payaient l'hospitalisation de ses membres)*.
*Article du professeur Jean-Paul Martineau et du docteur Nicolle Rollin dans le bulletin N°3 de la société « Histoire et Vies du 10° »
Photographies : collection Jeannine Christophe présidente de la société historique du 10° arrodissement
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16/06/2008
EMILE SIGNOL ET "LA SOCIETE DE L'OIGNON"
DE LA SOCIETE DE L'OIGNON AU "DA VINCI CODE3
PAR BERNARD VASSOR
La Société de l'Oignon ainsi dénommée parce que ses membres se réunissaient régulièrement autour d'une soupe à l'oignon, spécialité du café Le Brébant.
Bien plus qu'un cénacle, c'est plutôt une sorte de société secrète que ce "club" créé en 1825 par un groupe de peintres, dont le but était d'accaparer les commandes, les légions d'honneur, les médailles et tout régenter dans le domaine de l'Art. Emile Signol, né en 1804, mort en 1892, fut un élève du baron Gros, il suivit les cours à l'école des Beaux-Arts. Prix de Rome en 1830, académicien en 1860. Il exposa très tôt au salon, exclusivement des sujets religieux. Membre de l'Institut et des jury influent des salons, il fut un farouche adversaire des peintres modernes. Un article de Henry de la Madeleine le décrit ainsi :
"Une des hontes de notre temps, c'est qu'un peintre de la force de M. Signol ait pu arriver à l'Institut. Ce que c'est, cependant, que la médiocrité soutenue, la docilité académique et la bêtise soumise ! N"avoir ni impression, ni idées ni exécution, mais garder bonne mémoire des pensums donnés à l'École des Beaux-Arts et pieusement conserver les recettes de la maison, cela suffit, paraît-il, pour vous conduire à tout. (...) Plusieurs générations se succèdent; petit à petit, la classe se vide, les professeurs meurent, et un beau jour le bonnet d'âne, resté seul, finit par monter en chaire. Sa profonde nullité a fait sa fortune.(..) Le Supplice d'une vestale obtient au Salon, cette année un succès de fou-rire. (..)mais que vais-je chercher là ? On ne peut pas plus s'occuper de la couleur de M. Signol, que de sa composition, que du choix des sujets. La Seule chose qu'on soit en droit de lui demander, c'est un peu de pudeur. Lorsqu'on peint comme lui, on se cache"
Henry de la Madeleine 20 mai 1863
Ajoutons que Signol qui a exécuté des fresques dans une église àRennes-le-Château. Certains comment dire ? "ésotéristes" ont développé une thèse à ce propos selon laquelle il y aurait un lien avec l'église Saint-Sulplice, et une histoire de lettre sur une signature un N inversée au dos d'une toile qui pour des raisons obscures ressemblerait à une inscription (INRI) retrouvée sur une croix surmontant la sépulture d'un curé (Béranger Saunière ) mort en 1917 ? Bref je n'y comprend pas grand chose, mais l'affaire a une ampleur telle, depuis 1960, que l'on retrouve des histoires de Sociétés secrètes, de Rose-Croix. Ce qui fait dire à un adepte : " Depuis 1960, le phénomène ne cesse de croître, provoquant un déferlement littéraire au contenu parfois sulfureux, mais hélas sans que soit apportée d'explication probante quant au mystère insondable qui entoure la fortune subite de Bérenger Saunière"
Un certain Gérard de Sède à l'origine du roman de Dan Brown "Da Vinci code" a été le romancier qui a mis en lumière l'histoire de Rennes-le-Château qui servit de base au succès de Dan Brown.
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12/05/2008
AUGUSTE SAUTELET LIBRAIRE-EDITEUR,
PAR BERNARD VASSOR
09:50 Publié dans Les Cénacles | Tags : Journal des Débats, Duvergier de Hauranne, de Mignet, Beyle, Dunoyer, Dubois, Viguier | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
06/02/2008
EMMANUEL GONZALES DU CENACLE DE LA RUE SAINT-HYACINTHE-SAINT-MICHEL
PAR BERNARD VASSOR
10:38 Publié dans Les Cénacles | Tags : molé-gentilhomme, fernand dugué edouard thierry, eugène labiche, paulin limayrac, hyppolite lucas, edmond texier, auguste lireux | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
08/10/2007
HISTOIRE DU CAVEAU (suite), LES PREMIERS FONDATEURS
PAR BERNARD VASSOR
suite de l'article du 8 décembre 2005 sur le site "Maisons d'écrivains"
PIRON, COLLÉ, ET GALLET
D'après Boilly
11:30 Publié dans Les Cénacles | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
26/09/2007
LE CAFE MICHELLANGELLO, LE "GUERBOIS" italien
PAR BERNARD VASSOR
22:55 Publié dans Les Cénacles | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
07/08/2007
LES PRECURSEURS DE L'IMPRESSIONNISME EN NORMANDIE : LE CENACLE DE LA FERME SAINT-SIMEON
PAR BERNARD VASSOR EN DIRECT DE LA CITROUILLE A GRANVILLE :
DEUXIEME PARTIE : HONFLEUR
16:50 Publié dans Les Cénacles | Tags : Victor Choquet, Alexandre Schanne | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
12/01/2007
RODOLPHE BRESDIN L'INEXTRICABLE GRAVEUR dit "CHIEN-CAILLOU3
"Ses paysages tourmentés et hallucinés ne sont pas sans évoquer les gravures fantastiques des Japonaiseries du peintre Hokusaï. Paysages désolés dans une atmosphère de cauchemar et de mort, nature hostile, fantasque et maladive, transparaissent dans La Comédie de la mort, Le Bon Samaritain, Le Gave ou L'Eclaircie dans la forêt. Ces gravures bizarres, mêlant en un savant dosage réalisme et imagination, n'en dénotent pas moins une maîtrise parfaite du jeu des ombres et des lumières, du blanc et du noir dont l'artiste se jouait en virtuose.
Des quelque cent cinquante planches gravées ou lithographiées qu'il laissa et dont l'intérêt vient à peine d'être découvert, le musée d'Orsay a présenté une sélection de soixante pièces environ, destinées à illustrer les différents aspects de son inspiration. Dessinateur avant tout, Bresdin sut aborder toutes les techniques : gravure, dessin, report et lithographie.
Commissaire de l'exposition : François Fossier, conservateur au département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale
Catalogue : Rodolphe Bresdin (1822-1885), un graveur solitaire
par François Fossier"
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03/01/2007
TOURNADARD, NADARD, puis NADAR
On écrivait, au sein de l' antique Bohème
où le chat de Mimi brillait sur le poëme,
où Schaunard éperdu, dédaignant tout poncif,
si quelqu' un devant lui vantait sa pipe blonde,
lui répondait : " j' en ai pour aller dans le monde
une plus belle encore, " et devenait pensif.
Aujourd' hui Weill possède un bouchon de carafe,
Arsène a des maisons, Nadar est photographe,
Véron maître-saigneur,
Fournier construit des bricks de papier, et les mâte,
Henri La Madelène a fait du carton-pâte :
lequel vaut mieux, seigneur ?
décembre 1856 :
MA BIOGRAPHIE A HENRI D'IDEVILLE
Banville Odes Funambulesques
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02/01/2007
Un jeune Bohème de province à Paris :Champfleury
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ADRIEN LELIOUX PREMIER PRESIDENT DES BUVEURS D'EAU
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28/12/2006
La société du Caveau
Le Rocher de Cancale
C’est en 1729 qu’un épicier nommé Gallet invitait le premier dimanche de chaque mois des chansonniers à des dîners chantants. Les premiers convives étaient Panard, Piron, Collé et les Crébillon père et fils. Les réunions avaient lieu dans le Cabaret Landel, au carrefour de Buci. Active pendant dix ans, cette société « du Caveau » fut dissoute en 1739. L'ancien Caveau 1743 ne dura que deux ans. Reconstituée par le fermier général Pelletier en 1759, tous les mercredi, il recevait à sa table Marmontel, Helvetius et Gentil-Bernard.La révolution va interrompre ses activités, qui reprennent en 1796 aux « Dîners du Vaudeville ». Barré, Radet, Desfontaines et Pils seront les fondateurs de la nouvelle société qui sévira jusqu’en 1802. En décembre 1802, le « Caveau moderne » renaît, dirigé par le comédien Armand Gouffé et le libraire Capelle. Brazier, Desaugier, Philippon de la Madelaine animent avec Grimod de la Reynière au Rocher de Cancale, rue Montorgueil ( le premier « Rocher », à l’angle de la rue Mandar), le 20 de chaque mois, des dîners musicaux et publient un "des mensuel sous le titre de « Journal des gourmands et des belles ». En 1807 paraît la première édition des "Clés du Caveau, où les Dîners du Rocher de Cancale" Le représentant le plus célèbre est à l’époque le Grand Béranger. Les divergences politiques vont une nouvelle fois conduire le Caveau à une dissolution.
Il fut reconstitué rue du faubourg Saint Denis à "La Lice Chansonnière"puis éclata dix fois, vingt fois, les lieux de réunions étant chaque fois différents. C’est le café Coroza au Palais-Royal qui accueille les chansonniers en 1865.Un petit livre chez Dentu en 1883 explique le fonctionnement des réunions. Pendant les séances, le public écrivait chacun un mot que l’on mettait dans un chapeau. Le poète devait tirer plusieurs de ces mots pour en fabriquer de façon improvisée une chanson. Nous avons grâce à ces sociétés, des recueils de partitions qui ont servi pendant tout le XIX° siècle à tous les auteurs de chansons, pouvant ainsi interpréter sur l’air de ... leurs œuvres, sans avoir besoin de composer de musique. (Paris et ses quartiers, Chansons par les membres du caveau, Paris Dentu 1883)
· Le vieux caveau fut fondé,
Fondé vers mil sept cent trente,
Par Piron, Collé, Vadé,
Et leur cohorte chantante.
A Vadé, Collé, Piron,
Succèdent au rang suprème
Desaugier, Brazier, Laujon,
Enfin Béranger lui-même.
Louis-François Nicolais dit "Clairville",
auteur dramatique 1811-1879
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31/08/2006
La Société des Amis d'Emile Zola
UN CENACLE EN 2006
Les Amis d'Emile Zola
Siège social : Maison d’Emile Zola. 78670 Médan.
Administration : B.P. 12 – 77580 Villiers sur Morin.
Anciens Présidents: Théodore DURET (†), Anatole FRANCE (†), Paul PAINLEVE ( †), Eugène FASQUELLE (†), Edouard HERRIOT (†), Jean ROSTAND (†), Pierre PARAF (†).
Président : Henri MITTERAND.
Vice-Président : Jean-Claude FASQUELLE.
Secrétaire général : François LABADENS.
Directeur des Cahiers naturalistes : Alain PAGÈS.
Déléguée aux expositions : Martine LE BLOND-ZOLA.
Conseil d’administration : Marion AUBIN de MALICORNE,
Colette BECKER,
Philippe HAMON,
Jean-Pierre LEDUC-ADINE,
Jacques NOIRAY.
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L'Association du Musée Emile-Zola
Elle a pour but d'aider à la création et au développement du Musée de Médan ses statuts ont été déposés à la Sous-Préfecture de Saint-Germain-en-Laye le 27 septembre 1984. Le Président est Me Maurice Rheims, de l'Académie française. L'article 1 des statuts désigne également comme membres fondateurs Jean-Claude Le Blond-Zola (représentant les descendants de Zola), Henri Mitterand, Alain Pagès, Louis Bois (maire de Médan) et Marion Aubin de Malicorne.
Alain Pagès a assumé les fonctions de secrétaire général jusqu'en 1993. Marion Aubin lui a succédé ensuite. Le Musée a été inauguré officiellement en octobre 1985, à l'occasion du pèlerinage de Médan. L'Association a procédé à différents travaux de restauration intérieure, L'Assistance publique, jusqu'en 1995, a participé à son budget. En 1998, elle a cédé le soin de la gestion du Musée de Médan à l’AROEZ, fondée par Pierre Bergé
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