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15/01/2012
Mon ami l'historien Laurent Bihl m'a transmis cette information capitale, qui contredit à ma grande honte toutes mes affirmations...
Enfin ! La vérité sur la mort de Vincent van Gogh
Par Laurent Bihl
Excuse-moi Bernard, mais ta version ne vaut pas mieux que les autres. Moi seul suis, pour l'heure, en mesure de révéler l'authentique fin de Van Gogh.
En fait, notre peintre était bien plus engagé qu'on ne l'a dit dans les milieux Socialistes-Révolutionnaires. En mai 1890, Van Gogh abrite à Arles un nihiliste nommé Padlewski, lequel vient d'assassiner le général russe Seliverstoff. Alors qu'on croit l'activiste passé clandestinement dans le Tessin avec Georges de Labruyère, amant de Séverine, Padlewski est en fait amené chez Van Gogh à Arles par Amilcar Cipriani, l'ancien compagnon de Garibaldi. Après une cuite mémorable, les 3 hommes s'embarquent pour les USA en avion, précisément dans l'Etat de New York, afin d'aller manifester contre la première utilisation de la chaise électrique, sur William Kemmler. C'est LA, LA ET NULLE PART AILLEURS, que Van Gogh est blessé à l'oreille par une charge policière particulièrement virulente. Il prend dès lors le premier train et revient expirer à Arles des suites des brutalités policières américaines, non sans avoir laissé de nombreuses toiles dans certains musées de la cote Est en dépôt, ce qui explique leur présence outre atlantique aujourd'hui.
OR, CES TOILES, PRETES, N'ONT JAMAIS ETE RESTITUEES par les USA!
C'est donc la raison pour laquelle les biographes yankees tentent de déguiser grossièrement la mort de Van Gogh en un duel imaginaire.
Je sais que cela va choquer, mais il fallait tout de même que la vérité soit dite.
Sur ce, je te souhaite une bonne année.
Laurent
Laurent Bihl est l’auteur d’un ouvrage récent consacré à Michel Zévaco :
De cape noire en épée rouge
Editions Ressouvenances
ISBN2 84505 110 2
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Quand va-t-on laisser en paix Arthur Rimbaud Vincent van Gogh et les autres ?
Par Bernard Vassor
Pour ce qui concerne Rimbaud, il ne se passe pas plus de deux ou trois ans pour que l'on découvre, une révolver, une photo où un personnage, la bouche ouverte, qui est le seul à regarder bêtement l'objectif. Régulièrement les plus grands biographes prétendent qu'Arthur était à Paris au moment de la Commune de Paris. Sauf Steeve Murphy et Pierre Brunel qui ont fait preuve d'une grande objectivité. Je ne parle pas des découverrtes "miraculeuses" d'article de journaux, sans oublier la supercherie de trois étudiants qui avaient "retrouvé" en 1945 le poème disparu La Chasse spirituelle. Ce canular avait révélé l'ignorance crasse de tous ces spécialistes rimbaldiens qui se tordaient d'admiration devant ce chef d'oeuvre inégalé de la littérature !!!
Juste pour mémoire le canular de trois jeunes gens de Livourne qui avaient à la hâte taillé trois morceaux de pierre, sachant que le canal de la ville allait être dragué en 1984 pour retrouver selon la légende des statues que Modigliani avait jeté dans ce canal. Bien sûr on ressortit de l'eau ces pierres à peine sculptées une à une. Bientôt, les plus grands experts mondiaux vinrent comme une volée de mouches se pencher sur ces fabuleux trésors qu'ils authentifièrent presque tous.
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Spéculation !
Pour l'affaire de Vincent, on cite toujours John Rewald qui le premier aurait émis l'hypothèse de l'assassinat sans trop insister à ma connaissance, n'ayant pas encore eu connaissance de ce texte jusqu'à présent. Une hypothèse n'a jamais été une réalité, tout juste une prétérition.
Bien des fadaises ont été écrites depuis lors. Jusqu'en 2009, où un historiographe hollandais, fait paraître dans sa langue natale un mauvais livre où il indique que Vincennt ne se serait pas suicidé, mais, serait mort en duel ! Avec des arguments d'une confondante bétise. Devant le tollé provoqué par ces niaiseries, le batave se confond en excuses et assure qu'il ne défend plus cette idée et promet que dans la réédition de son livre les choses seraient modifiées ainsi que dans la version française ce que j'ai pu constater. Il dit qu'il lui semble inutile de spéculer sur les raisons et conditions de ce décès. Il ajoute avec un certain cynisme : "j'ai à coeur de ne pas me mettre au service du mythe(commercial) mais du peintre". (j'ai la lettre complète au cas où)
La dernière en date est cette biographie monumentale de deux historiens américains qui remettent au goût du jour la fameuse "hypothèse".
Au passage ils salissent sans preuve la mémoire de deux jeunes frères : un qui est gentil cultivé, et l'autre qui a le rôle du méchant.
Par le plus grand des hasards, je connais très bien l'excellente traductrice qui est, ou a été membre de mon association, ce qui démontre bien sa grande valeur (humour).
Isabelle compte bien et c'est son devoir, défendre bec et ongles la version des yankees poulitzérisés.
Bien du courage madame l'épistophile, tu va peut-être devoir réviser ton jugement sur l'une de tes idoles
L'ensemble de l'ouvrage à part ce petit phénomène promotionnel est parait-il d'une très grande qualité littéraire. Il est le fruit d'une dizaine d'années de recherches au VGM qui dans l'ensemble soutienent cette version. Pardon à eux, mais je suis en total désaccord.
Le livre d'Alain Rohan dont je vous ai déjà parlé devrait faire taire pour quelque temps encore les prétentions commercieles de certains hypothésistes.
06:52 | Lien permanent | Commentaires (1) | | | |
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14/01/2012
Le théâtre de Guy de Maupassant aux éditions du Sandre par Noëlle Benhamou
http://www.maupassantiana.fr/Oeuvre/Theatre.html
17:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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La Geisha dans "La Chronique des choses anciennes"
Par Bernard Vassor
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2008/04/...
Dans l'histoire du Japon romanesque, parue au VIII° siécle, une jeune fille "d'Ame no Uzume"est appelée par les dieux pour faire sortir la déesse solaire Amaterasu, nous apprend le dictionnaire des mythes féminins* paru sous la direction de Pierre Brunel.
Le terme Geisha n'est apparu semble-t-il qu'en 1768 dans le quartier "réservé "d'Edo,( nom ancien de Tokio), de jeunes femmes exerçant un art de divertissement musique, art, poésie et danse. Des hommes aussi exerçant ces fonctions entre art et prostitution étaient parfois désignés sous ce même vocable.A l'origine, le nombre d'hommes "Geisha" dépassait largement celui des femmes qui étaient une toute petite minorité.Contrairement à la prostituée, la Geisha était une dame de compagnie de tradition sophistiquée initiée à toues les formes d'art de la peinture à la musique et à la poésie.
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Une loi en 1779 créa un bureau d'enregistremen des Geisha leur interdisant de se livrer à la prostitution.
Trois beautés célèbres KITAGAWA UTAMARO
Les romans de Nagai Kafü sont très souvent des évocations de sa vie tumultueuse dans les bas-fonds de Tokio, où les courtisanes jouent un rôle prépondérant.
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2010/03/...
Nagai Kafû : Le Maupassant japonais.
永井荷風 (1879-1959)
Nagai Kafû, (plutôt connu sous son prénom, Kafû), fortement influencé par les auteurs français (Zola, Maupassant ...) comme un grand nombre de ses compatriotes écrivains du début du vingtième siècle, a été l'un des fondateurs du naturalisme à la Japonaise. Dans un roman publié en 1918, son expérience libertine lui servit de support pour décrire le monde des maisons de thé, des geishas, des artistes et des marchands d'art.
Mise à jour le 14/01/2012
*dictionnaire des mythes féminins* paru sous la direction de Pierre Brunel, éditions du Rocher 2002.
10:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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Le restaurant PAVARD de la rue Notre-Dame-de Lorette

08:48 Publié dans CAFES ET RESTAURANTS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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13/01/2012
Une courtisane de haut vol : JEANNE DE TOURBEY CONNUE AUSSI SOUS LE NOM DE JEANNE DESTOURBET
Par Bernard Vassor
Le Journal des Goncourt cite à de nombreuses reprises « la Tourbey »
Ces deux lettresde Gustave Flaubert ont été mises en vente il y a deux ans :
Gustave Flaubert [Paris, juin 1872, à Jeanne de Tourbey, comtesse de Loynes].
"Jeudi soir, 9h. [13? juin 1872]. Il viendra la voir samedi ou dimanche, et la remercie: "Comme le billet que je reçois est gentil et bon! Comme je vous aime! Oui, votre pauvre vieil ami a été fortement secoué. Il en reviendra! Mais c’est dur." Il baise "vos deux belles mains infiniment"…
Flaubert a été "secoué" par la mort de sa mère, le 6 avril..
"Mardi, 2 h. "Je vous dis adieu, ma chère amie. J’aurais bien voulu aller vous embrasser mais je suis exténué et de plus j’ai un re-clou au visage»
09:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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12/01/2012
目次へ 次ページへ HAYASHI TADAMASSA ET LE JAPONISME A PARIS
PAR BERNARD VASSOR

09:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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L'Hôtel des Haricots.
Par Bernard Vassor
Il faut remonter au XIV° siècle, pour raconter l'histoire. En 1314, on édifia au sommet de la Montagne Sainte Geneviève, à l’emplacement de l’actuelle bibliothèque, le « collège de Montaigu » qui avait reçu de ses élèves le surnom de "collège, ou Hôtel des Haricots" en raison de la pauvreté de la nourriture, composée le plus souvent d’une soupe de haricots qui faisait partie de la pédagogie : « rendre le corps atone pour faire vibrer l’esprit ». Cette institution a été en butte à tous les sarcasmes, au cours des siècles, depuis Erasme, jusqu’à Rabelais qui appelait les « pôvres éscoliers du Collège de la Pouillerie »
Le collège en raison de ses orientations religieuses fut supprimé en 1792, et servit de prison militaire pendant la révolution. Elle fut aussi maison d’arrêt de la Garde nationale, pour punir les infractions à la discipline, et les manquements aux obligations militaires. Le public lui redonna tout de suite le nom de
« prison des haricots ».
Elle fut ensuite transférée en 1800, rue des Fossés Saint-Bernard (actuel n° 30). De nombreux artistes et littérateurs y furent incarcérés, dont Musset, Gautier, Banville Sue, Balzac qui y fit plusieurs séjours, ainsi que Devéria, Nanteuil etc….
Les murs furent couverts d’inscriptions et de dessins que les collectionneurs d'autographes et les marchands d’art, s’arracheraient aujourd’hui à prix d’or. La maison fut détruite en 1837, et les terrains livrés à l’entrepôt des vins. La nouvelle prison était située près du quai d’Austerlitz au 92 rue de la Gare (aujourd’hui 55 quai d’Austerlitz) dans une ancienne grange à blé, dépendance du « grenier d’abondance » du quartier de l’Arsenal. Elle fut à son tour démolie en 1864 et transférée dans une somptueuse villa rue de Boulainvilliers à Passy jusqu’en 1871. Et, comme le «Théâtre érotique de la rue de la Santé », elle fut remplacée par une institution pour jeunes filles.
09:42 | Lien permanent | Commentaires (1) | | | |
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10/01/2012
Un historien occasionnel du Paris insolite : Le docteur Gachet
Par Bernard Vassor
11:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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La thèse de l'assassinat de Vincent van Gogh prend l'eau ! Un livre enquête qui va paraîtree ces jours-ci dse l'historien d'Auvers-sur-Oise
Par Bernard Vassor
Cet ouvrage de notre ami Alain Rohan qui devait paraître il y a quelques mois va enfin voire le jour très prochainement.
Fargeau éditions
Le Mystère van Gogh
Résumé par Alain Rohant :
VINCENT VAN GOGH ET SA PERIODE AUVERSOISE
Du 20 mai au 30 juillet 1890 :
Théo par l’intermédiaire de Pissarro, a arrangé l’accueil de son frère à Auvers par le Docteur Gachet ami des impressionnistes et peintre lui-même.
Ce docteur exerce à Paris, et depuis 1872 dans sa maison de campagne d’Auvers il y reçoit : Cézanne, Renoir, Guillaumin, Sisley,… Comme médecin et peintre il pourra comprendre Vincent.
Vincent prend pension chez l’Auberge Ravoux, place de la mairie, il déjeune le dimanche chez le Docteur Gachet.
Il peint avec ardeur, de nombreux paysages, (Toits de chaume et vigne, Marronniers rose en fleurs, L’escalier d’Auvers, Rue du village à Auvers, Champs de blé aux corbeaux…) L’église d’Auvers, Portraits du Docteur Gachet et de sa fille, etc…
Il se levait à 5 h. peignait toute la journée et rentrait à la tombée de la nuit, se couchait très tôt, mais l’angoisse ne le quittait pas, peut-être le retour possible de ses crises ou encore d’être à la charge de son frère, qui lui même était malade et avait des soucis d’argent
C’est alors que le 27 juillet, il se tire un coup de revolver dans les champs derrière le château, blessé, il rentre tard le soir à l’auberge. Ravoux appelle le Docteur Gachet qui fait un pansement et ne peut rien de plus, vu l’état des hôpitaux et de la médecine en cette année de 1890.
Théo, prévenu le lendemain matin, arrive et passe le reste de la journée et la nuit prés de son frère qui s’affaiblit de plus en plus et s’éteint le 29 juillet à 1h 30 du matin, l’enterrement a lieu le 30 juillet dans le cimetière d’Auvers-sur-Oise.
Théo, très malade, décède 6 mois plus tard. Aujourd’hui, on voit les deux tombes jumelles, recouvertes du même lierre.
L’œuvre de van Gogh est un mélange de mysticisme et de réalisme, d’exaltation et de recueillement, dans la solitude et la passion frémissante.
En moins de dix ans, il a exécuté plus de 800 œuvres (les plus connues étant Les Iris, Les Tournesols, La nuit étoilée, Le Docteur Gachet, L’homme a l’oreille coupée)
00:17 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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