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07/12/2008
La revue en ligne de l'actualité maupassantienne.
Par Bernard Vassor
Actualité maupassantienne
Le dernier numéro de la revue Maupassantiana, vient de paraître. Vous pouvez vous abonner gratuitement sur le site de Noëlle Benhamou
Vous obtiendrez ainsi l'actualité internationale des parutions, des essais, des films, émissions de radio, ou documents consacrés àGuy de Maupassant. Des informations sur les conférences, colloques, expositions, ventes aux enchères publiques, pièces de théâtre sont également disponibles
Ce mois-ci, vous aurez les films ou télé-film diffusés à la télévision avec les horaires de passage.
Des oeuvres pédagogiques, (j'ai moi-même été interessé par une étude consacrée à "Pierre et Jean et l'impressionnisme").
Les parutions sont traitées à part sur le site à la rubrique : Bibliographie.
Vous pourrez ainsi vous tenir régulièrement de ce qui se passe près de chez vous ou à l'autre bout du monde.
Des icônes facilitent la consultation de l'éphéméride.
18:01 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg
La passion à l’œuvre, Rodin et Freud collectionneurs.
Par Bernard Vassor
Un petit rappel, c'est dans l'Hôtel Biron qu'est conservé le plus beau portrait du père Tanguy, que vous ne pourrez peut-être pas regarder, le premier étage étant fermé le mercredi 10 décembre....
Article précédent sur paperblog : http://www.paperblog.fr/1034853/un-ecrin-pour-le-portrait...
Après la superbe exposition Camille Claudel, le musée Rodin vous propose de découvrir :
La passion à l’œuvre, Rodin et Freud collectionneurs.
……..
Pour la première fois en France, la collection d'antiques du père de la psychanalyse.
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Auguste Rodin, père de la sculpture moderne, et Sigmund Freud, père de la psychanalyse partagent une passion commune : ce sont deux grands collectionneurs d’objets antiques. À partir du milieu des années 1880, ils accumulent les oeuvres du passé, d’Egypte, de Grèce ou de Rome. Rodin meurt, en 1917, possédant plus de 6000 antiques tandis que Freud s’éteint, à Londres en 1939, entouré de plus de 3000 oeuvres.
Au-delà de la présentation des collections, l’exposition dévoilera les liens entre collection et création. Rodin utilisa la leçon de l’Antique dans ses propres oeuvres, produisant des assemblages hybrides et mystérieux. Quant à Freud, il voit dans la psychanalyse une forme d’archéologie :
« Pareil en cela à l’archéologue qui fouille la terre, le psychanalyste doit mettre au jour, strate après strate, la psyché du malade, afin d’exhumer les trésors enfouis au tréfonds ».
MUSEE RODIN DE PARIS :
Ouvert tous les jours sauf le lundi
Horaires d’été (avril - septembre) :
Ouverture du musée et de la boutique :
de 9h30 à 17h45
Fermeture de l'hôtel Biron : 17h45
Fermeture du parc : 18h45
Dernière entrée : 17h15
Horaires d’hiver (octobre - mars) :
Ouverture du musée et de la boutique :
de 9h30 à 16h45
Fermeture de l'hôtel Biron : 16h45
Fermeture du parc : 17h00
Dernière entrée : 16h15
Accès
Musée Rodin - 79, rue de Varenne - 75007 Paris
Téléphone : 01 44 18 61 10
Télécopie : 01 44 18 61 30
Métro (ligne 13) : Varenne ou Invalides
R.E.R (ligne C) : Invalides
Bus : 69, 82, 87, 92
Stationnement : Bd des Invalides
17:07 Publié dans Evènement | Tags : rodin, freud, hôtel de biron, musée rodin | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg
Un précurseur : Samuel-Chrétien-Frédéric Hahnemann, inventeur de l'homoeopathie.
Par Bernard Vassor
En 1810 L'Organon de l'art de guérir.
Puis de nombreux ouvrages, traitant de "pathogénie" et un traité des maladies chroniques.
Il remit en avant le principe de similitude, énoncé par Hippocrate.
Le quinquina arbuste originaire du Pérou doit son nom à une comtesse de Chinchon, femme du vice-roi du Pérou guérie d'une fièvre (le paludisme) grâce à cette substance extraite de l'écorce de cet arbrisseau, le fit venir en Espagne en 1632. Pour remercier la comtesse, on donna le nom de chichona à la plante, qui devint par la suite le quinquina.
Mise à jour le 10 décembre 2014
Je dois à Mathilde Huet une information qui me manquait :
Le corps de Samuel Hahnemann a été transféré de Montmartre Au Père-Lachaise en 1898 Division : 19, Ligne : 1 (27), Tombe : 8 (20) Le numéro de la concession de la tombe actuelle est : 15 AD 1898 Le corps de Marie Mélanie d'Hervilly (inhumé en 1878 à Montmartre, dans un caveau jouxtant celui de Hahnemann) a été également rapatrié dans la même sépulture du Père Lachaise en 1898 .
12:51 Publié dans HISTOIRE | Tags : mélanie d'hervilly, victor schoelcher, ernest legouvé | Lien permanent | Commentaires (1) | | | |
Digg
06/12/2008
La création d'une nouvelle religion dans l'Union américaine en 1842, d'après des journaux de l'époque : Les Mormons
Par Bernard Vassor
12:26 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg
05/12/2008
Le Centre Culturel Péruvien, conférences en décembre...
Par Bernard Vassor
Novembre-Décembre 2008
La France au Pérou,
le Pérou en France
Yolanda Rigault, sa présidente me signale deux conférences importantes organisée par le CECUPE à la Maison de l'Amérique Latine le :
Mercredi 10 Décembre 2008
à 18H30
« La présence française au Pérou »
Rencontre avec Pascal Riviale
A la suite des mouvements d'indépendance en Amérique latine et de la disparition de la domination espagnole, les pays européens ont pu se rapprocher de ces anciennes colonies. Cela fut le cas de la France qui profitant d'une certaine croissance ainsi que de celle du Pérou, s'est lancée dans une recherche de reconnaissance économique et sociale. Cela amènera à Lima et à d'autres villes péruviennes des scientifiques, des explorateurs, mais aussi des commerçants, des artistes et parfois des aventuriers français. Vers la deuxième moitié du XIXéme siècle, la présence française était évidente au Pérou ainsi que son influence dans les arts, l'architecture, la photographie pour ne citer que quelques domaines.
Pascal Riviale, historien, et spécialiste de l'histoire culturelle au Pérou, a été chercheur à l'IFEA (Institut Français d'Etudes Andines). Après avoir tenu un poste au musée d'Orsay il est aujourd'hui aux Archives Nationales de France.
Son livre « Una historia de la presencia francesa en el Perú » vient d’être publié par l’IFEA.
Vente et signature du livre..
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Pascal Riviale, aux Archives nationales, a, en outre aidé les recherches entreprises par Alain Gioda, qui ont permis les nouvelles découvertes concernant les fouilles du Machu Picchu dont il est question dans des articles précédents (Du rififi autour du Mapi). Dans son ouvrage, il mentionne la première expédition de Berns et du rôle du docteur Macedo.
Maison de l’Amérique Latine
217 boulevard Saint Germain, 75007 Paris
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et le :
Vendredi 12 Décembre 2008
à 18H30
« Marianne en los Andes »
Prix « Vingt ans du CECUPE »
avec Claudia Rosas, Bernard Lavallé et Fernando Carvallo
Lors de son 20èmeanniversaire en 2006 le CECUPE avait convoqué un prix Littéraire. L’essai gagnant, « Marianne en los Andes » de Claudia Rosas et José Ragas, vient d’être publié cette année par Ed. Mare et Martin en édition bilingue. Une des auteurs nous visite à Paris et nous l’invitons à présenter l’œuvre accompagnée du Professeur Bernard Lavallé qui avait préfacé l’ouvrage, et de Fernando Carvallo membre du jury. Dans Marianne en los Andes les auteurs se penchent sur trois moments révolutionnaires français importants, la Révolution de 1789, mais aussi celui de 1848 et le plus récent : mai 68. Ils analysent le contexte péruvien lors de ces trois époques et ils font une projection de cette influence dans l'avenir politique et social du Pérou.
Claudia Rosas est Professeur à la PUCP (Université Catholique du Pérou).
Bernard Lavallé est Professeur à l'Université
Paris 3 Sorbonne Nouvelle.
Fernando Carvallo est journaliste à RFI et Chargé de Cours à l’IHEAL.
Vente et signature du livre.
Maison de l’Amérique Latine
217 boulevard Saint Germain, 75007 Paris
Mon ami Fernando Carvallo, m'avait remarquablement aidé il y a quelques années, lors de l'organisation des manifestations que j'avais organisées à l'occasion d'une célébration du général San Martin et d'Alexandre Aguadoà la mairie du neuvième arrondissement, avec le concours actif de l'ambassade du Pérou, de l'ambassade s'Argentine, et du Consulat d'Espagne. Nadia Prete avait grandement contribué à la réussite de ce projet malgré les réticences et l'obstruction de certains édiles...
Le site du Centre Culturel Péruvien : http://www.cecupe.com/
14:02 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg
"Fort Chabrol" un anthroponyme"...La rue Chabrol et Marie Laurencin
Par Bernard Vassor
Marie Laurencin
Un certain comte Charpentier avait obtenu par une ordonnance royale le 29 mai 1822, une autorisation d'ouvrir une rue sur ses terrains.:
"A autorisé M. le comte Charpentier à ouvrir sur ses terrains une rue de 12 mètres de largeur pour communiquer de la rue du Faubourg Poissonnoière, vis à vis la rue Bellefond au faubourg Saint Denis. Sur les 12 mètres auxquels la largeur de la rue est fixée, le comte Charpentier fournira 10 mètres sur toute la longueur de sa propriété; le surplus lui sera payé à raison de 7francs 86 centimes le mètre carré. Cette rue fut immédiatement tracée et reçut en vertu d'une décision ministérielle du 1 juillet suivant le nom de rue Chabrol*"
(J'ignore à quelle date, la particule "de" lui fut ajoutée)
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Puis en 1826 est ouverte la rue Neuve-Chabrol, sans autorisation sur des terrains appartenant à Mme de Bellecôte et messieurs Chobert et Philippon; terrains avetés au comte Charpentier, qui provenaient de l'ancienne foire Saint-Laurent. Un arrêté du 7 décembre 1840, prescrivit l'établissement d'une barrière de clôture aux extrémités de cette rue qui formait le prolongement de la rue Chabrol. En 1830, après la révolution les habitants débaptisèrent la rue pour lui donner celui du nouveau préfet de la Seine M.Delaborde. Le 12 août 1835, une décision ministérielle signée Gasparinlui rend son nom premier. Le 10 octobre 1836 on procèda à la régularisation du numérotage, et les constructions riveraines furent alignées.
La notoriété de cette voie lui vient d'un fait-divers tristement célèbre. Jules Guerin; un journaliste violemment antisémite et anti-maçonnique, pour échapper la police qui voulait l'arrêter, se réfugia dans les locaux du 51 de la rue Chabrol et soutint un véritable siège, dans les locaux de l'organe de presse du "Grand Occident de France" et du journal "L'Antijuif",qui se barricada, avec 12 hommes, Jules Guérin. Cet anti-dreyfusard était aussi le directeur de "L'Antijuif", un journal qui pouvait vendre jusqu'à 120.000 numéros par semaine. Le siège dura du le 13 août 1899, jusqu'au 21 septembre. Jules Guérin qui avait voulu fomenter un coup d'état tint pendant 5 semaines. La police pour venir à bout des assiégés avait fait couper l'eau et le gaz. Guérin et ses amis se rendirentt le 21 septembre au matin, alors que la police se préparait à donner l'assaut. L'appellation "Fort Chabrol" devait ainsi entrer dans l'histoire et dans le vocabulaire courant, sans toutefois que ceux qui utilisent cet anthroponyme, n'en connaissent la signification.
Marie Laurencin est née à Paris le 31 octobre 1885 d'un père inconnu et d'une mère employée de maison, jeune domestique séduite par son patron qui était marié. Ce père, homme politique, n'abandonne toutefois ni sa maîtresse, ni son enfant, dont il assume financièrement l'éducation. Marie fait des études exceptionnelles pour une fille de l'époque au lycée Lamartine. Goûtant peu la théorie, elle prit des cours de peinture sur porcelaine à Sèvres puis de dessin à l'école de la Ville de Paris, et à l'académie Humbert où elle rencontre Georges Braque.
Elle meurt le 8 juin 1956 à Paris. Elle est inhumée au cimetière du Père lachaise.dans une robe blanche tenant dans une main une rose et dans l'autre une lettre d'amour de Guillaume Apollinaire. Elle emporta dans sa tombe une lettre d’amour écrite par Guillaume Apollinaire :
La Chanson du Mal-Aimé :
...Mais moi j'ai le coeur aussi gros
Qu'un cul de dame damascène
O mon amour je t'aimais trop
Et maintenant j'ai trop de peine
Les sept épées hors du fourreau
Sept épées de mélancolie
Sans morfil ô claires douleurs
Sont dans mon coeur et la folie
Veux raisonner pour mon malheur
10:32 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg
04/12/2008
A propos de l'exposition Victor Hugo à Carnavalet : LA BERGERE D'IVRY
Par BERNARD VASSOR
Dédié à mon ami Gérard Comte, l'historien, du XIII° arrondissement . Passionné, il a bataillé ferme pour que l'on donnât le nom de Bergère d'Ivry dans ce quartier à une rue, un carrefour ou une place, plutôt que celui d'un obscur politicien, militaire ou chanteur à la mode, comme nous avons l'habitude de le subir trop souvent dans Paris. Ce serait un bel hommage à lui rendre pour toutes les actions qu'il a menées pour l'histoire de son fief...
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16:27 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : gerard comte, victor hugo, balzac, george sand, alfred de musset, aimée millot | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg
03/12/2008
Une enseigne d'un marchand de couleurs rue Saint Denis
Par Bernard Vassor
14:00 Publié dans Les marchands de tableaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg
02/12/2008
Du rififi autour du MAPI, suite, dans la revue Sciences au Sud ....
Voici comme promis l'article d'Alain Gioda :
Article sur internet : http://www.ird.fr/fr/actualites/journal/
"Sciences au Sud", 2008, septembre-octobre, nº46, page 2.
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Sciences au sud, journal bimestriel de l'IRD, met en lumière les principaux programmes de recherche et relate tous les événements de la "Planète IRD".
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23:03 Publié dans HISTOIRE | Tags : sciences au sud, alain gioda, machu picchu, ird. | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg
01/12/2008
Les dames du temps jadis, c'était mieux hier suite...
Par Bernard Vassor
20:25 Publié dans HISTOIRE DES FEMMES | Tags : prince de polignac, claude mangin | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg