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12/08/2007

MARY WOLLSTONEKRAFT PRECURSEUR DU FEMINISME

PAR BERNARD VASSOR

MISE A JOUR LE 15 AOUT 2007 

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  Mary Wollstonecraft (1759-1796) précurseur du féminisme mondial. Elle publia de nombreux romans qui furent traduits en français par une autre femme en lutte pour le droit des femmes : Eugénie Niboyet. Auteur de livres pour enfants et surtout le manifeste qui lui valut une renommée internationale : « Revendication des Droits des Femmes » en 1792. (En france, actuellement je voudrai connaitre les travaux ou les biographies en cours ?) Elle épousa après une  vie tourmentée, le philosophe William Goldwin, précurseur lui aussi des les idées qui seront revendiquées un siècle plus tard. Marie mourrut en mettant au monde une qui eut une reconnaissance posthume encore plus grande com:me romancière, ayant à son tour enfanté elle, un monstre,  mais... c'est une autre histoire !!!!..

La deuxième partie pour le 16 août,,,,,,, 

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16:50 Publié dans HISTOIRE DES FEMMES | Tags : MARY WOLLSTONEKRAFT, MARIE SHELLEY, WILLIAM GODWIN | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

WILLIAM GOLDWIN, PRECURSEUR, PHILOSOPHE, ROMANCIER, FAITESZ CE QUE JE DIS, MAIS NE FAITES PAS CE QUE JE FAIS !!!

PAR BERNARD VASSOR

MISE A JOUR LE 16 AOUT 2007 

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William Godwin (1756-1836) est le fils d'un pasteur protestant. Il le devint lui même, avant de s'apercevoir qu'il n'aavait plus la foi. Il quitta la congrégation religieuse à laquelle il appartenait, et vint s'établir à Londres, où des le conduisirent à la rédaction de nombreux ouvrages philosophiques, et des romans pour assurer sa subsistance, mais, sans toutefois s'abaisser à une basse littérature, ses romans sont des cris d'indignation contre les vices de cette société britanique.
Il rencontra Mary Wolstonnekraft qui était au sommet de sa gloire. Il l'épousa en 1794. En 1797, Marie mit au monde une petite fille et mourut en couches. Il consacra le reste de sa vie au travail littéraire.    
Après cette hagiographie, quelques notes discordantes à venir,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, 

 

16:49 Publié dans LES PRECURSEURS | Tags : WILLIAM GODWIN, MARIE WOLSTONNEKRAFT | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg! Digg

ATELIER PORTE-SOLEIL : CREATION D'UN BLOG

J'ai le plaisir de vous annoncer la création d'un blog "frère", par nos amis

Pascal Gautrin et Francette Cleret.

ce site est encore en construction, et devrait dès la fin du mois fonctionner à plein.

.MAIS VOUS POUVEZ DES A PRESENT CONSULTER LES ANCIENS PROGRAMMES

Voici les adresses :

http://atelierportesoleil.blogspirit.com/ 

Courriel :  

atelierportesoleil@tele2.fr

ATELIER PORTE SOLEIL 

57 RUE DES VINAIGRIERS - PARIS 10e

M° GARE DE L'EST . Jacques Bonsergent . Château d'eau

Lectures-Concerts, Conférences, Expositions... // Cours: théâtre, yoga, Qi Gong, gymnatique Pilates...

 

14:05 Publié dans ASSOCIATION ARTISTIQUE ET CULTURELLE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

Le dossier GERARD DE NERVAL

 

par Bernard Vassor 
MISE A JOUR LE 12 AOUT 2007 
Ludovic Halévy témoigene dans une préface de "Sylvie" :
le lendemain soir à minuit, une vieille cabaretière du voisinage : "ça n'a pas arrêté depuis hier...le monde....je l'ai vu encore accroché, le pendu....Vous savez, il ne s'est pas pendu, on l"a pendu....Les pieds touchaient, et il avait son chapeau sur la tête...on a jamais vu une chose pareille....se pendre avec un chapeau sur la tête !..." .
Alexandre Dumas, accourru lui aussi le lendemain, avait questionné la tenancière d'un bouge signalé par une lanterne, qui faisait "aussi" asile de nuit pour les vagabonds. Elle se souvenait avoir entendu frapper vers minuit, mais "sa maison était pleine" alors elle n'a pas ouvert, et quand on est venu lui annoncer au petit-matin qu'il y avait un pendu à sa porte,elle avait d'abord cru que l'homme était gelé.....
Victorien Sardou, lui, est encore pluis précis après avoir superbement décrit le côté sordide et inquiétant du quartier, et de la rue de la Vieille-Lanterne, il raconte :
"A droite de l'escalier, au niveau de la rue Haute*, un palier de bois surplombait la rue Basse donnait accès à une maison borgne dont la destination n'est pas douteuse. Une lanterne sur la porte d'entrée, portait cette inscription : "ON LOGE A LA NUIT". Ce bouge avit une autre porte dans la rue Basse et une  fenêtre au rez-dechaussée, fortement grillée comme toutes se voisines : à gauche, c"était l'égout qui à défaut de sang dont il s'était gorgé si longtemps, ne buvait plus que les eaux ménagères du quartier (...) Gérard, comme Rétif, avait dû vaguer plus d'une fois de ces côtés. La rue de la Vieille Lanterne avait, d'ailleurs pour lui d'autres attractions macabres que son sinistre escalier. A son entrée, place du Châtelet,, un marchand de couleurs avait installé comme enseigne, sur le trottoir, debout, sous verre dans une boite, une momie, une vraie (?). La momie broyée, donnait un bitume dont la couleur longtemps à la mode, était utilisée abusivement par de nombreux peintres (dont Géricault). Plus loin devant la maison "hospitalère", qui logeait à la nuit, un corbeau apprivoisé sautillait de marche en marche en croassant. Ce corbeau et cette momie était bien faits pour séduire l'imagination de ce pauvre Gérard" (...)"
"Il y avait déjà nombres de curieux aux abords de l'escalier, voisins passants, journalistes, commères surtout, menant grand train. Au petit jour on l'avait trouvé étranglé par le cordon d'un tablier de femme, et suspendu à la fenêtre grillée du rez-de-chaussée, le chapeau sur la tête, les jambes repliées sur le sol. Etait-ce un crime ou suicide ?"  
*Les frères Goncourt, venus également sur place, avaient d'abord confondu dans un premier temps la rue Haute et de la Vieille Lanterne 

La question se pose encore aujourd’hui. Eric Buffeteau qui devrait faire paraître dans les années à venir une magistrale biographie de Gérard sur laquelle il travaille depuis plusieurs dizaines d’années, devrait apporter si mes informations sont bonnes de nouvelles révélations.

 

La polémique abondante et les nombreux témoignages de ses familiers, et des dernières personnes à l’avoir rencontré avant sa mort, laissent planer un doute certain.

Procès verbal du commissariat de police du quartier Saint-Merri, vol 6 janvier 1855 :

-"Ce matin à 7h et demi (26 janviier 1855) le dénommé a été trouvé pendu aux barreaux de la boutique d'un serrurier (Boudet) rue de la Vieille Lanterne, déclaration de Laurent, sergent de ville du 4ème arrondissement; l'individu était déjà mort, transporté poste de l'hôtel de ville, secouru par deux médecins, mais en vain. Il s'est pendu avec un ruban  de fil, son corps était attaché aux barreaux avec le lien, aucune trace de violence sur le cadavre" 

 


 

Certains, comme Nadar, penchent fortement pour le suicide Mais d’autres, plus nombreux  critiquent l’enquête qui fut « fort molle »

Madame Person, une comédienne, qui habitait Villeneuve–le-Roi affirmait :

« La veille de sa mort, Gérard de Nerval, sorti depuis quelques jours de la maison de santé du docteur Blanche, était venu dîner chez moi et m’avait lu plusieurs scènes du fils nocturne que venait de recevoir l’Ambigu et où il me destinait un rôle. Il était accompagné de M. Georges Bell. (…)il paraissait plus gai que les jours précédents, son éditeur « des Filles du feu » lui avait remis quelque argent (…) Gérard et son ami me quittèrent fort tard..Le lendemain matin, M. Georges Bell, arrive tout ému, m’apprendre la mort de Gérard. Nous sautons dans une voiture, et nous nous rendons à la morgue, où on avait transporté son cadavre. Nous trouvons là plusieurs de nos amis, parmi lesquels, Théophile Gautier et Alexandre Dumas père. On nous fit voir la corde avec laquelle il s’était pendu ; c’était un vieux cordon de tablier de cuisine….quand à l’enquête, elle a été faite avec la plus grande mollesse, nous sommes tous restés convaincus que notre pauvre ami avait été assassiné.

Béatrix Pierson (une ancienne maîtresse de Dumas)»

D’autres témoignages viennent contredire cette affirmation. Gérard a été vu ce soir là à plusieurs endroits à la fois …A neuf heures du soir, Edmond Georges prétend avoir quitté Gérard la veille de sa mort. Au même instant, Lesage et Doloris, pensionnaires de la Comédie française affirment aussi l’avoir rencontré dans le Palais Royal, en précisant qu’il avait un paletot. (ce jour de janvier il faisait moins dix huit degrés). Toujours au même instant, on le rencontre à la sortie de l’Odéon avec son ami Privat d’Anglemont et d’une autre personne …

Puis, c’est au café Belge qu’il est remarqué, ou chez le boulanger Cretaine ou il mange deux petits pains. Gérard a de l’argent, il paye la consommation. Privat propose d’aller au restaurant Baratte, à la halle, Gérard refuse et s’éloigne seul….Dumas  dit que le 24 au soir, Gérard se présenta chez Méry, tira un sou de sa poche, le donna au domestique de Méry et lui dit :-Vous donnerez cela à votre maître quand il sera rentré.

Le lendemain, on le trouvait pendu comme je vous l’ai raconté, rue de la Vieille6Lanterne.

Dans son journal « Le Mousquetaire », Alexandre Dumas note :

« Vendredi matin à sept heures trois minutes, on a trouvé le corps de Gérard encore chaud, ayant son chapeau sur la tête (…)l’agonie a été douce, puisque le chapeau n’est pas tombé.(…) A moins toutefois que ce que nous croyons un acte de folie ne soit un crime, que ce prétendu suicide ne soit un véritable assassinat. Ce lacet blanc qui semble arraché à un tablier de femme est étrange encore.

Le commissaire Blanchet, est un homme d’une grande intelligence, et nous sommes sûr que d’ici à quelques jours, il pourra répondre à cette question. »

Mais hélas, M Blanchet n’aboutit pas, ne répond à rien et à personne, et l’enquête s’en va à l’eau….. Un notaire de la rue Jean-Jacques Rousseau Henri Cherrier donne le témoignage d’un ouvrier peintre occupé à peindre la façade de sa maison.

Il parlait de la rue de la Vieille Lanterne et révéla que c’était lui qui avait dépendu, aidé d’un sergent de ville le pauvre Gérard. Le corps était encore chaud. On courut chez le commissaire de police qui ne voulut pas se déplacer ; puis chez un médecin qui ne vint qu’une heure après. Ce commissaire de police était-il ce M Blanchet ?

Champfleury, s’interroge : « était-il arrivé à ce triste lieu par hasard ? L’avait-il cherché ? La maîtresse d’un logis à la nuit situé dans la rue, aurait dit,  qu’elle avait entendu frapper à sa porte vers trois heures du matin, et quoique tous ses lits fussent occupés, qu’elle avait eu comme un regret de n’avoir pas ouvert. Etait-ce vrai ? était-ce lui ? »

Alfred Delvau témoigne aussi :

« C’était là pendu avec un cordon de tablier dont les deux bouts se rejoignaient sur sa poitrine, et les pieds touchaient presque terre, qu’un des hôtes du garni, en sortant pour se rendre à son travail, l’avait trouvé, lui l’amant de la reine de Saba ! C’était à n’y pas croire, Gérard de Nerval s’était pendu, ou on l’avait pendu »

Méry, quand à lui est persuadé que  Gérard s’est suicidé.

Goncourt : journal,, 5 décembre 1890 :-"Mme Burty m'apporte aujourd'hui une aquarelle de mon frère de la rue de la vieille Lanterne, que j'avais donné à son mari, et un joli bouquet de Aatzuma" Cette aquarelle fut faite quelques jours après la découverte du corps de Gérard pendu à "une soorte de grille d'égout" Ce n'est pas le lieu du suicide que Jules mmal renseigné a fait cette aquarelle dans une autre rue. Burty avait édité les eaux fortes de son frère.

14 décembre 1894  :(...)-" Voici enfin une vue de la sale et pourrie rue de la Vieille Lanterne , que mon frère a été prendre le lendemain du jour où Gérard de Nerval s'était pendu au troisième barreaude cette grille d'unhe sorte d'égout."  

AURELIA :

Alfred Delvau Gérard de Nerval Bachelin Deflorenne 1865

Alexandre Dumas Gérard de Nerval, Nouveaux mémoires préface Claude Schopp éditions complexe 1990.     

Eric Buffeteau catalogue de l'expocsition à la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris 1996

14:05 Publié dans Suicide ou assassinat ? | Lien permanent | Commentaires (11) | | | | Digg! Digg

BEAUMARCHAIS PIERRE-AUGUSTIN CARON, tour à tour horloger, musicen, chansonnier, agent secret, traficant d'armes,MARCHAND DE COULEURS, architecte, ingénieur, éditeur de livres, diplomate....

PAR BERNARD VASSOR

LES AVENTURES DU CHEVALIER DE RONAC 

Pierre-Augustin Caron est né le 24 janvier 1732, dans la  maison familiale de la rue Saint-Denis où son père était horloger.
1732-1799
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LA MAISON DE BEAUMARCHAIS,
Construite en 1788. La façade avait deux cents fenêtres qui donnaient sur le fort de la bastille.
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A SAINT-LAZARE : LA FLAGELLATION 
Sur ordre de l'ingrat Louis XVI le fait jeter à la prison de Saint-Lazare où la règle était que chaque entrant recevais une peine humilante : la flagelletion qui ne fut pas épargnée à Beaumarchais. Il entra le 8 mars 1785, et sur l'intervention de membre de la cour, et peut-être de Marie-Antoinette, le roi céda une fois de plus et Pierre Caron sortit le 13 mars 1785 . 
A SUIVRE...............................
 

 

13:40 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

11/08/2007

HOMMAGE A GEORGES LUBIN

PAR BERNARD VASSOR

Georges Lubin, écrivain, journaliste a vécu 96 ans, il est mort en l'an 2000. Pendant plus de cinquante ans, il a étudié et réuni avec sa femme Madeleine, les écrits et la correspondance de George Sand. Sa connaissance de l'oeuvre de la bonne dame de Nohant est incomparable. Il a édité sa correspondance en 24 volumes. (Thierry Bodin se charge de continuer cette oeuvre infinie) On lui doit également de nombreuses contributions de nombreux ouvrages, son soutien à l'association des "Amis de George Sand" a été précieuse pour son rayonnement dans le monde. Il a légué à la bibliothèque de Chantilly tous ses documents, ses archives qui sont conservés à l'Institut avec la collection du Vicomte Spoelberg de Lovenjoul, le grand bibliophile belge.
Une partie de sa bibliothèque a été remise au Musée de la Vie Romantique où les chercheurs peuvent consulter à leur guise des  manuscrits et des ouvrages rares. C'est ainsi qu'Aline Alquier a réussi à établir un texte inédit : Albine Fiori 

08:00 Publié dans L'amour des livres | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg! Digg

RUE PIERRE-AU-LARD, PARIS DISPARU

PAR BERNARD VASSOR

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Cette voie en retour d'équerre avait deux dénominations au début du treizième siècle. la partie débutant rue Neuve-Saint-Merry était désignée sous le nom de Vieux Aufridi de Gressibus. Le siècle suivant elle furt appelée rue Espaulart. L'autre partie débouchait dans la rue du Poirier était nommée Petri Olard . La réunion des deux ruelleut lieu en 1500, et porta le nom de Pierre Aulard. En l'an IX, Chaptal fixa la largeur de la rue à 6 M7TRES.En 1817, le préfet de Police, ordonne la fermeture de la ruer. Sous Louis-Philippe, la largeur de la voie est fixée à 10 mètres.. Les maisons situées du côté droit en venant de la rue Saint-Merry, sont soumises à un retranchement considérable.
Une très ancienne auberge, L'Aigle d'Or, se trouvait au numéro 6. Devenue une remise pour voitures au début du vingtième, les poutres supportant le toit étaient aussi curieuses que celles du Compas d'Or de la rue Montorgueil (elle aussi disparue) D'autres historiens indiquent d'autres dénominations au cours des siècles : rue Pierre Oilart en 1274, Pierre-O-Lart en 1300, Pierre Aulart en 1460, au numéro 10 il y avait un cul-de-sac appelé Impasse du Boeuf. On indique même un deuxième nom de la rue Espaulart au quatorzième siècle : le rue Aufroi-des-Grès qui se terminait rue Brise-Miche...
 

 

07:15 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

10/08/2007

TOULOUSE-LAUTREC, ARISTIDE BRUANT, "A BATIGNOLLES."

PAR BERNARD VASSOR

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Quand on s'balladait sous le ciel bleu,
Avec ses ch'veux couleurs de feu,
On croirait voir eun' auréol,
A Batignolles. 
Après la création de la chanson au cabaret Le Mirliton, c'est Eugénie Buffet encouragée par Bruant  qui en fit la reprise en 1892. Découverte par Nunès et Flatteau, directeurs de "la Cigalle", Eugénie en costume de Pierreuse obtint aussitôt un succès foudroyant (mais, cet une autre histoire que nous vous raconterons plus tard....)
 
Cette toile dont Bruant a été le propriétaire, était accrochée dans son cabaret "le Mirliton" 84 boulevard Rochechouart, avec d'autres portraits de femmes. Comme pour cette oeuvre intitulée "A Batignolles", les trois autres tableaux portaient le nom d'une chanson d'Aristide Bruant : "A Montrouge", "A la Bastille", et "A Grenelle". 
Vente Guy Loudmer le 19 juin 1988 à Paris Hôtel Drouot. 

20:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : TOULOUSE-LAUTREC | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

L'Université Populaire du Goût, à ARGENTAN, organisation de Michel Onfray et Patrick Cohen

Vous trouvrez la liste des évènements sur le site de notre amie Evelyne Bloch-Dano
Journaliste, écrivain, biographe de Flora Tristan, de Madame Zola, de Madame Proust etc,, aux éditions Grasset,
Avec cette année Nietzsche au programme
LE DERNIER OUVRAGE D'EVELYNE BLOCH-DANO 
LA BIOGRAPHE (ÉDITIONS GRASSET) : 
Quel lien un biographe entretient-il avec son sujet ? S'emparant de l'histoire de Rosemarie Albach, alias Romy Schneider, Evelyne Bloch-Dano y découvre en miroir l'histoire de sa propre famille : " la biographe " passe de l'une à l'autre, tressant et éclairant ces vies à priori si différentes, l'une exemplaire parce que célèbre, l'autre anonyme et pour cela universelle. Au-delà de la figure rayonnante de Romy Schneider dont il fait le portrait, ce livre est aussi une histoire d'amour et de haine de la mère-patrie, l'Allemagne, et plus simplement - le livre des mères, sujet de prédilection de l'auteur : telle, la terrible Magda, actrice populaire dont Hitler fut un fervent admirateur, initiatrice et rivale de sa fille Romy…
 
 
 
 
   
   
   
 

17:05 Publié dans Evènement | Tags : MICHEL ONFRAY, PATRICK COHEN, EVELYNE BLOCH-DANO | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

BOCCACE, L'ENFANT "NATUREL" DE LA RUE DES LOMBARDS

PAR BERNARD VASSOR

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1333-1375
Son père Michelino  Boccacio, était originaire de Certaldo, avait été envoyé à Paris par ses parentspour l'initier aux affaires, dans la très puissante banque Bardi. Dans ce temps là, sous Philippe le Bel, les principaux banqiers étaient des florentins, des génois, des vénitiens, mais que lesparisiens confondaient sous le nom de "Lombards", groupés dans une même rue qui adopta plus tard ce patronyme. Michelino donc en 1813 a eu un fils Giovani, dont l'identité de la mère reste un mystère. Peu de temps après le père quitte précipitament Paris pour rentrer à Florence, laissant l'enfant en garde à une personne inconnue. Michélinio se marie avec une certaine Margherita Donato,
et un an après, le nourisson est à Florence o* sa belle-mère l'accueille sans égard...
A l'adolescence, son père veut en faire un commerçant et le place chez diffférents nogociants. Mais Giovani n'a pas la vocation des affaires ! Malgré ses origines, il est introduit dans des milieux aristocratiques, puis introduit à la cour dont Giotto est le peintre officiel. Il fréquente alors des poètes italiens et français. 
 
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Manuscrit du XIVéme siècle "L'amoureux de l'amour"  
Dante avait eu sa "Béatrice", Pétrarque sa "Laure", Giovanni, eut lui, sa "Fiammetta" surnom qui cache une dame de la haute nobesse, mais nous n'en savons pas davantage. Fiammetta et Boccace se rencontrent souvent, celui-ci fait même partie du cercle de ses intimes, mais sans parvenir à aller plus loin. La belle qui aime la poésie évoque avec admiration une chanson française "Floire et Rochefleur" et se damande tout haut qui pourrait écrire en italien le même roman...C'est alors que Boccace se lance et commence "Le Filocolo ou l'Amoureux de l'Amour". roman dont il fait lire le premier chapitre à la belle florentine. Alors , miracle, tout comme la présidente Sabatier après la parution des Fleurs du Mal, Fiammetta se donne à lui sans réserve. Leur liaison va durer deux années, mais Giovanni va s'apercevoir que la belle napolitaine le trompe sans vergogne. Après des expilications orageuses, la rupture est consommée. Boccace en aura du regêt toute sa vie, et il dira bien plus tard : "Oh, que n'ai-je été aveugle ce jour-là"
Il rentre à Florence, et fait la connaissance de Pétrarque qu'une profonde amitié et une longue correspondance vont unir juqu'à la mort du poète amant de Laure de Sade. Boccace retourne à Naples, et pendand les deux années de l'épidémie de peste noire, il entreprend la rédaction del'oeuvre qui va le propulser dans la postérité : "Le Décameron

15:30 Publié dans Les écrivains | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

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