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18/10/2008

LES INFILTRES : un journaliste se faisant passer pour un riche bourgeois pervers, pénètre le milieu londonien

PAR BERNARD VASSOR

Pall mall gazette titre 05 largeur.jpg
Pendant plusieurs mois, William T. Stead dans le West End London, va fréquenter les prostitués, les lupanars les maquereaux et tenancières de maisons. Ce qu'il va révéler va dépasser en horreur tout ce qu'il est possible d'imaginer. Sont compromis dans ce scandale les plus hautes sphères de l'aristocratie et découvre des réseaux de prostitution enfantine inimaginables où sont compromis des médecins, des législateurs, même le neveu de la reine Victoria qui dépense des fortunes dans les bordels. Ses articles intitulés (en français)

"La jeune fille moderne Hommage de Babylone"  dans le Pall Mall Gazette fait l'effet d'une bombe. Beaucoup vont lui reprocher "l'américanisation" de ses procédés.C'est le 4 juillet 1885 que la campagne de presse va démarrer. Le tirage du journal passe de 80 000 à 120 000 exemplaires. Il rejoint l'Armée du Salut pour dénoncer ce que l'on appela "la traite des blanches", ou "la chasse aux vierges vertes". L'ampleur du trafic dépasse l'entendement, Stead découvre des bordels où sont groupées une cinquantaine de fillettes de dix ans, sous couvert d'agence de femmes de chambre. La plupart sont des filles d'ouvriers vendues par leurs parents à des hommes puissants, ou à des réseaux. Des gamines de douze ans sont vendues à de riches aristos. Droguées, certaines se retrouvent en France ou en Belgique

..................
Pall mall modern Babylon 05 hauteur.jpg
Pour obtenir des preuves, il achète pour 3 livres, avec des membres de l'Armée du Salut, une enfant de 13 ans Eliza Armstrong à un réseau de prostitution. Mais, comme il n'a pas obtenu le consentement du père de l'enfant, c'est lui qui est arrêté et jeté en prison. Il y resta trois mois. Après sa libération, il lança une campagne pour porter l'age du consentement sexuel de treize à seize ans.
Ardent défenseur du droit des femmes, il mena aussi campagne pour l'égalité des salaires. Pacifiste il préconise l'arrêt de la guerre contre l'Afrique du Sud. Lance des campagnes contre la pauvreté et demandé l'obtention de pensions de vieillesse.
En 1912, il est demandé pour participer à une une conférence pour la paix au Carnegie Hall de New-York. Il accepte volontiers, et il embarque sur un paquebot portant un nom bizarre : ........."Le Titanic".
Les dernièrs témoignages signalent sa présence, debout sur le pont du navire.
Un livre de William Stead sur cette affaire a été traduit en Français, il est paru sous le titre Les Scandales de Londres dévoilés par le Pall Mall Gazette, Dentu éditeur Paris 1885.

22:05 Publié dans HISTOIRE | Tags : william t. stead, eliza armstrong | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

PARUTION DU DERNIER NUMERO DE LA REVUE DE CRITIQUE ET D'HISTOIRE LITTERAIRE "LES CAHIERS NATURALISTES"

PAR BERNARD VASSOR

CAHIERS NATURALISTES 2008 Hauteur.jpg
Ce dernier numéro est essentiellement consacré à :
Emile Zola, de l'affaire Dreyfus au Panthéon,
L'imaginaire naturaliste. Rêves et utopies,
Alfred Bruneau.
De nombreux documents inédits, comptes rendus, bibliographie chronique, notes de lecture, Ephéméride....
La Société littéraire des Amis d'Emile Zola, organisatrice du pèlerinage de Médan, édite Les Cahiers naturalistes qui paraît à raison d'un volume par an, dont le premier numéro a été publié en 1922.
Les "Cahiers naturalistes"ne limitent pas leurs activités à l'étude de la vie et de l'oeuvre d'Emile Zola. Ils se consacrent également à l'étude du mouvement naturaliste dans son ensemble et à l'histoire de l'affaire Dreyfus. Ils offrent en exclusivité, une bibliographie des travaux consacrés à Zola et au naturalisme. Ils ne publient que des articles inédits.
LES CAHIERS NATURALISTES
B.P. 126 77580 Villiers-sur-Morin
cahiers naturalistes abonnements largeur.jpg
Les Cahiers naturalistes sont en dépôt au Musée de Médan et à la librairie Joseph Gibert (bd Saint-Michel, 75005 Paris.
ISBN 2691201261369
ISSN 000860365

17:26 Publié dans Evènement | Tags : alain pagès | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

JE VOUS PARLE D'UN TEMPS QUE LES MOINS DE TROIS CENT QUINZE ANS NE PEUVENT PAS CONNAÎTRE......

PAR BERNAR VASSOR

Montmartre en 1672 05 sepia largeur.jpg
Quand Montmartre était à la campagne.
Si nous partons du bas de ce plan dit de Saint-Victor daté de 1672, nous voyons l'emplacement des grands boulevards en lieu et place des murs de fortification. Des marais et quelques fermes  les bordaient jusqu'au Grand Egout( le ru de Ménilmontant) à ciel ouvert (recouvert en 1770), à l'emplacement actuel des rues de Provence et Richer pour la partie qui nous occupe. Les eaux nauséabondes exhalaient une odeur pestilentielle. Au delà, le château du Coq (ou des Porcherons) dont il ne reste rien qu'une impasse babtisée pompeusement avenue du Coq* longue de 72 mètres donnant 87 rue Saint-Lazare. La Grande Pinte**, était située à côté de la ferme de l'Hôtel Dieu et du Moulin de la Tour des Dames, limite de la propriété des religieuses "les dames de Montmartre".
moulin tour des dames grande pinte ferme 05 sepia largeur.jpg
Le moulin de la Tour des Dames, la Grande Pinte et la ferme de l'Hôtel Dieu.
En suivant le chemin des Porcherons, nous parvenons à une modeste chapelle consacrée à la Vierge en 1645 : Notre-Dame-de-Lorette, située
rue Lamartine aujourd'hui faisant l'angle de la rue du faubourg Montmartre avant d'être déplacée au XIX° siècle à l'endroit où elle est actuellement.
Les chemins conduisant les uns à Clichy, à Montmartre puis à Saint-Denis, sont : La rue de Clichy (rue du Coq), la rue Blanche (rue Blanche) rue Pigalle (rue Royale) la rue des Martyrs (rue des Porcherons). Ne figure pas sur ce plan la rue Rochechouart.
Tout au sommet, une des plus anciennes églises, l'église Saint-Pierre. Un petit peu plus bas, nous apercevons l'abbaye de Montmartre.
La butte était hérissée de moulins qui disparurent peu à peu. Celui de la Tour des Dames disparut en 1820.
...........
*Du nom d'un des prévôts des marchand Hugues le Coq de 1420 à 1436.
**La Grande Pinte était une auberge située à l'emplacement actuel de l'église de la Trinité. Un tenancier plus tard le sieur Magny vendit son auberge à un nommé Jean Ramponneauxcréateur à Belleville du "Tambour Royal" qui en fit un cabaret pouvant contenir six cents personnes qui eut une grande renommée.

11:11 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : hugues le coq, jean ramponneaux, magny | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

17/10/2008

ORLLIE-ANTOINE PREMIER, ROI D'AURICANIE ET DE PATAGONIE

PAR BERNARD VASSOR

Orllie-Antoine premier roi patagonie.jpg
Publié 52 passage Jouffroy, cette  plaidoirie de ce Prince auto-proclamé par une tribu indienne du Chili, 
Condamné à mort, triste destinée à laquelle il a échappé. Cet ancien notaire se déclare résolu à exploiter ses connaissances en généalogie, biographie etc.. comme ancien liquidateur en comptes, conseils dans les affaires litigieuses. Il fut libéré sur intervention du gouvernement Français, mais n'abandonna pas pour autant son combat pour trôner sur le territoire de Patagonie et d'Auricanie.
Il organisa une vaste publicité pour obtenir des fonds dans le but d'influencer le gouvernement pour parvenir à ses fins. Il tenait des séances chez lui à Paris, et il indiquait :
"Les personnes qui voudront bien m'honorer de leur confiance, me trouveront tous les jours sauf le dimanche.
Prince O.A.Tounens
ancien avoué, roi d'Auricanie et de Patagonie
généalogiste et biographe
5 rue de Grenelle Saint-Germain
Et une circulaire qu'il adressait à d'éventuels bienfaiteurs :
"Sire,

10:18 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

15/10/2008

CATASTROPHE PLACE DE LA SORBONNE : UNE VIOLENTE EXPLOSION DUE AU PICRATE......

PAR BERNARD VASSOR

 
UNnépouvantable accident survenu le 16 avril 1868 fit quatre morts, affreusement mutilés, dont le fils de monsieur Fontaine le chimiste propriétaire du laboratoire de fabrication de teinture en jaune. Deux des cadavres ont été lancés à plus de cinquante mètres. On dénombre également plus d'une dizaine de blessés graves.
.............
 20 kilogrammes de picrate de potasse, servant à obtenir cette teinture ont fait s'effondrer une maison de six étages. Des blocs de fer ont profondément pénétré dans les murs de la maison d'en face toutes les vitres des maisons voisines ont été brisées.
Fontaine aurait fait apporter d'une maison qu'il possède hors de Paris ce picrate de potasse dans des sacs en papier. Une certaine humidité dans l'air facilite l'explosion, le moindre frottement, le plus léger choc sufisent à proquer une déflagration bien plus importante que celle de la poudre. L'acide picrique fut découvert en même temps que le picrate de potasse, en 1788 par Jean-Michel Hausmann manufacturier mort à Strasbourg en 1824, surtout connu pour des découvertes d'un grand nombre de substances tinctoriales.... 

10:00 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : jean-michel hausmann, fontaine, sorbonne | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

14/10/2008

Louis-Denis Caillouette créateur d'une école de dessin et de sculpture gratuite pour les ouvriers, en plein coeur du faubourg Saint-Denis

PAR BERNARD VASSOR

cours des petites-écuries 05 largeur.jpg
Histoire des rues de Paris
Cour des Petites-Ecuries
Histoire et Vies du 10°
Editions Parimagine 9 rue de Mulhouse 75002 Paris
En 1836, trois hommes se sont associés pour ouvrir au coeur du faubourg Saint-Denis, dans le passage des Petites-Ecuries, un cours gratuit à l'usage des ouvriers. 
Passage des Petites-Ecuries plan de Perrot.jpg
Louis-Denis Caillouetteconsacrait trois fois par semaine deux heures de 8 à 10 le soir à enseigner à des ouvriers harassés par dures journées de travail. Les professeurs ont formé des peintres en décor, en voitures, sur porcelaine, des graveurs en bijoux, des sculpteurs d'ornements. Plus de cinq cents ouvriers ont suivi assidûment leurs cours. Des ouvriers qui gagnaient trois francs par jour ont vu doubler ou tripler et parfois quadrupler le prix de leur journée de travail. La ville de Paris, au vu des résultats, a accordé une allocation de 4200 francs pour aider à subvenir (incomplètement) aux frais de fonctionnement supportés par Caillouette et deux associés dans cette aventure. Une exposition  20 rue de Bondy (René Boulanger) à la mairie du cinquième arrondissement d'alors (aujourd'hui le dixième) eut lieu en 1840.
mairie du cinquième arrondissement.jpg
Plan de Perrot en 1834
Le sculpteur Louis-Denis Caillouette est né en 1790 et mort en 1868 dans la capitale Il fut l'élève de Roland. Auteur de nombreuses oeuvres, place de la Concorde, au Sénat, au jardin du Luxembourg, à Nantes Bordeaux, Versailles etc...

Le docteur Gachet donna quand à lui de 1865 à 1876, des cours non rétribués d'anatomie artistique à l'école municipale de dessin et de sculpture du X° arrondissement, 19 rue des Petits-Hôtels, école dirigée par le statuaire Justin Lequien.

Il n'y a pas dans le dixième de voie, de place ni le moindre petit recoin rendant hommage à ces bienfaiteurs de l'arrondissement qui pourtant le mériteraient bien !!!

23:19 Publié dans LES PRECURSEURS | Tags : louis-denis caillouette | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

CHASSEPOT : UN CURIEUX ANTHROPONYME POUR FAIRE...UN TROU DE BALLE

PAR BERNARD VASSOR

Chassepot 05 sepia largeur portrait.jpg

Nous avons des fusils
Se chargeant par la culasse.
Au dehors c'est gentil,
Mais au dedans ça, s'encrasse...
Nos petits Ennemis
N'en ont point.

Cet Antoine Chassepot, avait perfectionné le modèle de fusil à aiguille en 1857, adopté par l'armée Française en 1866, a laissé son nom à cette invention qui n'en fut pas une. 

Chassepot 05 sepia largeur fusil.jpgCe système est la copie presque semblable du fusil à aiguille prussien. La seule modification, est un petit obturateur en caoutchouc.
Un article du "Moniteur" mit le feu aux poudres en rendant compte d'une victoire remportée par les troupes françaises sur l'armée de Garibaldi.
Le général de Failly, annonçait fièrement : "Nos fusils Chassepot ont fait merveille, ils ont tués six cents Garibaldiens".
chassepot modèle 1866 cartouche 05 hateur.jpg

16:38 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Tags : chassepot | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

L'EMPLOI DE PROCEDES MECANIQUES DANS LE DESSIN D'ART

PAR BERNARD VASSOR

DESIN CADRE VERRE 05 SEPIA largeur.jpg
On commence à trouver des traces, dans l'antiquité, l'application de procédés mécaniques en Grèce. Ce que l'on a appelé depuis "le dessin à la silhouette", consistait en un trait à l'aide de charbon de bois sur les contours d'une ombre portée qui fut croit-on le premier portrait dans l'histoire de l'Art. Ce procédé, bien insufisant fut perfectionné à la fin du quinzième siècle. Nous trouvons la trace de procédés inventés par Léonard de Vinci, de Bramante puis de Lamazzo dans des écrits qui parlent de dessiner sur une vitre, en suivant le contour des sujets  avec un pinceau enduit de couleur pour les  reproduire tels qu'ils apparaissent en tenant le regard toujours au même point. Le verre n'a pas été le seul moyen utilisé pour obtenir les mêmes résultat. Bramante indique que l'on peut remplacer le verre par une "gaze sur laquelle on applique les objets qui sont aperçs au travers".
Albert Durer imagina dans un livre de géométrie pratique de perspective publié à Nuremberg en 1525, une machine perspective.
DURER MACHINE PERSPECTIVE 05 sepia.jpg
Machine perspective d'Albert Durer
Puis, c'est la "machine perspective" de l'architecte Anglais Christopher Wren, le reconstructeur de Londres qui apporta de notables perfectionnements à celle de Durer environ deux siècles plus tard.
WREN machine perspective 05 sepia largeur.jpg
Machine perspective de Wren
Cette machine est irréprochable (ou presque), elle donne des résultats remarquables, elle n'est pas très coûteuse, elle n'exige pas de calque ni de transfert, le seul inconvénient est le volume, l'installation, le transport de cet appareil, ce qui fait qu'il ne fut pas souvent employé.
Laissons de côté la "caméra obscura" du père Athanasius Kircher qui sera l'objet d'un article plus complet.
Fin de la première partie

10:38 Publié dans HISTOIRE | Tags : léonard de vinci, albert durer, chrisropher wren, bramante, lamazzo | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg! Digg

13/10/2008

SILHOUETTE : UN ANTHROPONYME DEVALORISANT !!!!

PAR BERNARD VASSOR

SILHOUETTE MEDAILLE moquerie 05 sepia hauteur..jpg

 

Etienne de Silhouette, a vu le jour en 1709 à Limoges, mort à Nogent-sur-Marne le 20 janvier 1787.

Son père, receveur des tailles, lui fit donner une solide instruction et étudier le droit. Etienne, fit de nombreux voyages dans le monde, il étudia particulièrement au système financier des Anglais. Traducteur de l’Essai sur l’Homme du philosophe Alexander Pope, et de Baltasar Gracian, Réflexions politiques... sur les plus grands princes, et particulièrement sur Ferdinand le Catholique 1730, in-4° (autre édition, 1730, Paris, in-12°).

………….

 Il fut d’abord conseiller au parlement de Metz, puis maître des requêtes du duc d’Orléans, il fut nommé commissaire pour le règlement des limites des possessions de la France et de l’Angleterre en Acadie. Il avait acquis une grande réputation comme écrivain et comme financier.memoires silhouette.jpg C’est par l’intermédiaire de Madame de Pompadour qu’il fut nommé en 1759 contrôleurs général des finances. Il débuta par réformer des abus dont la suppression fit grossir le Trésor Public de 72 millions, sans augmentation de taxes, somme considérable pour l’époque. .Soucieux de faire baisser les impôts des français, il voulut imposer des réformes de l'économie en préconisant une réduction des dépenses de la Maison Royale. Il réduisit les pensions, supprima les privilèges concernant l’impôt et la taille. L’opinion publique se prononça en sa faveur et son nom eut une vogue extraordinaire. Il proposa alors pour remédier à la pénurie et aux énormes dépenses de guerre, de réduire les dépenses personnelles du roi et de ses ministres et proposa un édit de subvention qui souleva contre lui la cour, le parlement et le public. Il suspendit pour un an les billets des fermes et demanda aux particuliers de porter à la Monnaie leur vaisselle pour être convertie en argent pour subvenir aux besoins du Trésor. L’opinion se renversa et son nom devint l’objet d’une haine universelle. Il fut contraint de démissionner. Son nom fut synonyme de parcimonie de sécheresse, de ridicule tout parut alors « à la silhouette » : les culottes sans poches, tout ce qui était sans relief et inachevé. Le nom de Silhouette resta pour toujours un genre de portrait qui devint à la mode, méthode connue dès l’antiquité. Mais, selon Sébastien Mercier (Tableau de Paris) « C’est M. de Silhouette, contrôleur général des finances de Louis XV, qui a donné son nom à ce genre de peinture » (…) Les portraits de ce genre furent des visages tirés de profil sur du papier noir, d’après l’ombre de la chandelle sur une feuille de papier blanc »

............

D'autres anthroponymes du même auteur : 

http://www.livres-online.com/Les-Pleyel.html

http://parisneuvieme.blogspirit.com/archive/2005/06/18/vi...

 

11:35 Publié dans HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

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