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07/10/2007
AUGUSTE DE CHATILLON
PAR BERNARD VASSOR
20:05 Publié dans Le Cénacle de la rue du Doyenné | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
MARCEL LEGAY LE BARDE AU "BOUC NOIR" DE MONTMARTRE
PAR BERNARD VASSOR
15:45 Publié dans A l'ombre des moulins et des guinguettes | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
JULES JOUY LE ROI DES CHANSONNIERS
PAR BERNARD VASSOR
13:00 Publié dans Montmartre au temps du Père Tanguy | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
JEAN BAPTISTE CLEMENT
La guinguette du Moulin-Joly
Sur « l’Isle des Druides », appelée également l’île Marante à Colombes.
Nous devons aujourd’hui à l’inévitable abbé Lebeuf, pornographe malgré lui, l’histoire de ces petites îles situées entre Asnières et Argenteuil.
L’existence des druides est attestée par l’historien Léon Quénéhen qui signale : « Ne perdons pas de vue que les druidesses n’habitaient pas avec les druides, mais dans des îlots voisins, d’où elles venaient à des époques fixes, et la nuit, leur rendre visite, pour y retourner avant le jour. »
Un épisode de la vie de l'auteur du Temps des Cerises
Par Bernard Vassor
Le village de l'île des Druides est mentionné pour la première fois au XII° siècle comme appartenant à l’abbaye de Saint-Denis, on y cultivait la gaude, une variété de réséda, utilisée pour la teinture en jaune [1].
L’usage s’était établi, de faire chaque année une procession par les vignes où l’on portait le saint sacrement pour les préserver des vers...
Cet usage a été remplacé par l’exorcisme, ce qui est nettement plus approprié ! Le peintre Claude-Henry Watelet, conseiller du roi, receveur général des finances, poète à ses heures, aménagea son domaine sur l’île Marante, surnommée aussi « l’île enchantée »
Il avait fait graver sur les arbres des lieux, des sentences rimées sentimentales ou philosophiques. C’est également là que Louise Compoint, propriétaire du Moulin-Joly, reçu un compliment en vers de son neveu le jeune Jean Baptiste, à l’occasion de son mariage avec un nommé Poullain autour des années 1855. C’était la première tentative rimée d’un certain « Jean Baptiste Clément » qui habita plus tard le village de Colombes, en ménage avec une compagne qui avait deux enfants [2]. Décrété bien national à la révolution, le moulin fut démoli en 1811, et reconstruit en 1830. C’est à cette époque qu’il sera, selon l’usage, transformé en guinguette. Ce droit « coutumier » consistait en une autorisation pour les meuniers de pouvoir exploiter quelques arpents de vigne autour des moulins, de pouvoir servir des galettes confectionnées uniquement avec la farine du moulin et de boire le vin de la vigne du meunier, si toutefois on peut appeler vin une affreuse piquette additionnée d'eau....Après quelques années, Louise Poullain se sépara de son mari et vint habiter à Montmartre rue Houdon
11:25 Publié dans BALS ET GUINGUETTES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
06/10/2007
MAURICE MAC-NAB : le bonhomme en bois
PAR BERNARD VASSOR
Tout en lui était en bois disait-on : l'allure, le geste, la voix. Il était venu au Chat Noir réciter Baudelaire et Edgard Poe , n'ayant pour tout répertoire que des chansons-réclames pour une fabrique d'appareils de chauffage et des médicaments. Prié de les dire, il provoqua une telle hilarité quand il entonna la chanson de la pommade Galipeau, qu'il se lança dans la composition de pièces fantaisistes et sociales. Il est mort à vingt huit ans à l'hôpital Lariboisière en 1889.
Né à Vierzon, ancien employé des postes, il soutint les grèves des mineurs de son pays natal :
Les citoyens, dans un élan sublime,Étaient venus guidés par la raison.
A la porte, on donnait vingt-cinq centimes
Pour soutenir les grèves de Vierzon.
Bref, à part quat' municipaux qui chlingue(nt)
Et trois sergots déguisés en pékins,
J'ai jamais vu de plus chouette métingue,
Que le métingu' du métropolitain !
Y avait Basly, le mineur indomptable,
Camélinat, l'orgueil du pays...
Ils sont grimpés tous deux sur une table,
Pour mettre la question sur le tapis.
Mais, tout à coup, on entend du bastringue;
C'est un mouchard qui veut fair' le malin !
Il est venu pour troubler le métingue,
Le grand métingu' du métropolitain!
Moi j' tomb' dessus, et pendant qu'il proteste,
D'un grand coup d' poing, j'y renfonc' son chapeau.
Il déguerpit sans demander son reste,
En faisant signe aux quat' municipaux.
A la faveur de c'que j' étais brind'zingue
On m'a conduit jusqu'au poste voisin...
Et c'est comm'ça qu'a fini le métingue,
Le grand métingue du métropolitain!
MORALE
Peuple français, la Bastille est détruite,
Et y a z'encor des cachots pour tes fils !...
Souviens-toi des géants de quarante-huite
Qu'étaient plus grands qu' ceuss' d'au jour d'aujourd'hui.
Car c'est toujours l'pauvre ouvrier qui trinque,
Mêm' qu'on le fourre au violon pour un rien...
C'était tout d' même un bien chouette métingue,
Que le métingu' du métropolitain!
19:25 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
EDOUARD MUNCH A PARIS
PAR BERNARD VASSOR
18:29 Publié dans LES PRECURSEURS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
John RUSSELL
PAR BERNARD VASSOR
En novembre 1886, John Russell peint le portrait de Vincent* qui fait la connaissance dans l'atelier du peintre australien, du peintre écossais A.S.Hartrick en compagnie d'Alexander Reid l'employé écossais de la maison Goupil 9 rue Chaptal**
* Françoise Cachin Bogomila Welsh-Ovcharov et Monique Nonne Van Gogh à Paris exposition du Musée d'Orsay 1988
**Carnet d'adresses annoté et commenté par Ronald de Leeuw et Fieke Pabst
11:10 Publié dans Les amis de Vincent | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
05/10/2007
GEORGE-DANIEL DE MONFRED
PAR BERNARD VASSOR
Né en 1856 à New-York, mort d'une chute accidentelle en cueillant des kakis dans son jardin. Il est le père du célèbre écrivain aventurier Henri-de-Monfreid. Dans les années 1880, il achète un petit atelier 12 rue du Moulin de Beurre (c'est dans ces parages que se trouvait le célèbre cabaret de la mère Saguet dont Gérard de Nerval fut un des habitués dans sa jeunesse).Il rencontre Schuffeneker à l'atelier Colarossi et rencontre Gauguin chez le "bon Schuff" en 1885 avec qui il nouera de profondes relations d'amitiés jusqu'à la mort de "Koké" à qui il donnera le conseil de ne pas revenir à Paris pour ne pas faire baisser sa cote chez Vollard.....Il a exposé au "Café des Arts Volponi"avec le groupe des peintres impressionnistes et synthétistes
14:40 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
LE THEATRE SARAH BERNHARDT
PAR BERNARD VASSOR
La cantatrice fit la réouverture en novembre 1862, et les journaux émerveillés firent l'éloge de la nouvelle salle, de sa décoration, du nouvel éclairage du polafond lumineux, des tentures rouge et or, et bien sur de la beauté de Caroline et de sa voix exceptionnelle. En novembre 1863, Berlioz inaugura "Les Troyens" spectacle qui eut 21 représentations. La salle était trop petite pour une telle mise en scène, le rideau tomba la derNière fois au Théâtre Lyrique pour Hector Berlioz en décembre 1863. Le bâtiment fut incendié pendant la Commune le 25 mai 1871. Reconstruit à l'identique par Davioud lui-même en 1874, il prit successivement les noms de Théâtre Lyrique, Dramatique, puis historique en 1879, Théâtre des Nations en 1883, Théâtre Italien, Théâtre des Nations, puis héberge l'Opéra Comique. En 1888, c'est la formidable Sarah Bernhardt qui prend en location la salle et par son extraordinaire présence, va faire de ce lieu pendant vingt cinq ans le plus important théâtre parisien.
A SUIVRE..........................................
10:49 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
04/10/2007
LE PONT D'ASNIERES, VINCENT VAN GOGH
PAR BERNARD VASSOR
14:10 Publié dans LES PEINTRES INCLASSABLES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg