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13/05/2007

CASANOVA Giacomo Girolamo, Chevalier de Seingalt.

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LE SAMEDI 26 mai 2007, L'ASSOCIATION AUTOUR DU PERE TANGUY ORGANISE GRATUITEMENT UNE PROMENADE
"SUR LES PAS DE CASANOVA  A PARIS"
SOUS LA CONDUITE ECLAIREE DE CHANTAL CHEMLA 
Rendez-vous à 14 heures devant la station de métro Etienne Marcel 
Le nombre de places étant limité, la réservation est obligatoire avant le 19 mai 2007 à :
Bernard Vassor marber@noos.fr. 
Avec votre nom et une adresse email ou un numéro de téléphone. 

CASANOVA_LETTRES_MADAME_BALLETTI.pdf

19:10 Publié dans PROMENADE SUR LES PAS DE..... | Tags : CASANOVA, Chevalier de Seingalt, Giacomo Girolamo | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg! Digg

12/05/2007

GUSTAVE CAILLEBOTTE, ENFANT DU X° ARRONDISSEMENT

Par Bernard Vassor

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Affiche réalisée par Pascal Gautrin 
 

avec la participation d'Histoire et Vies du 10e, société historique de l'arrondissement

DIMANCHE 20 mai à 18 heures

: Lecture - concert autour du peintre « Gustave Caillebotte, un enfant du 10e » avec la participation

des associations « Autour du père Tanguy » et « Atelier Porte Soleil » dans leur local

, 57-59 rue des Vinaigriers (18h), tarif : 8€, attention places limitées (50),

s’inscrire à l’atelier Porte-Soleil : 01 46 74 62 48 ou par mail à : atelierportesoleil@tele2.fr  -

 métros : Jacques-Bonsergent ou gare de l’Est.

Présenté par l’Association Autour du Père Tanguy

et l' Atelier Porte Soleil

LECTURE-CONCERT « GUSTAVE CAILLEBOTTE »

20 mai 2007 à 18 heures

57 RUE DES Vinaigriers

75010 Paris 

Gustave Caillebotte, l’exposition imaginaire…medium_CAILLEBOTTE_affiche_02.jpg

Cette lecture-concert se propose d’évoquer le peintre Gustave Caillebotte : ses attaches avec le

10e arrondissement et son œuvre sous forme d’une exposition imaginée…

Les tableaux présentés seront projetés sur écran pendant le spectacle. Notre Exposition imaginaire va

 Nous  faire découvrir plusieurs toiles de Gustave Caillebotte, et les repeindre non pas avec des couleurs,

mais avec des musiques, des récits et des poèmes. - La musique, avec des pièces choisies

 pour leurs climats et leurs tonalités, cherche à traduire l’univers et la palette du peintre.

 Les poèmes et les récits d’auteurs, qui tous ont été les contemporains de l’artiste,

 font renaître des lieux qui l’ont inspiré et donnent vie à des personnages, frères de ses modèles… Les critiques de son époque – ceux qui l’ont aimé et ceux qui l’ont vilipendé – et surtout  l’écrivain J.-K. Huysmans, qui a été un des premiers admirateurs de son génie, -nous redonnent un écho des polémiques qui ont accompagné les premières manifestations

 impressionnistes. Les auteurs qui accompagneront la promenade au cœur des tableaux :

Jules Renard, Paul Verlaine, Charles Cros, Guy de Maupassant     

Avec Constance Godeberge : violon

Marie-Hélène Foufounis : piano

Pascal Gautrin, présentation récits & poèmes 

Réservation obligatoire, participation 8 euros 

20:40 Publié dans Evènement | Tags : CAILLEBOTTE, HUYSMANS, PERE TANGUY, HISTOIRE ET VIES, MAUPASSANT, CHARLES CROS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

10/05/2007

LA LIBRAIRIE NOUVELLE BOULEVARD DES ITALIENS

Par Bernard Vassor

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BOULEVARD DES ITALIENS, 
LA LIBRAIRIE NOUVELLE A DROITE
C'est en 1849, que messieurs Jacquottet et Bourdillat eurent l'idée de fonder un établissement qui allait révolutionner la librairie en vendant 1 franc 50 ce qui se vendait 6 francs. Le livre bon marché dont les promoteurs prirent Balzac comme auteur pour le lancement de leur collection. Honoré avait eu le tort d'avoir eu l'idée 20 ans trop tôt. Située à l'angle de la rue de Gramont, en face  de la MaisonDdorée et du Café Riche, et mitoyen du Café Anglais. Le tout Paris artistique, mondain, demi-mondain et littéraire s'y retrouvait. Les frères Goncourt y donnaient rendez-vous tous les vendredi à 5 heures de l'après-midi, à Flaubert et  Paul de Saint-Victor. La librairie voyait aussi passer de fort jolies femmes, des lionnes, des biches, des amazones parmi les plus célèbres : Blanche d'Antigny, Anna Deslion, Cora Pearl et bien sûr, Céleste Mogador comtesse de Chabriand.

13:50 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

09/05/2007

LES SQUELETTES DE L'EGLISE SAINT-LAURENT, LA COMMUNE DE PARIS ET LE DOCTEUR GACHET....

PAR BERNARD VASSOR

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LE DOCTEUR GACHET AUX AMBULANCES AMAND GAUTIER

Le 24 avril 1871, Jules Vallès annonce dans son journal « Le Cri du Peuple »,  la découverte de squelettes dans les souterrains de l’église Saint-Laurent, et un passage secret qui selon l’article conduirait à la prison Saint-Lazare. Aussitôt, la rumeur va enfler, et la teneur de l’article qui sera repris sur toute une page du « Journal officiel de la Commune de Paris » racontant des histoires de religieuses et de prisonnières violées torturées et tuées sauvagement.

La mairie du X°arrondissement va d’abord prier le docteur Gachet, aide –major aux ambulances du IX° bataillon de la Garde nationale 100 rue du Château d’Eau et 16 rue Cadet (ambulance du Grand Orient). Le docteur Gachet habitait alors 78 rue du faubourg Saint-Denis, maison qu’il gardera toute sa vie ainsi que son fils Paul.

Le 28 avril le docteur reçoit cette lettre :

Monsieur Gachette (sic)

Il m’est demandé par la mairie du X° arrondissement un docteur pour rapport à faire sur des ossements qui ont été reçueillis à l’église Saint-Laurent. Si vous voulez bien vous charger de ce travail, je vous mettrai en rapport avec qui de droit. 

Réponse S.V.P.

Le directeur Paul Maison

Suivi d’un laissez-passer à l’église Saint-Laurent pour visiter les corps signé Leboudier.

On lui propose de lui adjoindre un assistant le citoyen Boubet, maçon !

Deus jours plus tard, le courrier est moins aimable, la prière se transforme en réquisition :

Citoyen docteur,

Pouvez-vous venir à l’église Saint-Laurent pour constater la présence du squelette d’une femme (avec peigne) et de quatre autres qu’à défaut de peigne on ne peut désigner.

Salut fraternel : Leboudier

Puis le 8 mai le ton est encore plus sec :

Citoyen,

En vertu d’une ordonnance du citoyen Moiré Juge d’Instruction, en date de ce 6 mai présent, pour laquelle je suis autorisé à faire procéder à la constatation médico-légale sur les corps récemment découverts dans l’église Saint-Laurent, X° arrondissement.

J’ai l’honneur de vous requérir pour demain 9 courant de neuf heures du matin à quatre heures du soir, à l’effet de constater le genre de mort et l’état actuel des cadavres.

Salut et fraternité

Le commissaire de Police Leblond

du quartier de l’Hôpital Saint-Louis

Entrée de l’église par le presbytère.

Nous ne connaissons pas les conclusions du rapport qui ne fut peut-être pas remis, interrompu par l'entrée des troupes versaillaises et les dizaines de milliers de blessés recueillis dans l'hôpital militaire Saint-Martin où il a continué à exercer jusqu'au 5 juin. Nous ne connaissons pas la nature de l'engagement en faveur ( ou défaveur ?) de la Commune de Paris. Ce qui est troublant, c'est qu'il reçut les félicitations et remerciements de la Commission municipale du X° arrondissement pour services rendus pendant le siège de Paris en 1870-1871. Michael Pakenham nous apprend* qu'il fut proposé pour la Légion d'Honneur. Le 2 juillet 1871 il reçoit la Croix de bronze de la Société de Secours aux blessés des Armées de Terre et de Mer (services rendus dans les ambulances (9° bataillon). Même distinction (services rendus à l'Ambulance du Grand Orient)

Ce que nous pouvons dire aujourd'hui, c'est que nous connaissons l'identité des 14 squelettes retrouvés dans la crypte sous l'église Saint-Laurent.

*Docteur Michael Pakenham, commissaire pour le catalogue de l'exposition : Un ami de Cézanne et Van Gogh le Docteur Gachet  ,Réunion des musées nationaux 1999 

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L'ÉGLISE SAINT-LAURENT PENDANT LA COMMUNE DE PARIS 

Article précédent :
Affaire de l’église « Laurent » par Bernard Vassor. Mai 2001 

La virulence des sentiments anticléricaux, prônés  par les libres-penseurs et les blanquistes, qui se distinguent par leur athéisme militant, héritiers des sans-culottes et des hébertistes de l’an II. L’Assemblée Nationale à Versailles, majoritairement monarchiste et cléricale, va renforcer le déferlement de haine antireligieuse du peuple parisien.

C’est ainsi que dans la deuxième quinzaine d’avril, des gardes nationaux vont exhumer des squelettes des sous-sol et souterrains du couvent du Sacré-cœur à Picpus, du couvent des dominicains de la Croix, rue de Charonne, et de l’église Saint-Laurent, sur l’emplacement d’un ancien cimetière. A partir de ces découvertes, les rumeurs amplifiées par des journaux et des brochures qui vont raconter à grand renfort de détails horribles, comment les moines attiraient, séquestraient, torturaient et violaient, jeunes filles, religieuses et femmes mariées.

Devant le caveau de l’église, 14 squelettes sont exhibés. Le Cri du Peuple, journal de Vallès, écrit : « Ces femmes, ont dû être chloroformées, puis violées. On leur aura lié les mains et les jambes(…) La voyez-vous cette scène horrible, ces jeunes femmes, ces jeunes filles, attirées par des promesses ou dans l’espoir du plaisir, qui se réveillent ici, liées, scellées, murées vives ? » L’article se termine par « Mères de famille crédules, vous qui confiez aux prêtres l’honneur de vos enfants, venez voir ce que renferme, dans ces hideux caveaux, la vieille église de l’enclos Saint-Laurent. 

 

21:20 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Tags : DOCTEUR GACHET, VALLES JULES, LEBOUDIER, GRAND ORIENT | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

08/05/2007

27 AVRIL, DATE ANNIVERSAIRE DE L'ABOLITION DE L'ESCLAVAGE

LE 27 AVRIL 1848
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VICTOR SCHOELCHER ET FRAN9OIS-AUGUSTE PERRINON  PRÉSENTENT LES DÉCRETS D'ABOLITION*
La commission du 6 mars comprend :
Gâtine, avocat , "ami des noirs"
Mestro, directeur des Colonies
Gaumont "homme de couleur", ouvrier horloger 
Wallon et Percin, hommes de couleur, secrétaires de ladite Commission 
Schoelcher , président 
La proposition de décrets d'émancipation est présentée au Gouvernement provisoire le 15 mars.
La Commission va se heurter à l'opposition farouche d'Armand Marast qui, en raison de ses liens avec "la Société blanche Créole" va chercher à retarder la signature de ces décrets.
G. Pelletier, Victor Schoelcher apôtre de l'abolitionnisme article Gavroche n° 72 décembre 1993
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Victor Schoelcher,  22 juillet1804- 25 décembre1893 Homme politique, d’origine alsacienne, il est né à Paris rue du faubourg Saint-Martin. Son père, fabricant de porcelaine, l’envoie prospecter en Amérique pour agrandir sa clientèle. Le jeune Victor visita les États-unis et les Antilles . Mauvais commercial, plutôt passionné de musique de littérature, de poésie,  il n’obtint pas beaucoup de commandes, mais il découvrit une situation qui le révoltât : l'asservissement des noirs. Il n’eut alors qu’une volonté, lutter pour l’abolition de l’esclavage, ce qu’il fera inlassablement pendant 20 ans. En 1848, après la révolution de  février il est nommé sous-secrétaire d’état à la marine. Après une âpre lutte au sein du gouvernement Arago, il obtient la signature d’un décret le 27 avril 1848. Humaniste, son combat pour la liberté le conduisit à soutenir le mouvement d’émancipation des femmes et il mènera des campagnes pour l’abolition de la peine de mort. Grand amateur de Haydn il réunira une collection importante de partitions et d’instruments de musique de tous pays. Il est l’ami de Camille Pleyel, d’Alexandre Dumaset d’Eugène Süe, chirurgien de la rue Blanche.  Mort à Houilles, son corps fut transporté à son domicile parisien Extrait du journal « le Petit Moniteur » : Les obsèques de Victor Schoelcher ont eu lieu hier à midi. Le corps était exposé dans le vestibule de la maison habitée par le défunt, 64 rue de la Victoire. Les honneurs militaires ont été rendus(…)Sur le char et les brancards étaient placées les couronnes offertes par le Sénat, l’exposition permanente des colonies, de la ligue du droit des femmes, les étudiants d’Haïti, les étudiants créoles, la Martinique etc… Dans l’assistance : le préfet Lépine, Clemenceau, Mmes Marie Pognon, présidente de la ligue française des femmes et Tincent présidente du groupe Egalité. Le cortège s’est rendu au Père Lachaise, en suivant la rue de la Victoire, la rue Taitbout, les grands boulevards, avenue de la République, boulevard de Ménilmontant…
Sources B.V. :
Archives de la préfecture de Police,

16:30 Publié dans HISTOIRE | Tags : AUGUSTE PERINON, VICTOR SCHOELCHER, LOUIS BLANC, ALEXANDRE DUMAS, EUGENE SUE, GATINE, MESTRO | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

07/05/2007

L'AFFAIRE BOULANGER AU TEMPS DE VINCENT VAN GOGH

Par Bernard Vassor

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L' BRAV' GENERAL ET MADAME DE BONNEMAIN 

C'est pendant la deuxième période parisienne de Vincent van Gogh qu'éclata l'affaire Boulanger. Il y fait une allusion dans une lettre à son frère Théo sans que nous sachions quel était son parti-pris.. A paris, les chansonniers et les humoristes s'en étaient emparés. La confusion la plus grande régnait. Nommé ministre de la guerre par l'influence de Clemenceau son condisciple, dans le ministère Freycinet de 1886, il se rendit populaire en soutenant des mineurs grévistes et invitant les soldats à se joindre à eux. Sa prestance à cheval dans les revues militairesmedium_boulanger_a_cheval_05_sepia.jpg contribuent à augmenter son prestige. La république est éclaboussée de nombreux scandales, l'affaire Wilson, le gendre du président qui vendait des légions d'Honneur (Ah, quel malheur d'avoir un gendre)l'affaire de Panama, l'expédition ruineuse de Jules Ferry au Tonkin.

Boulanger qui était né à Rennes en 1831 est fait colonel en 1870. Remarqué par sa férocité dans la lutte contre les communards, il obtient la légion d'Honneur en juin 1871. Il est nommé général en 1880. Après sa nomination au ministère de la guerre, il parcourt la province, et se fait acclamer en prononçant des discours revanchards. A l'Alcazar d'été aux Champs-Elysées le chanteur populaire Paulus interprête le 14 juillet à la gloire du général  ; En rev'nant d'la r'vue. Il avait ajouté un couplet à la chanson. Au moment où il prononça le nom de Boulanger, les clients sautèrent sur les tables, et ce furent des applaudissements à tout rompre. Paulus fut obligé de reprendre vingt fois le couplet où il disait :

 Ma tendre épouse bat des mains

Quand  défilent les  Saints-Cyriens,

Ma bell' mèr' pouss' des cris

En r'luquant les Spahis,

Moi j'faisais qu'admirer

Not' brave  général Boulanger

En revenant d'la revue: couplet ajouté par Paulus

On s'arracha les paroles de la chanson qui était vendue à la sortie, qui se répandit aussitôt dans tout Paris. Dans tous les cafés, dans les cabarets, on ne parle que de lui. Au Chat Noir de Salis un étonnant sosie a été engagé pour recevoir les clients. Bientôt les politiciens opportunistes comme il en existe toujours, prêts à aller à la soupe se rangent sous la banière étoilée du breton galonné. Il réussit le coup de force de réunir des anciens communards amnésiques (blanquistes pour la plupart) des royalistes conduits par une ancienne prostituée, la comtesse de Loynes anciennement "la Tourbey". Viendront aussi se fourvoyer la féministe Marguerite Durand qui avait fondé le journal La Fronde, et Séverine qui après la mort de Jules Vallès de dirigeait le journal : Le Cri du Peuple.Je vous épargne la suite, l'histoire est archi-connue, les élections, les tergiversations, la fuite en Belgique et le suicide romanesque sur la tombe de sa maîtresse. Ce qui est moins connu, c'est l'histoire de l'engagement politique des artistes aux côtés des boulangistes, qui deviendront pour la plupart (à l'exeption de Marguerite Durand et de Séverine) des anti-dreyfusards.Dans l'entourage de Vincent, on peut ecarter Camille Pissarro et Paul Signac que leur anarchisme militant éloignait de toute connivence avec "une culotte de peau". Paul Alexis, lui aussi irréprochable, se plaint des opinions et de l'engagement de Murer. Renoir, s'est laisser aller malgsa prudence à des propos assez ambigüs. Edgard Degas se distingua par sa virulence.

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Le docteur Gachet au cours d'un Diner des Eclectiques
Au fond, en bout de table AglaÜs Bouvenne, président fondateur
La plupart des membres de cette société d'aquafortistes étaient membres du Vieux Montmartre. L'association comptait dans ses membres le maire du XVIII° arrondissement qui avait succédé à Clémenceau. Emile Bin fut destitué de son poste en 1889 pour avoir peint le portrait du général Boulanger. Difficile poutant d'affirmer desopinions, mais certaines tezndances et certains écrits laissent planer un doute. L'époque était compliquée, sans faire de comparaisons anachroniques, on peut dire que par exemple, un centriste d'aujourd'hui, aurait siégé sur les bancs de l'extème gauche à l'Assemblée nationale. Un des premiers défenseurs de Dreyfus, Arthur Ranc, se disait "gambetto-blanquiste" ce qui est antinomique ! Les candidats aux éléctions déclarés "républicains modérés" étaient en réalité des cléricaux déguisés, mi-royalistes, mi-bonapartistes, et plutôt mérément républicains. Le parti de l'Ordre, avait eu pour chef un homme de très petite taille avait dit Balzac, très ambitieux, assifé de pouvoir, et s'était particulièrement distingué par ses provocations et sa cruauté dans la répression. Il avait servi de modèle pour Rastignac et se prénomait Adolphe.
J'ai entendu dire au cours d'un discours inaugural que Jean Baptiste Clément "était membre du parti socialiste"
Si vous pouvez m'éclairer ou me contredire.....
A SUIVRE ...........

12:05 Publié dans HISTOIRE | Tags : VINCENT VAN GOGH, THEO, CLEMENCEAU, BOULANGER, MARGUERITE DURANDSEVERINELOYNES, TOURBET | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg! Digg

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