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03/11/2010

Hommage à Mario Vargas Llosa

En apprenant l'attribution du prix Nobel de Littérature, Mario à New-York a déclaré :

"C'est un triomphe pour moi, mais aussi pour tous les Péruviens."

......................................

Une soirée rencontre littéraire, précédée de la visite de l'exposition MVL.
L'hommage a été organisée par mes amis (e) du Centre Culturel Péruvien,
CECUPE : www.cecupe.com
autour de
Françoise Aubès,
Marie-Madeleine Gladieu
et Nataly Villena
se tiendra le vendredi 5 novembre à 18 heures 30 à la
Maison de l'Amérique Latine
217 boulevard Saint Germain
75007 Paris
Mario vargas llosa_colloque_maison_amerique_PHOTO_B.V..02.jpg
CECUPE : www.cecupe.com
.............................

 

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08/10/2010

Mario Vargas Llosa : La liberté et la vie

L’Ambassade du Pérou a le plaisir de vous informer

de la prochaine exposition

Mario vargas llosa_colloque_maison_amerique_PHOTO_B.V..02.jpg

 

 

Mario Vargas Llosa

La liberté et la vie

du mardi 14 septembre au samedi 6 novembre

de 11 à 20h00

Maison de l‘Amérique Latine

217 boulevard Saint Germain - 75007 Paris

M° Solferino, Rue du Bac – RER Musée d’Orsay

Bus : 63, 68, 69, 73, 83, 84, 94

www.mal217.org

 

Cette exposition a été réalisée avec le concours

du Centro Cultural de la Pontificia Universidad Católica del Perú,

de la Maison de l’Amérique Latine, de l’Instituto Cervantes,

du Ministère des Relations Extérieures du Pérou et de l’Ambassade du Pérou en France

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07/10/2010

Un concert donné par l’Association Ades Pérou

L’Ambassade du Pérou en France vous informe de la prochaine activité de

l’Association Ades Pérou

Concert

Lina Faesch (Soprano) et Ruta Lenciauskaite (piano)

Vendredi 15 octobre 2010 à 20h00 (précises)

Salon d'honneur

Mairie du XVIème

71 avenue Henri Martin - 75116 Paris

M° Rue de la Pompe

Renseignements : 06 61 74 30 06 - 06 88 10 38 41

 

www.adesperou.org

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25/09/2010

Emile Zola : Pèlerinage de Médan du dimanche 3 octobre 2010, à 15 h.

Pèlerinage de Médan du dimanche 3 octobre 2010, à 15 h. :

Attention ! Cette année, le train ne s'arrêtera pas en gare de Médan. Il ne
s'arrêtera qu'à la gare de Villennes.

........................

 

zola manet.jpg


Des allocutions seront prononcées par Laure ADLER (journaliste) et Adeline
WRONA (maître de conférences à l'Université Paris-Sorbonne - Celsa).
Une exposition  « L'Assommoir au théâtre », réalisée par Mme Martine LE
BLOND-ZOLA, sera inaugurée le jour même.

L'entrée de la propriété d'Emile Zola (26, rue Pasteur à Médan 78670) est
gratuite. Le public disposera de places assises sous un vélum protecteur en
cas de pluie.

 

 

Comment se rendre à Médan :

Un train, partant de la gare St Lazare à 13h 53, arrivera à la gare de
Villennes sur Seine à 14h 16, où un service d'autocar gratuit sera assuré
pour acheminer les participants jusqu'à la Maison de Zola. - Pour le retour,
deux cars seront à la disposition des participants au départ de Médan à 17h
40 pour le train partant de Villennes à 18h 11 ; et à 18h 15 pour le train
de 18h 41 à Villennes.

Accès en voiture : A13 ou A14, sortir à l'échangeur de Poissy-Villennes (25
kms de Paris) ; direction Médan par la D 164.

Pour de plus amples renseignements contacter le secrétariat de la Maison de
Zola à Médan : 01 39 75 35 65 du mardi au vendredi de 9h30 à 17h30, le
samedi de 9h30 à 16h.
Courriel : maisonzola-museedreyfus@cegetel.net
www.maisonzola-museedreyfus.com

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22/09/2010

Le café-concerrt, une conférence de Dominique Delord

Dominique Delord café concert 02.jpg
La société historique et archéologique du dixième arrondissement "Histoire et Vies du 10°"
nous invite à une conférence donnée par Dominique Delord,  avec musique et images :
Lundi 4 octobre à 19h à la mairie du 10e
72 rue du Fg-St-Martin, 
salle des fêtes, (entrée libre).
................
"De 1850 à 1914, le café-concert a opéré un énorme brassage des publics et des arts du spectacle.  Histoire de salles parfois mythiques comme l'Eldorado, leurs programmes, la dure vie de leurs artistes et une activité commerciale intense irriguant l'arrondissement."

 

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20/09/2010

DERNIER NUMERO DES CAHIERS NATURALISTES

La Société Littéraire des Amis d'Emile Zola édite, sous la direction d'Alain Pagès, Les Cahiers Naturalistes, revue critique d'histoire littéraire, avec le concours du Centre National du Livre et de l'Université de la Sorbonne Nouvelle Paris III..

Ce dernier numéro consacre un dossier important à Lucien Descaves, et comme toujours, de nombreuses études et documents liés à l'histoire des naturalistes.

Cahiers naturalistes.jpg
cahiers naturalistes 02.jpg

 

 

10/09/2010

Exposition : Mario Vargas Llosa, la liberté et la vie

 Par Bernard Vassor

mARIO PHOTO EDITIONS TERRE DE BRUME.jpg
Photographie édition "Terre de Brume"

L’Ambassade du Pérou  a le plaisir de vous informer
de la prochaine exposition
 
Mario Vargas Llosa
La liberté et la vie
 
du mardi 14 septembre au samedi 6 novembre
de 11 à 20h00
 
Maison de l‘Amérique Latine
217 boulevard Saint Germain - 75007 Paris
M° Solferino, Rue du Bac – RER Musée d’Orsay
Bus : 63, 68, 69, 73, 83, 84, 94
www.mal217.org
 
 
Cette exposition a été réalisée avec le concours
du  Centro Cultural de la Pontificia Universidad Católica del Perú,
de la Maison de l’Amérique Latine, de l’Instituto Cervantes,
du Ministère des  Relations Extérieures du Pérou et de l’Ambassade du Pérou en France

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30/07/2010

Le Champ du repos à Montmartre

Par Bernard Vassor

Cimetière Montmartre 1808.jpg
Sur cette gravure, nous voyons le « Champ du Repos » dominé par la butte avec ses moulins traditionnels. Un convoi funèbre, précédé d'un ordonnateur, ceint d'une écharpe, se dirige vers le fond.
Un récit d'époque nous donne un aperçu de ce qu'était "Montmartre en ce temps là"
Après avoir gravi un chemin montueux, l'auteur écrit :
"" Ce fut là que l'aspect de Montmartre, cette montagne antique et vénérable, attira mes regards et captiva ma pensée. Ces moulins à vent, ces maisons, ces jardins suspendus sur des précipices, en un mot, cette masse pittoresque où la nature lutte sans cesse contre le bras destructeur de l'homme, firent sur moi une impression de tristesse qui devint plus vive quand je me rappelai qu'auprès de ces carrières, vains débris de la colline, on voyait aussi les ruines de cet abbaye célèbre où des filles de rois et de grands de la terre allaient se livrer, dans une retraite perpétuelle, à la pratique des plus hautes vertus, après avoir renoncé à toutes les grandeurs, privilèges de leur naissance"
Il décrit ensuite la topographie du cimetière :
-« Sur le penchant de Montmartre à l'ouest, et à une petite distance des nouveaux boulevards, est un vaste terrain, enclos depuis quelques années d'une muraille de pizé. On le nomme le Champ du Repos parce que c'est dans son enceinte que l'homme qui a payé à la nature son dernier impôt, jouit enfin de la paix et de la tranquillité. » Plus loin, il déplore le voisinage des guinguettes de la barrière et de la Chaussée d'Antin « où les modernes Laïs spéculent sur l'inexpérience de la jeunesse et sur les goûts dépravés de l'âge mûr»
Puis, il ajoute à celà :
"Les guinguettes toutefois, se tiennent à distance respectueuse, sauf une seule qui semble braver le voisinage funèbre ; il est vrai que cette maison, « quoique dédiée au dieu du vin, n'attire pas les enfants de la joie, tout dans ce cabaret respire la tristesse, et la patronne elle-même, autrefois jolie, est considérablement décatie, ses enfants sont lugubres ; espérons qu'elle avait au moins la clientèle des croque-morts ?"
Il s'agit du cabaret de la Reine Blanche dont les murs étaient presque mitoyens de ceux du cimetière. La patronne, ou plutôt l'attraction de cette guinguette était surnommée ...:
"Nini-belle-en-cuisses" pour la raison suivante :  Les lois de la pesanteur étant les mêmes que celle d'aujourd'hui, Nini, à la fin de chaque danse, faisait le tour de la piste en marchant sur les mains, ce qui lui couvrait le buste et lui découvrait la partie charnue de son anatomie, celui valut son sobriquet explicite. La clientèle masculine, au grand dam des jeunes filles, attendait vous pouvez le deviner, avec impatience, la fin de chaque reprise.
la reine blanche cadre doré.jpg
.....
Bien avant l'ouverture officielle du cimetière du Champ du Repos, cimetière Sous-Montmartre, puis de la Barrière-Blanche, enfin cimetière du Nord, ou cimetière Montmartre. L'endroit  avait été le réceptacle discret des personnes tuées au cours d'émeutes ou victimes des assassins qui peuplaient alors ces anciennes carrières de gypse dont les excavations et les cavernes les mettaient à l'abri des recherches.
C'est en 1798, que la municipalité parisienne acheta un terrain à un certain sieur Aymé, situé dans "les Grandes Carrières". Ce cimetière fut affécté aux habitants des 1°, 2° 3 et 4° ardt de l'époque. Il remplaçait aussi le petit cimetière qui avait été ouvert en 1782 entre la rue Notre-Dame-de-Lorette et la place Royale (Pigalle). Ce cimetière était le dépositoire des ossements du  cimetière de la paroisse Saint-Roch devenu trop petit.
Quand à celui de la Barrière Blanche, il avait une superficie de 1 hectare 27 ares fut fermé et rouvert alternativement (vers 1806) pendant plusieurs années
pour être inauguré définitivement le 1°janvier 1825, sa superficie ayant été portée à 12 hectares, augmentés de 9 en 1847. Cette même année on relia les terrains voisins par le tunnel passant sous la rue des Grandes Carrières. Le pont Caulaincourt a été construit en 1886.
A partir de 1872, le cimetière étant complet, on ne reçut plus de concessions temporaires ou tranchées gratuites, celles-ci  étant transférées à l'annexe du cimetière du Nord, à Saint-Ouen.
.....
Voici quelques épitaphes relevées par l'auteur de cette chronique en 1808 : "Voici le mausolée de la famille Larmoyer,Il signale M. Mounier, Conseiller d'Etat, et tout à côté un sieur Adanson ; devant cette sépulture, Caillot se demande s'il s'agit du fameux naturaliste ? C'est ensuite Barthélemy-Pierre Lecoulteux, de Rouen, mort à Paris, le 16 septembre 1805, à l'âge de trente-sept ans ; les familles Julien et Chaulot ; sur une colonne tronquée sont inscrits les noms de Marie-Philippe-Claude Dunkel, épouse de M. A. L. Delessert, née le 30 juin 1780, mariée le 3 juin 1805, morte le 4 septembre 1805. La tombe de Marie-Adélaide-Yacinthe Berthaumt, née à Paris, le 25 mars 1790 et décédée le 5 juillet 1805, est auprès du marbre blanc sur lequel est sculptée une couronne de roses ; il recouvre les restes de Louise-Eléonore-Victoire Crublier de Saint-Ciran, née le 22 décembre 1787, décédée le 31 mars 1805. A. L. H. Adolphe de Bazin, âgé de dix-sept ans ; Georges-René Pléville Le Pelley, né à Granville, en 1726, le 26 du mois de juin, mort à Paris, le 10 vendémiaire an XIV, âgé de quatre-vingts ans. Sur la tombe. de ce dernier, on lit une grande inscription latine qui rappelle les vertus du défunt et son amour de la patrie ; il y est dit que Pléville Le Pelley eut la jambe droite emportée par un boulet, qu'il parcourait les mers en lançant les foudres de la guerre, que les Anglais le redoutaient et qu'enfin le Sénat français l'écoutait comme un autre Nestor. Ce ministre de la marine, qui mourut à quatre-vingt ans, méritait d'être enterré à Montlouis (Père Lachaise).Antoine-Claude-Victoire Dubœuf, âgé de 34 ans ; Henriette-Félicité Bélorgey, âgée de 19 ans ; Louise-Fanny de Pontalba, âgée de 23 ans ; Françoise-Geneviève Varnier, âgée de 42 ans. Voici ensuite recouverte de feuillage, la tombe du peintre Greuze et, non loin de là, son confrère Fragonard repose dans l'éternité. On devine ce que tout cela fait raconter à l'auteur du livre. Un général de division ; d'artillerie, gisant tout auprès de là, attire ses regards.; il en profite pour fulminer un peu contre le bronze meurtrier et se venge en nous cachant le nom de ce vaillant militaire ! Même courroux devant la tombe de Delaterre, philosophe, qui attrape une sérieuse mercuriale. Anne-Louise Le Cœur, âgée de vingt-trois ans, opère une heureuse diversion ;
puis Madame Zéphirine De Méat, âgée de vingt et un ans. Pleurez, enfans soumis ; pleurez femmes fidèles :

Amies, mères, sœurs, pleurez ; de vos vertus,

La mort a d'un seul coup détruit tous les modèles ;

Zéphirine n'existe plus.

Elisabeth-Eulalie Durand, âgée de quatorze ans ;

Marie-Thierri Lebel, veuve Delisle ; avec une épitaphe en vers composée par son fils :

Son fils, en le perdant, perd sa félicité ;

Il ne lui reste que son exemple à suivre

Ce modèle accompli de vertus, d'équité

Ne paya qu'en cessant de vivre,

Son tribut à l'humanité. -

Sans doute un homonyme de l'académicien? Entre temps, Caillot invoque la lune pour pouvoir finir son voyage avant la fin de la nuit, car cet auteur, vraiment extraordinaire, est noctambule comme Restif de la Bretonne ; il a découvert la sépulture très sculptée, de Mlle Muraire, épouse de M. De Caze, morte à l'âge de seize ans, après six mois de mariage. « Au-dessous du tombeau, contre une pyramide, est assis un génie de marbre blanc qui, de la main, droite tient un flambeau renversé et de la gauche un linge (sic) avec lequel il essuie ses larmes. » Notre homme arrive dans une partie du cimetière qu'il appelle le vallon, il fait jour paraît-il, et c'est vraiment la lune qui nous éclairait jusqu'à présent ; ce bizarre écrivain, qui choisissait la nuit pour se promener dans le cimetière de l'Ouest, se ferait bien vite coffrer aujourd'hui avec ses façons d'agir; il faut croire qu'on était plus tolérant, il y a cent ans. Il sort du cimetière avec la ferme résolution de revenir le lendemain pour achever, dit-il, son voyage et ses observations. Il revient en effet le lendemain, mais pendant le jour, « avec cette différence que je n'avais pas besoin de m'étendre sur les pierres sépulcrales et d'en approcher de trop près pour en déchiffrer les inscriptions. » « Quelle est cette tombe élevée au-dessus de toutes celles qui l'environnent, et cette pierre sépulcrale qui s'élève au-dessus de cette tombe ? je m'approche et je lis : Ici repose Adrienne Chameroy, décédée le 23 vendémiaire an XI, à l'âge de vingt-trois ans. » Caillot pleure encore une fois, cite l'épitaphe versifiée, et continue par la sépulture adossée à la muraille du Nord : Thomine Mars, épouse de J.-B. Bacoffe,décédée à Paris, à l'âge de dix-neuf ans. A l'entrée du vallon, sous une pierre de petite dimension, reposent les restes de Mme veuve Croizet, l'inscription dit que ce monument fut érigé par les soins de Mlle Volnais, de la Comédie-Française :  -

[Aux mânes de] Celle qui dort ici, dès ma première aurore,

Me combla de ses soins, de ses tendres secours ;

Quand je serai, comme elle, au terme de mes jours,

Mes yeux, en se fermant, la pleureront encore.

http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2007/05/17/au-cimetiere-montmartre-des-serials-killers-de-pere-en-fils.html

http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2009/05/...
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2007/06/09/o-kemeve-my-pisse-d-ours-croisee-petit-loup.html

26/07/2010

Une nouvelle exposition au Musée Fournaise : La peinture en tube au XIX° siècle.

Par Bernard Vassor

Cette superbe exposition retrace l'histoire de la peinture dans la seconde moitié du XIX° siècle, qui prit un essor particulier grâce à l'invention de la peinture en tube, favorisant ainsi la "peinture sur le vif", c'est à dire en plein air. Bien sûr des artistes peignaient dans la nature bien avant cette invention, mais cela nécessitait un attirail lourd et volumineux. Les couleurs préparées à l'atelier étaient enfermées dans des vessies de porc, ce qui rendait difficile les manipulations de broyage des pigments et la préparation des liants.

Présentée dans le cadre superbe de l'annexe de l'auberge Fournaise, l'exposition très didactique explore tous les thèmes pouvant servir aux explications à la fois de la technique et de la vie des artistes "de la Seine". Ouverte le 5 mai 2010, elle est prolongée jusqu'au 31 octobre.

Un petit regret égoïste toutefois, l'oubli du rôle éminent de Julien Tanguy  dit le  père Tanguy auprès des peintres de cette période, qui entre 1868 et 1870* fréquentaient tous les lieux où se trouvaient ceux qui étaient susceptibles de lui acheter ses fournitures qu'il transportait dans sa "pacotille" (caisse en bois de colporteur) Renoir entre autres figurait parmi ses clients, bien que Mulard fût son marchand attitré.

Plan de l'exposition

- La fabrication des couleurs anciennes.

- Un nouveau métier : le marchand de couleurs.

- Histoire de la maison Lefranc

Les peintres utilisant la peinture en tubes.

.........

Pendant cette période, Tanguy qui était concierge au 10  rue Cortot, broyait et préparait ses tubes dans sa minuscule loge (de 2,60 X 3,50 mètres) qui lui servait d'appartement, et d'atelier. Puis il allait sur les bords de Seine, là où se trouvaient les impressionnistes, La guerre de 1870, puis la Commune de Paris interrompirent ses activités de marchand ambulant.

Article du mois de novembre 2007 :

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LA BELLE ALPHONSINE FOURNAISE (après épousailles est devenue "madame Papillon")

Ce lieu est devenu célèbre depuis que Maupassant* et Renoir l'ont immortalisé dans des romans et des tableaux. Alphonse Fournaise (1823-1905) était un charpentier de bateaux installé sur l'île de Chatou. Parallèlement, il avait ouvert un restaurant tenu par sa femme et son fils Alphonse. Inutile de préciser que leur fille Alphonsine n'était pas étrangère au succès de l'auberge. Et, par sa beauté était l'objet de l'attention des peintres attirés autant par elle que par la cuisine, le bal, le paysage et le confort de l'hôtel. C'est le fils Alphonse qui veillait à la location des bateaux.
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L'homme à la pipe (Alphonse Fournaise)
Degas a également fréquenté comme beaucoup d'autres artistes "la maison Fournaise" qui ferma ses portes en 1910 apprès la grande crue de la Seine. La ville de Chatou acheta la ruine en 1979, restaura l'endroit et en fit avec une association des amis de Fournaise, un musée** dans un ancien garage à bateaux attenant à l'auberge.

10:54 Publié dans Evènement | Tags : julien tanguy, renoir, alphonsine | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

21/06/2010

Faut-il hurler avec les loups ? Le pain et le cirque, Allez les boeufs !

Faut-il hurler avec les loups ?

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Panem et circenses (quoi qu'c'est donk ce cirque ?)

"Voir un monde dans un grain de sable.

Et un ciel dans une Fleur.

Tenir l'infini dans la paume de la main.

Et l'éternité dans une heure.
Pour celles et ceux qui préfèrent entrer en méditation ,

plutôt que de bêler avec les moutons ou encore de hurler avec les loups »

William Blake

Faut-il participer à des critiques contre ceux qui étaient encensés par ceux-là même qui il y a quelques temps les portaient aux nues. Il suffit de relire les titres des journaux, presse radios ou télévisés qui tous organisaient la grande séance de décervelage. Ils avaient convoqué pseudo-philosophes autoproclamés, écrivains, hommes et femmes politique de tous bords, unanimement cocardiers.

Plus la peine de penser braves gens ! On a convoqué pour vous depuis des mois, jusqu'à la nausée : philosophes auto-proclamés, écrivaillons, chanteurs pour minettes hystériques, publicitaire hâlé, l'inévitable Tapie, et tous ceux, presse, radios, télévisions, hommes et femmes politiques étaient unanimes : Il fallait soutenir "les bleus"!

Du jour au lendemain "Pâtres chiens et moutons, toute la bergerie", ceux-là même qui les avaient porté aux nues leur sont tombé dessus....

Pourquoi tant de haine ?

Ce qui s'est dit dans le vestiaire ? C"est ce que l'on entend sur les stades lors de rencontres de matchs de football.

Pas plus, pas moins. Même pas un "Casse-toi pôve con!", ni "Pas  vu pas pris!" , encore moins "Mets ton doigt dans mon" en quatre langues.

Je dis à tous ces gens là:

Allez-les-boeufs !!!!

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17/06/2010

Le dévoilement d'une plaque en hommage à Arthur Rimbaud

Par Bernard Vassor

Suite de la notice du 26/05/2010.

Bateau ivre 05.jpg

 

 

Le mercredi 13 juin, l'Association Internationale des Amis de Rimbaud,(à l'initiative encore une fois de l'infatiguable Dominique Lejay) a fait apposer une plaque à l'angle de la rue Bonaparte et de la rue du Vieux Colombier.

Devant une assistance nombreuse, composée en majorité de rimbaldophiles cette plaque a été dévoilée par le maire du sixième, et des membres des "Amis", dont mon amie, l'arrière petite-nièce d'Arthur.

Il s'est agi de commémorer la présence de Rimbaud le 30 décembre 1871 au premier dîner des"Vilains bonshommes" ou comme le dit Verlaine, des "doigtpartistes"*

L'intention était de rappeler que ce jour là, Arthur avait pour la première fois lu le fameux poème "Le Bateau Ivre" au premier étage du café de Fernand Denogeant situé alors à cet emplacement.

L'ennui, c'est que personne ne sait avec certitude quels poèmes ont été lus ce soir là ! Des "spécialistes" qui l'avaient affirmé, se sont déjugés dernièremenjt en disant "peut-être" ou "certainement". Un éminent rimbaldien m'a confié en privé, qu'il n'était "sûr de rien, mais que cela n'avait aucune importance".

Voici quels étaient les membres présents ce soir mémorable :

Théodore de Banville, Paul Verlaine,  Ernest d'Hervilly, Jules Soury, Léon Valade, Henri Maître, et de quelques autres, que la postérité n'a pas reconnu.

 

JACQUELINE bateau ivre.jpg

.............................

*Comme le révèle Michael Pakenham, ce néologisme est formé sur le modèle de "bonapartiste", car le critique qui avait surnommé "vilains bonshommes" les jeunes gens qui avaient applaudi "Le Passant" de Copée, avait ajouté : "S'ils croient avoir trouvé une nouvelle forme de l'Art, ils se mettent le doigt dans l'oeil". Inutile de rappeler le sens obscène du mot oeil à l'origine, pourtant utilisé crûment par une certaine dame très haut placée aujourd'hui, qui a traduit cette expression en plusieurs langues en utilisant le sens original de cette formule.

10/06/2010

Foot ball : « Un sport sans avenir, une influence abrutissante , une fureur bestiale»

Par Bernard Vassor

Football 1900 02.jpg

Comme nous l’avons vu dans une note précédente sur ce blog, le foot ball moderne est né en Angleterre autour des années 1850. Déjà, le philosophe évolutionniste Herbert Spencer (1820-1903) critiquait sévèrement le foot ball en l’accusant « d’exercer une influence abrutissante ». La romancière George Eliot (1819-1880), quand à elle, condamnait sans appel le foot ball, « comme n’étant rien qu’une fureur bestiale et une extrême violence ». Tous considéraient que cette pratique sportive n’avait aucun avenir. L’ancien communard montmartrois (du 61° bataillon) Paschal Grousset promoteur de la régénération par le sport, estimait que « c’est un jeu rude et grossier, un jeu de goujats ».
C’est en 1888 que naissait officiellement en France le football. D’abord pratiqué (comme en Angleterre) dans des rencontres entre écoles ou collèges, la première, interscolaire, opposant l’Ecole Monge (disparue) à l’Ecole Alsacienne. Un chroniqueur sportif chauvin et xénophobe, tout en rappelant « la décadence du peuple et la dégénérescence de la race anglaise » prétendait, au moment de l’exposition universelle de 1900, que ce jeu était d’origine française…. ! Rappelant que « la soule » était pratiquée au moyen-âge en Normandie et en Bretagne et qu’il avait traversé la Manche pendant la conquête par les Normands. Ce même brave homme prétend que les jours du football sont comptés en France, « car le français dégénéré va plus volontiers au ballon ovale ; dans vingt ans le rugby seul triomphera ».

Conclusion d’un article durant l’Expo U. de 1900 :

« Cette vogue accordée en France à « l’Association » (de football) qui compte cinquante pratiquants pour vieux crétins qui ne peuvent admettre ricanaient :

-Ca ne prendra jamais, jamais ! Je vous l’avais bien dit. Laissons donc aux Anglais leur bouboule ! »

(…) Encore quelques années de patience et nous verrons sur les terrains de football en France des foules aussi considérables que celles qui suivent en Angleterre les grands matches de la saison.

BLOG TV5MONDE :

La Coupe du monde en Afrique du Sud vue par le blog planétaire

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09/06/2010

Message à quelques lecteurs

Par Bernard Vassor

Merci à tous ceux qui m'adressent des félicitations et des encouragements chaque semaine.

Je voudrai, pour d'autres, indiquer que je ne suis expert en aucune matière. Je ne peux donc pas leur répondre pour ce qui concerne des estimations d'objets, de documents, ou de livres, encore moins à distance. Je suis submergé de propositions d'achats de ces objets que je ne suis pas en mesure d'acheter.

Cordialement

B.V.

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06/06/2010

Une fourmi de dix-huit mètres, avec un chapeau sur la tête, si, ça existe !!!

par Bernard Vassor

Et ! Pourquoi pas ?

Desnos fourmi de 18 mètres.jpg

La galerie de Brooklynn "Invisible Dog" de Lucien Zayan, expose une sculpture de 18 mètres de long  et 4 mètres de hauteur avec un canotier sur la tête.

C'est l'artiste Xavier Roux qui lui a donné vie.

Un article de Sylvain Cype, dans "Le Monde", indique : "Une tonne et demie d'acier et de pattes enserrent quatre ballons ultra légers en polyuréthane et nylon cousus sur mesure".

En 2005, Xavier Deroux avait proposé son oeuvre à la Mairie de Paris en 2005 pour le 60° anniversaire de la libération des camps de concentration. Mais, "Il fallait passer par New York pour montrer que c'était possible. Maintenant on discute pour la faire entrer en France".

Bientôt, un square portera le nom de Robert Desnos (1900-1945)......

 

LA FOURMI

Une fourmi de dix-huit mètres

Avec un chapeau sur la tête,

Ça n'existe pas, ça n'existe pas.
Une fourmi traînant un char
Plein de pingouins et de canards,
Ça n'existe pas, ça n'existe pas.
Une fourmi parlant français,
Parlant latin et javanais,
Ça n'existe pas, ça n'existe pas.
Eh! pourquoi pas?

.......................

Le site des Amis de Robert Desnos :

http://www.robertdesnos.asso.fr/index.php

Et :

The Invisible Dog

51 Bergen Street

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04/06/2010

BICENTENAIRE DE LA NAISSANCE DE FELIX PYAT (1810-2010) par Guy Sabatier

Par Guy Sabatier

Felix Pyat. image cadre.jpg
Félix Pyat est né à Vierzon dans le Cher d'un prêtre défroqué après 1789 (devenu ensuite avocat légitimiste avec la Restauration) et d'une nonne décloîtrée, le 3 octobre 1810. On comprend pourquoi la révolution française l'influença. Il fit des études au collège royal de Bourges où Jules Sandeau était son condisciple. Ensuite, son père l'envoya à Paris pour faire des études de droit en vue d'embrasser la carrière du barreau. Mais il participa à la révolution de 1830  avec les Etudiants des Ecoles, puis il fréquenta les cercles littéraires du quartier latin. Il connut George Sand avec laquelle il n'eut pas d'atomes crochus et commença une carrière de journaliste au "Figaro" (alors républicain) grâce au berrichon Henri Delatouche. Il abandonna la perspective de devenir avocat et c'est à partir de 1832 qu'il commença à avoir du succès avec ses "mélodrames de la république sociale" : Une Révolution d'Autrefois ou les Romains chez eux, Une Conjuration d'Autrefois, Arabella, Le Brigand et le Philosophe, Ango, Les Deux Serruriers, Cédric le Norvégien, Mathilde, Diogène...Il obtint un triomphe avec Le Chiffonnier de Paris interprété par Frédérick Lemaître au théâtre de la Porte Saint-Martin ! Journaliste à la Revue du Progrès, au Journal du Peuple, à La Réforme, il connut plusieurs démocrates-socialistes : François-Vincent Raspail, Louis Blanc, Godefroy Cavaignac, Alexandre Ledru-Rollin, Victor Considérant et les disciples de Fourier, Félicité de Lamennais...
Quand éclate la Révolution de Février 1848,  il est nommé commissaire de la République à Bourges par le gouvernement provisoire. Ensuite, il est élu Représentant du Peuple à l'Assemblée Constituante. En Juin, il parcourt les barricades pour dissuader les ouvriers d'engager un combat qu'il estime désespéré.
A la Tribune, il défend ardemment le "Droit au Travail" pour qu'il soit inscrit dans le préambule de la Constitution et il s'oppose à la proposition de Tocqueville de créer un président de la République, de surcroît élu au suffrage universel. Avec le groupe de la Montagne, il dénonce l'expédition militaire envoyée par le Prince-Président à Rome pour défendre les Etats pontificaux contre les républicains italiens. Mais leur manifestation du 13 Juin 1849 est réprimée et il doit s'exiler à 38 ans, en pleine gloire mélodramatique. Avec le coup d'Etat de Napoléon III puis la Commune, il restera pratiquemment trente ans hors de France.
Il se réfugie en Suisse (Lausanne et canton de Vaud), puis en Belgique où il fait jouer un nouveau mélodrame à Bruxelles, en 1855 : Une Famille anglaise, enfin en Angleterre. Il retrouve les milieux des proscrits qui ont émigré à Londres. Il rompt avec Ledru-Rollin et fonde le Groupe de La Commune Révolutionnaire qui deviendra, en 1864, la section française en exil de l'Association Internationale des Travailleurs. Il rédige de nombreux libelles incendiaires contre le second empire qu'il proclame lors de meetings enflammés et qu'il fait pénétrer clandestinement en France. Il soutient "l'Indien Juarez" dont les partisans mexicains fusillent l'empereur Maximilien qui avait été placé sur le trône avec le bon vouloir de Napoléon III et l'aide de l'armée du général Bazaine.
Cependant, en 1869, il accepte la seconde amnistie impériale et rentre en France. Mais son séjour sera bref car pour dénoncer l'assassinat du journaliste Victor Noir, il écrit son fameux toast à une petite balle qui en appelle au meurtre de l'empereur. Condamné, il repart à Londres. Mais il revient à la suite de la défaite de Sedan et de la proclamation de la République le 4 septembre 1870. Pendant le siège de Paris, il fonde un journal intitulé Combat qui critique la frilosité des républicains modérés face à l'occupation prussienne et révèle la capitulation de l'armée de Bazaine enfermée dans Metz.
A la suite des événements de janvier 1871, il crée un autre journal : Le Vengeur dont il sortira une autre série durant La Commune de Paris. Après l'insurrection du 18 mars, Félix Pyat se rallie au mouvement, il est élu comme membre de la Commune dans le Xe arrondissement et siège à l'Hôtel-de-Ville. Quelques affaires vont un peu ternir sa participation : il va s'opposer en particulier au général Rossel qu'il soupçonne d'être un apprenti dictateur et cela l'amène à prendre des décisions malheureuses sur le plan militaire (affaire du Moulin-Saquet). Voulant appliquer les vieilles recettes de la Révolution française, il impose majoritairement un Comité de Salut public. Benoît Malon le traitera de "mauvais génie de la Commune". En outre, après être apparu sur une barricade, Pyat (âgé de 61 ans) disparaît lors des premiers jours de la semaine sanglante. Ce manque de combativité lui sera reproché violemment par Lissagaray dans son Histoire de la Commune où il se montre fanfaron et donneur de leçons avec le sang des autres.
Contrairement à une légende qui le prétend parti immédiatement à l'étranger, Pyat demeure plusieurs mois dans les alentours de Paris et ne regagne Londres qu'en 1872. Il va passer huit années difficiles en reprenant l'écriture de différents libelles contre les opportunistes de la IIIe République.
L'amnistie des communards lui permet de revenir en France en 1880. Avec sa compagne, la modiste Henriette Rigot, il s'installe à Saint-Gratien, 35 rue d'Ermont, qui sera sa dernière demeure. Il participe à plusieurs journaux éphémères, toujours sur la ligne de la République sociale. Il essaye de faire rejouer ses anciens drames et en écrit un nouveau L'Homme de Peine qui est joué au théâtre de l'Ambigu-Comique mais qui n'a pas de succès. Après la mort de Jules Vallès, Séverine dirige Le Cri du Peupleet Félix Pyat rentre dans la rédaction. Outre des articles politiques, Il y fait paraître en feuilleton un roman inspiré de sa fameuse pièce Le Chiffonnier de Paris. Cependant, l'affaire Boulanger bouleverse la scène politique. Lors d'une partielle à Marseille, en 1888, Pyat soutenu par les socialistes de la région (La Voix du Peuple) se présente contre le général et il est élu. Il quitte Le Cri du Peuple car ses collaborateurs, les guedistes et d'autres sont de plus en plus attirés par la mouvance boulangiste.
Pyat siège à la chambre des députés avec Zéphyrin Camélinat et un petit groupe de députés d'extrême-gauche. Fidèle au principe du mandat impératif, il se rend à Marseille tous les six mois pour rendre des comptes à ses électeurs.
Entouré de Jules Perrier et d'Eugène Protot (délégué à la justice sous la Commune),
Pyat décède dans sa maison de Saint-Gratien le samedi 3 août 1889, à huit heures du soir.
Guy Sabatier, le 4 juin 2010.
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Pour célébrer ce Bicentenaire, nous publions un livre qui, outre une présentation, contient le drame inédit Médecin de Néron (écrit en 1847-1848) que Pyat avait conservé dans ses bagages pendant son exil. Le manuscrit fut confié à l'ouvrier-bijoutier Henry Mathey (ex-commandant en second du fort de Vanves pendant la Commune) qui le recopia en plusieurs exemplaires du fait de son admiration pour Pyat. Mathey mourut à l'hospice de Brévannes en 1913 et Lucien Descaves qui lui avait rendu visite, récupéra un exemplaire. Il figure dans ses Archives conservées à l'Institut International d'Histoire Sociale d'Amsterdam.
Comment guérir un empereur, incarnation du mal absolu, pour qu'il cesse définitivement de nuire, tel est l'intrigue de ce drame ? On y voit à l'oeuvre le socialisme utopique, humanitaire et eschatologique de Félix Pyat.
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26/05/2010

Arthur Rimbaud : une plaque va être apposée sur la façade de l'immeuble où le jeune poète aurait lu "Le Bateau ivre"pour la première fois en public

Par Bernard Vassor

Bateau ivre 05.jpg

C'est sur la façade de cet immeuble à l'angle de la rue Bonaparte et  du Vieux-Clombier, que va être apposée la plaque indiquant que le 30 septembre 1871, où Arthur Rimbaud aurait lu

( semble-t-il ?) pour la  première fois son poème intitulé "Le Bateau ivre", se tenait là un dîner des "Vilains-Bonshommes"au premier étage du restaurant  de Fernand Denogeant donnant sur la place Saint-Sulplice. Étaient présents à cette réunion : Théodore de Banville, Paul Verlaine,  Ernest d'Hervilly, Jules Soury, Léon Valade, Henri Maître, et de quelques autres dont nous ignorons la présence ce jour-là.

Dans une lettre de Léon Valade, on trouve cette description : "Je veux vous apprendre qu'on y a vu un petit bonhomme de 17 ans, dont la figure en annonce à peine 14, et qui est le plus grand exemple de précocité mûre (..) Arthur Rimbaud, retenez ce nom, qui...sera celui d'un grand poète* (..)

C'est "l'Association des Amis de Rimbaud" qui est à l'origine de cette initiative avec la mairie du 6° arrondissement en association avec ......

*Collection Eric Buffetaud

 

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23/05/2010

Francisco Ferrer : conférence illustrée, les Jeudis du Bocata par Dominique Delord

Par Bernard Vassor

Ferrer Bocata 06.jpg

 

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17/05/2010

Festival International de la Diversité Culturelle organisé par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO)

Le Service Culturel de l’Ambassade du Pérou a le plaisir de vous informer du

Festival International de la Diversité Culturelle

organisé par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO)

à l’occasion de la journée mondiale de la diversité culturelle pour le

dialogue et le développement (21 mai)

du lundi 17 au mercredi 26 mai 2010

Exposition Amérique latine et Caraïbes, l’invention permanente de la diversité,

avec la participation de la photographe péruvienne

Martha Sam Hertelendy

Hall Segur et Halle desPas Perdus

Vendredi 21 mai à 16h00

Projection du film

L’énigmes de Nasca de Thierry Ragobert

Salle de Cinéma

Vendredi 21 mai à 19h00

Concert

La diversité en fête aux rythmes de l’Amérique latine et des Caraïbes

avec la participation du groupe péruvien Chinchivi entre autres

Salle 1

Maison de l’Unesco

7, place de Fontenoy, Paris 7ème

125, avenue de Suffren - Paris 7 ème

22:51 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

09/05/2010

Un dénouement dans l'affaire qui empêchait Pierre Etaix de disposer de ses oeuvres cinématographiquess

Une information de association « Il Etaix une fois » est heureuse de vous annoncer la FIN HEUREUSE & DÉFINITIVE de l’imbroglio juridique qui bloquait depuis de nombreuses années la ressortie des films de Pierre Etaix !
La restauration des négatifs a ainsi pu reprendre en vue de la ressortie prochaine de l'ensemble des films de Pierre Etaix (il y aura même un inédit ! ) *
Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, nous avons l'immense plaisir de vous annoncer la sélection du film «Le grand amour » au 63 ème Festival de Cannes. Il sera projeté en présence de Pierre Etaix,  le 19 mai à 17 heures, salle du Soixantième dans la programmation « Cannes Classics ».
A cette occasion, et afin lui permettre de poursuivre les actions entreprises, l'association « Il Etaix une fois », en accord avec Pierre Étaix, édite en souscription « La Cène de Pierre Étaix », vibrant hommage au grand Léonard et aux maîtres du « slapstick » américain.
La cene etaix petit.jpg
Cette édition d'art de grand format (80 X 60 cm) sera réalisée dans les ateliers Héliog (héliogravure au grain & tirage sur presse taille douce). Le tirage de cette oeuvre est strictement limitée à 98 exemplaires numérotés et signés. Un certificat justifiant chaque exemplaire sera délivré par l'atelier et contre-signé par Pierre Etaix.
Pour en savoir plus et réserver un tirage il vous suffit de visiter ce lien:
D'autres bonnes nouvelles ne devraient pas tarder à tomber… Nous vous en informons au plus vite et vous remercions encore une fois pour votre aide et votre soutien.
* Si vous souhaitez plus d’infos sur la ressortie des cinq longs métrages et des trois courts métrages (dont un inédit) de Pierre Etaix, n'hésitez pas à nous contacter à cette adresse : etaixasso@gmail.com.

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07/05/2010

ERCKMANN-CHATRIAN premier site consacré à Émile ERCKMANN (1822-1899) et Alexandre CHATRIAN (1826-1890), par Noêlle Benhamou

SITE CRÉÉ À L'OCCASION DES 110 ANS DE LA MORT D'ÉMILE ERCKMANN

ErckmannChatrian. NOELLE archives.jpg

Noëlle Benhamou nous donne ici des informations sur ces auteurs associés et une oeuvre complète chaque mois. Comme pour son site consacré à Maupassant, vous trouverez bon nombre de documents une biographie, une bibliographie et des liens sur des sites où sont recensés ci-dessous des sites et ressources électroniques qui peuvent intéresser tout internaute désireux de trouver des informations sur la littérature et les arts. Pour faciliter la consultation, nous avons classé ces sites. Si vous désirez échanger un lien internet avec ce site, vous pouvez contacter le Webmaster

Sur Erckmann-Chatrian
















En l'absence d'un autre site sur le duo lorrain, on trouvera quelques pages figurant sur des sites divers.

- Fiche Erckmann-Chatrian, par Noëlle Benhamou sur le site Alalettre.

- La Société Littéraire des Amis d’Alexandre Chatrian, à Abreschviller (57560).

- Le Mariage de l'Ami Fritz, site de cet événement ayant lieu chaque année à Marlenheim (67520)

- Page sur Erckmann-Chatrian, sur le site des collège et lycée de Phalsbourg.

- Page Erckmann-Chatrian, sur le site de la Ville de Phalsbourg.

- Page Erckmann-Chatrian sur le site 1789-1815.com.

- Jean Aicard, société des Amis de l'écrivain.

- Balzac à l'étude, site scientifique de Paris IV-Sorbonne consacré à l'écrivain.

- Jules Barbey d'Aurevilly, site de D.J. Cocksey.

- Charles Baudelaire, site de David Smajda.

- Alphonse Daudet, site de l'Association des Amis d'Alphonse Daudet.

- Lucien Descaves, site de la Société littéraire des amis de Lucien Descaves.

- Dubut de Laforest, site sur Jean-Louis Dubut de Laforest et son oeuvre.

- Alexandre Dumas, site l'association des Amis d'Alexandre Dumas père.

- Alexandre Dumas, suites, plagiats, pastiches et hommages, site créé par Patrick de Jacquelot.

- Gustave Flaubert, site de Jean-Benoît Guinot.

- Théophile Gautier, site de la Société Théophile Gautier.

- Goncourt, site de la société des amis des frères Goncourt.

- Remy de Gourmont, site de l'Association des Amateurs de Remy de Gourmont.

- Huysmans, site anglais de Brendan King.

- Maldoror, site sur Lautréamont par Michel Pierssens.

- Jean Lorrain, site de Christine Serin.

- Mallarmé, site de François Direz.

- Hector Malot, site des amis d'Hector Malot.

- Maupassantiana, site de Noëlle Benhamou consacré à Guy de Maupassant et à son oeuvre.

- Prosper Mérimée, sur le site du Ministère de la culture.

- Prosper Mérimée, site américain de Corry Cropper.

- Société Octave Mirbeau, site de Pierre Michel.
2e site de la société http://www.mirbeau.org/

- Amitié Nerval, site de Hisashi Mizuno sur Gérard de Nerval.

- Raoul Ponchon, blog des frères Monnier.

- Pour Jules Renard, site créé par Françoise Pique.

- Jean Richepin, site créé par Éric Mie.

- George Sand, site des Amis de George Sand créé par Cécile Pichot.

- The George Sand Association, site en anglais de David A. Powell.

- Marcel Schwob, site des Amis de Marcel Schwob.

- Eugène Sue, site de Laurence Cany et Judicaël Denecé.

- Les Commérages de Thybalt, site sur Laurent Tailhade créé par Gilles Picq.

- Comprendre Tchekhov, site de Françoise Darnal-Lesné sur Anton Tchekhov.

- Jules Vallès, site des Amis de Jules Vallès.

- Jules Vallès, site de Emmanuel Rolhion et Cyril Soulliage.

- Paul Verlaine, site officiel du poète.

- Jules Verne, site du Centre International Jules Verne.

- The Oscholars, site de David C. Rose sur Oscar Wilde.

- E.Zola, site de Jean-Sébastien Macke sur Zola, ses liens avec la musique et le compositeur Alfred Bruneau.

- Émile Zola, site québécois d'André Paillé.

- Alalettre, site littéraire.

- L'Artino, portail de l'actualité culturelle et littéraire.

- Association des Amis du Roman Populaire, site de l'AARP (Amiens).

- Bibliomonde, site consacré aux littératures du monde entier.

- Centre d'études du XIXe siècle Joseph Sablé, site canadien hébergé par l'université de Toronto sur la littérature française du XIXe.

- Exigence littérature, site sur la francophonie.

- Fabula, site de recherche en littérature.

- Fédération des maisons d'écrivains et des patrimoines littéraires.

- Frankreich Experte, un aperçu de la littérature française en allemand.

- Le Liseur de nouvelles, site sur la nouvelle créé par René Godenne. Voir aussi la partie Le Tour du monde de la nouvelle en 80 recueils.

- René Godenne, site consacré au spécialiste de la nouvelle et à ce genre.

- La République des Livres, blog de Pierre Assouline.

- La Société des études romantiques et dix-neuviémistes, site de la SERD.

- Taste of Book, le site des dévoreurs de livres.

- L'Assiette au beurre, revue illustrée, satirique et libertaire de 1900.

- Australian Journal of French Studies, revue de Monash University (Australie).

- Belphégor, Littérature populaire et culture médiatique, revue dirigée par Vittorio Frigerio.

- Le Boudoir des Gorgones, revue de littérature étrange et fantastique créée par Philippe Gontier.
Le Boudoir des Gorgones

- Les Cahiers naturalistes, revue consacrée à Émile Zola et au naturalisme.

- La Frusta letteraria, Rivista di informazione e critica culturale, revue italienne sur la littérature.

- Maupassantiana, revue électronique bi-mestrielle gratuite sur l'actualité maupassantienne.

- Le Rocambole, Bulletin des Amis du Roman Populaire.

- Autour du Père Tanguy, association fondée par Bernard Vassor.

- Caricatures et caricature, site consacré à la caricature en général mais présentant de nombreux dessins du XIXe.

- ABU, l'Association des Bibliophiles Universels.

- Archives.org, documents textuels numérisés et audio-visuels en accès direct.

- Bibliothèque électronique de Lisieux, catalogues et livres numérisés. Rayon Erckmann-Chatrian.

- Bibliothèque électronique du Québec, livres numérisés. Rayon Erckmann-Chatrian.

- Bibliothèque nationale de France, catalogue, signets et livres en ligne.

- Bibliothèque Nationale et Universitaire de Strasbourg.

- Bibliothèque Publique d'Information (BPI), centre Georges Pompidou, Beaubourg, catalogue en ligne.

- The British Library, Catalogues.

- Europeana, Bibliothèque Numérique Européenne, catalogue et livres numérisés.

- Livres-online.net, librairie d'ebook à télécharger ou lire en ligne.

- Numilog, votre librairie de livres numériques (Ebooks).

- Dictionnaire International des Termes Littéraires.

- Encyclopédie de l'Agora.

- Le Trésor de la Langue française informatisé.

- Hôtel-Restaurant Erckmann-Chatrian à Phalsbourg, de Roland et Netty Richert.

- Musée de Phalsbourg.

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03/05/2010

Une exposition d'un photographe mexicain Alfonso Strag : Emotions péruviennes

Le Service Culturel de l’Ambassade du Pérou vous informe de l’exposition

du photographe mexicain

Alfonso Strag

Emotions péruviennes

du 6 au 29 mai 2010

du mardi au samedi  de 11h à 20h et le dimanche de 13h à 19h

El Inti - La boutique péruvienne

17 rue de Picardie - 75003 Paris

M° Temple ou Fille du Calvaire

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12/04/2010

Regard français sur l’Amazonie péruvienne. Rencontre avec Jacques De Guerny et Jacques Tournon

 

Le Service Culturel de l’Ambassade du Pérou vous informe

de la prochaine activité du Centre Culturel Péruvien

« Regard français sur l’Amazonie péruvienne »

Rencontre avec Jacques De Guerny et Jacques Tournon

Mardi 20 avril 2010 à 19h45 (précises)

Maison de l‘Amérique Latine

217 boulevard Saint Germain  - 75007 Paris

M° Solferino, Rue du Bac – RER Musée d’Orsay

Bus : 63, 68, 69, 73, 83, 84, 94

www.cecupe.com

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