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20/03/2011
Katsukita Hokusaï (Le vieux fou de dessin) : LA VAGUE (36 vues du Mont Fuji)
Par Bernard Vassor
Trente six vues du Mont Fuji (1831) : La grande vague de KANAGAWA.
Détail : Les occupants de ce frèle esquif, vivent certainement leurs derniers instants.
Les embarcations prises dans cette mer déchaînées sont ballotées. La vague qui menace va bientôt les ensevelir avec les navigateurs qui sont à leur bord. Personne ne peut faire barrage contre cette vague monstreuse. Les élément naturels sont inexorablement les plus forts. Au centre, le Mont Fuji trône majestueusement, symbole d'éternité.
Katsukita Hokusaï est de près de trente ans l'ainé d'Hiroshige, ses "trente six vues" sont bien antérieures aux cent vues d'Hiroshige. Il signait lui-même sous le nom de Gakyōjin, "vieux fou de dessin". Son influence a été considérable dans son pays, puis en France sur tous les impressionnistes. Il vit le jour à Katsukita, province d'Edo en 1760. Il fut l'inventeur de la "Manga", esquisse spontanée, romancier et illustrateur, son oeuvre est immense.
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19/03/2011
Sur les pas de Gervaise à la Goutte d'Or, une visite organisée par "Bastringue" par la conférencière du musée Carnavalet Véronique Reynaud.
PAR BERNARD VASSOR
Le mot assommoir provient du livre de Denis Poulot : "Le Sublime, ou le travailleur comme il est en 1870 et ce qu'il peut être" dont Zola s'est abondamment servi pour son vocabulaire populaire et argotique des ouvriers parisiens. Zola fut d'ailleurs accusé de plagiat. Le mot assommoir était un établissement que Denis Poulot décrivait comme un mannezingue (marchand de vin) où l'on servait de l'alcool frelaté.
Source Gallica
Alfred Delvau bien avant avait mentionné un cabaret portant ce nom à Belleville
"Le Bastringue à Château rouge" programme: la Goutte d'Or
Visites thématiques de Paris par Véronique Reynaud : LE PARIS DE
Société littéraire des Amis d'Emile Zola
En 1842, avant la naissance de Nana, le village de la Goutte d'OrUn escalier d'une maison anciennne rue de la Goutte d'Or
mis à jour le 19/03/2011
16:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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Petite histoire des "maisons" de la rue Rochechouart.
Par Bernard Vassor
Au XIX° siècle : au 18, hôtel des Arts tenu par Auguste Levellut (sic) au numéro 19, de 1846 à 1902, c’était uun « meublé » surveillé par la police des mœurs.. Au 37 Morissot Marie exerçait dans cet hôtel.. Le numéro 45 a été une maison de rendez-vous jusqu’en 1928 tenue par une « dite Marsa » Le numéro 62, illustre parfaitement ce qu’étaient certaines crémeries à l’époque dont le propriétaire fut jusqu’en 1905 un nommé Girbal.
Le 9 bis boulevard Rochechouart était la maison de rendez-vous d’une incertaine certaine dame Sarasin

L'historiographe Louis Fiaux ancien membre du Conseil municipal dans une étude parue en 1892, indiquait qu'il n'y avait aucune maison de tolérance dans le quartier Rochechouart ! "Les Maisons de tolérance en France, Leur fermeture, Georges Carré éditeur Paris 1892" il dresse un tableau des propriétaires d'immeubles consacrés aux tolérances (1870) :
07:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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18/03/2011
Montmartre : GAUDERIC VERDAGUER, un nom complètement oublié...
Par Bernard Vassor
Fusillé pour avoir crié :"Soldats, la crosse en l'air"
Le 18 mars au Moulin de la Galette
Il est inutile de chercher son nom sur internet, l'Histoire n'a pas retenu le nom de ce sergent du 88e de ligne qui donna l'ordre de mettre la crosse en l'air, refusant ainsi de charger et de tirer sur la foule assemblée sur la Butte pour s'opposer à la reprise des canons de Montmartre. Il fit partie des 25 hommees fusillés à Satory le 28 novembre 1871, accusé du meutre des généraux Lecomte et Thomas en compagnie de Herpin-Lacroix, Altdenoff et de Lagrange.
Je crois que son nom ne serait pas déplacé à Montmartre, pour baptiser une place, une rue ou une petite ruelle ?
Exécution des généraux Lecomte et Thomas, photomontage mensonger, mais qui nous permet de voire la cour intérieure du poste de garde du 61e bataillon de la Garde nationale
08:24 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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17/03/2011
Dans la nuit du 17 au 18 mars 1871 à Montmartre, les premières victimes des versaillais : Germain Turpin, Louis Blaise et Marguerite Boivin.
Par Bernard Vassor
Il est six heures, Paris s'éveille.
L'Assemblée nationale nouvellement élue, majoritairement composée de monarchistes de cléricaux et du Parti de l'Ordre, veut prendre des mesures pour annuler des mesures qui avaient été prises pour soulager la souffrance des parisiens assiégés : rétablir le fonctionnement du Mont-de-Piété, abrogation du moratoire sur les loyers, la suppression de l'indemnité des gardes nationaux (trente sous par jour), sauf pour ceux qui présenteront un certificat d'indigence. L'Assemblée décide aussi d'aller s'installer
à ,Versailles. L'annonce de toutes ces décisions provoque des remous chez les ouvriers, les artisans et les petits patrons conduits à la faillite pour les uns, et à la condition d'indigents pour ceux, sans travail, et bientôt sans toit.
Le 15 mars, les députés demandent à Thiers, alors chef du pouvoir exécutif, de désarmer la Garde nationale, et de lui enlever les 400 canons qui avaient été payés par souscription par les parisiens, pour la défense de Paris contre les prussiens. La Garde nationale avait fait mettre en lieu sûr des canons sur les Buttes de Montmartre et de Belleville aux Buttes Chaumont.
Thiers demanda le 17 mars au général Vinoy de reprendre ces canons le lendemain simultanément dans différents quartiers.
Pendant que Paris est endormi, sous les ordres du général Susbielle, on réveille les soldats et on distribue des armes. Les soldats se mettent en marche à 2 heures du matin.
Dans le XVIII° arrondissement, le général Susbielle qui installa son quartier général Place Blanche lança sa division forte de 4000 hommes à l'assaut de Montmartre, à 3 heures du matin tandis que la brigade Paturel, avenue de Saint-Ouen parvint au Moulin de la Galette en passant par les rues Marcadet, des Saules et Norvins, tandis que le général Lecomte passant par la place Saint-Pierre parvint jusqu'à la tour Solférino pour faire la jonction avec les troupes de Paturel.
GLOIRE AU 88è DE LIGNE !
Guide des sources de la Commune et du mouvement Communaliste, archives de Paris, la Documentation français Paris 2006.
"Le Champs des polonais"
Rue de la Fontenelle (ou rue des Rosiers, certains habitants lui donnant toujours ce nom sur les registres d'inscription de la Garde nationale, [D2R4], on trouve certains gardes inscrits aux deux adresses) C’est le samedi 18 mars vers 3 heures du matin que le Général Claude Martin Lecomte à la tête du 88° régiment de marche, tenta de récupérer les 171 canons payés par souscriptions des parisiens, qui avaient été parqués « au champ des polonais », l’espace occupé aujourd’hui par le Sacré-Cœur. Avec pour prétexte que ces canons auraient pu être récupérés par les prussiens ! Mon ami Jean-Paul Martineau, décédé il y a peu, ancien professeur de médecine à Lariboisière, historien des hôpitaux de Paris, raconte : « Une seule personne avait été affectée à la surveillance du parc d’artillerie, le garde national Germain Turpin, un maçon de 36 ans habitant passage Doudeauville. Il était de garde cette nuit là, auprès de fameux canons lorsqu’il entendit arriver la troupe de ligne, courageusement, il fit les sommations d’usage, mais la seule réponse qu’il reçut fut une décharge de fusil qui l’atteignit à l’abdomen et le coucha par terre. Louise Michel qui se trouvait de garde au poste de garde du 61° bataillon en haut de la rue de la Fontenelle* toute proche, accourut avec la cantinière Jeanne Couerbe*. Les deux femmes lui firent un premier pansement en déchirant leur propre linge. Le docteur Clemenceau maire du XVIII° arrivé sur place peu après lui prodigua les premiers secours sur place car le général Lecomte** soucieux de ne pas ameuter la population, s’opposa à ce que l’on transporta le blessé à l’hôpital, au scandale de l’assistance. Louise Michel parvint à le relever et le conduire à Lariboisière, on le coucha dans le lit n° 14 de la salle Saint-Ferdinand ( par la suite devenue Ambroise Paré) où atteint de péritonite affection que l’on ne pouvait pas opérer à l’époque, il agonisa 9 jours entouré de sa famille. Germain Turpin mourut heureux, disait-il d’avoir vu la Révolution. »(…) Deux autres blessés furent emmenés à Lariboisière, le premier Henri-Louis Blaise un tapissier du quartier agé de 21 ans survécut lui aussi neuf jours (…)la troisième victime Marguerite Boivin couturière agée de 37 ans qui faisait parti du groupe de femmes ayant arrêté la troupe et rallié les soldats, réussit à se rétablir au terme d’un séjour de 75 jours dans le lit 24 de la salle Sainte-Jeanne, d’une blessure des vaisseaux fémoraux. La descente des canons commença, mais, manquant d’attelage pour les emporter rapidement, les militaires restent sur place pendant que les montmartrois se réveillent et sortent de chez eux. Les tambours battent le rappel, les cloches de l’église Saint-Pierre sonnent le tocsin. La troupe est entourée par la foule, les Gardes nationaux se mêlent aux soldats. Le général Lecomte donne l’ordre de tirer sur la foule par trois fois, mais il n’est pas écouté, les soldats mettent la crosse en l’air. A 9 heures, le 88° régiment de ligne et les 152° et 228° bataillon fraternisent, le général est arrêté et conduit par ses officiers au « Château Rouge » siège du comité du XVIII°. Les gendarmes qui l’accompagnaient sont amenés à la mairie et retenus prisonniers".
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A cinq heures 45, l'armée est maîtresse de Montmartre. Paturel, dirige l'opération de reprise des canons du Champs Polonais pour les conduire aux Invalides. Par bétise ou impréparation, très peu de traits d'attelage, d'avant-trains et de chevaux sont mis à la disposirion des soldats pour la descente, plutôt à pic, d'engins pesant parfois près d'une tonne. A partir de 6 heures, les Montmartrois sont réveillés par le bruit des soldats, le roulemment des canons, tandis que Louise Michel parcourt les rues en criant à la trahison. Des tambours battent le rappel, on fait sonner le tocsin de l'église Saint-Pierre. De partout, femmes, enfants et vieillard montent au sommet de la Butte. Le général Lecomte ordonne aux soldats du 88e de ligne, de charger leurs armes et de mettre baïonnette au canon. A l'ordre qui leur est donné de tirer sur la foule les soldats du 88e mettent la crosse en l'air, certains jettent leurs munitions. Le général Lecomte est capturé par des gardes nationaux et des soldats de ligne rebelles, qui le conduisent au poste du Château Rouge où il fut rejoint par le général Clément Thomas, surpris, boulevard Ornano ( ou rue des Martyrs alors qu'il inspectait une barricade). Les deux hommes sont conduits au siège du 61e bataillon. Là, une foule ivre de colère se saisit de Clément Thomas, le pousse dans la cour, le pousse contre un mur et le tue debout, le chapeau à la main. Lecomte est à son tour tiré de sa cellule et abattu par des balles de chassepot dans le dos par des soldats ivres de colère, quelques uns même perdandant tout contrôle se précipitent et tirent à bout touchant les corps sans vie.
Place Pigalle, les soldats mettent aussi la crosse en l'air quand le général Susbielle ordonne de tirer sur la foule des Montmartrois descendus par la rue Houdon. alors, le général Susbielle, s'enfuit piteusement à cheval, perdant au passage son képi (il s'en souviendra en mai, lors de la reprise de Montmartre).
Voici quelques adresses de personnes présentes, habitant Montmartre ce jour là :
Le « brave père Tanguy »était concierge à l’Hôtel Demarne au 10 rue Cortot
Jean Baptiste Clément 10 Cité du Midi
Georges Clemenceau place des Abbesses, à la mairie du XVIIIe
Nina de Callias 17 rue Chaptal, Edmond Bazire est domicilié chez elle sur les registres du 116° bataillon.
Vavraud libraire du 1 rue Bréda (Henry Monnier)
le capitaine Mourot Jean-Jules, employé, habitant au 100 boulevard de laChapelle qui sera plus tard de garde à l’hôtel Thiers.
Le commissaire de police Martial Louis Antoine Noguès (14 rue Clauzel,)
Les Mauté de Fleurville, Charles de Sivry, 12 rue Nicolet
*Ces deux femmes étaient membres du Comitéde vigilance du XVIIIe arrondissement.
**Cette partie de la rue des Rosiers avait changé de nom en 1868 pour s’appeler la rue de la Fontenelle. Elle fut en partie déviée lors de la construction de la basilique jusqu’à la rue de la Barre.
Pour ce qui concerne l’emplacement du poste du 61° bataillon, différentes hypothèses ont été avancées.
**Lecomte a déclaré à Clemenceau : »Je ne sais ce que l’on fait dans les émeutes d’un cadavre qu’on promène sur un brancard »
Professeur Jean-Paul Martineau ; une histoire de l’Hôpital Lariboisière, L’Harmattan 2003
Archives de la Préfecture de police, BHVP, Archives de l’Assistance publique, Sham, Archives de Paris, personnelles, La Commune de Paris, William Serman, Fayard 1986.
Guide des sources du mouvement communaliste ouvrage collectif Paris 2006
17:13 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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15/03/2011
HIROSHIGE, UTAGAWA ICHIRIJUSAL, DIT LE "MEISHOESI", Fukushima 福島市 , sur la route du Tokaïdo 東海道.
PAR BERNARD VASSOR
"Cent vues du mont Fuji", la vague menaçante au premier plan, en arrière, un paysage paisible entoure le mont Fuji....
"Hiroshige est un impressionniste merveilleux.
Moi, Monet et Rodin en sommes enthousiastes.
Je suis content d'avoir fait mes effets de neige
et d'inondations; ces artistes japonais me confirment
dans notre parti pris visuel"
Camille Pissarro
Hiroshige Andô vit le jour en 1797 à Edo (Tokio). Il y mourut en 1858. Elève d'Utagawa Toyohiro(1773-1828), fut membre de clubs de poésie. Il exerça une influence considérable sur le mouvement impressionniste. Il produisit des surimono, estampes luxueuses avec rehauts d'or, sur papiers gaufrés, tirées à très petit nombre d'exemplaires privés, destinés à un public averti et cultivé. Ils échappaient ainsi aux règles de censure en vigueur édictées à la fin du dix-huitième siècle. Le dessin préparatoire devait avoir "l'imprimatur"de fonctionnaires du gouvernement chargés d'approuver ou de refuser l'impression de l'estampe. Un cachet potant la mention Kiwame (approuvé)devait figurer sur l'ukiyo e. La censure avait parfois du bon, car elle était calandaire, ce qui permet de dater l'oeuvre originale.
Hiroshige fut un paysagiste remarquable, il subjugua les peintres occidentaux. Wistler le tout premier, puis Monet, qui avait acheté ses premières estampes en Hollande en 1871, Manet, Pissarro,Gauguin et tous les membres de l'école de Pont-Aven, les graveurs fin de siècle, comme Henri Rivière, Signac dans ses paysages avec une utilisation particulière de la perspective. J'ai gardé pour la fin Vincent van Gogh qui se constitua une grande collection chez Bing rue Chauchat. Il avait sembe-t-il achEté sa première estampe à Anvers ?
Les marchands à Paris étaient Bing, Hayashi Tadamassa, Philippe Sichel rue Pigalle, et au tout début dans les années 1855 chez "la grosse madame Dessoye"(d'après les Goncourt) rue de Rivoli, et à "la Porte Chinoise"53 rue Vivienne ?.
19:23 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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Paul Gauguin, le symbolisme en peinture.
Par Bernard Vassor
Jaquette du film de la NHK, il y a deux ans environ, consacrée à la présence en France de la toile prêtée par le musée des Beaux Arts de Boston. Pour cette occasion, la télévision japonaise produisit ce document d'une heure trente, après d'importantes recherches sur Gauguin et de belles découvertes par l'assistante réalisatrice et la traductice Ako Kitamura Saïko, le film retrace la vie de Gauguin à Paris, puis, dans les différents pays qu'il a traversé, où il a vécu et où il est mort.
Sur le plan artistique, un artiste japonais a gravé sur bois, afin de produire un ukyoé
grandeur nature de cette toile , chef d'oeuvre du symbolisme. Nous pouvons ainsi comprendre toutes les étapes conduisant à la réalisation d'une estampe jaonaise. Formidable échange d'influences reçues par Gauguin de la part des artistes japonais qui lui donnent aujourd'hui ce vibrant hommage....un aller et retour de mutuelle admiration.
Un épisode de ce document se déroule dans la boutique du père Tanguy, où un amateur passionné décortique la fameuse toile du "Combat de Jacob avec l'ange" montrant ainsi la similitude de cette toile avec une Mangwa d'Hokusaï.
http://autourduperetanguy.blogspirit.com/archive/2009/06/...
"Loin, très loin, sur une fabuleuse colline, dont le sol apparît de vermillon rutilant, c'est la lutte biblique de Jacob avec l'ange.
""Tandis que ces deux géants de légende que l'éloignement transforme en pygmés, combattent leur formidable combat, des femmes regardent, intéressées et naïves, ne comprenant point sans doute ce qui se passe là-bas, sur cette fabukeuse colline empourprée (...)
Georges Albert Aurier
17:10 | Lien permanent | Commentaires (1) | | | |
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Un peintre de Pont Aven, de Pontoise et d'Auvers-sur-Oise : Gustave Loiseau, "L'historiographe de la Seine"
Par BERNARD VASSOR
Gustave Loiseau (3 octobre 1865-1935), naquit à Paris mourut à Paris. D'abord apprenti charcutier (comme le père Tanguy) il est ensuite placé chez un décorateur. Autodidacte, il décida de se consacrer entièrement à la peinture dès 1887 à Paris. Il suivit les cours de l'Ecole des Arts Décoratifs. Ami intime de Maxime Maufra, Emile Bernard et Henry Moret, dont il fit la connaissance en 1890 à la pension Le Gloanec 1890, où Gauguin le prit sous son aile. Il exposa chez Le Barc de Bouteville, puis, il sera sous contrat avec Durand-Ruel. Loiseau retourna souvent à Pont-Aven. Il voyagea surtout en Normandie en passant par la Seine, ce qui lui valut le surnom cité plus haut.
Maison près de Pontoise.
Il séjourna souvent à Pontoise, laissa de nombreuses oeuvres de cette ville où il fut inhumé, Il se rendit aussi fréquemment à Auvers-sur-Oise.
11:38 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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Epectase : ANTONIN DUBOST (le père la pudeur), mort en "Eros" au 10 rue des Martyrs
PAR BERNARD VASSOR
08:51 | Lien permanent | Commentaires (1) | | | |
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La Ruche, Alfred Boucher et les artistes de son temps : Soutine, Chagall, Modigliani, Blaise Cendrars, Fernand Léger, Kikoïne, Camille Claudel.
BERNARD VASSOR
07:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
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