Référencement gratuit

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« lun. 03 déc. - dim. 09 déc. | Page d'accueil | lun. 17 déc. - dim. 23 déc. »

16/12/2007

LE ROCAMBOLE A DIX ANS

f910664fd60c23c64b2dfa80b9a32f99.jpg
Crée en 1997, la revue Le Rocambole est éditée par l'Association des Amis du Roman Populaire. Au fil des années, des dossiers ont été consacrés à des auteurs connus (Ponson du Terrail, Hector Malot, Eugène Sue) ou moins connus (Gustave Aimard, Arthur Bernède, Frédéric Soulié) des genres, (le roman d'aventure, le roman d'espionnage) des éditeurs (le Masque, Pierre Lafitte, Fleuve noir, Offenstadt, Tallendier) des revues (l'Intransigeant, le Journal des Voyages). La revue publie aussi des documents rares (réédition d'articles anciens, contes publiés dans des revues du XIXet XXè siècle) ainsi que des notes de lecture sur les récentes publications. Le Rocambole s'impose désormais comme la revue du roman populaire.
Voir la liste complète le bulletin d'abonnement et le détail des différents numéros sur le site : http://lerocambole.com/
A paraître : le numéro 39-40, "L'éditeur Jules Talandier"; Un grand éditeur populaire qui lança la célèbre collection "Le Livre National".

15:35 Publié dans Actualités | Tags : Ponson du Terrail, Hector Malot, Eugène Sue, Gustave Aimard, Arthur Bernède, Frédéric Soulié, le Masque | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg! Digg

PIERRE GINZTBURGER

C'est avec tristesse, que nous apprenons le décès de notre ami Pierre Gintzburger, membre fondateur de notre association. Il était également ancien vice-président des "Amis d'Alexandre Dumas"

5937b24f66836164222e426e1efa8532.jpg

Nous adressons à Irène, son épouse et à sa famille tous nos sentiments de tristesse et d'affection.

Article à suivre

08:20 Publié dans Infos légales | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

90 RUE SAINT-DENIS

PAR BERNARD VASSOR

792f8960772e1015528130c1e848b979.jpg
Nous apercevons à droite sur cette gravure, le magasin de mercerie et soieries du 90 rue Saint-Denis. C'est dans ces parages qu'était située la célèbre boutique de madame Bertin marchande de mode. Il est curieux de noter aussi qu'un certain "monsieur Félix" tenait à l'enseigne du "Chien noir" un établissement faisant aussi commerce de soieries à l'angle de la rue Trousse-vache, qui fut repris ensuite par le père d'Eugène Scribe (article de décembre 2006).
Ce qui me permet de rectifier à la suite d'une conversation avec Jean-Claude Yon (professeur de l'Université de Versailles historien du spectacle, spécialiste de Scribe et d'Offenbach) de situé le Chat noir, non pas à l'emplacement où des inscriptions sur le bandeau de la devanture m'a laissé penser que c'était là "Au Chat noir".
 Après sa démolition, la maison fut reconstruite au numéro 30 actuel de la rue Saint-Denis.

07:45 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

15/12/2007

JANE ESMEIN AQUA-FORTISTE RIMBALDIENNE

PAR BERNARD VASSOR

d5e2ae2ef52d7935c7d7f3e988d61ea5.jpg
 
C'est en 1953, je crois que Jane Esmeina exposé des dessins à l'encre de chine, puis une série de dix eaux fortes illustrant les poèmes de Rimbaud. En 1986, elle produit une serie de dix planches couleurs avec des "marges harmoniques" pour le centenaire de la parution des "Illuminations" dans la revue "Vogue".Pour le cent cinquantenaire de la naissance d'Arthur, elle a exécuté une "Troisième suite pour cent cinquante ans", série de 15 albums de 15 planches, qui ont été présentées à la "Fondation Taylor", et pendant la célébration que j'avais organisée à la mairie du neuvième avec notre amie, la regrêtée Jacqueline Duvaudier, et Jean Laurent, le directeur la revue "Rimbaud vivant"
Dominique Lejay m'a donné les explications sur l'improvisation dans son abondante imagination qu'a donnée Jane Esmin pour la réalisation de son ex-libris : La scène que nous voyons est tirée d'une légende. A Orval, en Belgique, au bord d'un etang, un moine passant par là vit un poisson sauter hors de l'eau, lui tendit un anneau, et lui demanda de fonder une abbaye près de cet étang. L'abbaye existe. Le décryptage ne s'arrête pas là....
Le portrait d'Arthur que l'on voit est extrait du "Coin de Table"

10:05 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

14/12/2007

UN NOUVEL HOMME VERT ET NOTRE AMIE CHANTAL CHEMLA

23a2bbe939551b5dca7269d225638471.jpg
a suivre....

09:32 Publié dans ETUDES LITTERAIRES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

L'ABSINTHE

par Bernard Vassor

19b292d07a97c6e26fa8d714fca0524d.jpg

Les initiés aux mystères d’Isis portaient des rameaux  d'’absinthe

Ainsi qu’une abeille au matin

Va sucer les pleurs de l’aurore

Ou sur l’absinthe ou sur le thym.

Voltaire

Le nom de cette plante provient du grec apsinthion, qui signifie qu’il est impossible de boire. C’est une plante de la famille des composées. D’une odeur forte et pénétrante, et d’une saveur amère. L’utilisation intensive de la liqueur d’absinthe a provoqué des ravages jusqu’à son interdiction en 1914 par le préfet Hennion (le créateur des Brigades du Tigre). Le principe actif, l’absinthine, allait jusqu’à provoquer des crises d’épilepsie et il n’était pas rare sur les boulevards, « à l’heure de la fée verte » de voire des médecins appelés à la hâte dans les cafés des boulevards, soigner des client en pleine crise de delirium ou d’épilepsie.

A SUIVRE

 

09:05 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg! Digg

13/12/2007

A PROPOS DE LA DÉMOLITION DE LA COLONNE VENDÖME

PAR BERNARD VASSOR

c408ad6459e203659c74afcbd6b60785.jpg
Pour faire suite à mon article publié en octobre 2005 sur "Terres d'écrivains"
et dans le "Gavroche" paru en 2004, intitulé : "Cette chute de la colonne".

Aujourd’hui encore, beaucoup d'historiens se posent la question de la responsabilité de la démolition de la colonne Vendôme par Gustave Courbet. Il est pourtant clair que si Courbet était en charge pendant la Commune de l'exécution d'un décret de la commiossion executive de ladite Commune, il a cherché à préserver les bas-reliefs qu'il jugeait comme étant des oeuvres d'art. Il n'était pas élu au moment où le décret fut promulgué sous l'impulsion de Félix Pyat et surtout des membres du Comité de Salut Public. Ce que Courbet proposait en réalité d'après ce qu'il en a dit, c'était de déplacer cette colonne que beaucoup considéraient comme un symbole des guerres Napoléoniennes. Il faut se reporter aux proclamations de ses principaux accusateurs moins de 9 mois avant le soulèvement des Parisiens, pour constater que la justice du début de la troisième république était pour le moins aveugle et sélective. C’est fin septembre 1870 que « le Journal des Débats », par la parole de son patron l'adepte d'Auguste Comte, le positiviste Ratisbonne, , demandait : « Qu’on refonde au besoin la place Vendôme et ce bronze que n’ont jamais regardé les mères, trophée de nos fatales victoires et qui servira du moins, pour finir au salut de la patrie » Cette phrase n’étant pas très compréhensible, cinq jours plus tard, le 2 octobre, le journal revenait à la charge avec le soutien des citoyens Hérisson, avocat à la cour de cassation, maire, docteur Robinet adjoint au maire du sixième arrondissementet André Rousselle avocats ; Jozon, le docteur Goupil (qui sera membre de la Commune) qui ont signé cette déclaration commune : Outre l’utilité matérielle de cette mesure, il y aurait un avantage moral immense à débarrasser la France républicaine d’une image odieuse qui rappelle outrageusement une race exécrable et maudite ». 

Jules Ferry, le lendemain, fit adopter cette proposition par toutes les mairies de Paris; il fit dresser des trétaux sous la porte cochère de la mairie de Paris et là il appuya de ses discours la provocation et l'adhésion à la démolition de la colonne (Bulletin officiel de la municipalité de Paris du 2 octobre et jours suivants). Nous pouvons ajouter à la liste les frères Ernest et Athur Picard, les citoyens Delaby, Vinot, Camille Adam etc.. 

Archives de Paris

Guide des sources du mouvement communaliste et de la Commune de Paris, La documentation Française, 2007

Archives B.V.

15:35 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

All the posts