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16/12/2007
LE ROCAMBOLE A DIX ANS
15:35 Publié dans Actualités | Tags : Ponson du Terrail, Hector Malot, Eugène Sue, Gustave Aimard, Arthur Bernède, Frédéric Soulié, le Masque | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg
PIERRE GINZTBURGER
C'est avec tristesse, que nous apprenons le décès de notre ami Pierre Gintzburger, membre fondateur de notre association. Il était également ancien vice-président des "Amis d'Alexandre Dumas"
Nous adressons à Irène, son épouse et à sa famille tous nos sentiments de tristesse et d'affection.
Article à suivre
08:20 Publié dans Infos légales | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
90 RUE SAINT-DENIS
PAR BERNARD VASSOR
07:45 Publié dans Histoire des rues de Paris | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
15/12/2007
JANE ESMEIN AQUA-FORTISTE RIMBALDIENNE
PAR BERNARD VASSOR
10:05 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
14/12/2007
UN NOUVEL HOMME VERT ET NOTRE AMIE CHANTAL CHEMLA
09:32 Publié dans ETUDES LITTERAIRES | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg
L'ABSINTHE
par Bernard Vassor
Les initiés aux mystères d’Isis portaient des rameaux d'’absinthe
Ainsi qu’une abeille au matin
Va sucer les pleurs de l’aurore
Ou sur l’absinthe ou sur le thym.
Voltaire
Le nom de cette plante provient du grec apsinthion, qui signifie qu’il est impossible de boire. C’est une plante de la famille des composées. D’une odeur forte et pénétrante, et d’une saveur amère. L’utilisation intensive de la liqueur d’absinthe a provoqué des ravages jusqu’à son interdiction en 1914 par le préfet Hennion (le créateur des Brigades du Tigre). Le principe actif, l’absinthine, allait jusqu’à provoquer des crises d’épilepsie et il n’était pas rare sur les boulevards, « à l’heure de la fée verte » de voire des médecins appelés à la hâte dans les cafés des boulevards, soigner des client en pleine crise de delirium ou d’épilepsie.
A SUIVRE
09:05 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
13/12/2007
A PROPOS DE LA DÉMOLITION DE LA COLONNE VENDÖME
PAR BERNARD VASSOR
Aujourd’hui encore, beaucoup d'historiens se posent la question de la responsabilité de la démolition de la colonne Vendôme par Gustave Courbet. Il est pourtant clair que si Courbet était en charge pendant la Commune de l'exécution d'un décret de la commiossion executive de ladite Commune, il a cherché à préserver les bas-reliefs qu'il jugeait comme étant des oeuvres d'art. Il n'était pas élu au moment où le décret fut promulgué sous l'impulsion de Félix Pyat et surtout des membres du Comité de Salut Public. Ce que Courbet proposait en réalité d'après ce qu'il en a dit, c'était de déplacer cette colonne que beaucoup considéraient comme un symbole des guerres Napoléoniennes. Il faut se reporter aux proclamations de ses principaux accusateurs moins de 9 mois avant le soulèvement des Parisiens, pour constater que la justice du début de la troisième république était pour le moins aveugle et sélective. C’est fin septembre 1870 que « le Journal des Débats », par la parole de son patron l'adepte d'Auguste Comte, le positiviste Ratisbonne, , demandait : « Qu’on refonde au besoin la place Vendôme et ce bronze que n’ont jamais regardé les mères, trophée de nos fatales victoires et qui servira du moins, pour finir au salut de la patrie » Cette phrase n’étant pas très compréhensible, cinq jours plus tard, le 2 octobre, le journal revenait à la charge avec le soutien des citoyens Hérisson, avocat à la cour de cassation, maire, docteur Robinet adjoint au maire du sixième arrondissementet André Rousselle avocats ; Jozon, le docteur Goupil (qui sera membre de la Commune) qui ont signé cette déclaration commune : Outre l’utilité matérielle de cette mesure, il y aurait un avantage moral immense à débarrasser la France républicaine d’une image odieuse qui rappelle outrageusement une race exécrable et maudite ».
Jules Ferry, le lendemain, fit adopter cette proposition par toutes les mairies de Paris; il fit dresser des trétaux sous la porte cochère de la mairie de Paris et là il appuya de ses discours la provocation et l'adhésion à la démolition de la colonne (Bulletin officiel de la municipalité de Paris du 2 octobre et jours suivants). Nous pouvons ajouter à la liste les frères Ernest et Athur Picard, les citoyens Delaby, Vinot, Camille Adam etc..
Archives de Paris
Guide des sources du mouvement communaliste et de la Commune de Paris, La documentation Française, 2007
Archives B.V.
15:35 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg