Référencement gratuit

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« lun. 19 nov. - dim. 25 nov. | Page d'accueil | lun. 03 déc. - dim. 09 déc. »

02/12/2007

JEANNE DUVAL : LA VENUS NOIRE

PAR BERNARD VASSOR

Sed non satiata

Bizarre déité, brune comme les nuits,
    Au parfum mélangé de musc et de havane,
    Œuvre de quelque obi, le Faust de la savane,
    Sorcière au flanc d'ébène, enfant des noirs minuits,
   
    Je préfère au constance, à l'opium, au nuits,
    L'élixir de ta bouche où l'amour se pavane ;
    Quand vers toi mes désirs partent en caravane,
    Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis.
   
    Par ces deux grands yeux noirs, soupiraux de ton âme,
    Ô démon sans pitié ! Verse-moi moins de flamme ;
    Je ne suis pas le Styx pour t'embrasser neuf fois,
   
    Hélas ! Et je ne puis, mégère libertine,
    Pour briser ton courage et te mettre aux abois,
    Dans l'enfer de ton lit devenir Proserpine 

faf0b457cd50bb9eed4a73844ba491b8.jpg
Ce portrait a été réalisé à l'encre et au crayon par Baudelaire.  jeanne Duval, que Charles Baudelaire avait rencontrée pour la première fois en 1843, en revenant de l'île de la Réunion. Elle fut la première et la plus grande inspiratrice du poète, qui, après des hauts et des bas, la soutint materiellementjusqu'en 1864.
eec4bee50c1fc9ce473e81bcd05e9768.jpg
La maîtresse de Baudelaire, par Manet
.....................
A suivre

07:45 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg! Digg

28/11/2007

Pour faire suite à l'article "QUELQUES HISTOIRES D'HERMAPHRODITES A TRAVERS LES SIECLES

PAR BERNARD VASSOR

Hermaphrodite garçon gravure 3.jpg
Gravure dessinée par Jean-Michel Moreau le jeune (1741-1814) et gravée par Le Mire, ou Ghendt*
Nous connaissons deux hermaphrodites célèbres à l'époque : Marie Auger, née aux environs de 1690, marie le 8 juillet 1711 à Contres, dans le Loir et Cher, morte aux environs de 63 ans à Tenay dans le même département..
Nous avons trouvé ces indications sur le très interessant site : masologne.org. de Louis Hainault mort en 1773
Au dix neuvième, un savant, Isidore Geoffroy Saint-Hilaire, fait prEuve comme ses confrères du moment, d'une assez grande inhumanité dans un ouvrage scientifique important, il analyse les "monstres"dans un ouvrage en trois volumes, sur "les anomalies de l'organisation chez l'homme"
fad6e2ead6e7504a28e4cad03efceb53.jpg
Parmi ces "monstres", on signale un  nommé Louis Hainault, mort en 1773.
Herculine Barbin, dont on peut trouver les "Mémoires" aux éditions du Boucher"
Marie-Madeleine Lefort,
a suivre............
*D'après Annie Lebrun dans la préface du catalogue de la vente G. Nordmann chez Christies en 2006.

11:20 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg! Digg

27/11/2007

LE DOCTEUR GIRAUDY, UN HUMANISTE A CHARENTON

PAR BERNARD VASSOR

37d65848a35f6fcc002458ff55015038.jpg
Le médecin aliéniste à Charenton, C.S.F. Giraudy, (en activité de la fin du XVIIIè siècle, jusqu'en 1825) indigné de la façon abominable dont on traitait les fous vipolents avait imaginé cet équipement composé de deux paniers reliés par des courroies dont l'intérieur était matelassé pour ne pas blesser les malades. Les méthodes de répression vont ensuite continuellement aller en augmentant. Le traitement par éléctrochoc, était encore pratiqué il y a peu de temps. On peut même remarquer dans l'actualité des civilisations avancées utiliser aujourd'hui encore des moyens de rétorsion hors des limites de la dignité humaine.

17:15 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

SALE TEMPS POUR LES ARTISTES QUE CE MOIS DE DECEMBRE !!!

PAR ARLETTE CHOURY, CHANTAL CHEMLA, ET BERNARD VASSOR

Quelques dates pour le mois de décembre :

Concernant la mort d'Alexandre Dumas père, notre secrétaire et amie Chantal Chemla ["Dumaso(phile) (logue) (ou lâtre) au choix") distinguée]), m'a fait parvenir ces lettres concernat la mort de son écrivain préféré :

1) Alexandre Dumas (fils) à George Sand

Puys, 6 décembre 1870]

Chère Maman,

Je vous ai écrit deux lettres auxquelles vous n’avez pas répondu, ce qui me prouve qu’elles ne vous sont pas arrivées. Mon père est mort hier lundi 5 Xbre à dix heures du soir sans souffrance. Vous ne seriez pas pour moi ce que vous êtes, que vous seriez toujours laa première personne à qui j’annoncerais cette mort. Il vous aimait et vous admirait plus que toute autre. Je vous embrasse ainsi que toute votre maison à qui la mienne envoie ses amitiés les plus tendres.

A. Dumas f. ( Puys )

………………………………………..

………………..

2) Alexandre Dumas (fils) à Charles Marchal * (extrait) [Puys, 8 décembre 1870]

Cher ami, au moment où votre lettre est arrivée, j’allais vous écrire pour vous annoncer le malheur qui nous a frappés et que nous voyions venir depuis quelques jours. Mon père est mort lundi soir à dix heures, ou plutôt il s’est endormi, car il n’a aucunement souffert. Il avait désiré se coucher le lundi précédent, au milieu de la journée ; depuis lors il n’avait plus voulu et à partir de jeudi, plus pu se lever. Le sommeil était presque continuel. Cependant quand nous lui parlions, il répondait clairement et en souriant toujours. Il n’a commencé à être silencieux et indifférent que le samedi. Il ne s’est plus alors réveillé qu’une seule fois, toujours avec le sourire que vous lui connaissiez et qui ne s’est pas altéré un moment. Il a fallu la mort pour l’effacer de ses lèvres.

* Charles François Marchal (1825 – 1877), peintre, aman de George sand, amené à Nohant par Alexandre Dumas fils en 1861. Il a laissé des portraits de George Sand et de son fils. Devenu aveugle, il se suicida..

..........................................

...................

- Edmond Rostand, DCD le 02/12/19185d4b5167bbde2c32c1b1e19776f4c54b.jpg

- Alexandre Dumas père, DCD le 05/12/1870261aad81fe8129473ddd8c3084ff1d35.jpg

- Mozart, DCD le 05/12/179157480d406b13bdfea2e153030d878889.jpg
- Louis Blanc, DCD le 06/12/1882
-- Camille Claudel, née le 08/12/1864
- Alfred de Musset, né le 11/12/1810c17bb80dbaa723991650c5393eb43115.jpg
- Hector Berlioz, né le 11/12/1803b8189a6396e531c57fc721409a062070.jpg
- Paul Meurice, DCD le 12/12/19058fc51ca3c248e14aa5f9da3d1b99fc0f.jpg
- Alphonse Daudet, DCD le 16/12/1897
- Martin Nadaud, DCD le 2012/1898
- Charles Michel, Abbé de l'Epée, DCD le 23/12/1783
- Adam Mickiewicz, né le 24/12/1798
- Maurice Utrillo, né le 26/12/1883
- Liane de Pougy, DCD le 26/12/1950a32f5aa299a01c8a0fcda7531cebfe70.jpg
- Louis Pasteur, né le 27/12/1822f7542738b0fc3d7328aecdef2feabcc1.jpg
- Maurice Rollinat, né le 29/12/1846a06bc8dc943cc3b350ae1c052e29b6eb.jpg
- Marie d'Agoult, née le 30/12/1805b71535293fb543346e5d7f206c43ccb1.jpg

16:30 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

UNE CURIOSITE LITTERAIRE

PAR BERNARD VASSOR

03ef1be0539c2a9ff7c2f64d77a41e54.jpg
Ce curieux ouvrage érotique, fut imprimé anonymement, (s.l.n.d.) en 1520 à Lyon. Le livre est un petit in-8 de 4 feuillets de 24 lignes par page, en caractère gothiques gras. Ironie suprème du propriétaire de cet exemplaire qui l'avait fait relier en maroquin avec un décor de fers monastiques poussés à froid.
L'auteur devait être un certain Preel, si l'on en croit l'acrostiche suivant :
Pronostication /des cons sauluaige, avec la manière /
de les appriuoiser /
Reprenant les sots astrologues /
Elle est si brave que cest raige /
    Et si vaut lieux pour ung villaige /
       L e tiers que une pouchette dorgues 
Il est curieux de constater que les bibliographes qui se sont succédés n'aient pas remarqué cet acrostiche, procédé qui était courant par les auteurs cherchant à dissimuler leurs noms. Manière prudente en l'espèce, car si il était reconnu, il risquait fort un châtiment allant du pilori à la peine de mort par carbonisation.

15:10 Publié dans Les originaux, les excentriques, les fous litterra | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

LA BELLE ITALIENNE EMMANUELLA POTOCKA ET GUY DE MAUPASSANT

PAR BERNARD VASSOR

b94ebda5f7a772896457d1e605c03c27.jpg
Emmanuella Potocka, née Pignatelli, d'une riche et célèbre famille napolitaine, vit le jour en 1852. Ses relations avec Maupassant sont mystérieuses et ambiguës. A l'époque où Guy de Maupassant l'avait rencontrée au cours d'un dîner chez l'épouse du comte Felix-Nicolas Potocki. Elle tenait salon dans son hôtel de l'avenue de Friedland, et avait une cour de soupirants dont elle entretenait la flamme amoureuse. C'est ainsi que l'on pouvait y rencontrer Paul Bourget, Jacques-Emile Blanche, Jean-Louis Forain, Frédéric Mistral, et Montesquiou-Fézensac. Maupassant aussi, succomba au charme de la beauté Italienne que l'on avait surnommée "La Gamine". Elle apparaît dans les romans de Maupassant sous les traits de Christiane Andermatt dans Mont-Oriol, et dans Notre Coeur sous ceux de la baronne de Frémines.
Dans une vente d'autographes en 1993, (Alain Nicolas expert,) 110 lettres provenant des archives "Potocka", ont eté mises en vente le 2 décembre...
02361a0db3145992db70a93819807e99.jpg
Cette photographie réalisée par Georges Mélandri (l'hydropathe), qui avait été son voisin au 19 rue Clauzel (au cinquième étage). Depuis leur rencontre en 1882, il entretint une correspondance jusqu'à ses derniers jours. On peut ainsi suivre l'évolution de sa maladie, ses nombreuses migraines, et la descente aux enfers, il se croit "possédé".
ee37437e149397ac8c65fdaad59a5c96.jpg
Vous pouvez consulter le site très savant de Noëlle Benhamou, la spécialiste de Maupassant : MAUPASSANTIANA

10:25 Publié dans Histoire littéraire | Lien permanent | Commentaires (2) | | | | Digg! Digg

EMMA LIVRY, UNE HISTOIRE TRAGIQUE A L'OPERA

PAR BERNARD VASSOR

f1c1fb6c904999ca11f9a521c2b20166.jpg
C'est le 15 novembre 1862, lors d'une répétition de "la Muette de Portici" que la jeune Emma Livry, s'approchant trop près de la herse d'éclairage (au gaz), la gaze* de sa jupe s'enflamma. Affolée, elle traversa trois fois la scène avant qu'un pompier ne puisse intervenir. Sa pudeur l'empêcha de se défaire de son costume, et elle ramassa même des morceaux d'étoffe en feu pour se couvrir la poitrine. Après une très longue agonie de 8 mois pleine de souffrances, elle décéda à Neuilly en juillet 1863. Elle avait seulement 20 ans. Promise à une grande carrière, elle avait été remarquée par Marie Taglioni qui en avait fait sa dauphine. C'est Marie Taglioni qui lui fit  confier le rôle principal dans "la Sylphide".et dans le ballet
"Le Papillon"qu'elle avait chorégraphié elle-même sur le premier ballet que Jacques Offenbach ait mis en musique.
Pierre Lacotte**, qui m'avait fait l'honneur de présider la célébration du bicentenaire de la reine incontestée du ballet romantique Marie Taglioni, a "remonté"  le Papillon en 1976, et la Sylphide qu'il a fait jouer à l'Opéra de Paris en 2003, et à la Scala de Milan en décembre 2004.
Le musée de l'Opéra conserve des marceaux de sa jupe calcinée, ainsi qu'une partie de sa ceinture utilisée ce jour là. Elle a été inhumée au cimetière Montmartre. La photo de sa tombe figure sur la partie image de ce blog (à droite pour une fois), de la première visite au cimetière Montmarte. Sa sépulture a été découverte par notre ami Michel Olivès, véritable limier, à la connaissance des cimetières dans la France entière phénoménale. Qu'il en soit une nouvelle fois remercié.
*Le nom de cette étoffe provient de son lieu de fabrication à l'origine, c'était à Gaza (en palestine). Rappelons aussi que le nom de mousseline a pour origine la ville de Mossoul (en Irak)
** Avec Françoise Meignant et Sylvie Jacq Mioche, sans qui la célébrationn'aurait pas pu voir le jour.(en présence de Germaine Prudomeau)

07:00 Publié dans HISTOIRE ANECDOTIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

26/11/2007

QUELQUES ARTISTES ET ECRIVAINS A AUVERS-SUR-OISE

PAR BERNARD VASSOR

ddec5446c81e39e71905c353e7aae0e3.jpg

« Auvers, c’est gravement beau »

Vincent  van Gogh (Lettre à Théo)

On aimerait que les vers suivant de François Villon ne soient pas apocryphes :

Je suis Françoys, ce dont me poyse,
Nommé Corbueil an mon surnom,
Natif d’Auvers emprès Ponthoise,
Et du commun nommé Villon.
. 

En 1633 un banquier italien du nom de Lioni  se fit construire un pavillon qui est à l’origine du château actuel.. A la veille de la révolution, il y avait 1550 habitants. Ceratains historiens mentionnent le séjour de Bernardin de Saint-Pierre à Auvers.....  

 En 1814 et 1815, Auvers, comme Montmartre, subit l'occupation Russe et Prussienne. L'inauguration du chemin de fer eut lieu en 1846. Le nouveau cimetière recueillit les ossements de celui qui se trouvait près de l'église, et a été inauguré le 8 décembre 1859. et la mairie en 1862. En 1860, Daubigny annonçait à un ami qu’il avait acheté à Auvers : « un terrain de soixante perches, tout couvert de haricots et sur lequel je planterai quelques gigots si vous venez m’y vouir, sur lequel on est en train de bâtir un atelier de 8 mètres sur 6. (…) Le père Corot a trouvé Auvers très beau, et m’a bien engagé à m’y fixer ». C’est le peintre architecte Oudinot qui fut chargé de la construction. Daubigny , qui avait vécu étant en nourrice chez la mère Bazot à Valmondois, connaissait déjà parfaitement la région. Il vint s’y reposer chez elle bien plus tard, dans « le pays le plus varié de lignes que je connaisse des environs de Paris » Lorsqu’il venait passer des vacances d’été, il habitait une petite maison en haut de la ruelle des Callepont, près de l’église* à côté du café de la Station, tenu par un nommé Partois où se réunissaient les Daubigny père et fils, Daumier, Oudinot Léonide Bourges et Penel un graveur. De temps en temps des amis a182e851d45b920c70adb78f270c0297.jpgvenaient les visiter, il y avait : Harpignie, Jules Dupré, le très zolien Guillemet et Charles Jacque le  graveur. C’est en 1873 qu’il s’établit définitivement à Auvers et sous l’amicale pression de Pissarro, et de Guillaumin C’est cette année là que Cézanne fit ses premières tentatives d’exécution d’estampes chez le docteur Gachet encouragé par Camille Pissarro, Eugène Murer et Guillaumin. Le « pâtissier » Murer s’était fait construire une maison baptisée « le Castel ». Il reçu chez lui Vignon, Renoir et Guillaumin. Parmi les artistes du pays (dont on retrouve pour certains les noms sur les tombes du petit cimetière d’Auvers) nous retrouvons mademoiselle Bourges, Delpy, Martinez, et Felix Buhot. Parmi les artistes étrangers, nous pouvons nommer : le Hollandais Anton Hirshig, (celui qui vint à Paris prévenir Théo de la blessure de Vincent), et qui vivait à l'auberge Ravoux. Walpoole Broocke l’Australien et une colonie d'artistes américains.

f2c6e35908654f179b84d78fae5179c0.jpg

Devant l'auberge Ravoux, notre ami le docteur Michael Pakenham**, parlant à une inconnue.
.................................
Dans le bas de la rue Boucher, une dame Lecomte avait aménagé une vieille grange en atelier qui fut ensuite occupé après la mort de celle-ci par Emile Boggio. Tous les deux reposent au cimetière d’Auvers. Norbert et Charles avaient loué la maison du graveur Martinez, ils y imprimèrent de nombreuses gravures..

Germain Bazin, Albert Châtelet, Van gogh et les peintres d’Auvers, éditions des Musées Nationaux 1954. 

Michael PAKENHAM, fut le chercheur qui obtint l'amitié de Gachet fils, et grâce à son témoignage et à ses recherches nous en apprit beaucoup sur Van Gogh et le docteur Gachet. Sur la photo à gauche, Michael Pakenham, en compognie de l'épistophile Isabeau de Dover est sur le petit chemin qui conduit au cimetière.

23:50 Publié dans HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

UN PETIT BAL PERDU A MONTMARTRE : LE BAL CHAPTAL DE LA RUE BREDA

PAR BERNARD VASSOR

e52b6ba436e4ddc524268823f7679f9e.jpg
C'est la première fois que je vois mentionné le "BAL CHAPAL" situé au 15 rue Bréda (aujourd'hui Henri-Monnier). En 1850, une commission de sécurité des Théâtres de la préfecture de Police ( 2è bureau) a trouvé conforme le bâtiment par les pompiers, l'architecte de la préfecture et le commissaire de Police du quartier qui se trouvait au 1 rue Bréda. 
Le quartier comme vous le savez était fréquenté par des artistes qui avaient leur atelier dans le secteur, et il était surtout fréquenté par les "Bréda", jeune ou moins jeunes femmes de moeurs légères.
 

13:55 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

INAUGURATION D'UN CIRQUE A PARIS, invitation pour le 29 juin 1875

PAR BERNARD VASSOR

e833bcf012e9b1a9f7060e841766fc2c.jpg
Le cirque, bâti sur un terrain vague à l'angle de la rue des Martyrs et du boulevard Rochechouart, fut le sujet de nombreux tableaux peints par Degas, Toulouse-Lautrec, Seurat, Signac. Le succès fut immédiat, de nombreuses personalités s'y précipitèrent.
ae4c980e19fc6cadff52e4983caea98a.jpg

12:46 Publié dans HISTOIRE DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

All the posts