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29/09/2009

"Fellinicita" un hommage à Fedérico.....

fellinicitta image.jpg

Noëlle Benhamou qui a participé à la rédaction de cet ouvrage me signale :

LES ÉDITIONS DE LA TRANSPARENCE | Parutions du 16 septembre 2009

Philosophie | esthétique | cinéma

Dans la collection "Cinéphilie"

........ 

FELLINICITTÀ sous la direction de Jean-Max Méjean, préface de Tullio Kezich. 

60 artistes, écrivains, spécialistes et proches de Federico Fellini rendent hommage au Maestro. Ce livre richement illustré (120 photographies et dessins pour la plupart inédits) propose un voyage dans l'univers de Fellini à travers les thèmes récurrents de sa vie et de son œuvre : Cinecittà, Rome, Rimini, les rêves et la magie, l'astrologie, la femme, la télévision, l'ange, les chapeaux, les fontaines, la cigarette…

Fellinicittà est accompagné du DVD d'un film de Dominique Delouche : Teatro Numero Cinque, un documentaire inédit sur Fellini lorsque celui-ci tournait en 1968 le Satyricon.

L'ouvrage est édité en partenariat avec la Fondation Fellini pour le Cinéma et avec le soutien d'Almaz Film Productions.

Critique de cinéma et spécialiste de Federico Fellini, Jean-Max Méjean a notamment publié Fellini, un rêve, une vie (Cerf, 1997).

DÉCOUVRIR LES PREMIÈRES PAGES ET LE SOMMAIRE

noelle.benhamou@orange.fr

URL : http://www.maupassantiana.fr

http://www.erckmann-chatrian.eu

11:21 Publié dans Evènement | Tags : fellini, noëlle benhamou | Lien permanent | Commentaires (7) | | | | Digg! Digg

28/09/2009

Pélerinage littéraire de Médan

L'actualité Zola
Medan Zola 05.jpg
1) Le dimanche 4 octobre, Pèlerinage littéraire de Médan, à Médan, à partir de 15 h. Des allocutions seront prononcées par Claude Lanzmann (directeur des Temps modernes, écrivain et cinéaste) et Gian Carlo Menichelli (professeur émérite à l'Université de Naples, « L'Orientale »). Une exposition « Zola et l'Académie française », réalisée par Martine Le Blond-Zola (vice-présidente de l'association « Maison Zola - Musée Dreyfus »), sera inaugurée le jour même. Pour les participants des places assises sont prévues, sous un vélum. -- On peut se rendre à Médan par la route (autoroute A13 ou 14, sortie à l'échangeur de Poissy-Villennes ; suivre la direction de Villennes) ou par le train : départ de la gare Saint-Lazare à 14 h 23, arrivée à Médan, devant la maison de Zola, un peu avant 15 h ; retour pour Paris, à 17 h 40, en gare de Médan (en outre, un autocar quittera Médan à 18h 25 pour la gare de Villennes, afin de permettre de prendre le train partant pour Paris à 18h 41).
..........
2) Le samedi 10 octobre, journée d'étude, "Actualité de l'affaire Dreyfus en 2009", pour le 150e anniversaire de la naissance d'Alfred Dreyfus et de Jean Jaurès, co-organisée par  la Société littéraire des amis d'Emile Zola, la Société d'études jaurésiennes, la Société internationales d'histoire de l'affaire Dreyfus et la Ligue des droits de l'Homme. Elle se tiendra au siège de la Ligue des droits de l'Homme, 138, rue Marcadet, 75018 Paris (Métro Lamarck-Caulaincourt). Horaire : 9h - 13h et 14 h 30 - 17 h. Communications de Grégoire Kauffmann, Philippe Oriol, Vincent Duclert, Gilles Manceron, Emmanuel Naquet, Michel Dreyfus, Michel Drouin et Alain Pagès. Clôture de la journée par Jean-Pierre Dubois, président de la Ligue des Droits de l'homme.

09:49 Publié dans Evènement | Tags : zola, médan, dreyfus, jaurès, ligue des droits de l'homme | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

25/09/2009

La pomme de terre a la patate à Sens dans l'Yonne !!!

Par Bernard Vassor
Perou pommes de terre 02.jpg
Image de variété de pommes de terre Péruviennes du site nommé en fin d'article.

Mes amis du Service Culturel de l’Ambassade du Pérou vous informent
que l’Association « La Parmentière de Bourgogne » organise le festival
« Faîtes de la pomme de terre - La pomme de terre a la patate ! »
Démonstrations culinaires par des chefs étoilés, et 
avec la participation de la chef péruvienne
Lourdes Centy Pluvinage du Restaurant El Picaflor
Marché couvert
Sens –Yonne
26 et 27 septembre 2009
Voir programme sur le site :
http://www.faites-de-la-pomme-de-terre.com/

T’ikapapa – Récompense internationale pour l’initiative en faveur de la pomme de terre indigène

La dite «Initiative T’ikapapa» conditionne et commercialise une sélection particulière de pommes de terre indigènes péruviennes. Elue parmi un total de 230 propositions issues de 70pays, elle a reçu en 2007 l’un des cinq prix SEED parrainés par l’ONU.

http://www.sdc.admin.ch/fr/Accueil/Projets/T_ikapapa_onal...
 
 

17:47 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

23/09/2009

La Dame aux Caméllias, suite

Par Bernard Vassor

la dame aux camelias tombe archives.jpg
Nous allons évoquer cette fois l'histoire du roman et de la pièce qui en fut tirée, qui est toujours biaisée, on se demande pourquoi ?
Une incertitude, le roman fut-il écrit en 1847 comme le dit un contemporain ou en 1848 ? Il fut toutefois publié à cette date en 2 volumes chez Cadot. Le titre portait bien le nom de Caméllias avec deux L, comme il se doit en botanique.
Dumas fils, dans les éditions suivantes en a figé l'orthographe erronée en supprimant une lettre.
Une deuxième édition, ou bien une remise en vente (?) eut lieu en 1849, l'édition princeps n'ayant eu aucun succès en raison de la coïncidence avec la révolution de février. En 1852, une nouvelle édition entièrement refondue est publiée avec une préface de Jules Janin, chez Michel Levy. (qui ne connut donc pas comme le prétend Jannin "dès sa parution un grand succès") Après la publication du roman, Dumas fils donna sur les conseils de Siraudin, son roman à Antony Beraud, directeur du Gymnase, et grand "faiseur" en la matière pour en faire une pièce de théâtre. Béraud lui rendit une pièce en quatre tableaux qui ne satisfit pas le jeune débutant. Il remania le texte en huit jours, et aussitôt il se rendit chez son père qui demeurait avenue Frochot. L'auteur "Des Trois Mousquetaires"qui avait déconseillé à son fils une telle démarche fut converti après la lecture de la pièce.  Il va sans dire que celle-ci fut reçue au "Théâtre-Historique" ! La faillite du théâtre du Boulevard du Crime retarda la représentation, qui n'eut lieu que trois ans plus tard après bien des péripéties. Refusée dans bien des salles, la pièce fut acceptée au "Vaudeville" dont le directeur reçut l'oeuvre, mais hélas, la faillite le fit renoncer lui aussi. Enfin la première représentation eut lieu en 1852 avec le sucès que l'on sait. Les  droits de la pièce étaient partagés avec Antony Beraudpour moitié. Dumas fils lui proposa de lui vendre sa part, mais une mésentente sur le prix lui fit renoncer heureusement pour lui à ce qui devint une poule aux oeufs d'or !!! La pièce vendue aux éditeurs à un prix dérisoire, pour la raison que Dumas qui  n'avait pas d'argent voulait louer une loge pour une dame de sa connaissance....
........
Revenons un instant sur le titre de l'oeuvre. Ce surnom ne fut jamais donné du vivant d'Alphonsine. C'est dans les années 1830, qu'un dandy, Latour Mezray fut affublé du sobriquet "d'homme aux Camellias", parce qu'il portait quand la saison était favorable cette fleur à la boutonnière qui coûtait très cher alors. Ce surnom était attaché aux gandins qui se pavanaient sur le boulevard, et se faisaient entretenir par des dames sur le retour.
C'était le cas pour celui qui devait devenir le président de la République et le boucher de la Commune de Paris : on dirait aujourd'hui le gigolo Adolphe Thiers qui était entretenu par la femme de l'agent de change de la place Saint-Georges Alexis Dosne.
.....
sucette decaux Alexandre Dumas maison dorée.jpg
Avec mon amie Chantal Chemla, secrétaire des Amis d'Alexandre Dumas, nous avons fait apposer cette "sucette" sur l'immeuble de la BNP Paribas qui a aimablement financé l'opération. C'était autrefois "La Maison Dorée" où Armand Duval s'installa pour guetter "Marguerite" qui venait d"entrer au Café Anglais situé en face.
.............................
Note
Les Shadock pompeurs (ils se reconnaîtront) sont priés de passer leur chemin ou bien de citer cet article.

17:10 Publié dans LES COURTISANES LES MODELES ET LES ACTRICES | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg! Digg

09/09/2009

Colloque Catulle Mendès à Bordeaux

 Mendès Catulle sepia.jpg

Colloque « Catulle Mendès et La République des Lettres »

17-18 septembre 2009

Colloque organisé par l’EA 4195 – TELEM  

 

Jeudi 17 septembre 2009  

9h : Ouverture du colloque  

Mendès journaliste et critique littéraire  

Président de séance : Jean-Pierre Saïdah  

9h30: Michael Pakenham (Université d’Exeter), « La République des Lettres de Catulle Mendès & Adelphe Froger, 1875-1877 »  

9h55: Béatrice Laville (Université Bordeaux III), « Catulle Mendès et Zola, "une mêlée littéraire" »  

10h20: Discussion – Pause  

11h: Evanghélia Stead (Université de Reims), « Catulle Mendès et G. Charpentier et Cie : sur un contrat d'édition et sur quelques lettres ».  

11h25: Ida Merello (Université de Gênes, Italie), « Catulle Mendès critique littéraire »   

11h50 : Discussion – Pause déjeuner

 Mendès romancier  

Président de séance : Jean de Palacio  

14h: Fanny Bérat-Esquier (Nanterre, Lille III), « Catulle Mendès et la littérature parisienne »  

14h25: Dominique Laporte (University of Manitoba, Canada), « "Il est poète et toujours poète, et quand il écrit des romans, c’est Apollon chez Balzac". Catulle Mendès et le roman contemporain »  

14h50: Vérane Partensky (Université Bordeaux), « Du gothique anglais au roman parisien : les bénéfices de la secondarité romanesque »  

15h15: Discussion – Pause  

15h45: Jérôme Solal (Docteur de Toulouse II), « Catulle Mendès et les lois de la transgression ».   

16h10: Valérie Michelet Jacquod (Université de Neuchâtel, Suisse), Sur "Mendès décadent" (avec l’analyse du Chercheur de tares par exemple et les rapports Mendès Mercure de France par exemple).  

16h35 : Discussion   

Vendredi 18 septembre 2009 

Mendès nouvelliste et décadent  

Présidente de séance : Evanghélia Stead  

9h: Jean de Palacio (Paris IV), « Mendès disciple de Boccace : sur le Nouveau Décaméron »  

9h25: Noëlle Benhamou (Centre Zola, ITEM), « La prostitution : un monstre parisien »  

9h50: Thierry Santurenne (Docteur), « Catulle Mendès ou l’esthétique du paroxysme ».  

10h15: Patrizia d’Andrea (Suisse), « Ironie et dérision : l’usage stratégique de l’ésotérisme dans les œuvres narratives de Catulle Mendès ». 

10h40 : Discussion – Pause   

Mendès dramaturge  

Présidente de séance : Ida Merello  

11h10: Marie-France David-de Palacio (Université de Brest), « Les Mères ennemies, du roman à la pièce ».  

11h35: Sophie Lucet (Université du Maine), « L’ombre de Fracasse ».  

12h : Discussion et clôture du colloque  

***  

Le colloque aura lieu à l’Université de Bordeaux III

Salle de Conférences

Maison des Pays Ibériques

Domaine Universitaire – Pessac  

Contacts : jpsaidah@wanadoo.fr ; noelle.benhamou@orange.fr 

 Programme colloque endes.pdf

10:31 Publié dans Evènement | Tags : noëlle benhamou, michael pakenham, jean de palacio | Lien permanent | Commentaires (0) | | | | Digg! Digg

06/09/2009

Une conférence de Dominique Delord : Les cafés-concerts

Café-concert Dominique Delord.jpg
"Un lieu où l'on ne boit jamais de café
et où il n'y a jamais de concert..."
Entre 1850 et la Belle Epoque
Dominique Delord, chercheuse dans des thèmes culturels,organisatrice de concerts et de conférnces, elle a notamment écrit joué et chanté avec Serge Hureau et Cyrille Lehn :
Monthéus chanteur du peuple ( Hall de la Chanson production, 2007-2008).
Cette conférence est présentée par l'association
 Histoire et Vies du 10°, dans le cadre des manifestations :
"Ensemble nous sommes le 10°".
Le spectacle sera accompagné de la projection d'images rares et de chansons anciennes.
L'entrée est libre.
Mairie du 10° arrondissement,
72 rue du faubourg Saint-Martin
75010
jeudi 17 septembre 2009 à 19 heures

10:40 Publié dans Evènement | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg! Digg

Un cabaret éphémère : "Le Tambourin" du 62 boulevard de Clichy

 Par Bernard Vassor

segatori COROT.jpg

Sachant comment on se comporte
De sa main célèbre à Capri,
Joyeuse en ouvrira la porte.

Agostina Ségatori (Ancone, 1841-1910 ?), surnommée «l’Italienne», etait un modèle professionnel qui avait posé pour Manet, Corot, Léon Gérôme, et Vincent Van Gogh (au Café du Tambourin, musée Van Gogh Amsterdam).
Le portrait réalisé par Manet qui se trouve aujourd’hui dans une collection privée new-yorkaise,
fut vendu par le marchand Alphonse Portier à Alexandre Cassatt, le frère de Mary. Le tableau de Corot Portrait d’Agostina est daté de 1866 lors de son voyage en Italie. Nous avons beaucoup plus tôt, du même, vers 1860, « la Femme au tambourin ».
La patronne de ces lieux et les charmantes hôtesses accueillaient la clientèle en costume folklorique. Une exposition de peintures organisée pour l’occasion furent vendue aux enchères, on y voiyait des œuvres de Edouard Dantan, Léon Gérôme, Bernard , de Pille et quelques autres peintres dont nous avons aujourd’hui oublié les noms. Le mobilier,(tables chaises éléments du bar) est uniquement composé de tambourins ornés par différents artistes dont Gauguin (fleurs et feuillage et fruits) Norbert Goeneute, Ludovic Némo [2], Todde, etc.
Vincent Van Gogh y organisa une exposition de crépons japonais qui, selon Vincent lui-même, a été un désastre. Puis, avec ses amis Toulouse-Lautrec Gauguin et son « copain » Emile Bernard, Louis Anquetin, un accrochage eut un peu plus de succès, car Bernard et Anquetin purent y vendre leur premier tableau.
« Ce fut vers cette époque que Vincent fréquenta une taverne qui avait nom le Tambourin et que tenait une fort belle italienne, ancien modèle, étalant dans un comptoir bien à elle ses charmes sains et imposants.». Selon Emile Bernard, Vincent avait conduit le père Tanguy dans cet établissement : « ce qui donnait beaucoup d’inquiétudes à la brave mère Tanguy, qui ne pouvait s’imaginer les raisons enfantines et même innocentes de ses escapades. Vincent, selon un contrat de quelques toiles par semaine, mangeait au Tambourin (...) Cela dura plusieurs mois, puis l’établissement périclita, fut vendu, et toutes ces peintures mises en tas furent adjugées pour une somme dérisoire"

Le père Tanguy.
(...) Vincent étant parti pour Arles et le pèreTanguy se trouvant seul, visité seulement de temps en temps par de rares clients, la belle Italienne du Tambourin tomba dans une grande gêne. Alors Tanguy la recueillit, ce qui donna lieu à bien des médisances.(...) »
Faut-il croire Ambroise Vollard ? quand il raconte dans Les Souvenirs d’un marchand de tableaux :
« Un jour, passant sur le boulevard de Clichy, la curiosité me fit entrer dans un petit restaurant qui portait l’enseigne « Au Tambourin », en même temps que moi était entré un individu qui demanda à la patronne : Vincent est arrivé ? Il est parti il y a une minute. Il était venu accrocher ce tableau des Tournesols, puis il est sorti aussitôt" !!! Sachant que Vollard, fraîchement débarqué à Montmartre situe cette anecdote en 1889, or, le Tambourin était fermé depuis près de deux ans.

Le cabaret reprit son nom de "Café de la Butte" puis, en 1893, prit le nom de Cabaret des Quat’Z’Arts.

Tambourin boul de Clichy hauteur.jpg
Sur ce dessin publicitaire inédit, une erreur à signaler :
60 au lieu de 62 boulevard de Clichy.
.........
Dans une lettre, le 30 août 1922, le peintre Adolphe Albert, client occasionnel des lieux, répondant à une demande de renseignements donne les indications suivantes:
"Tout ce dont je me souviens, c'est qu'on disait à l'époque la Ségatori la maîtresse de Rav..t (illisible).
Le vieux peintre Pills était un assidu de ce cabaret. Il s'intitulait en riant "le maquereau de la boite"
Il était furieux lorsqu'on crachait dans les bottes de postillon qui servaient de porte-parapluie, puisqu'elles lui appartenaient."
Gachet composition hauteur.jpg
Légende de la composition :
En-tête de l’album d’estampes japonaises ayant appartenu à Vincent.
Description de la « nature morte » prêtée par Paul Gachet en 1951 au Louvre :
Cadre avec crêpons japonais ayant appartenu à Vincent montés par Gachet fils, qui les tenait de Théo, sur un fond doré orné d’une inscription en japonais qui signifie qu’ils se trouvaient dans la chambre de Vincent à Auvers en 1890.
Affiche 3 couleurs du tambourin rue de Richelieu par Chéret (OD32) 3 tubes Tasset et Lhote, et Tanguy (OD31) palette pour Mlle Gachet au piano
Un verre déjà utilisé par Cézanne un vase en grés japonais : nature morte, Roses et Anémones
Bambous taillés utilisés par Vincent.
Un tambourin de chez Agostina signé H.TODE 1886
Le livre est : La Fille Elisa (Goncourt)
.......
Sources :
Archives Van Gogh muséum
Archives de Paris
Michael Pakenham, catalogue de l’exposition du Grand Palais, janvier-avril 1999
Emile Bernard, article du Mercure de France, 16 décembre 1908
André Roussard, dictionnaire des lieux à Montmartre, éditions André Roussard Paris 2001
Marcel Cerf Maxime Lisbonne, le d’Artagnan de la Commune, éditions du Panorama (Suisse) 1967
Article Bernard Vassor dans : Les Montmartrois, ed André Roussard Paris © 2004
Mise à jour le 5 septembre 2009
Les recherches ne sont pas terminées...... A SUIVRE

08:11 Publié dans Les amis de Vincent | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg! Digg

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