05/05/2008
L'ETRANGE ET MACABRE MAURICE ROLLINAT
PAR BERNARD VASSOR
LE RIRE, AUX PLEURS
à Maurice Rollinat
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Plus qu'Hugo; le Décor Géant; musant la vie;
Plus que Balzac, l'esprit, Lamartine, Amoureux
Sans amour; Baudelaire, Eclair du ténébreux,
Mais qui ne chante point; plus que la rêverie
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De Schumann, de Schubert, de Chopin, ce fièvreux,
J'aime....et ma passion d'autres sera suivie,
Le frisson de vos vers et de votre harmonie,
L'ampleur, sans procédé, de vos chants douloureux
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Le miroir ou le Spleen trouve un frère, c'est vous
Et celui-là, seul, peut-être encor, j'ose le dire :
C'est pourquoi, devant vous,, je tais un jour mon rire
CABRIOL
Joseph-Auguste-Mauriceest né en 1846 à Chateauroux,, mort en 1903 à Ivry. Il était "le filleul littéraire" de George Sand.
A SUIVRE
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18:05 Publié dans La bohème littéraire | Lien permanent | Commentaires (1) | | | | Digg
Commentaires
Bonjour, Mr Vassor,
Je vous remercie de consacrer un post à notre cher Maurice.
Que de poètes de qualité oubliés aujourd'hui !
Mais heureusement que vous êtes une «vigie» pour leur survivance.
Écrit par : piednoir | 07/05/2008
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