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02/10/2009
Il faut sauver la maison Basfroi! un article de Rodolphe Trouilleux
Comité de SAUVEGARDE du 22 rue BASFROI 75011 Paris - France
POUR LA SAUVEGARDE DE LA MAISON POPULAIRE DE L'EPOQUE D'HENRI IV
http://test75011.numeriblog.fr/mon_weblog/
où vous trouvrez de nombreux articles de divers journaux dont le Canard et le Parisien.
13:36 Publié dans POUR LES AMOUREUX DE PARIS | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg
01/10/2009
L’AFP est en danger !!!!
Signer la pétition :
http://www.sos-afp.org/fr/node/255
....................
L'AFP ne pourra résister au changement de statut qu'on lui prépare
par Claude Moisy
journaliste, ancien président-directeur général de l'Agence France-Presse.
L'agitation provoquée par les spéculations sur un éventuel changement du statut légal de l'Agence France-Presse (AFP) m'amène à violer pour la première fois la règle selon laquelle un ancien président de cette entreprise ne doit plus se mêler de ces affaires. Je le fais parce que, pour avoir "vécu" quotidiennement l'AFP pendant trente-cinq ans, je suis persuadé qu'elle ne peut continuer à exister qu'avec le statut bâtard et aberrant qui lui a été donné lorsque le Parlement l'a dénationalisée en janvier 1957.
Oui, l'AFP est une anomalie juridique et financière, une réalité impossible. Cet "organisme autonome" est censé fonctionner "selon les règles du droit commercial" mais il n'a ni capital ni actionnaires. Pire, il est administré par ses clients ! La loi de 1957 stipule aussi qu'il est financé par la vente de ses services. Mais lorsque cette loi a été adoptée, l'AFP ne gagnait commercialement que 20 % de son coût de fonctionnement. Le reste provenait de fonds publics appelés pudiquement "les abonnements de l'Etat", pour ne pas parler de subventions, gênantes pour une entreprise d'information. Cette contribution gouvernementale représente, encore aujourd'hui, 40 % du budget de l'agence. Entreprise bâtarde donc, qui ne devrait pas exister dans un monde d'économie de marché, mais qui fonctionne quand même depuis cinquante-deux ans.
Et qui ne fonctionne pas si mal puisqu'elle est, avec l'américaine Associated Press et la britannique Reuters, l'une des trois seules agences de presse "globales" qui collectent de l'information générale dans le monde entier et la vendent dans le monde entier. Mais elle a toujours été la plus fragile des trois, avant que la révolution des communications provoquée par Internet ne les fragilise toutes les trois. Associated Press, coopérative de la gigantesque presse nord-américaine, gagnait assez sur son territoire national pour financer ce qu'elle perdait dans le reste du monde.
Depuis que Reuters s'est transformée en instrument des marchés financiers au début des années 1980, l'activité déficitaire de l'information générale pour les médias a fini par devenir marginale dans son chiffre d'affaires et a pu être subventionnée par les profits réalisés sur les marchés financiers.
L'AFP, avec sa petite base nationale et le français comme langue de travail, n'a jamais eu les mêmes possibilités. Sans capital, elle n'a pu financer les investissements nécessaires à son adaptation aux nouvelles technologies de la communication que par des prêts de l'Etat... pas toujours remboursés. Le financement partiel de l'AFP est un élément de l'aide multiforme de l'Etat aux médias français qui, sans elle, dépendraient de deux agences anglo-saxonnes pour leurs informations de l'étranger.
Il y a toujours eu jusqu'ici un consensus dans le monde politique et la haute administration pour considérer que l'existence de l'AFP était un atout pour la France. Le prestige et l'influence attribués à l'instrument valaient bien, estimait-on, l'argent qu'elle coûtait. On peut voir là une notion gaullienne, type Concorde, comportant une dose d'illusion de grandeur, mais le fait est là, incontournable : l'AFP n'existe que par la volonté de l'Etat français.
Il y a une autre anomalie dans l'aventure de l'AFP. Malgré sa dépendance financière de l'Etat après qu'elle est devenue indépendante en 1957, elle a progressivement cessé d'être considérée à l'étranger comme une agence gouvernementale. Elle a, au contraire, acquis la réputation d'un fournisseur d'information crédible. Ses concurrentes ont renoncé à arguer que son financement public partiel constituait une concurrence déloyale et ont respecté son professionnalisme. Cela a été dû à la qualité d'une grande partie de son personnel et à la règle paradoxale formulée par Jean Marin, l'un de ses pères fondateurs : "L'AFP ne peut fonctionner que si celui qui paye ne commande pas." Un tel précepte n'a pas toujours convaincu les gouvernements, de droite ou de gauche. Il y a eu des frictions et des tensions. Mais cela a tenu !
Il semblerait que le consensus soit maintenant remis en question au plus haut niveau de l'État et que la loi portant statut de l'AFP soit promise à de profondes modifications. Sans connaître les intentions des responsables du dossier, je veux leur dire ma conviction que l'introduction d'intérêts particuliers condamnerait l'agence à la disparition plus ou moins rapide.
Il est impensable qu'aucun homme d'affaires, aucune société, aucune autre institution que l'Etat lui-même mette longtemps de l'argent dans une entreprise structurellement déficitaire sans attendre finalement un retour sur son investissement. Si une telle "ouverture" était pratiquée elle entraînerait un jour des restructurations, des réductions, des réorientations qui changeraient radicalement la nature de l'entreprise au point de lui faire perdre son caractère global.
C'est ce qui est arrivé dans les années 1980 à une autre grande agence de presse mondiale, l'américaine United Press International (UPI), propriété d'une fondation familiale contrainte, par ses statuts, de s'en débarrasser lorsqu'elle a commencé à perdre de l'argent. Tombée entre les mains d'une succession d'ambitieux rêveurs inexpérimentés et d'aventuriers peu scrupuleux, elle subit toutes sortes de transformations avant de disparaître en moins de dix ans.
Je ne dis pas qu'il est indispensable que l'Agence France-Presse soit maintenue dans son état actuel quel qu'en soit le prix. Le gouvernement d'une France surendettée peut légitimement penser qu'à l'heure du "monde-en-ligne" où tout un chacun distribue son "information", le financement de la vieille agence mondiale est un jeu qui n'en vaut plus la chandelle. Il peut, par exemple, estimer qu'une simple boîte à communiqués nationale lui serait plus utile et moins coûteuse. Si c'est le cas, il doit le dire clairement au lieu de se défausser du démantèlement sur des seconds couteaux. Si ce n'est pas le cas, et s'il veut que l'AFP garde sa place dans le monde, il doit assumer ses responsabilités.
Claude Moisy est journaliste, ancien président-directeur général de l'Agence France-Presse.
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web site at http://www.afp.com
19:37 Publié dans Evènement | Tags : afp, petition, le monde | Lien permanent | Commentaires (1) | | | |
Digg
29/09/2009
"Fellinicita" un hommage à Fedérico.....
Noëlle Benhamou qui a participé à la rédaction de cet ouvrage me signale :
LES ÉDITIONS DE LA TRANSPARENCE | Parutions du 16 septembre 2009
Philosophie | esthétique | cinéma
Dans la collection "Cinéphilie"
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FELLINICITTÀ sous la direction de Jean-Max Méjean, préface de Tullio Kezich.
60 artistes, écrivains, spécialistes et proches de Federico Fellini rendent hommage au Maestro. Ce livre richement illustré (120 photographies et dessins pour la plupart inédits) propose un voyage dans l'univers de Fellini à travers les thèmes récurrents de sa vie et de son œuvre : Cinecittà, Rome, Rimini, les rêves et la magie, l'astrologie, la femme, la télévision, l'ange, les chapeaux, les fontaines, la cigarette…
Fellinicittà est accompagné du DVD d'un film de Dominique Delouche : Teatro Numero Cinque, un documentaire inédit sur Fellini lorsque celui-ci tournait en 1968 le Satyricon.
L'ouvrage est édité en partenariat avec la Fondation Fellini pour le Cinéma et avec le soutien d'Almaz Film Productions.
Critique de cinéma et spécialiste de Federico Fellini, Jean-Max Méjean a notamment publié Fellini, un rêve, une vie (Cerf, 1997).
DÉCOUVRIR LES PREMIÈRES PAGES ET LE SOMMAIRE
URL : http://www.maupassantiana.fr
http://www.erckmann-chatrian.
11:21 Publié dans Evènement | Tags : fellini, noëlle benhamou | Lien permanent | Commentaires (7) | | | |
Digg
28/09/2009
Pélerinage littéraire de Médan
09:49 Publié dans Evènement | Tags : zola, médan, dreyfus, jaurès, ligue des droits de l'homme | Lien permanent | Commentaires (0) | | | |
Digg