13/11/2007
L'ÉGÉRIE DE L'ATELIER CORMON : LILI GRENIER
PAR BERNARD VASSOR
Amélie Sans, fut un des modèles les plus appréciés de l'atelier Cormon dans la fin du dix neuvième siècle. Elle était la
fille de riche commerçants montmartrois. Quand elle va poser à l'atelier Cormon, par sa bonne humeur et son esprit, elle fit la joie des jeunes peintres de cette académie où une grande liberté artistique leur était donnée . Elle fut aussi le modèle de Degas. C'est chez Cormon qu'elle rencontra Albert Grenier (1861-1917) peintre, aquafortiste, qui avait un atelier au 19 bis rue Fontaineà côté de celui de Degas, qu'il céda ensuite à Toulouse-Lautrec. Sa famille possédait deux maisons à Villers-sur-Morince qui lui permit d'accueil ses amis montmartrois. Toulouse-Lautrec pourra ainsi "se mettre au vert" plusieurs mois d'hiver (1887) où il s'adonnera aux saines joies de la nature, les promenades au bord de l'eau, la pêche, et les veillées au feu de bois. Toulouse Lautrec ne revint vire sa vie trépidante qu'au mois de janvier 1888 où il retrouva son ami Vincent et ses fâcheuses habitudes .Amélie Sans, sa compagne depuis les années 1880, n'épousa Albert Grenier qu'en 1904. La maison de Villers-sur-Morin accueillit aussi Louis Anquetin, et Suzanne Valadon.
fille de riche commerçants montmartrois. Quand elle va poser à l'atelier Cormon, par sa bonne humeur et son esprit, elle fit la joie des jeunes peintres de cette académie où une grande liberté artistique leur était donnée . Elle fut aussi le modèle de Degas. C'est chez Cormon qu'elle rencontra Albert Grenier (1861-1917) peintre, aquafortiste, qui avait un atelier au 19 bis rue Fontaineà côté de celui de Degas, qu'il céda ensuite à Toulouse-Lautrec. Sa famille possédait deux maisons à Villers-sur-Morince qui lui permit d'accueil ses amis montmartrois. Toulouse-Lautrec pourra ainsi "se mettre au vert" plusieurs mois d'hiver (1887) où il s'adonnera aux saines joies de la nature, les promenades au bord de l'eau, la pêche, et les veillées au feu de bois. Toulouse Lautrec ne revint vire sa vie trépidante qu'au mois de janvier 1888 où il retrouva son ami Vincent et ses fâcheuses habitudes .Amélie Sans, sa compagne depuis les années 1880, n'épousa Albert Grenier qu'en 1904. La maison de Villers-sur-Morin accueillit aussi Louis Anquetin, et Suzanne Valadon.
16:00 Publié dans Les peintres | Lien permanent | Commentaires (6) | | | 
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Digg
Commentaires
Je suis la petite fille de la filleule adorée d'Albert et Lili Grenier. Je suis donc très intéressée par toutes les portraits que vous pouvez avoir d'eux.
Avec mes plus cordiales salutations
Nathalie Laurent
Écrit par : Nathalie laurent | 19/11/2008
Historien de l'art spécialiste de Toulouse Lautrec vous pourriez peut etre m'aider. Jean Pierre Gimbergues 19 impasse Gambetta 81000 albi. Tel 09 61 31 52 12 et 06 76 55 97 97 gimbergues.jp@orange.fr
Cordialement a bientot
Écrit par : gimbergues jean pierre | 15/10/2011
BONJOUR,
Je recherche des renseignements sur les séjours effectués par Lautrec à Villier sur-Morin en 1886.
Je recherche une rue située de part et d'autre deux propriétés, la première appartenait à un certain Martin PERRIN et l'autre appartenait à un
certain COMPIN, cette rue a du faire l'objet d'une peinture en Octobre 1886.
Merci pour tout rensignement.
NATHALIE.
Écrit par : NATHALIE | 13/12/2009
Bonjour,
Je recherche la date de naissance et de mort de Lilly grenier pour un livre en écriture sur Toulouse-Lautrec.
amicalement, merci
Écrit par : conton | 22/05/2011
Bonjour,
Je recherche la date de naissance et de mort de Lilly grenier pour un livre en écriture sur Toulouse-Lautrec.
amicalement, merci
Écrit par : conton | 22/05/2011
Bonjour Madame,
Moi-même pense être une petite-fille de Lili et rené Grenier, selon les dires de ma mère et mon père, André Grenier, né à Chinon, mais malheureusement ils sont décédés tous les deux......mais j'ai encore des livres d'art, dans lesquels toutes les dates sont indiquées....je dois faire des recherches....je vous tiens au courant.
Bien à vous vous
Yvonne Grenier
270, Ave des Volontaires
1150 Bruxelles
Écrit par : Yvonne Grenier | 28/02/2015
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